29nov 07
Le président de la république vient de répéter le numéro de bateleur de sa campagne électorale. Tout est dans le culot. Les pires vieilleries de la droite éculées ont été repeintes en nouveauté prétendument modernes. Par exemple la suppression des 35 heures entreprises par entreprise. Le Medef n’avait pas osé le proposer, Sarkozy le fait ! Ou la liberté du travail du dimanche. Ou bien la vente d’un nouveau morceau d’EDF pour financer le plan d’autonomie des universités pour un montant de dépenses pourtant annoncé depuis juin dernier ! Bref, en, une heure d’entretien le chef de l’Etat n’a annoncé que des reculs du droit du travail et des acquis sociaux des travailleurs. La droite décomplexée est en action. Et nous sommes prévenus : puisque les méthodes de brutes ont bien marché contre les régimes spéciaux, les universités et l’ANPE, la suite sera du même acabit. Cela veut dire que la gauche doit élever soin niveau de résistance. Sans complexe…
Oui "la droite décomplexée est en action"...et ce n'est pas une surprise.
Oui cela me revolte, cela me met en colère mais finalement, elle est elle-même, cettre droite là.
Il fallait s'y attendre, non?
Vous dîtes monsieur Mélenchon: "cela veut dire que la gauche doit élever son niveau de résistance"!
Cela veut dire aussi qu'une autre gauche, pas celle qui lorgne du coté du Modem, non, une gauche de gauche doit exister, là, dès à présent.
Nous commençons, monsieur Mélenchon, nous le peuple de gauche, la vraie, à être fatigué, découragé, déboussolé,..exaspéré.
N'attendons pas, comme le dit "maintenant à gauche" d'hypothétiques Etat Généraux de toutes les forces de transformation sociale... envisagés...peut-être...en 2008, après...je ne sais quoi ou je ne sais quelle décision de telle ou telle organisation politique qui traîne des pieds pour telle ou telle raison, échéance électorale ou autres.
Ce n'est plus un cap qu'il faut définir, monsieur Mélenchon,ce sont des actes qu'il faut maintenant.
Depuis des mois et des mois, de textes en appels, de forums en réunions, tout a été dit dit, non? notamment l'urgence de la situation.
Alors qu'attend-on de plus?Que la droite avance encore plus vite et plus loin, c'est çà?
Chacun doit prendre ses responsabilités, vous monsieur Mélenchon mais pas seulement vous, chaque organisation politique, parti, association, mouvement, chaque citoyen aussi.
Nous sommes nombreux à être dans l'attente d'une nouvelle force politique, les nombreux commentaires sur ce blog, que je partage pour la plupart, en témoignent.Nous représentons nous aussi une force.Une force qui pourrait, par exemple par l'intermédiaire d'un appel, interpeller cet ensemble de force politiques de transformation sociale pour qu'elles s'entendent et commence à contruire dès à présent cette nouvelle force.
Il y a plus qu'urgence, nous ne voulons plus et nous ne pouvons plus attendre.
Pour Zab, vas jeter un coups d'oeil sur http://www.liberation.fr tu verras une minorité de commentaires consensuels, dont certains qui expliquent la modernité des salariés en renonçant aux congès payés !
Lorsque je lis cela, j'en ai froid dans le dos, mon père était ouvrier agricole il a commencé à travaillé à 12 ans à la journée et j'ai bien peur que cela soit ce que l'on nous prépare pour nos enfants, quelle modernité ! Nous allons revenir au temps des tacherons (cf l'emission mots croisés de lundi soir) ou on a commencé à nous exliquer la nécessité de mettre un terme au CDI !
Venez débattre sur Mon blog qui est le suivant: http://segoleneroyal2012.over-blog.fr/
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Venez nombreux voir ce blog malgré vos appartenance politique,il est ouvert à tout le monde.--
J'ai enfin pu voir la vidéo de Jean-Luc Mélenchon. Donc le bilan c'est que Thibault et les autres directions ont appelé à la reprise pour protéger leurs syndicats puisque Sarko veut casser du syndicat. Ah bon! On pourrait entendre mais ils ont accepté de négocier dans les termes de Sarko; à savoir accepter les 40 ans, la décote etc... Ca ils n'étaient pas mandatés pour le faire. Et vous-même JL Mélenchon avait bien expliqué comment c'était un abus qui ouvrait la voie à la remise en cause du régime général. A savoir avec cette défaite des cheminots, la voie est libre maintenant pour passer aux 41 et 42 années... Les compensations financières sont des miettes par rapport à cette défaite là.
Mais le pire c'est que Sarko savait qu'il avait gagné dès le lundi 19, à savoir avant la manif du 20 nov où les medias nous serinaient la peur de la jonction des 2 mouvements (avec la fonction publique). Sarko le cynique, lui, il savait. Mais je pense qu'il n'était pas si cynique que cela; juste bien informé. On peut aussi se dire que les directions syndicales ont bien bénéficié elles aussi de l'ouverture. Est-ce leur crainte de perdre leurs postes aussi qui a joué et pas seulement la défense des syndicats. Et puis défendre le syndicat, oui, mais pour quoi faire: pour défendre les travailleurs. Or eux, avant que leurs syndicats appellent publiquement à la reprise, ils y croyaient et reconduisaient dans leurs AG. Quand ils se sont sentis "lachés" par leurs directions, alors oui, ils ont voté la reprise.
Bon c'est sûr que 9 jours de grève c'est dur pour le porte monaie mais j'ai vraiment le sentiment qu'ils ont été lachés par leurs syndicats.
Et le pire c'est le silence après cela. Les cheminots on s'en fout. On s'y intéresse juste quand ils se battent pour nous, par exemple en faisant capoter le plan Juppé, mais quand il s'agit de les aider eux, ou de leur remonter le moral, on s'en fout.
Enfin c'est la très grande amertume pour moi. Non pas que je pensais qu'ils allaient gagner en une fois mais c'est la façon peu élégante dont du jour au lendemain, ils n'étaient plus intéressants, on ne tirait aucune leçon, surtout dans ce blog. Cela n'interessait plus.. J'espère qu'ils réorganisent leurs forces mais tout le monde sait qu'il est plus difficile de redémarrer une grève une fois terminée et comme c'est sûr que les négociations n'amèneront rien de bon... Je pense qu'il y avait une chance et qu'elle a été perdue et je pense que Thibaut en porte une grande responsabilité
Nous savons que le repli communautaire qui porte en lui, le germe de l’affrontement, sert en fait à évacuer la question de l’horreur sociale. La technique du “diviser pour mieux régner” trouve ici tout son sens, pour le plus grand profit des puissants.
Pendant que les intégristes de tout poil nous expliquent que chacun appartient à sa communauté religieuse, pendant que les “Indigènes de la République” réclament, en qualité de fils de colonisés, un statut spécial, pendant que les nationalistes tentent de nous imposer leur hiérarchie basée sur une notion territoriale, pendant qu’on nous amuse aussi avec le débat sur la notion d’héritage culturel et religieux de l’Europe, telle que prévue dans le TCE, pendant que les dignitaires du Conseil Français du Culte Musulman (le fameux CFCM) que la France a envoyés en Irak, négocient avec les ravisseurs, alors que l’on sait qu’une rançon a été payée. (Il s’agissait dans ce cas pour les tenants de l’ordre établi de mettre en service une usine à gaz qui devait plus tard leur servir de relais), enfin pendant ce temps-là, les vrais maîtres du monde, au nom de la liberté, du pluralisme ou du droit à la différence (Exaltons nos ressemblances), en profitent pour dénoncer comme un archaïsme notre cohésion républicaine devenue alors tellement encombrante.
