12mar 08
Nous voila fixés. Pour Nicolas Sarkozy les résultats du premier tour sont encourageants dit-il. Et même davantage. Depuis dimanche soir la machine de propagande de la droite tourne à plein régime sur ce registre, de toutes les façons possibles. C’est de bonne guerre. C’est même vital. Comment continuer un panzer quinquennat si la première élection est analysée comme un désaveu, moins d’un an après la présidentielle ? C’est davantage que le sort de monsieur Sarkozy qui est en cause se disent les puissants ! C’est la stabilité même du pays qui peut être secouée pour de bon si en haut on ne peut plus quand en bas on ne veut plus. C’est le moment qu’ont choisi de pitoyables amateurs à gauche pour tomber dans tous les panneaux qui leur ont été tendus sur le chemin. Premier mauvais point : s’être trompé de repère politique pour analyser les résultats. L’élection politiquement parlante c’est la cantonale. L’embrouillamini de la mosaïque municipale y est effacé. Restent les bulletins personnels avec les sigles de partis. Restent deux camps : pour la majorité départementale, à droite ou à gauche, point barre. Deuxième mauvais point. Avoir ouvert stupidement le débat sur le Modem, avoir accepté d’y participer et d’en faire l’arbitre de l’élection. Stupide. Une niaiserie de débutant. Le sort des villes de gauche se joue avec « l’autre gauche ». Je désigne sous ce nom ce que la nomenclature des biens pensant baptise « extrême gauche ». Dans tous ces cas la mandoline envers le Modem est un vomitif électoral pour toute conscience de gauche, une incitation absurde à l’abstention. Troisième mauvais point face aux communistes, nos alliés partout sans lesquels pas une ville ne peut rester ou passer à gauche ! Qui a décidé de déclencher cette guerre injuste, stupide, et contraire aux principes élémentaires de la solidarité à gauche, que l’on appelait « la discipline républicaine », en maintenant des listes au deuxième tour contre celles arrivées en tête et conduites par les communistes en Seine Saint Denis ? Des "mauvais joueurs" comme le dit avec mesure Marie Georges Buffet ? De dangereux irresponsables, selon moi. Car ainsi est donné un signal absurde et criminel à tout le pays où les communistes, partout, sont indispensables pour assurer les victoires de la gauche au deuxième tour. Rien dans la gestion de gauche des sortants, à laquelle les socialistes ont été profondément associés, ne justifie cette attitude. Seulement du "pousse toi de la que je m’y mette", sans principe ni dignité. C’est donc une provocation qui ne sert que la droite dans le pays. J’approuve Julien Dray, porte parole du PS, qui a flétri cette attitude. Je souhaite de toutes mes forces que les électeurs de gauche y mettent bon ordre en sanctionnant massivement et nettement les diviseurs !
NE PAS SE TROMPER DE REPERE
L’élection cantonale est implacable. 47,5 pour la gauche, 40 pour la droite. La droite a perdu la gauche a gagné. Un point c’est tout. Donc monsieur Sarkozy est désavoué. Sa politique et sa personne. Qu’il dise le contraire se comprend. Mais devons-nous avoir des pudeurs de gazelle plutôt que d’appeler les choses par leur nom ? Ce qui se joue c’est une dynamique de deuxième tour. La force va à la force. Et les nôtres ont besoin de se sentir forts. Car la leçon, pour nous la gauche, c’est que les quartiers populaires n’ont pas bougé comme ils auraient dû. Loin de là. Ce n’est pas à eux que s’adresse le reproche, bien sûr. Mais à nous (je me compte dans cet ensemble si cela peut aider à la lecture de cet argument) qui n’avons pas su faire ce qu’il fallait pour politiser l’élection en montrant son enjeu national, la situer. Les communistes et l’autre gauche ont bien fait ce travail. Mais comme Ségolène a immédiatement surgit avec ses bêtises sur « l’alliance avec le MODEM partout », grasseyée sur toutes les chaines de télé et de radios dès vingt heures le travail de leurre de la droite a été amplement facilité. Pourquoi ? Qui a intérêt à placer au centre du débat cette question ? La droite. Pourquoi ? Parce qu’elle fait coup double. D’une part c’est la pagaille garantie à gauche. Exemple, Pau. Les camarades sur place ont du être contents d’entendre la madame prôner des alliances partout avec ceux qui localement et sous la signature de leur chef suprême appellent à voter pour battre « la liste socialo-communiste », comme au bon vieux temps de la guerre froide ! Moderne ! Equilibré ! D’autre part agiter l’alliance du Modem et de la gauche c’est la radicalisation de l’électorat de droite facilitée, soit qu’il ait voté Modem au premier tour, soit qu’il se soit abstenu. Si le Modem ça peut être la gauche alors l’électeur de droite retourne à sa famille et seuls les mickeys de la deuxième gauche et les bois flottant de la politique, dans le meilleur des cas, suivent la consigne. C’est si dur que ça à comprendre ? Enfin c’est la confusion promise pour la lecture des résultats. Ce n’est pas pour rien que le Figaro titre sur le fait que Bayrou « rend le deuxième tour illisible ». Bref l’installation du Modem au centre du débat est une astuce qui fonctionne au seul profit de la droite.
