13août 07
En ce moment c’est l’hiver en plein été. N’était ce foutu bouquin à terminer dans le délai dont j’ai déjà parlé, je serai en ce moment dans le nouveau monde au Vénézuéla où j’avais prévu d’aller pour profiter d’une fenêtre de tir tout à fait valable en matière de billets d’avion. Au lieu de quoi je croupis sous le ciel pourri du mois d’août du premier semestre de la présidence de monsieur Sarkozy. Une presse valétudinaire passe à côté du principal sujet de l’été à savoir la responsabilité sur l’état du climat de Sarkozy l’américain lui-même, précisément au moment où il se trouve aux Etats Unis!
J’ai le nez et la gorge pris et peu s’en faut que je ne carbure au grog tellement je pèle de froid mentalement.
Entre deux comas et quintes de toux, le moral dans les chaussettes, je suis sur ma quasi télé l’évolution de la contagion systémique depuis le krach de l’immobilier américain. C’est tellement caractéristique du nouvel âge du capitalisme!
un tas peut-être considéré comme un système critique autorganisé comme l’est un réseau de connexions bancaires. C’est clair? |
Pardon pour l’égotisme mais ca me fait penser à mon livre, un autre, celui que j’ai publié en 1991 sous le titre « A la conquête du Chaos » chez Denoel. Justement c’était le sujet que les effets de système et les phénomènes non linéaires dans les structures dynamique puissement intégrés du type de celui de la sphère financière dont les mailles couvrent le monde d’un filet de petits bits qui unissent nos compte chèques aux marées de la spéculation ordinaire. Maintenant c’est un sujet bateau. A l’époque ça décoiffait. Le capitalisme de notre époque produit donc aussi des effets de système de mieux en mieux connus quoique leur déclenchement soit intrinséquement imprévisible. Mais personne ne peut plus rien contre ses dévellopements erratiques inouïs, sauf à rompre la règle du jeu. Qui voudrait ça aujourd’hui? La seule idée d’imposer un intérêt général est considéré comme du gauchisme. Naturellement je suis tout disposé à réciter les sornettes habituelles sur ce sujet: nous voulons réguler, maitriser etc…Mais je connais la valeur de ce genre de remède très verbal. Un clystère. Un cataplasme méphitique.
INCLASSABLE
Je voudrais alléger l’été en y introduisant une note humoristique. Je viens de retrouver un message que je trouve bien drôle dans ma boite aux lettres gorgée. Je viens de le découvrir seulement car j’ai du vider plusieurs centaines de messages haineux ou amicaux arrivés sur ma boite du sénat et rangés dans la catégorie « inclassable » où se trouvent remisés les messages des anciens de mon école maternelle qui se souviennent de moi après m’avoir vu a la télé, les lettres de parents lointains disparus depuis deux générations, sans oublier les inventeurs de produits ingénieux et populaires. Celui là est un « inclassable » amical de quelqu’un que je ne connais pas mais dont j’ai appris à respecter les interventions. J’ignorais qu’il se soit préoccupé de moi. J’avais survolé sans donner de réponses (que mille hontes s’abattent sur moi en plus de toute cette pluie!)
LE COSTAR DE MELENCHON
par Maxime Vivas
(Anecdotes sur l’habit qui ferait le moine).
Un lecteur de Bellaciao écrit :
« Monsieur Mélenchon
Nous sommes dans un pays où l’habit EST le moine. Or vous vous montrez sur toutes les photos et probablement dans la réalité, en costard cravate, le même uniforme que les sbires de l’innommable, les requins de la finance et les petits bourgeois bien élevés très comme il faut qui disent jamais merde con cul bite et autres mots plus hauts que les autres.
Alors commencez par être un autre uniforme et peut-être qu’on aura des raisons de vous croire? »
Maxime Vivas à Caracas parmi les chemises rouges.. |
Parfois le besoin impérieux de m’asseoir devant mon ordinateur me saisit au réveil. Deux heures après, je suis encore dans une vieille robe de chambre, en pantoufles, tout ébouriffé. Mais je ne sors pas dans la rue comme ça et même je n’ouvre à personne sans sauter dans des habits. Chacun fait pareil, non ?
Je rentre du Venezuela où j’ai été convié, par des télés publiques, à donner mon avis de Français éberlué devant la violence et les mensonges des médias privés. Parfois, j’entrais dans le studio, on me disait où m’asseoir et ça commençait alors que j’avais le front luisant de sueur. Parfois, je passais au maquillage et on me coiffait comme je déteste (avec la raie sur le côté, le front dégagé et de la laque plein les cheveux) Une fois même, la maquilleuse m’a raccourci les sourcils !!! Une autre fois, on a préféré que je sois en costar et on m’a demandé de fermer ma veste (horreur de ça !) de me mettre de biais et de croiser les jambes.
Détails sans importance. J’ai pensé que si c’est comme ça qu’ils le voyaient, ils devaient avoir raison et je n’allais pas faire des caprices, ni parlementer, ni négocier.
Le 28 mai, j’avais rendez-vous avec le directeur du plus
Est-ce que l’habit faisait le moine? Voici ce que dit l’apologie du scribe rédigée il y a quarante siècles: « Ne faillis pas. Ecris. Ne renonce pas » Ce gars là ne savait pas ce que c’est de finir un papyrus à Lombreuil, juste à côté de Montargis, la Venise du Gatinais. |
grand quotidien du Venezuela (Ultimas Noticias, qui est ce que Le Monde fut jadis, mais avec un tirage deux à trois fois supérieur, proportionnellement). Je voulais qu’il m’accorde une interview à propos de RSF dont le patron était en train de donner une conférence de presse à l’hôtel Hilton. J’ai mis mon costar et même, tenez-vous bien ! la cravate que ma chérie m’a acheté il y a quinze ans à Rome devant la fontaine de Trévi (Mastroianni, Ekberg, Fellini, La Dolce Vita). Le directeur m’a reçu et, trente minutes après, il appelait un journaliste et un photographe en me confiant à eux. L’interview et la photo sont parues le lendemain, ornés d’un gros titre en gras dénonçant RSF au-dessus d’un maigre article riquiqui sur la conférence de presse de Ménard.
Je suis allé à la grande manifestation du 2 juin à Caracas. Dans la foule vêtue de rouge, j’étais le seul à porter un jean et une chemise bleue. Personne ne m’en a voulu.
