08mai 08
Mardi 6 et mercredi 7 mai au Sénat a été discuté le texte qui transpose l’accord entre les syndicats de salariés et ceux des patrons sur le contrat de travail. Naturellement ce texte de régressions archaïques portait le titre pompeux de « modernisation » du marché du travail. Tous les syndicats avaient signé cet accord, à l’exception de la CGT. A l’assemblée nationale le texte a été adopté avec les voix de droite. Les élus socialistes se sont abstenus sauf Marc Dolez (PS Nord) qui a voté contre. Les communistes et les Verts ont voté contre. Au Sénat il en a été de même. La droite a voté pour le texte, les communistes et les Verts ont voté contre, les socialistes se sont abstenus sauf Maryse Bergé Lavigne (PS Haute Garonne) et moi (PS Essonne) qui avons voté contre. Mes interventions peuvent être lues dans le compte rendu intégral des débats du sénat consultable en ligne. Dans cette note je me concentre sur quelques questions de principe que la situation de ce débat soulevait.
UN PUR CHANTAGE
Les principales dispositions de cette loi sont connues. Après une proclamation hypocrite selon laquelle le Contrat de travail a durée indéterminéée (CDI) est la formule de référence des contrats de travail, le texte s’applique à démanteler les garanties que celui-ci contient. Et il crée… deux nouvelles formes de contrat précaires. Le point de départ de toute cette affaire est la condamnation de la France par l’OIT à propos du CNE, le fameux contrat de travail de deux ans que l’employeur pouvait rompre sans explication ni préavis. Mais avant même que cette condamnation intervienne, les équipes de la droite et du patronat ont compris que l’affaire était perdue et qu’il leur fallait tourner leurs batteries. Ce n’est donc plus une mesure unique qui a été envisagée mais un ensemble de dispositions particulières qui mises bout à bout représente davantage que le CNE en matière de flexibilité. La droite a démarré sa campagne pendant les élections présidentielles autour du thème du « contrat de travail unique » et de la rupture du contrat de travail « par consentement mutuel ». Ces thèmes étaient aussi ceux de François Bayrou. Une fois la victoire acquise, le nouveau président s’est appuyé sur le fait qu’il l’avait annoncé dans sa campagne pour agiter la menace d’un projet de loi créant le « contrat de travail unique », appelé à remplacer toutes les autres formes de contrat de travail. Même sans être un spécialiste du code du travail on comprend que ce « contrat unique » ne pouvait qu’être aligné sur les flexibilités des contrats les plus précaires pour pouvoir les remplacer. Affaire de logique. C’est avec cette épée de Damoclès sur la tête que les négociations ont été convoquées. Et fermement encadrées. Ainsi le gouvernement a prévenu d’emblée : si la négociation n’aboutissait pas, une loi mettrait directement en application ses orientations. De son côté le président de la République a lui-même annoncé comme acquis des points qui étaient pourtant censés faire l’objet du débat. Ainsi dès le 30 août 2007 dans son discours à l’université d’été du Medef (!) il proclamait que la rupture du contrat de travail par « consentement mutuel » serait appliquée. Et comme si cela ne suffisait pas, avant même le début de la discussion, le gouvernement a indiqué dans un document d’orientation de juin 2007 les points sur lesquelles la négociation devait aboutir. C’est pourquoi j’ai résumé cette situation de cette façon dans ma première intervention en séance : « Cette négociation s’est donc déroulée suivant la règle que je vais résumer par un aphorisme : « donne-moi ta montre, je te donnerai l’heure ». Tel fut le prétendu donnant-donnant ! En cet instant, je dois répéter en séance publique ce qui se dit dans les couloirs afin que cette information figure au Journal officiel : pas un de nos interlocuteurs syndicalistes n’a considéré qu’il s’agissait d’un bon accord dans lequel le compromis comporterait telle mesure en notre défaveur, certes, mais en échange de cela qui nous serait favorable. Où se trouve le « cela » favorable ? Aujourd’hui règne la peur du pire : on nous recommande de donner notre accord afin d’éviter le pire. Cette façon de procéder s’appelle non pas une négociation, mais un chantage »