L’AUTRE GAUCHE TIENT LA VRAIE CLEF
Les scores communistes, ceux de l’autre gauche là où elle parvient à présenter des listes sont la clef de la victoire dans nombre de cas dans le pays. Autrement plus que les sornettes sur le MODEM. Plutôt que des phrases dont je n’ai plus le temps à cette heure, voici des cas significatifs, à la file, pour aider à éclaircir la compréhension de ce qui se passe vraiment. Ceux où la gauche ne peut l’emporter sans « l’autre gauche ».
-Toulouse(ville dirigée par la droite 390 000 habitants).Droite 42,5 % + Modem 6 % ; PS-gauche 39 %. Qui est la clef ? le MODEM rallié à la droite ? Non. Total de« l’autre gauche » : 11,65 %. C’est-à-dire : liste Simon : 5,42, liste LCR : 5,07 ; liste LO : 0,83 ; liste PT : 0,33.
-Amiens (ville dirigée à droite 135 000 habitants). Droite 39 % ; PS-gauche 41,5 %. Arbitre ? L’autre gauche avec 9,5 %. C’est-à-dire liste LCR : 6,5 % ; liste LO : 3 %.
- Saint Brieuc (ville sortant droite 45 000 habitants). Droite 44,5 % ; PS-gauche 40 %. Total autre gauche (trois listes) : 11,35 %
- Bar le Duc (ville sortant droite 17 000 habitants). Droite 44,5 % PS-gauche 41,5 %. Autre gauche : 10 %
- Pau(ville UMP-exPS de 78 000 habitants) PS-gauche : 34 % Bayrou 32,5 % UMP-exPS 28 %. Qui a la clef ? LCR 5,7 %
- Nancy(ville sortant droite 100 000 habitants). Droite 47 % PS-gauche 28 % ; Modem 14,5 %Total autre gauche (deux listes) : 10 % !
Dans toutes ces villes la danse du ventre nationale devant le Modem est une absurde contorsion. Sans oublier celles où la reconduction de l’équipe de gauche dirigée par les socialistes dépend des voix de l’autre gauche très directement. Des exemples ?
- Agen(ville PS-gauche, 30 000 habitants)Droite 48,5 % ; PS-PC-Verts-PRG-MRC : 44 %. La réserve ? LCR : 7,5 %
- Quimperlé(ville PS 11 000 habitants) Droite 45 % ; PS-PC-Verts-PRG-MRC : 39,5 % La réserve ? Une liste menée par la LCR avec 15,5% !
Et n’oublions pas non plus ces villes où la gauche est en tête et bien placée toute seule mais où l’autre gauche est également très forte. Brest : (ville PS de 150 000 habitants), total autre gauche : 10,5%
Clermont Ferrand :(ville PS de 140 000 habitants) Liste LCR 13,8 %
Sotteville les Rouen (ville PS de 30 000 habitants). PS-gauche 59,5 %. Total autre gauche (deux listes) : 19 % !
J’en reste là pour ce soir. Demain je vais à Clermont Ferrand. Je vais soutenir une camarade, Patricia Guilhot, conseillère générale socialiste sortante, pour le second tour de son renouvellement cantonal. Le maire de la ville, quant à lui, ne veut pas d’accord technique avec la liste de la LCR. Pourtant la LCR siégeait déjà au conseil municipal. Et il y a des membres de LO sur la liste de gauche. Comprenne qui pourra ! Mais Patricia est, à gauche, un trait d’union. C’est cela que je vais aider. Les unitaires sont les points d’appui du futur de la gauche. Partout il faut les aider et leur permettre de faire la démonstration que c’est de ce côté que l’on veut aller.
@ singe
"Je crains que ce soit une violence bien plus brute, moins érotisée, si je peux me permettre, qui vienne troubler la fête."
Bien dit.
Pour ma part je préfererais toujours les aubes érotiques aux crépuscules héroïques, mais devant la surdité de nos mandants qui reprennent la schlag et se la jouent "chasse à l'enfant " avec détournement des ors de la République, j'ai bien peur que cela ne tourne au vinaigre.