A Toulouse, j’étais invité vendredi à l’inauguration du Marathon des Mots dans la salle des Illustres au Capitole. J’y suis allé avec mon costar sombre (celui de Caracas, acheté il y a dix ans pour les mariages). J’étais près d’un groupe aux habits plus décontractés. Arrive Douste-Blazy. Il nous voit, évite le groupe et vient me serrer la main !!!! Rire.
La première des libertés est celle de disposer de son corps et d’y mettre ce qu’on veut dessus.
Le racisme anti-costar et anti-cravate ne vaut pas mieux que les autres.
Quels qu’aient été mes accoutrements au Venezuela, c’est le même objectif que je visais : aider dans la mesure de mes moyens à défaire les néo-golpistes et leurs amis internationaux.
« Je twisterais les mots s’il fallait les twister pour qu’un jour les enfants sachent qui vous étiez », chantait jean Ferrat. Je mettrais un smoking si cela pouvait m’aider à être reçu et écouté avec un préjugé favorable par quelqu’un qui favoriserait la diffusion de mes propos.
Tout ça pour dire que l’attitude à adopter sur les propositions de Jean-Luc Mélenchon ne peut pas être déterminée par son costume. On imagine qu’il pourrait aller au Sénat ou en Allemagne en short et en tongs, avec une casquette Ricard. Aucune loi ne l’interdit. Je ne vois pas en quoi son audience en serait améliorée et son discours mieux écouté. Qu’on ne parle pas d’hypocrisie : tout le monde s’habille, se coiffe, se rase ou se maquille pour que son image soit bien perçue. Personne ne va à un entretien d’embauche en pyjama.
Pendant que j’étais à Caracas, les parlementaires européens ont été saisis d’une proposition de motion anti-vénézuélienne. J’ai échangé des mails avec Mélenchon et avec des parlementaires de la gauche unie européenne (où sont les communistes et les Verts nordiques). Ces derniers et Mélenchon ont fait beaucoup pour que les man?uvres de J.M. Cavada et de l’extrême droite se réduisent à un minable vote hostile réduit à 44 députés sur 785.
Mélenchon et Besancenot ont visité les locaux de ViVe TV à Caracas, une télé qui m’a accueilli pendant trois semaines. Là-bas, on a gardé le souvenir d’un Mélenchon qui s’est exprimé sur place sur la question des médias vénézuéliens et qui a continué à le faire depuis. Sur place, Besancenot a regardé et n’a pas trop parlé. Je n’ai pas vu que, dans l’épisode de lutte cruciale pour conquérir un espace médiatique, la révolution bolivarienne a été plus activement soutenue par le jeune homme en jean que par le sénateur en costar.
Ne prenez pas cela comme une attaque de la LCR. Je sais bien qu’elle ne soutient pas les golpistes et qu’elle a de la sympathie pour ce qui se passe au Venezuela. Mais je remarque que Mélenchon s’est engagé à fond alors que son intérêt d’homme politique est d’exprimer des réserves à la moindre occasion pour bien montrer qu’il est un démocrate et aussi pour préserver l’avenir au cas où les bolivariens n’exécuteraient pas un sans faute dans leur marche révolutionnaire et pacifique à la fois.
Quant à ce qu’on peut penser sur ses propositions pour sortir la gauche du marasme, c’est un autre sujet et ce n’est pas de ça que je parle ici.
Maxime Vivas
Excellent Maxime Vivas!
Excellent Maxime Vivas!
Il l'a bien dit: dans une famille on peut avoir des désaccords. La famille c'est lui et Bush.
Donc ils sont d'accord sur l'essentiel: l'Irak? Envoyer des troupes en Iran? On verra bientôt comment Sarko veut aider l'empire et comment il va s'arranger pour en tirer quelques profits pour la France. Mais on verra aussi si les Français sont d'accord pour s'allier comme cela sur la politique nord américaine de la loi du plus fort, de la recolonisation du tiers monde par la force et de l'appropriation de leurs matières premières.
Etre au Darfour c'est pour être plus près du Tchad. Et au fait au Tchad c'est quoi? L'uranium?
Il l'a bien dit: dans une famille on peut avoir des désaccords. La famille c'est lui et Bush.
Donc ils sont d'accord sur l'essentiel: l'Irak? Envoyer des troupes en Iran? On verra bientôt comment Sarko veut aider l'empire et comment il va s'arranger pour en tirer quelques profits pour la France. Mais on verra aussi si les Français sont d'accord pour s'allier comme cela sur la politique nord américaine de la loi du plus fort, de la recolonisation du tiers monde par la force et de l'appropriation de leurs matières premières.
Etre au Darfour c'est pour être plus près du Tchad. Et au fait au Tchad c'est quoi? L'uranium?
c'est tres bien de donner un caractere plus personnel au blog. Continuez svp.
AS
Le Belge
c'est tres bien de donner un caractere plus personnel au blog. Continuez svp.
AS
Le Belge
Il a raison Maxime ! L'habit NE FAIT PAS le moine et sa démonstration est convaincante; il a raison de rappeler qu'il faut parfois accepter de "twister les mots s'il faut les twister...Pour qu'un jour les enfants sachent...".
C'est bien le problème de notre génération politique de ne plus savoir parler aux enfants, et de ne pas avoir su faire que quatrevingtquinze pour cent d'entre eux qui votaient pour la première fois ne chassent de notre paysage un président dont le pouvoir de nuisance se révèle chaque jour, et ce n'est qu'un début !
Ce président qui monte en short les marche du palais présidentiel croit peut-être que cet habit fait de lui l'ami des jeunes et des collégiens ? A nous de montrer qu'il est leur pire ennemi...Il est vrai que la mémére du "désir d'avenir" excitait peu cette génération dont nous voyons monter la détresse dans une impuissance accablante...Un soir après le "non" victorieux au TCE, Jean Luc disait à la TV "Je ne mentirai plus jamais a mes électeurs"...Bel engagement... qui précédait une trouble "synthèse" au Mans dont nous avons vècu les retombées négatives dans toute la gauche anticapitaliste...
Moi je suis de ceux qui ne désespèrent pas de voir se développer un débat de fond sur les fondamentaux d'une gauche trahie par plusieurs générations de ses représentants. Que le soutien internationaliste aux résistances actives à l'Empire trouve quelques socialistes disponibles, c'est bien. Mais que ce discours soit aussi tenu sur cette rive du monde qui est la notre ce serait encore mieux; nous sommes nombreux à tendre les oreilles et à décrypter les silences...