LE SENS DES VOTES DE LA GAUCHE
Je ne crois pas qu’il soit utile de passer ici en revue toutes les dispositions du texte. Le journal des débats parlementaires en offre des analyses de très grande qualité avec les interventions des parlementaires de gauche. Les sénateurs communistes en particulier ont fourni un travail d’analyse très approfondi. J’estime que mes camarades socialistes ont également très sérieusement décortiqué le texte et bien montré ses aspects néfastes. Leur abstention au moment du vote n’a donc nullement le sens d’une hésitation ou d’un accord déguisé. Leurs interventions, en tous cas au Sénat, ont été clairement et profondément critiques. Ainsi quand Raymonde Le Texier (Val d’Oise) s’est exprimé à la tribune pour demander le renvoi en commission du texte, le rejet sur le fond par le groupe socialiste est sans ambigüité : « L’objectif de ce projet de loi est, au mieux le contournement, au pire la destruction des barrières législatives encadrant le licenciement, et les salariés se trouvent pris en otage par votre incapacité à sortir d’une pensée unique : la sacro-sainte flexibilité comme panacée aux problèmes d’emplois. Les partenaires sociaux ont considéré cette négociation comme l’occasion de mieux contrôler les dysfonctionnements dont ils sont témoins. Ils ont surtout été sensibles à vos pressions. Ils vous connaissent bien, ils savent que vous pouvez faire pire. (Approbations à gauche) Il suffit d’entendre, à propos de ce texte, les commentaires des parlementaires les plus libéraux…. Ce texte est plus flexible pour le patronat que sécurisant pour les salariés, et l’équilibre annoncé est un leurre. La démocratie sociale doit être une avancée, pas un marché de dupes ! »
Et Christiane Demontès (PS Rhône), animatrice du groupe socialiste sur ce débat a présenté l’abstention des socialistes comme un soutien à la méthode de la négociation sociale alors même que le désaccord reste entier sur le fond. « De fait, a-t-elle expliqué à la tribune, les centrales syndicales signataires ont choisi de donner un coup d’arrêt à une évolution sur laquelle ils n’auraient plus eu de prise. C’est un accord défensif : les syndicats ont évité le pire, notamment le contrat unique vanté par le candidat Sarkozy. Cet accord est majoritaire et nous respectons le travail des partenaires sociaux sans pour cela remettre en cause notre devoir de législateurs qui est de veiller à l’intérêt général et de garantir un équilibre entre le puissant et le faible. » Argument repris par Raymonde Le Texier (PS Val d’Oise) dans l’explication de vote du groupe socialiste : « Nous apportons notre soutien aux partenaires sociaux, qui, lors de cette négociation, ont tenté de « sauver les meubles », notamment en évitant le contrat unique. Mais il est clair pour tous, aujourd’hui, que ce « dialogue social » a eu lieu en permanence sous la menace du Gouvernement de passer en force, par une loi plus dure, plus ultralibérale. Face à cette menace, les syndicats ont fait ce qu’ils ont pu. » Si je suis d’accord avec mes camarades sur l’analyse du texte, j’en tire une conclusion différente au moment du vote. J’ai voté contre et je veux expliquer pourquoi.