D'ici là à l'Ouest d'Eden, G. Buch aura quitté le pouvoir. On respirera mieux et une nouvelle ère moins suffocante verra peut-être le jour.
http://www.liberation.fr/rebonds/chroniques/internationales/309469.FR.php
Claire Strime : d’accord avec vous. Moi aussi, j’ai vu mon employeur jouer de « l’éthique ». Comme par hasard, le profil de handicap qu’il a retenu était tout à fait compatible avec une exploitation ordinaire des intéressés (ne croyez pas pour autant que je suis pour mettre des personnes devant une mission impossible à accomplir). Coup triple : il se réclame de l’entreprise « citoyenne » (sic), il ne subit pas de perte de profit mais a un gain au titre de l’embauche d’handicapés et, enfin, c’est le plus triste, ces personnes qui étaient au chômage, trop contentes d’avoir un travail, s’efforcent de faire au mieux. Je ne critique pas, j’ai connu la situation et la comprends et discute revendications pour que nous avancions tous ensemble.
Carole : qui ou quels sont les auteur(s) du livre noir que vous citez ?
De même qui est à la tête de « contribuables associés » ?
Quelques questions : êtes-vous opposée à l’impôt, par principe ou en critiquez vous l’utilisation ? Pour ma part, je souhaiterai « travailler 6 mois par an pour payer l’IRPP » car cela signifierait que je suis riche. Surtout après l’abaissement des seuils : de +70% pour la tranche maximale en 1978 à 40% actuellement sans compter les niches fiscales.
Les régions, voulues par De Gaulle (échec lors du référendum de 69) puis enfin installées n’ont aucune signification pour un pays républicain comme la France, elles sont par contre, voulues par l’U.E. et on peut s’interroger si ce n’est pour démanteler la République.
Affaiblir la République ne peut que profiter aux technocrates de Bruxelles
Claire Strime
Je reviens sur mon post : plus que de « discrimination positive » je préfère parler de solidarité.
C’est le même principe que la Sécu : les cotisations des biens portants vont aux malades.
Un salarié subissant un accident du travail doit être reclassé conformément à son état et j’ajouterai sans perte d’avantage et ne vois pas pourquoi il en serait différemment pour un handicapé de naissance ou hors travail.
Il s’agit donc, pour moi, de faire progresser le code du travail ou les directives de la fonction publique.
Reconnaissons que le capitalisme financier mondialisé est une grave entrave sur ce chemin
Bon courage à vous:
Bon courage à tous.
Que pensez vous de ce qui se passe en Meuse, à Verdun "capitale mondiale de la paix" où le député jean louis Dumont (PS) s'allie à une (Divers Droite) Martine Pergent et par là même se coupe d'une partie de l'électorat de gauche et améne le retrait du PC de sa liste (voir l'Est Républicain du 12 mars 2008). Jusqu'où va aller le PS pour essayer d'emporter une mairie.....
Bravo à PRS qui a relayé dans"brèves",sous le titre DEROUTE SOCIALE LIBERALE les résultats du référendum du vote hongrois.
Revoir @30 puis@45 et 46
En ces temps municipaux,très clair aussi,la volonté délibérée de destruction parl'Union européenne de la démocratie communale dans un article non signé p.7
du même n° d'informatios ouvrières (sujet rapport au sinistre Att "illa"
Le PS a décidé d'ignorer l'autre gauche dont ils pensent que les voix reviendront "mécaniquement" à eux au second tour... C'est un calcul bien hasardeux !
A Toulouse (chez moi), le socialiste Cohen a refusé de fusionner avec la liste Simon (ex-ps) et la liste martin (LCR) qui avaient fait un peu + de 5%. Sans ses voix il ne passera pas. Si Moudenc (UMP) l'emporte dimanche soir, ce sera uniquement du fait du manque d'ouverture d'esprit du PS local !
Quand la droite est en perdition, elle peut toujours compter sur la débilité des cadres du PS qui sont les meilleurs pour se tirer une balle dans le pied !
Un peu décalé, je reconnais:
Quelqu'un peut-il me dire comment la crise en Amérique Centrale s'est ainsi dégonflée. Je me méfie des clichés du style "simples rodomontades". Y aurait-il eu une menace précise de "l'ami américain", qui ait renvoyé chacun dans son coin?
Ces grands mouvements d'appareil, je veux bien, mais pensons un peu aux petites communes jusqu'à 10 000 habitants, il y en a combien à votre avis ? On serait étonné de voir le vivier qui existe à la campagne, de même qu'il ne faut pas oublier ces listes citoyennes, qui montées à partir de compétences reconnues, d'une vraie représentativité en dehors des étiquettes le plus souvent, ne constituent pas moins le ferment d'un vrai renouvellement de société, qui pourrait emporter l'adhésion. La France coupée en deux entre ses soi-disant élites politiques et ceux qui triment tous les jours dans l'anonymat me semble une situation dangereuse pour notre démocratie déjà bien mise à mal...
Bravo pour toutes vos analyses, commentaires et prises de position M. Mélenchon. Mais quand allez- vous franchir le pas et quitter le PS qui n'a plus rien de socialiste?
Il est temps de mettre ses actes en accord avec ses déclarations.