Ce différentialisme est même parfois béatement défendu par des gens qui nous sont proches à gauche.
J'en parle dans mon club de sport, dans les réunions Tupperware, au bistrot. Pour moi, le monde n'est pas cloisonné et je recommande à tous de participer à la vie publique, sociale et culturelle et de diffuser les fruits de leur recherche. Le militantisme n'est pas fait que de mots. L'engagement et l'exemple comptent. Et tant pis s'il existe des malins qui profitent de ces cercles. Ils ne m'empêcheront pas de faire mon boulot.
En attendant, encartez-vous quand même.
@Thierry Ternisien d'Ouville
Merci pour la Lettre à Lucilius de Sénèque.
Je vais m'empresser de lire "Apprendre à vivre" de cet auteur romain.
Se dire qu'il a écrit ce texte il y a plus de 2000 ans et entendre le 1er connard de France hier à la télé, c'est à pleurer !
Encore ne fois, les propos de Sarko ne veulent rien dire...
Aujourd'hui, la durée légale du travail est de 35 heures par semaines, soit 151,67 heures par mois.
Mais rien n'empêche un employeur de prévoir une durée de travail plus importante.
Ainsi, dans beaucoup de PME-PMI, il existe des contrats de travail prévoyant une durée de 39 ou 40 heures par semaine (169 ou 173,33 heures par mois).
Seule obligation pour l'employeur : majorer les heures effectuées au delà de 35 heures par semaine. En effet, le contingent légale d'heures supplémentaires (c'est à dire le volume annuel d'heure supplémentaires que l'employeur peut imposer au salarié sans demander l'autorisation de l'inspection du travail) est de 220 heures, ce qui permet sans problème, dans le cadre de la règlementation actuelle, des semaines de 40 heures.
Les conventions collectives peuvent même aller au delà : le contingent annuel est ainsi de 360 heures dans l'hotellerie et la restauration, où il existe de surcoît un "régime d'équivalence" qui permet à l'employeur de ne déclancher le compte des heures supplémenaires qu'à partir de la 39ème heure.
Qu'est ce que cela veut donc dire : "les employeurs pourront s'exonérer des 35 heures par voie d'accord majoritaire ?"
Quelqu'un peut-il m'aider ?
Les JT ne sont pas fichus de répondre à cette question pourtant simple ?
Ou alors personne n'ose dire que l'icone médiatique du CAC 40 est non seulement ignorant mais ne maîtrise pas son sujet ?
Le journal télévisé montrait l'autre soir, des cheminots français votant à bulletin secret la reconduite de la grève, à une majorité massive, et, en parallèle, les quais de Hambourg encombrés de conteneurs à l’infini en raison de l’arrêt du travail des conducteurs de trains allemands, prêts à bloquer le trafic des marchandises et des voyageurs jusqu’à Noël.
Ici comme là-bas, ce sont des syndicats de métiers qui manifestent soit pour préserver des avantages acquis (la retraite à 50 ans pour les roulants et à 55 ans pour les sédentaires, en France), soit pour obtenir de fortes hausses de salaires dans une économie en plein boom (l’Allemagne).
Les contextes nationaux sont très différents. En Allemagne, il y a un consensus sur la nécessité de reculer l’âge de départ à la retraite, pour conserver un équilibre entre la durée de cotisation des actifs et la durée de perception des retraites (on parle sans frémir de 67 ans). Cet équilibre est indispensable à la survie des régimes de retraites par répartition. La grève des conducteurs de train est un conflit classique, comme les revendications d’augmentation chez Volkswagen, lancé par des salariés qui veulent leur part des fruits d’une croissance redevenue rapide, grâce au tonus de l’industrie (et aux réformes sociales menées par le gouvernement social-démocrate de Schröder). C’est la forme du conflit (grève thrombose par un syndicat minoritaire) qui surprend, plus que la revendication de fond.
En France, le conflit social actuel est beaucoup moins classique. Il est la conséquence directe de la volonté du nouveau Président de la République de transformer en profondeur la société et l’économie françaises, en commençant par deux dossiers symboliques, l’autonomie des universités et la réforme des régimes spéciaux de retraites. Pour que l’ensemble des salariés accepte une durée d’activité plus longue, il croit nécessaire que les « privilégiés » rentrent au préalable dans le droit commun. Autre motivation : les entreprises publiques en question étant des bastions syndicaux, une victoire gouvernementale rendrait plus facile ensuite l’extension de la réforme aux entreprises privées où l’implantation syndicale est réduite. Enfin, casser une grève serait un « exploit » qui rappellerait la victoire de Madame Thatcher, grande prêtresse de la révolution libérale, sur les mineurs, ce qui aurait redonné un fort tonus à l’économie britannique, dont la croissance dépasse largement la croissance française depuis le règne de la Dame de fer. Je passe sur la volonté de la droite réactionnaire de casser du « rouge » et du syndicaliste, qui remonte à la création des syndicats à la fin du XIXe siècle. Cette attitude bravache destinée à flatter la base du parti conservateur est celle du Premier ministre, cherchant à tout prix à se faire remarquer (il a du mal !), comme un gosse dans une cour d’école défiant les grands. La politique sociale du gouvernement Fillon est heureusement entre les mains de Raymond Soubie, le conseiller social du Président, doté d’une capacité subtile pour apprécier les rapports de force et rechercher des compromis plutôt que lancer des provocations. En bonne logique, les usagers des transports en commun devraient protester de plus en plus vigoureusement contre les difficultés de transport. Mais deux décisions retirent quelque légitimité au pouvoir en place lorsqu’il prêche la vertu financière et l’équité publique.
La première est le paquet considérable d’avantages fiscaux (11 mds €) consentis aux plus riches à peine l’élection terminée. Si encore ces mesures avaient provoqué un rebond de l’économie avec une vigoureuse reprise des investissements productifs et donc des créations d’emplois en France ! Mais ce n’est pas le cas, même si les temps de l’économie sont plus longs que ceux de la frénésie médiatique. La confusion faite par le nouveau président élu entre les rentiers et les entrepreneurs est une erreur qui montre qu’au moins dans un domaine, il n’y a pas eu de rupture avec son prédécesseur : ENA ou pas ENA, ni l’un ni l’autre ne comprennent rien à l’entreprise. La deuxième décision est celle d’augmenter la rémunération du Président de la République de 141%. Ce n’est pas absurde qu’un chef de l’État aussi actif soit payé autant qu’un Premier ministre somnolent. Mais alors, il fallait pousser le raisonnement jusqu’au bout et diminuer la rémunération des ministres et du premier d’entre eux de telle façon que la hausse présidentielle et les baisses ministérielles s’équilibrent, sans demander quoi que ce soit au budget et donc au contribuable. Il n’est pas facile de proposer « fromage ou dessert » aux Français quand on vient de faire bombance.