L’INTERET GENERAL
Selon moi, quelles que soient les circonstances, le Parlement n’a pas à être la chambre d’enregistrement de quelque négociation catégorielle que ce soit. Car les parlementaires ont en charge l’intérêt général. L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers, même si ces derniers ont fait l’objet d’un arbitrage raisonné dans le cadre d’un contrat. Le Parlement représente la société tout entière, qui est en quelque sorte le partenaire exclu de la négociation à deux. Il doit donc dire ce qui lui paraît juste pour la société du point de vue de l’intérêt général de celle-ci. D’abord parce qu’il est le garant ultime des droits et libertés des personnes surtout dans le moment, particulièrement crucial, où le travailleur cesse d’être un citoyen pour entrer dans un rapport de subordination, tel que le lui enjoint le contrat de travail ! Selon la formule de Jaurès, la République a fait les français rois dans la cité mais les a laissés serfs dans l’entreprise. Ensuite parce que c’est la société toute entière qui assume toutes les conséquences des relations sociales au travail. C’est elle qui finance la qualification des travailleurs par l’éducation, leur santé, leur transport et ainsi de suite dans tous les compartiments de la vie en société. Les représentants de la société toute entière sont donc entièrement légitimes à délibérer quand bien même un accord est conclu entre partie représentative et quand bien même l’est-il à la satisfaction totale des parties qui le concluent car il faut encore vérifier que celui-ci ne lèse pas la société. Enfin le débat parlementaire est le seul qui soit à la fois public, donc dont les arguments sont contrôlables, et le seul à être formulé du point de vue de l’intérêt général. Le contrat, lui ne peut s’abstraire du rapport de force des intérêts particuliers. Il ne le peut pas en fait. A preuve la caricaturale négociation sous pression de cet accord. Il ne le peut pas non plus en droit. En effet les parties sont au contraire mandatées pour ne représenter exclusivement que les intérêts de leurs mandants. La situation particulière de cette conjoncture nous permet de bien comprendre pourquoi il ne saurait y avoir de mandat impératif pour un parlementaire au contraire d’un syndicaliste. Et, précisément, admettre qu’un accord social conclu s’impose au législateur, c’est créer un mandat impératif tout à fait contraire à l’esprit des institutions républicaines. Ce que j’en dis n’est pas seulement le point de vue d’un homme de gauche attaché à la vision républicaine de l’organisation politique de la société. Car le malaise que provoque la méthode des transpositions forcées et sans droit d’amendement est partagé par tous ceux qui comprennent bien que c’est, de cette façon, un autre modèle politique qui s’impose à tous. Le rapporteur de la commission des affaires sociales au Sénat s’en est fait l’écho en présentant le texte. Et il a justifié son appel à le soutenir non du fait de l’accord conclu mais du fait de son approbation avec le contenu qu’il estime conforme à l’intérêt général du pays. Je place ici le compte rendu de sa déclaration telle que la donne le compte rendu officiel.
« M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Je m’adresserai à présent à ceux de nos collègues qui s’interrogent sur le rôle du législateur, sur la part qui est laissée à ce dernier à l’heure actuelle. Cette question est légitime et d’autant plus justifiée que nous sommes à la veille d’une réforme des institutions qui est censée donner davantage de pouvoirs au Parlement.
Mme Raymonde Le Texier. Eh oui !
M. Guy Fischer. On verra !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Les institutions de la Ve République, que je défends, ont dû réduire les prérogatives du Parlement face au pouvoir exécutif pour conférer à ce dernier plus de stabilité et d’efficacité. Les lois de décentralisation successives, que j’approuve, ont retiré à l’État, et donc au législateur, une partie de ses prérogatives. Le développement de l’Europe, que j’appelle également de mes vœux, nonobstant le principe de subsidiarité, a également transféré à un autre échelon certaines responsabilités, ce qui donne parfois au parlementaire français le sentiment qu’il n’est plus qu’un « transposeur » de directives.
Mme Raymonde Le Texier. Eh oui !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Enfin, on l’a constaté dans certains débats récents, des groupes de pression, incapables de réunir plus de 1 % à 2 % aux élections politiques, se camouflent derrière le joli nom de « société civile » pour envahir le champ du débat public et obtenir, par un puissant lobbying très bien organisé, ce qu’ils n’ont pu recueillir par les urnes.
M. Jean-Luc Mélenchon. Robert Ménard !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. C’est dans ces circonstances que nous sommes aussi appelés à transposer dans notre droit positif une partie d’un accord conclu en dehors de nous par les partenaires sociaux.