A quand votre participation à la construction d'un vrai parti de Gauche qui oserait rompre avec l'UE et défendre réellement une politique pour la classe ouvrière? Eh oui çà existe encore!
bonsoir camarade melenchon
vous avez ecrit
Des "mauvais joueurs" comme le dit avec mesure Marie Georges Buffet ?
ma reponse de militant
mr Mélenchon on ne joue pas a saint denis posez vous la question pourquoi des socialistes comme vous ont pris le risque d'aller dans ce sens.
nous ne sommes pas des abrutis
vous avez ecrit
De dangereux irresponsables, selon moi. Car ainsi est donné un signal absurde et criminel à tout le pays où les communistes
ma reponse
l'irresponsable c'est vous qui ne connaissez rien de notre quotidien local
vous ne savez rien de ce qui s'y passe et vous vous permettez de'ecrire des choses que vous ne maitrisez pas
les socialistes a saint denis ont été rabaissés manipulés pe,dant des années ils ont toujours
des partenaires a gauche surs
seulement là 70ans cela suffit il est temps de se faire respecter nous ne pouvons plus cautionner la politique des elus actuels paillard et braouzec hegemonique au niveau des elus locaux
nous qui sommes dans notre ville et qui la vivons n'en pouvons plus les citoyens et citoyennes nous demandent d'agir au niveau de l'insecuritée reelle
en seine saint denis
ce qui s'y passe est d'une extreme gravitée
alors renseignez vous au lieu de parler de guerre et d'insulter vos camarades de parti
@ 110 (Didier) Mélenchon,il a du temps.Que les orientations mûrissent;par-contre qu'ilcontinue à clarifer sa démarche:il sera toujours temps d'analyser les recompositions possibles.J'en connais déjà au moins quatre.Quand nous aurons éloignés les nébuleuses les discussions programmatiques seront à trancher.
Mais',Didier,accord avec toi,la question de la rupture avec l'U.E. sera vraisemblablement notre "Rubicon".
La classe ouvrière de chaque Nation ne peut que se reconnaitre et lutter dans les cadres qu'elle y a construits:des syndicats et partis ne faisons pas table rase...c'est le socle..si dégénérés qu'ils nous apparaissent.
Et que se construise l'Union libre des peuples libres d'Europe.
(contre exemple la totalement intégrée Confédération européenne des syndicats)
comment peut-on être encore communiste aujourd'hui ? C'est aussi absurde que de se prétendre fasciste... ces deux systèmes ont fait la malheur du 20éme siècles et dizaines et des dizaine de millions de morts. Mais M. Mélenchon fait comme si de rien n'était... du moins pour le communistes... hypocrite !
Qu'est-ce que ce Zob fait sur ce blog :sait-il qu'il est plein de marxisant ?"lute de classes" entend-tu,mon petit karchosiste ?
Une taxe c’est gratuit ? Rien n’est gratuit, tout est payant.
Sauf la connerie, je vous l’accorde. Si elle était imposable, on pourrait rembourser la dette.
Ca c'est bien vrai ! surtout pour les 54% qui ont voté Sarko
C'etait pour repondre à Carole
@ Regis
Le livre noir des régions socialistes Roger Karoutchi
Consultation intégrale sur le net. Sans appel !
Contribuables Associés Allez consulter leur site, vous aurez les réponses, à moins que cela ne vous brûle les doigts.
Et avec avec plus de patience, la Cour des Compte.
Riche d'enseignements.
@jcmig
Et vous votre connerie, ce n'est pas celle de faire l'apologie du communisme, de Chavez and co;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;;
Vous êtes complétement endoctrinés. Je vous plains très sincérement.
@ carole
Nous cherchons à dépasser ces catégories anciennes pour reconstruire une voie démocratique et sociale au mouvement populaire.
Ne vous inquiétez pas, il n'y a pas plus critique que les Citoyens et les Citoyennes de Gauche.
Donc si ça peut vous rassurer il y a longtemps que nous avons dépassé la problématique totalitaire. Et à la différence de certains nous ne nions pas
l'Histoire et ne pensons pas que le stalinisme est un détail de l'histoire.
Et puis s'il vous plaît un peu de tenue :
Un de mes anciens amis qui était à droite (RPR) et d'une grande honnété intellectuelle - Etudiant en Science Politique - m'avait lui bien expliqué comment le Capitalisme dans l'Histoire s'était souvent alliés volontairement au fascisme lorqu'il se sentait menaçé dans ses fondements et son avenir.
Donc pour les niaises et suffisantes leçons de morale à courte vue, merci d'aller sur d'autres blogs où l'on privilégie l'invective plutôt que les échanges tempérés et raisonnés.
Ici nous faisons le pari de l'intelligence en toute liberté plutôt que celui de la furie et des préjugés.
Ceci étant dit, dois-je vous rappeler que le blog de M.Mélenchon est un site socialiste de tradition démocratique ?
Merci de ne pas venir insulter les Démocrates de Gauche sur ce blog.
Personne ne vous a traité de fasciste sous prétexte que vous étiez de droite, n'est -ce pas ?