Fraternellement, Jacques Richaud (31)
Il a raison Maxime ! L'habit NE FAIT PAS le moine et sa démonstration est convaincante; il a raison de rappeler qu'il faut parfois accepter de "twister les mots s'il faut les twister...Pour qu'un jour les enfants sachent...".
C'est bien le problème de notre génération politique de ne plus savoir parler aux enfants, et de ne pas avoir su faire que quatrevingtquinze pour cent d'entre eux qui votaient pour la première fois ne chassent de notre paysage un président dont le pouvoir de nuisance se révèle chaque jour, et ce n'est qu'un début !
Ce président qui monte en short les marche du palais présidentiel croit peut-être que cet habit fait de lui l'ami des jeunes et des collégiens ? A nous de montrer qu'il est leur pire ennemi...Il est vrai que la mémére du "désir d'avenir" excitait peu cette génération dont nous voyons monter la détresse dans une impuissance accablante...Un soir après le "non" victorieux au TCE, Jean Luc disait à la TV "Je ne mentirai plus jamais a mes électeurs"...Bel engagement... qui précédait une trouble "synthèse" au Mans dont nous avons vècu les retombées négatives dans toute la gauche anticapitaliste...
Moi je suis de ceux qui ne désespèrent pas de voir se développer un débat de fond sur les fondamentaux d'une gauche trahie par plusieurs générations de ses représentants. Que le soutien internationaliste aux résistances actives à l'Empire trouve quelques socialistes disponibles, c'est bien. Mais que ce discours soit aussi tenu sur cette rive du monde qui est la notre ce serait encore mieux; nous sommes nombreux à tendre les oreilles et à décrypter les silences...
Fraternellement, Jacques Richaud (31)
Terreur Néolibérale en IRAK :
Si vous avez encore le goût de l'Empire après ça, alors, c'est que c'est le début de la fin.
Le ver du fascisme vous aura rongé de l'intérieur sans vous le dire.
"Bonne lecture"
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=HED20070802&articleId=6455
Terreur Néolibérale en IRAK :
Si vous avez encore le goût de l'Empire après ça, alors, c'est que c'est le début de la fin.
Le ver du fascisme vous aura rongé de l'intérieur sans vous le dire.
"Bonne lecture"
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Pour compléter le visage de l'amérique Néolibérale :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=5642
Pour compléter le visage de l'amérique Néolibérale :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=5642
Pour le dessert :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6378
Pour le dessert :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=6378
Gosse d'une famille nombreuse après guerre,habillé grace au secour populaire de l'époque,ça laisse des traces.
Travailler dès 14 ans dans les chantiers du batiment,rentrer crevé (2)
heures de transport le matin,ideme le soir,mes vetements salis par les traces de ciment....!,bref j'en passe..
Le propos,dès que j'ai eu vers 17 ou 18 ans,je me suis, hacheté un Costar.
Et depuis,je me prèsente,ou en Costar,ou en bleu de chantier selon que;
Et vrai, selon que, l'habit fait le moine, et dans mon fond intérieur je
me marre.
S.FA.M.Rosay.
Gosse d'une famille nombreuse après guerre,habillé grace au secour populaire de l'époque,ça laisse des traces.
Travailler dès 14 ans dans les chantiers du batiment,rentrer crevé (2)
heures de transport le matin,ideme le soir,mes vetements salis par les traces de ciment....!,bref j'en passe..
Le propos,dès que j'ai eu vers 17 ou 18 ans,je me suis, hacheté un Costar.
Et depuis,je me prèsente,ou en Costar,ou en bleu de chantier selon que;
Et vrai, selon que, l'habit fait le moine, et dans mon fond intérieur je
me marre.
S.FA.M.Rosay.
Cet été, encore sonnés par nos défaites électorales, ça fait tellement de bien de lire JL Mélenchon, car on ne sait plus qui ni quoi lire. Les analyses sur le derniéres élections sont pour la plupart empreintes d'un blairisme de mauvais aloi. On apprend que Rocard voulait se présenter à la place de Royal qques semaines avant le premier tour. L'ambition personnelle conserve. Cécilia n'aurait pas réglé les vacances des Sarkozy avec la carte de drédit de l'Elysée. Pff...Vivement ton livre, Jean-Luc !
Cet été, encore sonnés par nos défaites électorales, ça fait tellement de bien de lire JL Mélenchon, car on ne sait plus qui ni quoi lire. Les analyses sur le derniéres élections sont pour la plupart empreintes d'un blairisme de mauvais aloi. On apprend que Rocard voulait se présenter à la place de Royal qques semaines avant le premier tour. L'ambition personnelle conserve. Cécilia n'aurait pas réglé les vacances des Sarkozy avec la carte de drédit de l'Elysée. Pff...Vivement ton livre, Jean-Luc !
Oui aller en vacances au Vénézuela, un des seuls pays qui remet vraiment en compte le néo libéralisme, cela vous aurait revigorer. Au lieu de ça, nous on va sombrer dans le capitalisme à l'américaine, la consommation à qui mieux mieux et l'addiction au travail pour avoir toujours plus de fric. Vu qu'on n'aura plus nos services publics comme salaire indirect, la concurrence va augmenter entre les gens, la non solidarité. Dans la société que Sarko nous concocte, le pauvre sera de plus en plus pauvre, n'aura plus d'accès à la santé, les SDF augmenteront et on laissera tous ces gens dans leur m**** car les autres se batteront pour essayer de grapiller un petit peu de la richesse que nous exhibe Sarko.
Lui avec son style à l'américaine, ses vacances luxueuses grâce à tous ses amis du business et de la finance... Voilà ce qu'il nous fait miroiter: Dallas avec ses belles villas et ses grosses voitures... Le beau rêve américain encore une fois!
Oui aller en vacances au Vénézuela, un des seuls pays qui remet vraiment en compte le néo libéralisme, cela vous aurait revigorer. Au lieu de ça, nous on va sombrer dans le capitalisme à l'américaine, la consommation à qui mieux mieux et l'addiction au travail pour avoir toujours plus de fric. Vu qu'on n'aura plus nos services publics comme salaire indirect, la concurrence va augmenter entre les gens, la non solidarité. Dans la société que Sarko nous concocte, le pauvre sera de plus en plus pauvre, n'aura plus d'accès à la santé, les SDF augmenteront et on laissera tous ces gens dans leur m**** car les autres se batteront pour essayer de grapiller un petit peu de la richesse que nous exhibe Sarko.