Face à de telles évolutions, je comprends la gêne que peuvent éprouver certains de nos collègues, mais notre rôle, notre responsabilité, à l’instar de ceux qui incombent au Gouvernement, même s’ils sont distincts, ne sont-ils pas de faire en sorte que la « maison France » fonctionne le mieux possible, de façon concertée et solidaire ?
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Oui
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. En l’occurrence, je suis profondément convaincu que l’accord qui nous est présenté est un bon accord, qui fait franchir une étape significative au dialogue social, renforce l’efficacité de la politique de l’emploi, donne de nouvelles chances à notre économie et ouvre la voie à l’élaboration d’un modèle social français et européen adapté au XXIe siècle. (Applaudissements sur les travées de l’UMP et de l’UC-UDF, ainsi que sur certaines travées du RDSE.) »
SOCIAUX DEMOCRATES ET SOCIAUX REPUBLICAINS
A gauche, ce débat est au cœur de ce qui oppose les sociaux démocrates, partisans du contrat comme mode d’action réformiste et les sociaux républicains, partisans de la loi pour cela. Mais les sociaux démocrates eux-mêmes ne méconnaissent pas le doute qui pèse en toutes circonstances sur les conditions de rapport de force qui déterminent la conclusion du contrat. C’est un rude défi pour la doctrine sociale démocrate. L’issue serait alors de désigner le pouvoir politique comme responsable de la pollution du débat social contractuel. La formule peut paraître adaptée s’il s’agit seulement d’accabler le pouvoir actuel d’un point de vue polémique. La grossièreté des pressions faites donne des verges pour battre ses auteurs sans grandes difficultés. Mais il en va tout autrement s’il s’agit de fonder une doctrine d’action politique. Car si le pouvoir politique ne doit pas infléchir le contenu de la négociation ni dans l’hémicycle ni depuis l’initiative gouvernementale, alors à quoi servirait une majorité et un gouvernement de gauche en matière sociale ? Je crois que le moment où Christiane Demontés (PS Rhône) intervient sur ce point à la tribune du sénat est bien démonstratif de la difficulté sur laquelle butte le raisonnement social démocrate. Si ce passage est instructif c’est aussi parce qu’il montre comment les sociaux démocrates français intègrent cependant à leur manière la vision républicaine de l’usage de la loi généralisant par extension les droits sociaux ce qui est absolument étranger à la doctrine classique de ce courant de pensée dans les autres pays européens. Ce qui fait qu’avec le taux de syndicalisation le plus bas d’Europe, les travailleurs en France sont dans la proportion la plus large d’Europe sous protection conventionnelle.
« Mme Christiane Demontès. Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, ce texte a pour objet de transposer dans notre législation 10 des 19 articles que compte l’accord passé le 11 janvier entre des organisations syndicales de salariés – la CGT ne l’ayant pas signé – et les organisations patronales.
Loin de « constituer un tournant dans notre vie sociale », comme le disait le ministre, ce projet de loi n’en renvoie pas moins à l’articulation qui existe entre la démocratie sociale et la démocratie représentative. Or, en cette année anniversaire des grandes luttes sociales de 1968, nous savons que l’une et l’autre sont aussi fonction du cadre dans lequel elles s’inscrivent. Aussi me permettrez-vous de revenir sur le contexte dans lequel l’accord du 11 janvier a été signé et sur la forme qu’a prise cette signature.
Les rapports qui lient ce texte à l’accord national interprofessionnel négocié par les partenaires sociaux et au rôle du Parlement méritent que nous nous y attardions parce que c’est la première fois, sans que ce soit sans doute la dernière, que nous aurons à travailler de la sorte. Au sein de cet hémicycle, nous considérons certainement tous qu’il est impératif que le dialogue social puisse se dérouler dans un climat propice à la négociation. Or de fortes pressions ont été exercées sur les syndicats de salariés.
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Oh !