Ne soyez pas ridicule alors en venant sur ce blog pour crier au danger bolchevik. C'est infantile et à côté de la plaque.
Nous cherchons à refonder une voie populaire au socialisme démocratique contre les complices de tous les dépouillements du peuple.
Cela devrait vous interesser à l'aune de l'effondrement idéologique du libéralisme financier et de ses faillites boursières en chaîne qui vont mettre des millions de personnes au chômage et précipiter des Peuples dans la violence.
Bon week end.
http://fr.biz.yahoo.com/13032008/155/la-finance-mondiale-part-la-derive.html
Jean -Marc sylvestre réclame... LA RENATIONALISATION DES BANQUES AU PAYS DU NEOLIBERALISME TRIOMPHANT !
http://tinyurl.com/2j4ocz
Ils sont : technicien, ouvrier métallo, kinésithérapeute, ingénieur, technicien CPAM, retraité, commercial, directeur administratif, infirmier, traducteur, sans emploi, informaticien, inspecteur du travail, employé, institutrice, monteur-cableur, ouvrier du batiment, comptable, etc.
Ils signent un manifeste lancé spontanément par de petits militants et sympathisants de gauche, depuis seulement quelques jours et ils disent pourquoi.
Leurs derniers commentaires :
Dominique : "Pour que la gauche soit vraiment à gauche, pour que le parti qui nous représente porte NOS VALEURS, Monsieur MELENCHON, vous seul me semble t-il avez la carrure pour représenter cet espoir ! merci pour l'avenir de notre société et de notre humanité."
Anny : "Il y a une extrême urgence à fédérer tous les gens de gauche déçus du PS et du PC (des collectifs unitaires)."
Françoise : "Jean-Luc Mélenchon en a effectivement toutes les capacités nécessaire et je ne vois objectivement personne d'autre pour le faire! alors allons y et vite car là je n'en peux plus ! La vie devient trop rude et les combats politiques trop amers."
Georges : "Il est temps de rendre le socialisme lisible. Créons ce parti humaniste et républicain."
Claude : Bon courage. Je pense comme vous que JL Mélenchon est dorénavant la seule chance qui nous reste. Essayez de le convaincre, même si peu de gens trouvent votre pétition et donc peuvent la signer.
Pour la création d'un Parti politique Humaniste et Républicain
http://www.lesmedias.info/manifeste/signature.html
@Claire Strime et Regis
Voilà l'article dont je parlais:
Les handicapés, oubliés des municipales, par Monique Pelletier
LE MONDE | 17.01.08 | 13h50 • Mis à jour le 13.03.08 | 20h46
Ouverture et diversité... Mots nouveaux dans le langage politique, mots magiques qui devraient mettre fin à l'uniformité des élites. Finis les gouvernements... de hauts fonctionnaires, ainsi que les promotions de la Légion d'honneur qui, jusqu'alors, leur étaient principalement réservées ! L'action publique sera désormais conduite par des hommes et des femmes dont l'origine ethnique, l'âge, le milieu social et l'expérience refléteront la réalité variée de la population française.
Ouverture et diversité... Les candidats aux élections municipales sont invités à appliquer ce principe dans la constitution de leurs listes. Malheureusement, il y a, dans ce bel élan, de grands oubliés : les personnes handicapées. Elles sont 5 millions et font encore partie, en France, des exclus.
Pas une fois elles n'ont été évoquées dans les discours sur la diversité. Pas une fois il n'a été dit que la plupart d'entre elles sont tout à fait aptes à assumer une mission publique et que leur différence, loin d'être un obstacle, peut devenir un atout.
Une enquête, effectuée par téléphone entre le 26 novembre et le 7 décembre 2007 par notre association, révèle que, dans les 36 villes de plus de 100 000 habitants, sur 2 421 conseillers municipaux, adjoints ou maires, on ne compte que 7 personnes handicapées (3 UMP, 3 socialistes et 1 RDSE, le groupe Rassemblement démocratique et social européen du Sénat). Soit 0,4 % de personnes handicapées au sein des municipalités des 36 plus grandes villes. Ce constat est réellement consternant. Est-ce l'ignorance de ce qu'est une personne handicapée ou la peur de leur différence qui a ainsi, au fil des ans, conduit les personnes valides à maintenir à l'écart celles qui souffrent d'un handicap ?
On constate des progrès réels, mais insuffisants, dans l'insertion à l'école ordinaire ainsi que dans les entreprises, mais pas dans la place qui leur est accordée dans la vie de la cité. Pour réaliser leur rêve, qui est de vivre comme les autres et avec les autres, les personnes handicapées font preuve plus que d'autres de courage, de compétence et de dévouement.
Le courage : il leur faut mener un combat quotidien pour faire face à leurs propres difficultés et les maîtriser... Je pense au non-voyant qui vit seul et circule seul en ville. Je pense au paraplégique qui se heurte aux mille et un obstacles de l'inaccessibilité des bâtiments publics et privés. En les évoquant, je pense à tous les autres dont le courage force l'admiration.