Lui avec son style à l'américaine, ses vacances luxueuses grâce à tous ses amis du business et de la finance... Voilà ce qu'il nous fait miroiter: Dallas avec ses belles villas et ses grosses voitures... Le beau rêve américain encore une fois!
Quel rapport entre les attaques du 11 septembre et le scandale Enron ?
Aucun me direz-vous et vous n'aurez pas complètement tort mais pourtant, vous comprendrez à la fin de ce reportage trés pointu que le fantôme d'Enron bien que marginal, profite de l'attaque du 11 septembre, de manière "indirecte".
Savez-vous que les tours du WTC étaient de plus en plus désertées par les entreprises ? En effet celles-ci préféraient s'implanter ailleurs dans la ville de New-york pour des raisons diverses propres à leurs activités nouvelles - le WTC comportait donc beaucoup de bureaux déserts inlouables. L'entretien du WTC devenait un gouffre financier. Le désamientage aurait coûté 1 milliard de dollars s'il avait été effectué !
Bref, plus rentable le WTC ! Une mauvaise affaire.
Etrange donc, qu'un propriétaire l'ait racheté dans ces conditions 6 semaines avant les attentats :
Savez-vous que du fait qu'il ait pris une assurance sur les attentats terroristes, il a raflé la mise aprés ? - Plus fort encore ! Il a fait un procès à ses assureurs pour bien préciser qu'il y avait eu deux attentats terroristes et pas un seul : Résultats le jack-pot s'est multiplié par deux et pas par un, comme le voulait les assureurs !
Il y a bien d'autres révélations dans ce film. Le plus étonnant et le plus crédible a mon avis, c'est qu'il a été fait par un Républicain (!).
Furieux de voir tout un tas de vidéos sur le Net qui remettaient en question la version officielle, il a mené lui-même son enquête. Vous verrez c'est très rigoureux, vraiment. Le film dure Une heure trente. Il y a la traduction française.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=4156
Quel rapport entre les attaques du 11 septembre et le scandale Enron ?
Aucun me direz-vous et vous n'aurez pas complètement tort mais pourtant, vous comprendrez à la fin de ce reportage trés pointu que le fantôme d'Enron bien que marginal, profite de l'attaque du 11 septembre, de manière "indirecte".
Savez-vous que les tours du WTC étaient de plus en plus désertées par les entreprises ? En effet celles-ci préféraient s'implanter ailleurs dans la ville de New-york pour des raisons diverses propres à leurs activités nouvelles - le WTC comportait donc beaucoup de bureaux déserts inlouables. L'entretien du WTC devenait un gouffre financier. Le désamientage aurait coûté 1 milliard de dollars s'il avait été effectué !
Bref, plus rentable le WTC ! Une mauvaise affaire.
Etrange donc, qu'un propriétaire l'ait racheté dans ces conditions 6 semaines avant les attentats :
Savez-vous que du fait qu'il ait pris une assurance sur les attentats terroristes, il a raflé la mise aprés ? - Plus fort encore ! Il a fait un procès à ses assureurs pour bien préciser qu'il y avait eu deux attentats terroristes et pas un seul : Résultats le jack-pot s'est multiplié par deux et pas par un, comme le voulait les assureurs !
Il y a bien d'autres révélations dans ce film. Le plus étonnant et le plus crédible a mon avis, c'est qu'il a été fait par un Républicain (!).
Furieux de voir tout un tas de vidéos sur le Net qui remettaient en question la version officielle, il a mené lui-même son enquête. Vous verrez c'est très rigoureux, vraiment. Le film dure Une heure trente. Il y a la traduction française.
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=4156
Salut Jean-Luc,
Je suis tes pérégrinations depuis un certain temps, et avec sympathie. Là je te vois mal en point. Alors je t'invite à boire un bon grog au Fou de Bassan sur Bellaciao.fr.
On y refait le monde et c'est pas mal surtout quand on n'a pas d'autre moyen de partir en vacances.
Ciao et fraternité,
NOSE DE CHAMPAGNE
Salut Jean-Luc,
Je suis tes pérégrinations depuis un certain temps, et avec sympathie. Là je te vois mal en point. Alors je t'invite à boire un bon grog au Fou de Bassan sur Bellaciao.fr.
On y refait le monde et c'est pas mal surtout quand on n'a pas d'autre moyen de partir en vacances.
Ciao et fraternité,
NOSE DE CHAMPAGNE
Bonjour,
J'ai une simple question; je ne suis pas un specialiste du Venezuela mais y'a de quoi se poser des questions.. Le "presidente" joue aux chaises musicales avec ses ministres et remercie celui qui l'a aidé pendant le putsh: http://www.lefigaro.fr/international/20070814.FIG000000126_l_autoritarisme_de_chavez_commence_a_lasser_les_venezueliens.html Moi j'ai rien contre Chavez mais il commence a sentir le souffre... J'ai parfois du mal a comprendre votre affection pour ce militaire...A ce propos je sais pas si on vous l'a deja dit mais je vous ai toujours trouvé un ressemblance avec un general americain: Curtis Lemay:
http://en.wikipedia.org/wiki/Curtis_LeMay
heureusement pas sur le point de la doctrine politique!
Sinon continez votre blog que j'ai toujours plaisir à lire meme si je ne suis pas toujours en accord avec vos idées, au moins c'est franc et passionné!
Bye
Bonjour,
J'ai une simple question; je ne suis pas un specialiste du Venezuela mais y'a de quoi se poser des questions.. Le "presidente" joue aux chaises musicales avec ses ministres et remercie celui qui l'a aidé pendant le putsh: http://www.lefigaro.fr/international/20070814.FIG000000126_l_autoritarisme_de_chavez_commence_a_lasser_les_venezueliens.html Moi j'ai rien contre Chavez mais il commence a sentir le souffre... J'ai parfois du mal a comprendre votre affection pour ce militaire...A ce propos je sais pas si on vous l'a deja dit mais je vous ai toujours trouvé un ressemblance avec un general americain: Curtis Lemay:
http://en.wikipedia.org/wiki/Curtis_LeMay
heureusement pas sur le point de la doctrine politique!