Mme Christiane Demontès. Je pense notamment au calendrier des négociations, qui fut très contraignant, et à la lettre d’orientation remise par le Gouvernement, qui, outre qu’elle reprenait nombre de points du rapport Virville de janvier 2004, définissait les axes précis de la négociation. Cela est regrettable et nombreux sont les partenaires sociaux à nous l’avoir fait savoir.
La démocratie sociale ne devrait pas être placée sous la primauté du politique et subir l’injonction de celui-ci, faute de quoi la recherche d’une bonne articulation entre démocratie sociale et démocratie représentative risque, dans les faits, de n’être qu’une instrumentalisation du dialogue social ayant pour objectif d’imposer un rapport de force précis.
Mme Raymonde Le Texier. Exact !
Mme Christiane Demontès. Désormais débarrassé des principes chers au Conseil national de la Résistance, qui promouvait l’intervention de l’État dans la sphère économique afin de tenter d’atténuer les injustices du marché, et tout acquis au modèle anglo-saxon du marché de l’emploi ultra flexible, dans lequel le code du travail ne serait plus qu’un frein à la création de plus-value et le salariat une simple variable d’ajustement des coûts de production, le Gouvernement n’a cessé de faire peser sur les syndicats la menace d’un recours à la loi, laquelle, n’en doutons pas, aurait été de facture ultralibérale, et donc beaucoup plus favorable aux exigences du MEDEF. (M. Jean-Luc Mélenchon applaudit.)
À cet égard, on ne peut que s’étonner, madame la secrétaire d’État, du peu d’empressement dont votre collègue Xavier Bertrand fait preuve pour que les négociations sur la pénibilité, débutées en 2003, aboutissent.
M. Guy Fischer. Eh oui !
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Ce n’est pas facile !
Mme Christiane Demontès. De même, comment ne pas s’interroger sur le fait que vous n’entériniez pas l’accord sur le dialogue social dans l’artisanat conclu par les partenaires sociaux en décembre 2001 ?
M. Guy Fischer. Eh oui !
Mme Christiane Demontès. Tel est donc le cadre dans lequel s’est inscrite cette négociation. Le primat du politique, voire « l’interventionnisme outrancier de l’exécutif », pour reprendre les termes de notre collègue Gérard Larcher, a été déterminant. Dès lors, affirmer, comme le fait M. le rapporteur, que « l’ANI est une première application réussie de la procédure prévue par la loi de modernisation sociale » est un peu excessif, c’est le moins que l’on puisse dire »
EN CONCLUSION ?
Il me semble que ces sortes de questions qui paraissent très théoriques et peut-être même éloignées des préoccupations concrètes sont pourtant au cœur des enjeux que soulève l’évolution des systèmes politiques de notre temps dans le contexte de la mondialisation libérale d’une part et de celui de l’impasse des stratégies de gauche pour y faire face d’autre part.
Vous savez ma petite jennifer, si la conclusion du billet de Jean-Luc Mélenchon et les portes qu’il ouvrait pour tenter de débattre de choses sérieuses et au coeur des problèmes ne vous intéresse pas, que dire, si ce n’est : abandonnez l’engagement politique, contentez vous de porter une banderole quelle qu’elle soit dans la rue en criant des slogans.
Voilà, désolé, mais…!
Hahaha L'internaute rouge post 174
Il y a déjà eu un "Sanglier" qui me désignait, à tort, comme étant le Belge,
il y a eu aussi un "Militant 59", dernièrement un "cdrv.hautefort.com" et
maintenant un "L'Internaute Rouge" !
S'il vous plait les gars, vous pourriez continuer ?
J'aimerais commencer une collection.
Merci.
Je pense que ces "gens de gauche" qui excluent du débat des soit-disant "gauchistes" vont devoir déchanter. Je ne vois pas comment une gauche du PS pourra se construire sans le soutien et l'alliance avec la gauche de la gauche.