La compétence : qui, mieux qu'une personne handicapée, connaît, dans sa ville, les obstacles et les manques ? Sa présence dans une municipalité garantit l'attention qui sera portée au handicap.
Le dévouement : il est assuré. Etre élu est si rare pour une personne handicapée qu'elle y consacrera plus de temps et plus d'énergie que les autres.
Les candidats ont encore le temps de placer sur leur liste une personne handicapée. On entendra, comme cela a été trop longtemps le cas pour les femmes, "on ne trouve pas de candidats handicapés". Les milliers d'associations qui se consacrent au handicap sont prêtes à présenter de bons, de très bons candidats.
Le Conseil national handicap, dont l'objectif majeur est de changer le regard et le comportement des valides sur le handicap, entend saisir l'occasion des élections municipales pour rappeler l'urgence et l'importance de l'insertion des personnes handicapées dans tous les rouages de la vie sociale, économique et politique de notre pays.
C'est de justice et d'équilibre social qu'il s'agit, mais c'est aussi une chance à saisir.
(.....) D'abord et avant tout, au second tour, pour préparer dans les meilleures conditions les confrontations qui s'annoncent avec les gouvernants et le patronat, il s'avère décisif de confirmer l'essai du premier tour, de chasser l'UMP et ses alliés du plus grand nombre possible de municipalités. Sauf en cas de compromission avec le Modem, il faudra donc voter pour la liste de gauche restant en lice face à la droite. Si plusieurs listes de gauche demeurent en compétition (comme à Clermont-Ferrand, où le maire socialiste sortant a refusé la fusion que lui avait proposée notre camarade Alain Laffont), il conviendra d'apporter le maximum de suffrages à celle qui se situe à gauche du social-libéralisme. (.....)
Christian Picquet, Unir, le 11 mars 2008.
L'article utilise le terme "d'exclus" qui il me semble est juste. C'est la même terminologie utilisée au Vénézuela: les exclus étant les pauvres, les handicapés, les homo, les personnes de couleur, les femmes etc... et le but étant leur inclusion c-a-d de créer une société inclusive où on ne mette pas à l'écart tous ceux qui ont une différence, ne sont pas dans la "norme".
Certes on veut l'égalité des droits pour tous mais cela doit supposer des mesures spécifiques pour ceux qui ont une différence. Je ne vois pas ce qui est choquant de dire "différent". On ne peut décréter juste comme cela: les handicapés ont les mêmes droits sans aménager ce que cela veut dire. Mais bien sûr l'égalité reste le but.
Salut les fossiles au grand coeur! :)
Je passais juste voir si il y a avait un peu de vent nouveau sur ce blog. Ras, tout est figé, postures, idées, discours, tout, comme il se doit...
Bon, je redescends de la machine à remonter dans le temps (ce blog) pour retourner dans le présent, le regard fixé vers l'avenir plus ou moins immédiat.
Il serait temps de revoir les fondamentaux,et d'incarner comme certains ont pu le faire,une ligne dure et raide,le temps n'est plus aux verbiages inutiles,il faut leur montrer qu'on en a.
(.....) Sur fond d’étalage indécent des privilèges que s’octroient une poignée d’actionnaires et leurs commis, d’inégalités galopantes, de délocalisations poursuivies à un rythme effréné et de précarisation du travail, les conflits se multiplient aujourd’hui dans le secteur privé. Un climat qui vient, finalement, confirmer que le 6 mai 2007 ne traduisait pas une adhésion du corps social français au projet de la droite et à ses retombées pratiques. (.....) Christian Picquet, "Les municipales, miroir d’une crise", le 7 mars 2008. http://www.unir.asso.fr/
Spéciale dédicace à toutes celles et ceux qui parlent de progrès et d'avenir alors que leur programme est de nous renvoyer au moyen age féodal et inquisitoire. Avec quelques croisades de programmées...
Spéciale dédicace à eux, qui nous traitent de dinosaures, alors que nos idéaux de 1946 sont tout de même plus évolués de 400 ans que les leurs...
http://x45.pl/mp3/LA_RAVACHOLE_mp3/ZWI1NjhkYWYtNTI1Zi00ZGU3LThjODUtMzFlNmJmOTE4MWNj/1200688065896
@ Carole
Carole, vous confondez le capitalisme "de papa" avec le néolibéralisme d'aujourd'hui. Sachez que des entreprises se sont fait taper sur les doigts parce qu'elles ont osé investir plutôt que d'arroser les actionnaires à 15% (fonds de pensions, évidemment)...
Si vous êtes prête à bosser pour 60€/mois sans couverture sociale, les entreprises reviendront en France, c'est garanti.
Quels pays d'Amérique Latine?