Revenons au conflit sur les retraites. Bernard Thibaut, le responsable de la CGT, ancien « patron » des cheminots, a pris le risque considérable d’accepter le principe (inéluctable) des quarante années de cotisations et de proposer des négociations entreprise par entreprise, avec la présence d’un représentant de l’État (rien ne se fait de sérieux en France sans l’œil de Bercy ou de l’Élysée !). La base ne l’a pas suivi, pour l’instant. Deux logiques sont en conflit : une logique corporatiste, selon laquelle les cheminots voient ce qu’ils perdent et ne regardent pas au-delà ; et une logique nationale, où la CGT prend en compte l’ensemble des salariés, du public et du privé, avec deux soucis. Le premier, de ne pas se couper des usagers des transports en commun, c’est-à-dire des salariés du secteur privé ; le deuxième, de ne pas risquer une défaite lourde sur ce front symbolique, qui permettrait ensuite au gouvernement conservateur de tailler à loisir dans l’ensemble des régimes de retraites.
Que conclure à ce stade ? Cinq points.
1/ La réforme de tous les régimes de retraites par répartition est inéluctable, pour de pures et simples raisons démographiques. Et ce sera une réforme de grande ampleur. Si l’espérance de vie s’accroît d’un trimestre chaque année, il faudra cotiser un trimestre de plus tous les deux ou trois ans. Sinon, le pouvoir d’achat des retraites ne pourra être maintenu. Une telle catastrophe ne déplairait pas à l’industrie financière qui propose à ceux qui en ont les moyens des dispositifs de capitalisation qui anticipent, de fait, l’érosion des régimes de répartition.
2/ Une croissance plus rapide (tout en étant écologique !) multiplierait les cotisants et atténuerait donc, sans le supprimer, le déséquilibre des retraites. De cette accélération, le nouveau gouvernement ne prend pas le chemin, en ne finançant pas suffisamment l’éducation, la recherche et l’innovation et en décourageant l’immigration.
3/ Le vrai drame ne se situe ni dans les entreprises publiques ni, a fortiori, dans la fonction publique, ni même chez les salariés permanents des entreprises privées. Le vrai drame touche ceux et celles qui commencent leur vie active dans la précarité ou qui sont chassés de l’emploi stable, la cinquantaine venue. Ni les uns ni les autres n’auront jamais le nombre d’annuités nécessaires pour accéder à une retraite pleine. Ce sont ces nouveaux prolétaires que devrait défendre la gauche face à un système économique qui organise la précarité sous prétexte de mondialisation.
4/ Les étudiants, en particulier ceux qui font des lettres et des sciences humaines, s’inquiètent pour leur avenir, car ils risquent, nombreux, de commencer leur vie active dans la précarité. L’autonomie des universités n’est pas la raison principale de leur mouvement et, si les conflits menés par les futurs retraités et les futurs salariés durent, ils peuvent se renforcer mutuellement.
5/ Et enfin, la France souffre de la faiblesse et de la dispersion de son syndicalisme. Avec un syndicalisme plus fort, il y aurait davantage de hausses de salaires (à tout le moins mieux réparties entre les rémunérations élevées qui épargnent et les revenus faibles qui consomment), donc de tonus de la consommation et donc de croissance. Les pays d’Europe du nord, qui croissent plus vite que notre pays, ont un syndicalisme qui stimule l’entreprise plutôt que la rente.
Avec un syndicalisme plus fort, la tentation corporatiste serait atténuée, et les plus faibles mieux défendus.
Durant la campagne présidentielle, Ségolène Royal avait évoqué l’adhésion syndicale obligatoire des salariés. C’était trop simple, trop fort, mais cela allait dans la bonne direction.
La dette publique pour les retraites se montait aux alentours de 4 500 milliards d’euros, 3 fois le PIB fin 2004 !
Une petite clarification et quelques précisions s’imposent…
Les IFRS sont des principes comptables qui sont respectés partout dans le monde, car tout le monde a intérêt à ce que les entreprises publient des comptes qui donnent une image fidèle de la réalité.
Si ces règles ne sont pas respectées, des crises peuvent se produire et leurs conséquences peuvent être graves comme cela s'est produit en 2001 et actuellement avec le sub-prime.
Selon ces principes, les créances doivent être enregistrées dès leur constatation.
Ainsi en est-il des créances de retraite : quand les salariés doivent recevoir une pension de retraite à la suite du paiement de leur salaire, ces créances de retraites doivent être comptabilisées au même moment.
Ces créances ont une contrepartie : elles doivent être provisionnées en déduction des capitaux propres, ou à défaut, en augmentation des dettes à long terme
Les comptables utilisent des formules universellement admises pour évaluer les engagements de retraite avec une faible marge d’erreur.
Le rapport de Michel Pébereau, président du conseil d’administration de BNP Paribas a chiffré selon ces principes les engagements de retraite des seuls fonctionnaires pour un montant de l’ordre de 900 milliards d’euros fin 2004.
Comme ces fonctionnaires représentent environ 20 % des actifs, une extrapolation portant sur la France entière conduit à évaluer la dette publique pour les seules retraites à 4 500 milliards d’euros, soit 3 fois le PIB fin 2004 !
Ces évaluations sont corroborés par celles des économistes de Work For All et de la banque ABN Amro qui sont un peu plus élevées car ils utilisent des formules légèrement différentes (avec une espérance de vie plus proche de la réalité).
Ces chiffres reposent sur l’application des règles comptables utilisées par toutes les entreprises partout dans le monde. Ils ne sont pas fantaisistes ni partisans.
Ils transcrivent fidèlement la réalité.
Tout le monde a besoin de savoir ce qu’il en est de la situation réelle de toute entreprise, sinon tout dysfonctionnement non décelé conduit à une crise grave.
Aucune actualisation n’a été publiée depuis le rapport Pébereau de 2005 mais l’observation de l’évolution des engagements de retraite dans des entreprises publiques comme La Poste montre qu’ils ont augmenté d’une façon importante depuis 2004.
Les autorités françaises ont fait sortir du patrimoine d’entreprises publiques ces engagements de retraite par des lois et des décrets qui ne respectent pas les principes comptables en IFRS.
Ainsi par exemple, la SNCF a fait sortir de ses comptes 116 milliards d’euros d’engagements de retraite au 30 juin 2007 d’après les chiffres officiels publiés.
Dans le système de retraite publique, les créances de retraite des fonctionnaires et des salariés des entreprises publiques et privées ne sont pas comptabilisées en France.
C’est grave car ce problème est occulté.
Il empêche le public d’en apprécier l’importance et les conséquences.
Le problème n’est pas de supprimer ou pas les régimes spéciaux, en particulier celui de la SNCF, mais de rétablir au plus tôt en France des comptes qui donnent une image fidèle de la réalité en comptabilisant régulièrement les engagements de retraite en respectant les IFRS.
La faillite de la SNCF créerait maintenant une petite crise mais elle éviterait une crise majeure qui se produira plus tard.
En matière de retraites, la logique ne peut être que comptable, toute autre interprétation est en dehors de toute logique économique, sans aucun intérêt car sans rapport avec la réalité, ou de la propagande socialo-communiste dans le style société de partage comme ce fut le cas en URSS.
Le système de retraite par répartition est d’ailleurs un pur produit de ces théories qui se sont terminées par la faillite de l’URSS et du modèle socialiste partout dans le monde.
Toutes les prévisions sont concordantes : les cotisations ne permettront pas de payer les pensions de retraite à partir des années 2020.
Seul un système de retraite basé sur des fonds de pension libres est cohérent et efficace
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Les IFRS, International Financial Reporting Standards ou Normes Internationales d'Information financière sont plutôt des principes (ou des règles de portée générale) qui sont appliqués par toutes les entreprises dans le monde de façon à faciliter la communication sur leur situation financière. Les sociétés de l'Union Européenne faisant appel public à l’épargne les appliquent obligatoirement depuis le 1° janvier 2005.