Sinon continez votre blog que j'ai toujours plaisir à lire meme si je ne suis pas toujours en accord avec vos idées, au moins c'est franc et passionné!
Bye
@ JN
Si vous connaissez un peu la question venézuelienne, j'espère que vous avez remarqué que nos grands journaux mentent systématiquement à son propos. Le but est de discréditer avant même qu'une info juste soit arrivée au public. Ce ne sont que distortions de la vérité, mensonges éhontés etc... Comme cela on oublie d'informer sur ce qui s'y passe vraiment.
A mon avis, vérifiez d'abord l'information avant de la croire et de la diffuser. Il faut être très prudent. Chavez fait peur à Bush car il parle et fait vrai. Donc une véritable guerre médiatique est lancée. N'en soyez pas victime!
@ JN
Si vous connaissez un peu la question venézuelienne, j'espère que vous avez remarqué que nos grands journaux mentent systématiquement à son propos. Le but est de discréditer avant même qu'une info juste soit arrivée au public. Ce ne sont que distortions de la vérité, mensonges éhontés etc... Comme cela on oublie d'informer sur ce qui s'y passe vraiment.
A mon avis, vérifiez d'abord l'information avant de la croire et de la diffuser. Il faut être très prudent. Chavez fait peur à Bush car il parle et fait vrai. Donc une véritable guerre médiatique est lancée. N'en soyez pas victime!
Article tout à fait éclairant sur la manipulation de l'info grand public par la CIA, les grandes entreprises (entre autres) :
http://www.rue89.com/2007/08/15/un-etudiant-americain-identifie-les-manipulateurs-de-wikipedia
Article tout à fait éclairant sur la manipulation de l'info grand public par la CIA, les grandes entreprises (entre autres) :
http://www.rue89.com/2007/08/15/un-etudiant-americain-identifie-les-manipulateurs-de-wikipedia
Article du Monde totalement réjouissant : la conclusion de Die Zeit révèle l'importance de la menace que représente "Die Linke". Si c'était en France, Libé et Le Nouvel Obs s'en donnerait inévitablement à coeur joie...
"La Gauche" d'Oskar Lafontaine accueille les déçus du SPD et des Verts
LE MONDE | 15.08.07 | 16h11 ? Mis à jour le 15.08.07 | 16h11
BERLIN CORRESPONDANCE
Démissionnaire en 1999 de la présidence du Parti social-démocrate (SPD) pour protester contre une dérive jugée libérale, Oskar Lafontaine savoure sa revanche. Baptisé "La Gauche" (Die Linke), son nouveau parti, qui rassemble des néocommunistes de l'ex-RDA, des déçus de la social-démocratie de l'ex-RFA et des utopistes de toujours, compte 3 000 nouveaux membres depuis sa fondation, mi-juin, sur les cendres de deux formations fusionnées. Pour rejoindre "La Gauche", beaucoup quittent le SPD, dirigé par un Kurt Beck sans grand charisme et pénalisé pour sa participation à la grande coalition.
La gauche de la gauche voit, selon une récente enquête, ses idées défendues par une frange toujours plus importante de la population. Elle peut aborder les nombreux prochains scrutins régionaux (Hesse, Basse-Saxe, Hambourg...), assurée d'améliorer ses scores un peu partout. Créditée dans l'hypothèse d'élections législatives de 11 % d'intentions de vote, La Gauche est une menace pour le SPD, qui ne monte plus qu'à 28 %, loin derrière les Unions chrétiennes, à 38 %. Toute alliance entre les deux formations de gauche reste taboue.
Plus une semaine ne se passe sans qu'un responsable régional rende sa carte du SPD ou des Verts pour rejoindre le parti de M. Lafontaine, qui recrute aussi parmi les cadres du puissant syndicat des services, Ver.di. "Ça n'a pas été simple pour moi de quitter le SPD après trente-cinq années comme membre", reconnaît Rolf Linsler, ancien président de Ver.di. en Sarre. Il affirme "ne plus pouvoir être d'accord avec la politique sociale" de son parti d'origine. "La Gauche" est une "alternative crédible" à ce que le SPD a jadis été, renchérit Leo Stefan Schmitt, ancien secrétaire général du groupe parlementaire social-démocrate du Parlement régional de Saxe. Il a rejoint en juillet "La Gauche", qui compte désormais 73 000 membres.
Salaire minimum renvoyé à une date inconnue, privatisation de la Deutsche Bahn, retraite à 67 ans : sur tous ces sujets, le SPD, au pouvoir depuis neuf ans, est accusé de trahir ses idéaux. Irrémédiablement, le nombre de ses membres décline. A près de 735 000 début 2001, ils n'étaient plus que 548 500 fin juillet. Selon le politologue Eckhard Jesse, "le SPD doit s'attendre à d'autres fuites vers "La Gauche". Le parti est dans une situation très, très difficile".
CANALISER L'ENGOUEMENT
La dernière étude du réputé Institut Allensbach, parue début août, montre pourtant que les idées de gauche progressent en Allemagne. 34 % des personnes interrogées se considèrent "de gauche", deux fois plus qu'en 2001. Les deux tiers sont favorables à un salaire minimum et opposés à une privatisation de la Deutsche Bahn ou de Telekom.
Oskar Lafontaine saura-t-il canaliser ce courant ? Nombre d'observateurs en doutent. Certes, "il n'a jamais exercé une influence aussi grande sur la politique allemande qu'aujourd'hui, ni comme ministre des finances ni comme président du SPD ou comme ministre-président de Sarre", affirme l'hebdomadaire Die Zeit dans sa dernière édition, mais c'est la puissance d'"un populiste dont personne ne connaît la véritable puissance des bataillons". (- Intérim.)
Article paru dans l'édition du 16.08.07.
Article du Monde totalement réjouissant : la conclusion de Die Zeit révèle l'importance de la menace que représente "Die Linke". Si c'était en France, Libé et Le Nouvel Obs s'en donnerait inévitablement à coeur joie...