Carole :
Karoutchi : Secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement auprès du Premier ministre, membre de l’actuel gouvernement.
Extrait de la présentation de « contribuables associés » :
« De nombreux projets de lois déposés : sur les droits de succession, le service garanti, la suppression du statut de fonctionnaire pour les nouveaux embauchés ou encore la suppression de l’ISF… ».
Faut-il commenter cette politique qui est réalisée par la droite et qui génère la misère ?
Ces gens qui voulaient faire payer la redevance TV aux plus faibles de nos aînés mais qui empochent toute honte bue les subventions aux entreprises ex : exonération de charges sociales- 23 milliards en 2006, plus de 200 milliards en cumul…
Et l’augmentation octroyée à Sarkozy, rien à voir avec l’impôt ?
A vomir.
Carole, 60% c'est un chiffre sur du papier. Dans la vraie vie, il y a les tax-killers qui s'occupent de descendre ce chiffre à 0... légalement.
Oui singe, oui, c'est celà...
Le capitalisme a mis Pinochet, hitler, et bien d'autres au pouvoir. Avec les résultats que l'on connait. Vive la république démocratique libérale !
vraie disais-je...
Tu ne te pames pas devant les "nouveautés" jean-marcienne ?
alors sache-le, tu es un poussièreux, un archaïque, un fénéant (sic).
Heu... ce ne sont pas mes nouveautés, ce sont juste des nouveautés quant aux modèles d'organisation qui émergent.
Mais il est vrai qu'il est bien plus simple de bêler "à mort le capitalisme", "à bas le libéralisme", vive "l'économie centralisée et d'Etat", que de bousculer ses poncifs et de saisir à bras le corps ce que les changements portent en eux de potentiellement positif.
Celà s'appelle la modestie : admettre ne pas connaitre, admettre d'apprendre, admettre qu'il faut se régénérer : REGENERER!
Alors oui, fossilisés sont ceux qui n'admettent pas celà, tout recroquevillés qu'ils sont sous le poids de leurs habitus.
Ben voyons.
Et lorsque les fossiles vous demandent d'expliciter votre pensée il n'y a plus personne...
J'ai déjà largement explicité ma pensée... !
Simplement, vous ne pouvez en saisir le sens si vous ne faites pas l'EFFORT de vous intéresser à des choses vers lesquelles j'ai renvoyé précédemment. Je n'en rappelerai qu'une, peut être la plus significative, que sont les Creative Commons.
Vous avez remarqué, fossiles croulant sous les habitus ;), qu'il y a dans Creative Commons le mot COMMONS (communs...).
Ca devrait activer vos arcs réflexes, non?!
Depuis 30 ans, le PIB a doublé, pour atteindre en 2001, les 1.468 milliards d'euros selon l'Insee. Pourtant, la part des salaires et des prestations sociales dans ledit PIB a continuellement baissé sur la même période. En effet, en 1980, 70 % de la richesse produite revenait aux travailleurs sous forme de salaires et de prestations sociales, contre 60 % actuellement. Les 10 % que nous avons perdu en l'espace de 30 ans représentent 146 milliards d’'euros par an : une somme colossale qui rend dérisoires les "problèmes" de financement de notre système social.
Ce qui me met hors de moi, c'est que ces fossiles partagent mon avis quant aux méfaits actuels du système en place.
Simplement, ils ne font pas la part des choses d'une part (tout est mauvais pour eux dans le libéralisme, leur intellect étant de type binaire), et d'autre part ils ont une faiblesse pour une vision de l'organisation économique archaïque de type centralisée et dirigiste.
Bref, en dehors d'un (bien faible) pouvoir d'opposition du genre NON-NON-NON, ils n'ont rien à apporter.
Et surtout pas pour proposer des alternatives modernes qui répondent aux enjeux de la mondialisation (qui est un fait lié à la baisse des contraintes géographiques point final) et de la probable apparition d'une économie qui ne soit plus principalement industrielle façon XIX-XXè.
Souriez...
Une accablante faillite intellectuelle.
" Une année ou presque s'est écoulée depuis l'apparition des signes avant-coureurs de l'abcès des crédits « subprime ». De proche en proche, les marchés financiers, par nature inséparables du capitalisme réel (l'économie tout entière est un vaste réseau d'échanges), sont frappés de paralysie. Un nombre croissant de reconnaissances de dettes sous toutes leurs formes (et elles sont innombrables) ont cessé d'avoir un prix. Elles sont invendables. On ne peut imaginer déni plus radical de l'économie de marché. D'où la menace d'effondrement qui a fait perdre à la Fed son sang-froid. On vient derechef de le constater.
Mais des idées fausses sur la gestion des entreprises en général et des établissements financiers en particulier continuent à être « pensées » comme intangibles et « créatrices de richesses ». Aussi longtemps qu'il en sera ainsi, la crise développera inexorablement ses effets.