Ah, oui, des fonds de pension avec du subprime inside, génial!
Combien de fonds de pension vont faire faillite l'année prochaine, et foutre les retraités à la rue?
Le PS est-il encore dans l'opposition? Il approuve la ratification du traité de Lisbonne, la loi d'autonomie des universités, la réforme des régimes spéciaux, bientôt sans doute l'allongement de la durée de cotisation pour tous. NS annonce une remise en cause des 35 heures, il ne réagit pas. Non seulement il n'est pas capable d'accéder au pouvoir mais il n'est même plus capable de s'opposer. Et on apprend maintenant en plus que SR avait proposé à F. Bayrou d'être son premier ministre...
@ moi: très chouette, le second degré. Parce que, tout de même, on n'ose pas imaginer que, travail, famille... etc. ici, sur ces pages... Comme disait Nanard, ça s'peut pas, tra la la la... Ou bien ce serait trop beau, d'avoir des interlocuteurs de cette carrure!
Ah! Zut! J'oubliais! @Ruru: sur le site aux armes citoyens, Jean-Paul Bauquier répond, tout juste, comme si c'était téléphoné.
"Bon, tout ça pour dire qu'il faut continuer la lutte, s'y préparer vraiment et militer tous les jours et partout, petits soldats.... JPB"
Pierre Vivier dit: Que conclure à ce stade ? Cinq points.
Il y en a peut-étre un sixiéme non : la répartition des gains de productivité ?
Quelque part c'est quand même inouï : notre compatriote Ingrid Bétancourt kidnappée par l'extrême-gauche, sur vidéo enchaînée et affaiblie, et d'aucuns ont encore quelque sentiments pour cette immonde crapule Chavez et ses collabos narcos stalinos colombiens
Dans les fours ces racailles rouges. !
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=53718.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Four_cr%C3%A9matoire
Dans les fours ! ?
Et bien au moins avec le Shériff on sait à quoi s'en tenir !
Un ami sans doute à JJR qui nous vante le système des fonds de Pension qui a ruiné des centaines de milliers d'américains après les différents scandales financiers où l'on a vu des Big -boss jouer en bourse les retraites de leurs salariés et.... tout perdre.
Elle est belle la liberté !
Vive Voltaire qui nous rappelle que toute liberté s'arrête là où commence celle de l'autre.
A condition évidemment que l'autre ne soit pas un nazi comme le Shériff et que nous soyons encore un tantinet en civilisation.
Quand à Chavez il y a longtemps qu'il a tiré les leçons de l'Histoire et a laissé tomber la lutte armée pour le jeu démocratique, ce qui lui réussit pas mal avec 70 % de vote majoritaire !
Quand on travaille avec le Peuple pour le Peuple et que par le Peuple les avancées démocratiques se multiplient comme jamais dans l'Histoire auparavant en ce qui concerne le Vénézuéla, il n'y a pas de raison que le Peuple vous déteste.
Les victoires du gouvernement démocratique du Président Hugo Chavez, signent définitivement un nouvel avenir pour la Gauche internationale et le distingue d'une Extrême-Gauche non réformée empêtrée dans des contradictions d'un autre temps.
Ce qui est le cas en Colombie.
Mais ces contradictions les F.a.r.c les partagent avec le gouvernement du Président Alvaro Uribe qui n'a pas compris que les temps avaient changé et que les escadrons de la mort, les milices fascistes et les pouvoirs pinochétistes ont été mis à la poubelle de l'histoire comme les dictatures staliennes ont fait long feu.
Je n'ose cependant demandé à Shériff de s'interesser à l'histoire de la Colombie en détail.
Sachons en effet ne pas oublier qu'il y a quelques décennies, les F.a.r.c avaient cessé leur guérilla.
En accord avec le gouvernement d'alors, ils étaient revenues dans le jeu "démocratique" nouvellement proposé, après les longues années de répression de la dictature de Droite.
Résultats des courses : 80 000 militants politiques et syndicaux des anciens mouvements de Gauche qui s'étaient présentés à des élections municipales, régionales et nationales ont été assassinés par ceux la même qui avaient signé les soi -disant accords de paix et les soi -disants traités gantissant leur protection !
Conclusion : Ils sont repartis dans la forêt. Avaient -ils d'autres choix face à une Droite exterminatrice ?
Tant qu'il n'y aura pas d'instances internationales qui aideront à la fin de la guerre et à de vrais accords de paix, les hostilités continueront.
Je trouve bien évidemment ignoble la détention d'Ingrid Bétancourt et je souhaite son rapide retour en France.
Si le Président Hugo Chavez peut aider à sa libération, il faut encourager ses démarches et tout faire pour rendre la liberté et la dignité à Ingrid betancourt ; qui je l'espère, un jour, sera la Présidente de la Colombie libre.
A ceux qui ne se résignent pas :
http://portail.alterdigue.com/
Sarkozi impuissant s'est démontré stratège de division et de répression!
Mais pour savoir quoi faire il faut d'abord lire "EN QUÊTE DE Gauche".
et le livre de COHEN- SEAT !
Mr le Sénateur vous ne croyez pas qu'il faut,cette fois, commencer par RECRIR le projet de constitution de cette république social pour qu'on puisse faire la differance entre les valeurs de gauches et celle de droite?Que la signification de "liberté" ou de responsabilité ou de l'indépendance même de l'individu ne sont pas les mêmes!
Il nous faut peutêtre une dictionnaire des définitions de nos termes et de nos vocabulaires qui sont porteurs de nos valeurs internationalistes?
......Shiva
@ démocrate (post 64).
Et non. La répartition des gains de productivité n'a pas de sens à ce niveau (celui du financement des retraites). Il s'agit d'une seule et unique ressource dont la ventilation ne change rien à sa valeur, à sa substance.
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Democracy in action in Venezuela
Saturday December 1, 2007
The Guardian
We believe that the lives of millions of Venezuelans have been transformed by the progressive social and democratic policies of Hugo Chávez's government. Extreme poverty has been halved, illiteracy nearly eliminated, participation in education has more than doubled and free basic healthcare extended to nearly 20 million people. Unemployment has fallen to a historic low.
The constitution introduced by President Chávez, approved by Venezuelans in a popular referendum, is one of the most democratic in the world and enshrines rights of previously excluded and minority groups. An emphasis on social inclusion has improved the position of women and Venezuela's black, mixed-race and indigenous majority.
Venezuela's government has directly promoted participatory democracy through community councils, urban land committees and other local bodies. President Chávez's sweeping social, political and economic agenda, has been endorsed by Venezuelans in 11 democratic elections that have been consistently judged free and fair by international observers. Tomorrow the Venezuelan people will once again be called on to vote on a series of reforms to the 1999 constitution proposed by President Chávez.
Venezuela is one of the few countries in the world where both the constitution and any revisions to it must be approved by a majority of citizens in a national referendum. We call on the international community to respect the outcome of the coming referendum and support the sovereign and democratic right of the Venezuelan people to self-determination.