Pour mémoire, Die Linke est quand même une alliance avec un parti communiste stalinien de l'ex RDA et la gauche du SPD.
les extémistes nuisent fortement à l'intérêt du P.S...
réfléchir, réflechir, réfléchir
Dis donc L'Internaute Rouge, tu as écrit "ADIEU" post 178
et tu es déjà de retour post 185 ?
L'Internaute Rouge dit:
14 mai 2008 à 23:15 post 185
les extémistes nuisent fortement à l’intérêt du P.S…
C'est pas la peine, le PS fait très bien ça tout seul !
Pierre L, Belgo, Larcin : votre place n'est pas ici, mais au front national (et en toute petite misnuscule). Point barre et final ! Vous êtes la vômissure de la toile. Vous portez ne vous toutes les tares d'un humain, et je n'ai lu qu'une petite partie sur vous via mes diiférentes recherches.
Le suicide ne vous a jamais jamais traversé l'esprit (malade), vu toutes vos horreurs depuis des années sur la toile ? Vous êtes un tache de l'humanité, du fumier pour la gauche dont vous vous arger erronément,, en fait vous êtes la parfaite représentation d'un milicien vychisiste avec une balle dans la nuque en l'été 1944 au bord d'un fossé, par de véritables Partisans Rouges. Grand dommage quelque par que vous soyez en vie, encore, fumier extrémiste de droite vu mes lectures à votre sujet.
et surtout ne vous targuer plus jamais d'être de " de gauche ", imbécile !
à Jennifer,
si tu en as envie, reviens sur ce blog.
ceux que tu n'aimes pas, ou qui se moquent, ignores-les.
et ne prends pas tout cela trop à coeur,
ta vraie vie, j'en suis sure est ailleurs.
:mrgreen:
Quel clairvoyance chez Tocqueville ("Démocratie et liberté")! Ce petit texte que j'ai découvert récemment met à nu un petit despote et ses stratégies.
Vous verrez de qui je parle en le lisant, c'est tellement évident hélas.
(...) Plus qu'aucune autre sorte de gouvernement le despotisme favorise le développement de tous les vices auxquels les sociétés sont spécialement sujettes, et les pousse ainsi du côté même où, suivant une inclinaison naturelle, elles penchaient déjà.
Les hommes n'y étant plus attachés les uns aux autres par aucun lien de caste, de classe, de corporation, de famille, n'y sont que trop enclins à ne se préocupper que de leurs intérêts particuliers, toujours trop portés à n'envisager qu'eux mêmes et à se retirer dans un individualisme étroit où toute vertu publique est étouffée.
Le despotisme, loin de lutter contre cette tendance, la rend irrésistible, car il retire aux citoyens toute passion commune, tout besoin mutuel, toute nécessité de s'entendre, toute occasion d'agir ensemble ; il les mure, pour ainsi dire, dans la vie privée. Ils tendaient déjà à se mettre à part : il les isole ; ils se refroidissaient les uns pour les autres :il les glace.
Dans ces sortes de sociétés, où rien n'est fixe, chacun se sent aiguillonné sans cesse par la crainte de descendre et l'ardeur de monter ; et, comme l'argent, en même temps qu'il est devenu la principale marque qui classe et distingue entre eux les hommes, y a acquis une mobilité singulière, passant de mains en mains sans cesse, transformant la condition des individus, élevant ou abaissant les familles, il n'y a presque personne qui ne soit obligé d'y faire un effort désespéré et continu pour le conserver ou pour l'acquérir. L'envie de s'enrichir à tout prix, le goût des affaires, l'amour du gain, la recherche du bien être et des jouissances matérielles, y sont donc les passions les plus communes. Ces passions s'y répandent aisément dans toutes les classes, pénètrent jusqu'à celles mêmes qui y avaient été jusque là les plus étrangères, et arriveraient bientôt à énerver et à dégrader la nation toute entière, si rien ne venait les arrêter.
Or il est de l'essence même du despotisme de les favoriser et de les étendre. Cespassions débilitantes lui viennent en aide ; elles détournent et occupent l'imagination des hommes loin des affaires publiques, et les font trembler à la seule idée des révolutions.