On nous avait décrit un monde promis à la prédominance absolue et bienvenue de l'économie privée soumise à la seule discipline de la concurrence « mondiale ». Sur la pointe des pieds et sans perdre pour autant (jusqu'à ce jour) ses illusions, le monde réel est en train d'emprunter un autre chemin. Sa destination est encore indécise, mais une chose est sûre. Il ressemblera de moins en moins aux rêves inspirés par la tour de Babel, celle où l'on parlait tous la même langue et où on travaillait tous pour un marché supposé globalisé. Les banques les plus profondément immergées dans ce culte de la globalisation et du profit maximal seront les premières à être forcées de s'en dégager. Elles sont en train de franchir le premier pas sous l'empire d'une nécessité imprévue par nos augures. Elles doivent impérativement se recapitaliser alors qu'elles avaient organisé systématiquement, avec l'encouragement des autorités, leur « décapitalisation ».
On aurait tort de voir dans la nationalisation de la banque britannique Northern Rock un cas isolé. D'abord, le motif qui a poussé Gordon Brown à faire ce qu'il aurait abominé de faire quelques semaines auparavant n'a rien d'exceptionnel. Vu l'absence d'empressement des autres établissements pour reprendre leur confrère en faillite, le choix était entre la disparition de la cinquième banque du Royaume-Uni impliquant le non-remboursement des gros et moyens déposants ou bien la reprise par l'Etat. Inutile de se demander de quel côté a penché la préférence des gros clients, ceux-là mêmes qui ne juraient hier que par le capitalisme privé pur, animé par l'efficace axiome schumpetérien de la « destruction créatrice ».
Ensuite la solution elle-même. On en a déjà sous les yeux toute une palette de variantes. En vertu de l'accord dit de « Bâle 2 », les grandes banques ne se voient plus imposer de normes prudentielles pour faire face à leurs risques. D'un régime il est vrai passablement absurde, on est passé depuis l'année dernière à un autre franchement scandaleux et qui dénote la soumission au lobby bancaire des autorités monétaires. Depuis l'année dernière, les banques centrales et les Trésors publics réunis au sein des comités organisés par la Banque des règlements internationaux de Bâle ont délégué... aux banques elles-mêmes le soin de déterminer l'ampleur des risques auxquels elles s'exposent (au vu de leurs « modèles », rendus depuis lors célèbres par... la Société Générale !) et l'importance de la couverture en capital exigée par ces risques.
Conséquence : au moment où allait éclater le fiasco du « subprime », les Citibank et autres banques « dynamiques », américaines et européennes, étaient en train de réduire la part des fonds propres (déjà ramenée à la portion congrue) dans le financement de leurs opérations les plus risquées. L'ironie de l'histoire veut que, pour certaines banques américaines (en attendant le tour des européennes), la planche de salut soit tendue par des fonds souverains. En forçant un peu le trait (cette hardiesse apparaîtra demain bien timide !), on serait tenté d'écrire que les Etats occidentaux n'auront pas besoin de nationaliser leurs banques : les Etats arabes et la République populaire de Chine se chargeront de le faire à leur place, et plus discrètement s'il vous plaît.
http://www.lesechos.fr/info/analyses/4700608.htm
Avec un grand sourire Singe,
"une juste redistribution des richesses"
Excusez-moi, mais il me semble que votre générosité repose sur l'argent des autres.
Je ne pense pas que vous compreniez les choses dans le bon sens très chère carole.
Vous voyez "une juste redistribution des richesses" comme prendre l'argent des riches pour le donner aux pauvres. Essayez de vous placer sous un autre angle : permettre aux plus démunis d'avoir des salaires leur permettant de vivre plus aisément, sans pour autant trop dégraisser les patrons.
Carole, quand même,...
Hergé a dû commettre une telle phrase dans "Tintin chez les soviets", peut-être, mais il n'a jamais osé le rééditer par la suite.
Pour ma part, je paye dans les 10 000 Euro par an d'impôts, et je lutte pour qu'ils soient convenablement utilisés
tyjyjjnjtyjytjyjtej
Vive la pensée "binaire";la classe sociale tricheuse ET exploiteuse et la laborieuse;à partir de là,on peut glauser la nuit des temps durant.MARX appelle ça la lutte de classes:il faut un Parti à cette Classe;qu'elle ne soit surtout pas monolithique,mais vues la différence des dérives et des "évolutions" de nos approches ! pas à pas,affinons: les royales,et autres moscovalses sont dans l'autre camp.
J'espère que,spontanément disons, la famille prolétarienne (on le verra ce soir)aura trié.Faire des alliances avec des Bayrou qui rejettent les communistes....
.....mais c'est que nous sommes tous des communistes !
VIVE LE MODELE DE LA PREMIERE INTERNATIONALE
DiGeo, vous êtes médisant! ;=)
Comme le montre le post d'instit, ces gens là peuvent en appeler à la SOLIDARITE.... pour nous faire renflouer leur système en faillite !