Ken Livingstone
Colin Burgon MP
Chair, Labour Friends of Venezuela
Jon Cruddas MP
Treasurer, Labour Friends of Venezuela
Harold Pinter, Tony Benn, Ken Loach, Diane Abbott MP, David Chaytor MP, Julie Morgan MP, Lembit Opik MP, Linda Riordan MP, Caroline Lucas MEP
Billy Hayes
General secretary Communication Workers'Union
Gerry Morrissey
General secretary, Bectu
Keith Norman
General secretary, Aslef
Gemma Tumelty
President, NUS
Lee Jasper
National Black Alliance
Bruce Kent and 36 others
La culture de l’ignorance, du mensonge, et de l’auto-satisfaction, promue en France par le laisser-faire d’une classe dirigeante fortement marquée par le marxisme, et amplifiée par des médias intellectuellement complaisants, gèle, en vérité, toute possibilité de réforme de l’État et de la fonction publique.
De plus en plus inquiets de cette impasse politique, sociale, et économique du pays, la majorité de nos citoyens, ont décidé d’élire Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, sur sa promesse de rupture avec le passé. Cette majorité lui a confié une mission claire : sortir le pays « du rouge et des rouges », en assainissant les finances de l’État, en restaurant l’autorité d’un appareil judiciaire défaillant, en redonnant aux entreprises de l’oxygène pour l’emploi, en réhabilitant le travail bien fait et bien rémunéré. Partager des fruits, c’est d’abord permettre aux graines de pousser librement !
Depuis 1945, la classe politique qui avait conduit le pays à la défaite de 1940, s’est ralliée « au libérateur », désignant le gouvernement légal de Vichy comme seul bouc émissaire de quatre années d’occupation nazie. Grâce à l’appui de nos Alliés anglo-américains, le gouvernement provisoire du Général de Gaulle, après avoir été chercher Thorez à Moscou, a dû payer le prix du pouvoir conquis, en laissant l’idéologie marxiste et ouvrière s’installer durablement dans la fonction publique, les entreprises et l’Éducation nationale. Avec pour résultat, aujourd’hui, outre 2 000 milliards d’euros de déficits, dépensés pour payer 6 millions de fonctionnaires et assimilés, la perte de sens du service public, ses employés à vie ne s’attachant plus à satisfaire les « citoyens clients », mais à assurer une prestation minimum auprès d’usagers considérés comme des otages potentiels.
C’est ainsi que la pyramide du pouvoir, une fois inversée, la tête en bas, les pieds en haut, tous les maux de la société française ont pu se répandre de 1945 à nos jours dans un corps social culpabilisé, chloroformé, et formaté au nom de l’égalitarisme, sésame de la nouvelle classe politique. Comportement qui favorisa le corporatisme en ouvrant les portes à la désobéissance civique.
Ainsi, au lieu de réformer ce qui pouvait l’être, les IVème et Vème Républiques préférèrent-elles éradiquer le nationalisme et l’identité française qui s’y rattachait, condamner la droite républicaine assimilée au « pétainisme », saborder au passage l’esprit des valeurs « travail, famille, patrie » devenues bourgeoises, déconsidérer l’Église catholique, vilipender l’armée, montrer du doigt les entreprises de la période coloniale, tout juste bonnes à servir au devoir de repentance officielle auprès des millions d’immigrés qui exigent aujourd’hui assistance, “au nom de la loi” sur notre territoire.
Ainsi le socialisme, qui a trahi sans état d’âme Jean Jaurès, a durablement installé au pouvoir la mentalité du syndicalisme, des cercles d’intellectuels, et des médias nationaux.
La rupture souhaitée par la majorité avec cette mentalité obsolète, est-elle possible aujourd’hui ?
Non, si nous laissons en l’état les circuits d’éducation et d’information flatter les plus bas instincts, l’égoïsme, le laisser-aller, dévoyant l’esprit critique dans un nihilisme sans issue, instituant la distraction permanente comme finalité durable !
Non, si la classe politique laisse à des minorités de fonctionnaires employés à vie, la possibilité de s’opposer à la majorité des citoyens par la grève et le sabotage, les prenant en otages par la paralysie des circuits de transports, de l’électricité, de l’Éducation nationale, et de la fonction publique, décidant ainsi du sort du pays.
Oui, si nos réseaux de veilleurs et d’intelligences en action sont capables de redonner vie à l’ordre établi, remettant la pyramide du pouvoir sur sa base, revalorisant les valeurs porteuses de sens, la famille, le travail, et l’identité nationale.
Oui, si nous laissons le sang de la libre entreprise circuler librement dans le corps social !
Oui, si nous redonnons à l’Éducation nationale la mission de préparer nos jeunes à s’assumer dans une société de droit, de justice et de fraternité !
Dans l’hypothèse où le gouvernement laisse faire les minorités de blocage, nuisibles au corps de la nation toute entière, la majorité des citoyens devra exiger du gouvernement de s’imposer malgré tout, en réduisant le droit de grève dans la fonction publique, et en privatisant les entreprises qui peuvent l’être.
merci natleval
j'ai ouvert un fil Chavez sur le PotAuxRoses,
http://cypluraghi.free.fr/forum/read.php?2,2153
ce serait bien d'y ajouter cette info, je le fais
le Belge
traduction du texte en anglais:
Soutenir le progrès social et la démocratie au Vénézuela
Nous pensons que les vies de millions de Vénézueliens ont été transformées par les politiques démocratiques et de progrès social menées par le gouvernement d'Hugo Chávez.
L'extrême pauvreté a été réduite de moitié, l'analphabétisme quasiment éliminé, l'accès à l'éducation a plus que doublé et l'accès à la santé étendu à près de 20 millions de personnes qui en étaient jusque là exclues. Le chômage est tombé à son plus bas niveau historique.
La Constitution proposée en 1999 par le président Chávez - approuvée par les Vénézueliens par référendum populaire - est l'une des plus démocratiques du monde et donne des droits à des catégories sociales et des minorités qui n'en n'avaient pas jusque là. L'accent mis sur la question de l'inclusion sociale a amélioré la situation de la majorité de la population composée de Noirs, de métisses et des indigènes.
Le gouvernement Vénézuelien a promu la démocratie participative à travers la mise en place et le développement des conseils communaux, des comités de quartiers et d'autres formes d'institutions locales.
La dynamique politique, économique et sociale impulsée par le président Chávez a été approuvée par les Vénézueliens lors de 11 consultations démocratiques reconnues libres et honnêtes par tous les observateurs internationaux. Le 2 décembre prochain, le peuple Vénézuelien sera de nouveau invité à se prononcer sur une série de réformes de la Constitution de 1999 proposées par le président Chávez.
Le Venezuela est un des rares pays du monde où toute Constitution et toute révision de celle-ci doivent être approuvées par une majorité de citoyens à travers l'organisation d'un référendum national.
Nous appelons la communauté internationale à respecter les résultats du référendum à venir et à soutenir la souveraineté et le droit démocratique des Vénézueliens à l'auto-détermination.
Au moment où le problème de la retraite des Français, fondée sur le système de la répartition, connaît, à l’occasion de la réforme des régimes spéciaux, une crise spectaculaire, il n’est pas inutile de rappeler que dans un tel système il n’y a pas de droits acquis. C’est ce qu’avait jugé le 13 février 1996 le tribunal de grande instance de Paris (1ère Chambre, 1ère Section, 1.03.10/94), saisi par des retraités du régime de retraite des banques qui réclamaient l’annulation d’un accord signé entre leurs organismes de retraite et leurs syndicats et qui remettait en cause le montant de leur retraite.