"La Gauche" d'Oskar Lafontaine accueille les déçus du SPD et des Verts
LE MONDE | 15.08.07 | 16h11 ? Mis à jour le 15.08.07 | 16h11
BERLIN CORRESPONDANCE
Démissionnaire en 1999 de la présidence du Parti social-démocrate (SPD) pour protester contre une dérive jugée libérale, Oskar Lafontaine savoure sa revanche. Baptisé "La Gauche" (Die Linke), son nouveau parti, qui rassemble des néocommunistes de l'ex-RDA, des déçus de la social-démocratie de l'ex-RFA et des utopistes de toujours, compte 3 000 nouveaux membres depuis sa fondation, mi-juin, sur les cendres de deux formations fusionnées. Pour rejoindre "La Gauche", beaucoup quittent le SPD, dirigé par un Kurt Beck sans grand charisme et pénalisé pour sa participation à la grande coalition.
La gauche de la gauche voit, selon une récente enquête, ses idées défendues par une frange toujours plus importante de la population. Elle peut aborder les nombreux prochains scrutins régionaux (Hesse, Basse-Saxe, Hambourg...), assurée d'améliorer ses scores un peu partout. Créditée dans l'hypothèse d'élections législatives de 11 % d'intentions de vote, La Gauche est une menace pour le SPD, qui ne monte plus qu'à 28 %, loin derrière les Unions chrétiennes, à 38 %. Toute alliance entre les deux formations de gauche reste taboue.
Plus une semaine ne se passe sans qu'un responsable régional rende sa carte du SPD ou des Verts pour rejoindre le parti de M. Lafontaine, qui recrute aussi parmi les cadres du puissant syndicat des services, Ver.di. "Ça n'a pas été simple pour moi de quitter le SPD après trente-cinq années comme membre", reconnaît Rolf Linsler, ancien président de Ver.di. en Sarre. Il affirme "ne plus pouvoir être d'accord avec la politique sociale" de son parti d'origine. "La Gauche" est une "alternative crédible" à ce que le SPD a jadis été, renchérit Leo Stefan Schmitt, ancien secrétaire général du groupe parlementaire social-démocrate du Parlement régional de Saxe. Il a rejoint en juillet "La Gauche", qui compte désormais 73 000 membres.
Salaire minimum renvoyé à une date inconnue, privatisation de la Deutsche Bahn, retraite à 67 ans : sur tous ces sujets, le SPD, au pouvoir depuis neuf ans, est accusé de trahir ses idéaux. Irrémédiablement, le nombre de ses membres décline. A près de 735 000 début 2001, ils n'étaient plus que 548 500 fin juillet. Selon le politologue Eckhard Jesse, "le SPD doit s'attendre à d'autres fuites vers "La Gauche". Le parti est dans une situation très, très difficile".
CANALISER L'ENGOUEMENT
La dernière étude du réputé Institut Allensbach, parue début août, montre pourtant que les idées de gauche progressent en Allemagne. 34 % des personnes interrogées se considèrent "de gauche", deux fois plus qu'en 2001. Les deux tiers sont favorables à un salaire minimum et opposés à une privatisation de la Deutsche Bahn ou de Telekom.
Oskar Lafontaine saura-t-il canaliser ce courant ? Nombre d'observateurs en doutent. Certes, "il n'a jamais exercé une influence aussi grande sur la politique allemande qu'aujourd'hui, ni comme ministre des finances ni comme président du SPD ou comme ministre-président de Sarre", affirme l'hebdomadaire Die Zeit dans sa dernière édition, mais c'est la puissance d'"un populiste dont personne ne connaît la véritable puissance des bataillons". (- Intérim.)
Article paru dans l'édition du 16.08.07.
Les Allemands ont la "chance" de n'avoir pas 2 ou 3 Kouchner mais des centaines ou milliers, au pouvoir avec la démocratie-chrétienne! Hollande, Rocard,Ségolène,Fabius se sont vus rejetés dans l'opposition par la délicatesse des électeurs (qu'auraient-ils donc été capables de faire face à la crise financière de ce été, hein? Continuer à privatiser france Télécom? réduire l'impôt sur le revenu? tout aurait été possible...)
Au lieu de quoi ils pourront prolonger leur cure d'opposition et pas de "Die Linke" à la française en vue (au point où en est l'adhésion aux syndicats chez nous...).
Enfin face à l'ampleur de la crise on attebdra autre chose que les niaiseries d'Attac ou de Copernic; y aura 1 petit écho lointain de la vie réelle dans les universités d'été?
Les Allemands ont la "chance" de n'avoir pas 2 ou 3 Kouchner mais des centaines ou milliers, au pouvoir avec la démocratie-chrétienne! Hollande, Rocard,Ségolène,Fabius se sont vus rejetés dans l'opposition par la délicatesse des électeurs (qu'auraient-ils donc été capables de faire face à la crise financière de ce été, hein? Continuer à privatiser france Télécom? réduire l'impôt sur le revenu? tout aurait été possible...)
Au lieu de quoi ils pourront prolonger leur cure d'opposition et pas de "Die Linke" à la française en vue (au point où en est l'adhésion aux syndicats chez nous...).
Enfin face à l'ampleur de la crise on attebdra autre chose que les niaiseries d'Attac ou de Copernic; y aura 1 petit écho lointain de la vie réelle dans les universités d'été?
Ce que j'aime bien quand je viens sur un blog comme celui-là c'est un peu la mauvaise fois. Par exemple on nous demande instamment de ne pas croire les médias nationaux mais par contre on les approuve lorsqu'ils disent du mal d'autres "camarades". Là ils sont plus utiles. Pourquoi on sait pas, pour qui non plus mais enfin...
Quand je lis des commentaires sur la mémère qui n'aurait pas conquis la jeunesse, je vais tout de suite m'adresser à mon camarade sénateur qui lui rétablira la vérité. Car c'est un bon camarade. Lui il a toujours voulu la victoire du PS. Mais le sien. Il n'a pas compris que le sien était minoritaire et que ce n'était pas celui choisi. Enfin c'est la franche camaraderie au PS et c'est réjouissant pour le futur.
Je suis sûr que dans le livre il y aura plein de choses constructives et intéressantes pour l'avenir de la gauche. A moins que pour faire des ventes il comprenne qu'il faille surtout dire des insanités sur la candidate. Que va-t-il choisir notre bon sénateur? La critique constructive et une vision pour la gauche, ou une débauche d'énergie pour dézinguer ségolène Royal du paysage? Voilà une question qui intéresse le militant socialiste que je suis. En attendant bien sûr l'autre chef d'oeuvre de la rentrée écrit par Jospin "l'impasse". Oui Jospin celui qui pense que c'est plus facile de critiquer les autres que de faire son auto -critique. Celui qui s'est mis en retrait pour éviter qu'on se concentre trop sur son pêché originel. Celui qui a plombé l'idée du socialisme, qui a renié ses valeurs. Vous vous souvenez peut-être c'était un jour de l'an 2000 à Barcelone, accompagné de Chirac et adoubé par DSK il allait signer d'un pas allègre la mise en concurrence des services publics. Tout le combat socialiste mis à terre par cet homme qui se veut grand.