Les attendus de ce jugement, que nous reproduisons ci-après, ont le mérite d’être aussi clairs qu’implacables :
« Attendu que le régime de retraite des cadres de banque, élaboré en 1947 par la voie de la convention collective, repose exclusivement, à ce jour, sur le système de la répartition ;
Que ce mécanisme, choisi par les partenaires sociaux, implique nécessairement l’existence d’une solidarité entre les générations et que soit en permanence respecté l’équilibre financier entre cotisations et prestations ;
Qu’y sont associés à la fois les salariés et les retraités qui doivent tous être considérés comme les participants au régime ;
Attendu que les accords collectifs créant un régime de retraite complémentaire sont susceptibles de révision, et qu’ainsi a pu être signé l’accord litigieux ;
Que celui-ci, dans certaines de ses dispositions, modifie sensiblement les droits des retraités et constitue, ainsi que s’accordent à le reconnaître l’ensemble des parties à l’instance, une réduction de certains avantages dont bénéficiaient auparavant les retraités ;
Que les demandeurs soutiennent que ces modifications sont contraires à la loi, en ce qu’elles portent atteinte à leurs droits acquis et violent les principes de non rétroactivité et du droit de propriété ;
[…]
Attendu que la liquidation des droits à la retraite ne peut être considérée comme créatrice de droits intangibles, alors qu’elle ne constitue qu’une étape technique destinée à marquer la cessation du paiement des cotisations, et à ouvrir les droits à pension de l’intéressé ;
Que l’intangibilité des droits à retraite liquidée, qui n’est consacrée par aucun texte, se révèle incompatible avec la notion même de retraite par répartition, qui repose, toute entière, en l’absence de disposition complémentaire, sur le principe de la solidarité entre actifs et retraités et qui exclut que la charge de l’équilibre du régime ne s’impute que sur une seule partie des intéressés, à savoir les cotisants ;
Attendu qu’ainsi c’est à tort que les demandeurs invoquent à l’appui de leur demande la violation de leurs droits acquis ;
Qu’ils ne sont pas plus fondés à soutenir que les dispositions attaquées porteraient atteinte au principe de non rétroactivité, alors qu’il s’agit en l’espèce de mesures d’application immédiate qui affectent l’ensemble des prestations servies aux retraités, mais qui n’entraînent aucun effet rétroactif sur les allocations déjà versées ;
Que de même, compte tenu de la nature juridique du système de la répartition, et pour les motifs susvisés, ils ne peuvent se prévaloir d’un droit de propriété sur leur retraite, une telle notion ne pouvant trouver application que dans l’hypothèse d’un régime de retraite par capitalisation ;
Attendu qu’en conséquence la demande d’inopposabilité de certaines dispositions de l’accord en cause formulée tant pas les retraités que par leurs associations et par la Fédération CGT sera rejetée ;
Par ces motifs :
Rejette les demandes. »
Il ressort de ce qui précède que les bénéficiaires des régimes spéciaux auraient été mieux inspirés de les fonder sur la capitalisation, ce qui les rendrait aujourd’hui propriétaires de leurs retraites. La même remarque vaut d’ailleurs pour l’ensemble des retraités du secteur privé. Seuls les fonctionnaires peuvent aujourd’hui se prévaloir d’une garantie de retraite, celle que leur fournit l’Etat. Encore faut-il que celui-ci ne soit pas en faillite, comme l’a fait observer le premier ministre, M. Fillon.
Bref, tous les Français sont aujourd’hui dans une situation catastrophique au regard de leur retraite en raison du choix collectif qu’on leur a imposé (sans que les citoyens aient jamais été invités à donner leur avis) en faveur de la retraite par répartition. La priorité est donc de baisser les dépenses publiques pour permettre à l’Etat de faire face à ses obligations morales, notamment vis-à-vis de l’ensemble des retraités, que va spolier l’effondrement de la répartition, et aux Français encore en activité de se constituer au plus vite une retraite par capitalisation.
Mais le plus désastreux, au regard de l’égalité qui, rappelons-le, est un des trois piliers officiels de la République, c’est que les seuls droits vraiment acquis dans notre pays sont ceux que l’on peut conserver grâce à la capacité de nuisance et aux moyens de pression dont on dispose. C’est ainsi - pour prendre un exemple entre mille - que les veuves de travailleurs du secteur privé ne peuvent bénéficier que sous conditions de ressources de la réversion de pension de leur conjoint décédé, alors que celles des fonctionnaires ont droit à une réversion pleine et entière quelles que soient leurs ressources.
Comme rien n’indique que l’Etat soit prêt à diminuer les dépenses publiques, la France s’achemine inéluctablement vers la faillite et le chaos. Dont le premier effet sera de faire disparaître tous les droits acquis. Une punition collective finalement bien méritée !
N'en deplaise a JJRmontreuil mais la pensée unique (liberale) n'est bien evidemment ma tasse de thé.
Je suppose que nous ne devons pas avoir la même vie et quand je vois tout ce fric (UIMM, Parachutes dorés etc...) je me dis qu'il serait mieux employé a remunerer dignement ceux qui produisent (les s alaries) qu'faire des dessous de matelas bien rembourrés permettant de ce blinder de pognon pour des siecles et des siecles...AMEN.
S'il doit y avoir un declin Alors au armes les travalleur et en avant pour un nouveau 1789!
@JJR.Montreuil
Vous voyez cher camarades, JJR Montreuil, SE LÈVE TÔT pour gagner sa vie!
Mais, il a réagit en 73eme personne ! Avant de nous appeler à l'ordre Sarkofagist !
Mais, Cher pleureur jjr, C'est possible encore de S'exprimer sans pleurer une France déclinante? Pour des gens vivants qui veulent une France respirant de bonne santé ! Vous saviez que cela existait?
?@natleval :
Référendum au Vénézuela
Quelles sont les changements proposés et pour quoi? Et comment les soutenir?
......Shiva
?@natleval :
Référendum au Vénézuela
Quelles sont les changements proposés et pour quoi? Et comment les soutenir?
......Shiva
?@natleval :
Référendum au Vénézuela
Quelles sont les changements proposés et pour quoi? Et comment les soutenir?
......Shiva
Avis des psychiatres ?
@Devisti Shiva
Sur les 350 articles de la constitution, environ 70 vont être proposés d'être changés demain. A savoir un peu moins de 10%.
Les plus nombreux concernent le redécoupage des régions, municipalités etc... Il vise à donner plus de représentativité et de pouvoir en particulier aux indiens et afro-américains en créant de nouvelles régions qui étaient négligées jusqu'à présent. Je continue après:::
De toute façon il peut même raconter demain qu'il va tous "nous niquer notre race" les Français auraient quand même voté contre une femme !
pas sur Pierrette. La question est aussi de savoir si les femmes sont peu ou pas d'opinion conservatrice. Ce sont souvent les femmes, par méconnaissance de la politique, qui maintiennent des conservateurs au pouvoir.
Regarde le role de Cecilia Ciganer dans l'image lisse de Sarkozy avant l'élection.
Le Belge
@ JJR a dit :
redonner "vie à l’ordre établi, (en) remettant la pyramide du pouvoir sur sa base, revalorisant les valeurs porteuses de sens, la famille, le travail, et l’identité nationale." laisser le sang de la libre entreprise circuler librement dans le corps social."
Je voulais savoir si la vision de JJR incluait les fours crématoires comme Shériff le préconisait ?
Le "sang de la libre entreprise" ça fait un peu peur à la lecture. Mais après réflexion je crois que JJR ne semble pas comprendre que "le sang de la libre entreprise" ce sont les travailleurs qui y travaillent dedans tous les jours et que l'on ne saurait oublié vu que ce sont eux qui enrichissent par leur travail les actionnaires de la dite "libre entreprise".
Etant évident que nous ne sommes plus sous Pétain ni "au joyeux temps des Colonies " et du travail forcé, il serait bon que JJR aille sucrer les fraises ailleurs que sur ce blog.
Ceci dit il est vrai qu'à entendre tous les jours, Sarko,Hortefeu, Mariani et consors, l'on peut se demander si Laval effectivement n'a pas réssuscité.
Je continue: donc une grande partie des changements dans la constitution concerne la redistribution du pouvoir aux communautés locales, en redécoupant les régions. Donc il s'agit d'une décentralisation et en donnant des moyens financiers aux conseils communaux etc... C'est aussi pour lutter contre la corruption qui sévit au niveau local administratif, avec les caciques et donner du pouvoir à la base.
Il y a aussi dans les changements, l'instauration de la journée de 6h, donc 36h seront un droit constitutionnel.
La banque centrale ne sera plus autonome
Le mandat présidentiel ne sera plus limité à deux: c'est ce qui a été le plus critiqué, Libération et autres clamant que Chavez se décrétait président à vie! Comme si chez nous, il y avait une limitation des mandats. Chirac et autres présidents ont pu se présenter tant qu'ils voulaient. C'est le peuple qui vote.
Vous pouvez aller consulter le site du cercle bolivarien cbparis.free.fr ou le site de Michel Collon qui a beaucoup d'articles là dessus.
Comment soutenir? En luttant contre la véritable guerre médiatique que livrent les dirigeants occidentaux, en diffusant des tas de calomnies et mensonges sur Chavez afin de mieux discréditer le processus bolivarien et décentrer l'attention sur la révolution et la déplacer sur la soi disant "dictature de Chavez". Loin d'être une dictature c'est un des pays les plus démocratiques du monde. Si les gens ne veulent plus de Chavez, ils ont tous les moyens constitutionnels, légaux et démocratiques pour s'en débarrasser. Ainsi ils peuvent le révoquer à mi-mandat (sans attendre l'échéance des prochaines élections présidentielles). Un tel réferendum a eu lieu en 2004 mais les gens ont voté majoritairement pour le maintien de Chavez, n'en déplaise aux opposants qui ont fait campagne pour ce référendum, ont ramassé les signatures nécessaires à sa tenue, mais finalement ont perdu...
Dans sa lettre Ingrid Betancourt rend notamment hommage au Président Vénézuélien Hugo Chavez et à la Sénatrice Colombienne de Gauche Piedad Cordoba qui ont mené une médiation pour obtenir la libération des otages.
Cette mission a été brusquement interrompue par le Président Colombien Alvaro Uribe le 22 novembre.
Ingrid Betancourt : "A Piedad et Chavez, toute, toute mon affection et mon admiration", dit-elle.
GUERRE MEDIATIQUE CONTRE LE VENEZUELA. FEU A VOLONTE.
GUERRA MEDIATICA CONTRA VENEZUELA. FUEGO A MANSALVA. Traducción a
continuación.
Jean Araud
Caracas, 27 novembre 2007
A mesure ou s´approche le 2 décembre, date du prochain référendum
vénézuélien, les médias internationaux redoublent l´intensité d´un
bombardement combiné avec les médias de l´opposition vénézuélienne en
diffusant des informations manipulées. En première ligne sur le front des
forces alliées, Reuters, AFP, Reporters Sans Frontieres et TV5 Monde avec
un CNN qui semble leur Etat Major.
Mauvaises sources d´informations ou complicités délibérées? Personne ne le
dira jamais.
La semaine dernière a été exemplaire pour les tirs de TV5 Monde et d´AFP
qui méritent une "croix de guerre médiatique" avec plusieurs étoiles.
Un journaliste vénézuélien d´opposition, Gustavo Azócar, bien connu pour
son style de journaliste cinique à sensation qui ne s´embarrasse pas de
scrupules réalise un programme ou pour attaquer la députée du gouvernement
Iris Varela il n´hésite pas à avoir recours à une manipulation calomnieuse
au sujet d´un bébé qu´a perdu peu aprés sa naissance cette parlementaire.
La jeune députée se précipite au studio pour exiger son droit à la
rectification pour son honneur et la mémoire de son enfant. Recue par une
agression physique de l´épouse du journaliste, Iris Varela connue pour son
tempérement fougeux réagit en gifflant et en agressant en direct ledit
Azócar, puis hors d´elle tente de démolir le studio. TV5 Monde diffuse ces
images sans contextualiser la situation et ses personnages avec pour
unique conclusion "Décidément, il est bien difficile d´exerser aujourd´hui
la profession de journaliste au Vénézuéla" (sic). TV5 Monde ne semble donc
pas beaucoup se préoccuper de l´éthique journaliste et encore moins de
l´éthique tout court.
En Vénézuéla cet incident de guerre médiatique fait parti du quotidien
pour une population accoutumée a voir quotidienement plus et pires. Par
exemple, quand la presse pour nuire au ministre Araque dénonce avec
trompettes et tambours un récent cas de corruption du fils de ce ministre
qui ne pas eut comme la députée Varela besoin d´exiger de rectification
pour la simple raison que son fils était décédé depuis des années!
Le jour ou TV5 Monde considére prépondérant l´incident Varela-Azócar, la
chaine ne juge pas utile d´informer son audience d´une manifestion de
quelques 50.000 étudiants qui défilent dans Caracas dans un ambiance de
fête en faveur de la réforme du prochain référendum en contraste aux
manifestations d´étudiants d´opposition qui ont mis récemment à feu et à
sang les mêmes rues de Caracas et que TV5 Monde avait largement diffusé
probablement influencée par CNN qui avait reporté des manifestions de deux
à trois milles étudiants d´opposition comme "des manifestations pacifiques
de dizaines de milliers d´étudiants d´opposition qui envahissent les rues
de Caracas"(sic). Pour TV5 Monde, pas un mot non plus des gigantesques
rassemblements que réalisent actuellement tous les jours les adeptes de
Chavez aux quatre coins du pays.
TV5 Monde juge prioritaire l´incident Varela mais n´a pas jugé opportun
d´informer que la Garde Nationale vient de réaliser une perquisition dans
un quartier chic de Caracas, l´urbanisation Miranda, ou ont été saisis 7
fusils d´assault, 1 mitraillette, 4 révolvers, 6000 cartouches, 78
portables et des explosifs. Pas non plus de faire état les déclarations
d´un mercenaire tireur d´élite entrainé par la CIA qui se présente dans
une ambassade d´Amérique Centrale pour informer que bien que mercenaire il
n´est pas disposé a préter ses services pour assassiner Chavez ou Ortega
et sans intérêt que lors d´une récente caravane de campagne pour le
référendum un rayon laser a été pointé sur la poitrine et la tête de
Chavez.
Effectivement, TV5 Monde démontre par ses couvertures médiatiques qu´il
semble bien difficile à ses correspondants d´exerser leur profession de
journaliste au Vénézuéla. correctement et honnêtement!