Voilà quelques réflexions jetées en pâture sur ce blog que je pressens hostile. je vois de suite germer dans les cerveaux que je suis un idolâtre imbécile sans cervelle et pire sans conscience. Mais vous avez remarqué que je n'ai pas parlé de Fabius. L'homme aux constantes convictions comme sarkosy. Les mêmes. Et c'est ce genre d'hommes politiques que vous souhaitez pour l'avenir du parti? Ou vous plaisantez, ou vous souhaitez une place au chaud ou vous êtes tout bonnement inconséquent.
Je finis en disant que vous avez sûrement remarqué que je n'ai aucune sympathie pour ce que vous représentez. Seulement vous faites partie du même parti que moi et il va falloir nous supporter alors je ne vous insulte pas mais je vous dis fermement les choses. Nous n'avons pas la même vision des choses c'est clair alors attendons le vote militant pour trancher, enfin, cette question essentielle pour l'avenir du parti.Et de la gauche du réel.
Je ne vous adresse pas mes salutations.
Ce que j'aime bien quand je viens sur un blog comme celui-là c'est un peu la mauvaise fois. Par exemple on nous demande instamment de ne pas croire les médias nationaux mais par contre on les approuve lorsqu'ils disent du mal d'autres "camarades". Là ils sont plus utiles. Pourquoi on sait pas, pour qui non plus mais enfin...
Quand je lis des commentaires sur la mémère qui n'aurait pas conquis la jeunesse, je vais tout de suite m'adresser à mon camarade sénateur qui lui rétablira la vérité. Car c'est un bon camarade. Lui il a toujours voulu la victoire du PS. Mais le sien. Il n'a pas compris que le sien était minoritaire et que ce n'était pas celui choisi. Enfin c'est la franche camaraderie au PS et c'est réjouissant pour le futur.
Je suis sûr que dans le livre il y aura plein de choses constructives et intéressantes pour l'avenir de la gauche. A moins que pour faire des ventes il comprenne qu'il faille surtout dire des insanités sur la candidate. Que va-t-il choisir notre bon sénateur? La critique constructive et une vision pour la gauche, ou une débauche d'énergie pour dézinguer ségolène Royal du paysage? Voilà une question qui intéresse le militant socialiste que je suis. En attendant bien sûr l'autre chef d'oeuvre de la rentrée écrit par Jospin "l'impasse". Oui Jospin celui qui pense que c'est plus facile de critiquer les autres que de faire son auto -critique. Celui qui s'est mis en retrait pour éviter qu'on se concentre trop sur son pêché originel. Celui qui a plombé l'idée du socialisme, qui a renié ses valeurs. Vous vous souvenez peut-être c'était un jour de l'an 2000 à Barcelone, accompagné de Chirac et adoubé par DSK il allait signer d'un pas allègre la mise en concurrence des services publics. Tout le combat socialiste mis à terre par cet homme qui se veut grand.
Voilà quelques réflexions jetées en pâture sur ce blog que je pressens hostile. je vois de suite germer dans les cerveaux que je suis un idolâtre imbécile sans cervelle et pire sans conscience. Mais vous avez remarqué que je n'ai pas parlé de Fabius. L'homme aux constantes convictions comme sarkosy. Les mêmes. Et c'est ce genre d'hommes politiques que vous souhaitez pour l'avenir du parti? Ou vous plaisantez, ou vous souhaitez une place au chaud ou vous êtes tout bonnement inconséquent.
Je finis en disant que vous avez sûrement remarqué que je n'ai aucune sympathie pour ce que vous représentez. Seulement vous faites partie du même parti que moi et il va falloir nous supporter alors je ne vous insulte pas mais je vous dis fermement les choses. Nous n'avons pas la même vision des choses c'est clair alors attendons le vote militant pour trancher, enfin, cette question essentielle pour l'avenir du parti.Et de la gauche du réel.
Je ne vous adresse pas mes salutations.
Il est grand temps de passer aux choses sérieuses chez nous aussi, regardez ce qui se passe en Allemagne, qui en France osera en faire autant ?
" Article du Monde totalement réjouissant : la conclusion de Die Zeit révèle l?importance de la menace que représente ?Die Linke?. Si c?était en France, Libé et Le Nouvel Obs s?en donnerait inévitablement à coeur joie?
?La Gauche? d?Oskar Lafontaine accueille les déçus du SPD et des Verts
LE MONDE | 15.08.07 | 16h11 ? Mis à jour le 15.08.07 | 16h11
BERLIN CORRESPONDANCE
Démissionnaire en 1999 de la présidence du Parti social-démocrate (SPD) pour protester contre une dérive jugée libérale, Oskar Lafontaine savoure sa revanche. Baptisé ?La Gauche? (Die Linke), son nouveau parti, qui rassemble des néocommunistes de l?ex-RDA, des déçus de la social-démocratie de l?ex-RFA et des utopistes de toujours, compte 3 000 nouveaux membres depuis sa fondation, mi-juin, sur les cendres de deux formations fusionnées. Pour rejoindre ?La Gauche?, beaucoup quittent le SPD, dirigé par un Kurt Beck sans grand charisme et pénalisé pour sa participation à la grande coalition.
La gauche de la gauche voit, selon une récente enquête, ses idées défendues par une frange toujours plus importante de la population. Elle peut aborder les nombreux prochains scrutins régionaux (Hesse, Basse-Saxe, Hambourg?), assurée d?améliorer ses scores un peu partout. Créditée dans l?hypothèse d?élections législatives de 11 % d?intentions de vote, La Gauche est une menace pour le SPD, qui ne monte plus qu?à 28 %, loin derrière les Unions chrétiennes, à 38 %. Toute alliance entre les deux formations de gauche reste taboue.