Mais au passage, AFP en profitte pour glisser quelques lignes pour accuser
Chavez d´autoritarisme, de propos peu diplomatiques, d´amitiés jugées peu
fréquentables et au sujet de sa médiation pour obtenir la liberté des
otages en Colombie "de rechercher une nouvelle légitimité internationale
pour faire oublier ce qu'il se passe au Vénézuéla, qui est très inquiétant
pour la démocratie"(sic).
A croire que ce qui inquiète AFP est le prochain référendum vénézuélien
parceque pour AFP il semble évident qu´un référendum est l´expression la
plus "anti démocratique" qui soit.
Au lieu de se lamenter "qu´il semble difficile d´excerser la profession de
journaliste au Vénézuéla", TV5 Monde devrait informer des réalités
sud-américaines comme par exemple que la casi totalité des évenements qui
agittent la région ne sont en general que des actions en coulisses de
Washington qui intrigue pour tenter de s´approprier du pétrole du
continent. ni plus, ni moins.
A moins que l´objectif médiatique de TV5 Monde ait une toute autre
finalité que d´informer son audience.
Il devrait être acceptable que tout être humain puisse opter pour le
système de ses convictions, du néolibéralisme au socialisme, en passant
par le communisme, le capitalisme, la démocratie, la royauté, un systeme
représentatif ou participatif. De la même manière il est aussi acceptable
que chacun de ces sytèmes puisse être défendu ou adversé par qui lui
semble bon, inclus les médias.
Mais que pense TV5 Monde du fait qu´un collègue qui pour adverser un
président passe à l´écran sa photo avec pour sous-titre "qui l´a tué"?
Ceci a été au programme des infos internationales de CNN de ce jour 27
novembre 2007 qui présenta la photo de Chavez avec ce sous-titre
d´incitation à l´assassinat politique.
Que pense TV5 Monde de ce journalisme prétendu d´information?
Personne ne doit crier a la paranoia. Cet assassinat ne serait qu´un de
plus de la longue liste des assassinats politiques ordonnés par Washington
et exécutés par la CIA. Sachant que l´assassinat de Chavez équivaut plus
que probablement à une guerre civile au Vénézuéla, que peu importe aux
américains les victimes vénézuéliennes adeptes ou oppositeurs à Chavez
sinon leur pétrole et qu´au contraire une guerre civile serait pour eux le
prétexte attendu pour une autre classique d´invasion.
Que pense TV5 Monde d´une guerre médiatique qui oeuvre en ce sens?
A gauche, 50 parlementaires voteraient NON lors du Congrès à Versailles :
30 députés :
Jean-Paul BACQUET, député PS du Puy de Dôme
Christian BATAILLE, député PS du Nord
Martine BILLARD, députée Verts de Paris
Christophe BOUILLON, député PS de Seine Maritime
Alain BOCQUET, député PCF du Nord
Patrick BRAOUZEC, député PCF de Seine Saint Denis
Marie-George BUFFET, députée PCF de Seine Saint Denis
Jacques DESALLANGRE, député apparenté PCF de l’Aisne
Marc DOLEZ, député PS du Nord
Christian ECKERT, député PS de Meurthe et Moselle
Hervé FERON, député PS de Meurthe et Moselle
Valérie FOURNEYRON, députée PS de Seine Maritime
Jacqueline FRAYSSE, députée PCF des Hauts de Seine
David HABIB, député PS des Pyrénées atlantiques
Sandrine HUREL, députée PS de Seine Maritime
Christian HUTIN, député MRC du Nord
Serge JANQUIN, député PS du Pas de Calais
Régis JUANICO, député PS de la Loire
Jean-Pierre KUCHEIDA, député PS du Pas de Calais
Jérôme LAMBERT, député PS de Charente
Jean-Claude LEROY, député PS du Pas de Calais
François LONCLE, député PS de l’Eure
Kleber MESKIDA, député PS de l’Hérault
Jean MICHEL, député PS du Puy de Dôme
Alain NERI, député PS du Puy de Dôme
Marie-Line REYNAUD, députée PS de Charente
Chantal ROBIN RODRIGO, députée PRG des Hautes-Pyrénées
Marcel ROGEMONT, député PS d’Ile et Vilaine
Jean-Claude SANDRIER, député PCF du Cher
Alain VIDALIES, député PS des Landes
20 sénateurs :
Eliane ASSASSI, sénatrice PCF de la Seine Saint Denis
François AUTAIN, sénateur MRC de Loire-Atlantique
Maryse BERGE LAVIGNE, sénatrice PS de Haute Garonne
Michel BILLOUT, sénateur PCF de Seine et Marne
Nicole BORVO COHEN SEAT, sénatrice PCF de Paris
Alima BOUMEDIENE-THIERY, sénatrice Verts de Paris
Robert BRET, sénateur PCF des Bouches du Rhône
Pierre Yves COLLOMBAT, sénateur PS du Var
Annie DAVID, sénatrice PCF de l’Isère
Jean DESESSARD, sénateur Verts de Paris
Evelyne DIDIER, sénatrice PCF de la Meurthe et Moselle
Michel DREYFUS SCHMIDT, sénateur PS de Belfort
Alain JOURNET, sénateur PS du Gard
Guy FISCHER, sénateur PCF du Rhône
Josiane MATHON POINAT, sénatrice PCF de la Loire
Jean-Luc MELENCHON, sénateur PS de l’Essonne
Jean-Pierre MICHEL, sénateur PS de Haute-Saône
Ivan RENAR, sénateur PCF du Nord
Bernard VERA, sénateur PCF de l’Essonne
Jean-François VOGUET, sénateur PCF du Val de Marne.
A droite, 14 parlementaires voteraient NON lors du Congrès à Versailles :
9 députés voteraient NON :
- 1- Véronique Besse (proche de Villiers, non-inscrite),
- 2- Gilles Bourdouleix (UMP mais proche de Villiers),
- 3- Nicolas Dupont-Aignan (non inscrit),
- 4- Patrick Labaune (UMP mais proche Dupont Aignan),
- 5- Lionnel Luca (UMP),
- 6- Jacques Myard (UMP),
- 7- Philippe Pemezec (UMP),
- 8- Joel Sarlot (apparenté UMP),
- 9- François-Xavier Villain (proche Dupont Aignan).
5 sénateurs voteraient NON :
- 1- Philippe Darniche (proche de Villiers)
- 2- André Lardeux
- 3- Charles Pasqua
- 4- Bruno Retailleau (proche de Villiers)
- 5- Bernard Seillier.
50 parlementaires de gauche + 14 parlementaires de droite = 64 parlementaires démocrates. Sur un total de 908 parlementaires, ça ne fait vraiment pas beaucoup. Ca fait 7 % de parlementaires démocrates, et 93 % de parlementaires anti-démocrates.
@JJR Montreuil
Je ne vois dans vos propos que haine, mensonges, fausses affirmation sans aucune preuve, une lecture plus que déformée de l'histoire et de la réalité.
Je suis triste pour vous.
Villain? Celui de Cambrai? Vous êtes sûr? Je le sentais plutôt chiraquien bon teint, çui-là.
Ouf.
Bon sang que ça fait du bien de voir que la gauche n'a pas totalement disparue...
Merci encore Mr Mélenchon.
yan
se rappeler qu'en 2003 fillon a fait passer le plafond d'heures sup de 130 à 220 heures par an
c'est à dire que ceux qui étaient payés 200% les heures faites au delà de 130 heures, ne sont plus payés que 125%
travailler plus pour gagner moins
http://sauce.over-blog.org/article-10024132.html