Plus une semaine ne se passe sans qu?un responsable régional rende sa carte du SPD ou des Verts pour rejoindre le parti de M. Lafontaine, qui recrute aussi parmi les cadres du puissant syndicat des services, Ver.di. ?Ça n?a pas été simple pour moi de quitter le SPD après trente-cinq années comme membre?, reconnaît Rolf Linsler, ancien président de Ver.di. en Sarre. Il affirme ?ne plus pouvoir être d?accord avec la politique sociale? de son parti d?origine. ?La Gauche? est une ?alternative crédible? à ce que le SPD a jadis été, renchérit Leo Stefan Schmitt, ancien secrétaire général du groupe parlementaire social-démocrate du Parlement régional de Saxe. Il a rejoint en juillet ?La Gauche?, qui compte désormais 73 000 membres.
Salaire minimum renvoyé à une date inconnue, privatisation de la Deutsche Bahn, retraite à 67 ans : sur tous ces sujets, le SPD, au pouvoir depuis neuf ans, est accusé de trahir ses idéaux. Irrémédiablement, le nombre de ses membres décline. A près de 735 000 début 2001, ils n?étaient plus que 548 500 fin juillet. Selon le politologue Eckhard Jesse, ?le SPD doit s?attendre à d?autres fuites vers ?La Gauche?. Le parti est dans une situation très, très difficile?.
CANALISER L?ENGOUEMENT
La dernière étude du réputé Institut Allensbach, parue début août, montre pourtant que les idées de gauche progressent en Allemagne. 34 % des personnes interrogées se considèrent ?de gauche?, deux fois plus qu?en 2001. Les deux tiers sont favorables à un salaire minimum et opposés à une privatisation de la Deutsche Bahn ou de Telekom.
Oskar Lafontaine saura-t-il canaliser ce courant ? Nombre d?observateurs en doutent. Certes, ?il n?a jamais exercé une influence aussi grande sur la politique allemande qu?aujourd?hui, ni comme ministre des finances ni comme président du SPD ou comme ministre-président de Sarre?, affirme l?hebdomadaire Die Zeit dans sa dernière édition, mais c?est la puissance d?un populiste dont personne ne connaît la véritable puissance des bataillons?. (- Intérim.)
Article paru dans l?édition du 16.08.07.
Il est grand temps de passer aux choses sérieuses chez nous aussi, regardez ce qui se passe en Allemagne, qui en France osera en faire autant ?
" Article du Monde totalement réjouissant : la conclusion de Die Zeit révèle l?importance de la menace que représente ?Die Linke?. Si c?était en France, Libé et Le Nouvel Obs s?en donnerait inévitablement à coeur joie?
?La Gauche? d?Oskar Lafontaine accueille les déçus du SPD et des Verts
LE MONDE | 15.08.07 | 16h11 ? Mis à jour le 15.08.07 | 16h11
BERLIN CORRESPONDANCE
Démissionnaire en 1999 de la présidence du Parti social-démocrate (SPD) pour protester contre une dérive jugée libérale, Oskar Lafontaine savoure sa revanche. Baptisé ?La Gauche? (Die Linke), son nouveau parti, qui rassemble des néocommunistes de l?ex-RDA, des déçus de la social-démocratie de l?ex-RFA et des utopistes de toujours, compte 3 000 nouveaux membres depuis sa fondation, mi-juin, sur les cendres de deux formations fusionnées. Pour rejoindre ?La Gauche?, beaucoup quittent le SPD, dirigé par un Kurt Beck sans grand charisme et pénalisé pour sa participation à la grande coalition.
La gauche de la gauche voit, selon une récente enquête, ses idées défendues par une frange toujours plus importante de la population. Elle peut aborder les nombreux prochains scrutins régionaux (Hesse, Basse-Saxe, Hambourg?), assurée d?améliorer ses scores un peu partout. Créditée dans l?hypothèse d?élections législatives de 11 % d?intentions de vote, La Gauche est une menace pour le SPD, qui ne monte plus qu?à 28 %, loin derrière les Unions chrétiennes, à 38 %. Toute alliance entre les deux formations de gauche reste taboue.
Plus une semaine ne se passe sans qu?un responsable régional rende sa carte du SPD ou des Verts pour rejoindre le parti de M. Lafontaine, qui recrute aussi parmi les cadres du puissant syndicat des services, Ver.di. ?Ça n?a pas été simple pour moi de quitter le SPD après trente-cinq années comme membre?, reconnaît Rolf Linsler, ancien président de Ver.di. en Sarre. Il affirme ?ne plus pouvoir être d?accord avec la politique sociale? de son parti d?origine. ?La Gauche? est une ?alternative crédible? à ce que le SPD a jadis été, renchérit Leo Stefan Schmitt, ancien secrétaire général du groupe parlementaire social-démocrate du Parlement régional de Saxe. Il a rejoint en juillet ?La Gauche?, qui compte désormais 73 000 membres.
Salaire minimum renvoyé à une date inconnue, privatisation de la Deutsche Bahn, retraite à 67 ans : sur tous ces sujets, le SPD, au pouvoir depuis neuf ans, est accusé de trahir ses idéaux. Irrémédiablement, le nombre de ses membres décline. A près de 735 000 début 2001, ils n?étaient plus que 548 500 fin juillet. Selon le politologue Eckhard Jesse, ?le SPD doit s?attendre à d?autres fuites vers ?La Gauche?. Le parti est dans une situation très, très difficile?.
CANALISER L?ENGOUEMENT
La dernière étude du réputé Institut Allensbach, parue début août, montre pourtant que les idées de gauche progressent en Allemagne. 34 % des personnes interrogées se considèrent ?de gauche?, deux fois plus qu?en 2001. Les deux tiers sont favorables à un salaire minimum et opposés à une privatisation de la Deutsche Bahn ou de Telekom.
Oskar Lafontaine saura-t-il canaliser ce courant ? Nombre d?observateurs en doutent. Certes, ?il n?a jamais exercé une influence aussi grande sur la politique allemande qu?aujourd?hui, ni comme ministre des finances ni comme président du SPD ou comme ministre-président de Sarre?, affirme l?hebdomadaire Die Zeit dans sa dernière édition, mais c?est la puissance d?un populiste dont personne ne connaît la véritable puissance des bataillons?. (- Intérim.)
Article paru dans l?édition du 16.08.07.
ah les bonnes nouvelles sont rares.
Merci Marsouin
le Belge
ah les bonnes nouvelles sont rares.
Merci Marsouin
le Belge