Lui seul peut leur fournir le secret et l'ombre qui mettent la cupidité à l'aise et permettent de faire des profits déshonnêtes en bravant le déshonneur. Sans lui elles eussent été fortes ; avec lui elles sont régnantes.
La liberté seule, au contraire, peut (...)
Il serait intéressant que Jean-Luc Mélenchon nous explique comment il entend peser à l'intérieur du PS pour que le futur 1er secrétaire ne soit pas un euro-béat. Les candidatures de P. Moscovici, qui a été un des négociateurs français du TCE, et de SR qui a trahi ses engagements de campagne en n'exigeant pas un référendum sur le Traité de Lisbonne sont de ce point de vue, me semble-t-il, inacceptables.
Et donc...?
Un des axes forts pour la gauche : recréer un imaginaire collectif, un projet d'ensemble.
Problème, gros problème : les prétendants actuels au trône de gauche ont engrangé une telle défiance de la part des citoyens (ils appartiennent à un autre monde), que même aidés par des génis de la comm', je ne vois pas comment ils pourraient arriver à faire croire à leur sincérité.
Solution : pas simple, surtout si on estime qu'il y a urgence.
A Carlo.
Jean-Luc Mélenchon est "affilié" à Fabius, qui a voté non. Par ailleurs il est proche de Dray. Celà constitue donc une espèce de groupe au sein du PS, un courant comme on dit.
Mais franchement, vu l'ampleur des enjeux, le passé de Dray et Fabius, leur aura auprès des citoyens, il y a de quoi se poser des questions...
Rien, je ne vois rien venir comme homme à gauche et comme pensée qui ait suffisamment d'ampleur et de force pour orienter fermement les choses autrement. Et m****...
Rires.
On est d'accord sur le principe. Il nous faut un vrai talent, pas un de ces médiocres enarques ou assimilé.
Et effectivement il y a un hic...
Tient, il est en pleine forme le pitbull aujourd'hui... Il sort encore, plein de haine et l'écume aux babines, d'un de ses séminaires anti-communiste ?
Et vous 4 aout, si vous deviez donner 3 noms...?
Jean-Luc Mélenchon, Schivardi à gauche, NDA à droite. Je rajoute Khin Nyunt pour jeter un nonos à qui tu sais ;)
Ouaip ouaip ouaip 4 aout... :)
Moi je dirai par exemple : Axel Kahn, Yannick Noah, Edgar Morin.
Avec Jean-Luc Mélenchon pourquoi pas en conseiller politique!
Ces 3 ont les couilles de dire NON à l'oligarchie financière.
Après, si toi tu cherches un sousjacenteux, c'est sûr que tu ne vas pas trouver...
? qu'est ce que tu racontes ?
Axel Kahn, Yannick Noah, Edgar Morin, par exemple, je le répète, car il s'agit d'être sérieux maintenant ;)
Avec tes 3 politiques en conseillers.
I/O Error...
4 aout, tu connais ce petit test de resolution de problemes?
Trace 9 points sur une feuille de papier, sur trois rangées de trois points. Sans lever ton crayon, relie tous les points avec quatre lignes droites.
Essaie. C'est simple, et pourtant en fait c'est super difficile à résoudre. Et tu sais pourquoi?
Parcequ'on a tous tendance à se donner des contraintes qui n'existent pas...
Donc oui, par exemple Kahn, Noah, Morin, avec des politiques en conseillers... :)
Tu mets les politiques à l'intérieur du carré, et la société civile à l'extérieur ?
Bon, celà dit 4 aout, je te suis tout à fait pour Jlm et Nda, le troisième pas vraiment, un peu "fossilisé" à mon goût.
Mais quand même, je ne suis pas sûr que Noah Kahn Morin etc soit une si mauvaise idée... :)
Oui, il y a de ça dans mon esprit, la solution passe par l'extérieur du carré.
Je pense que les citoyens occidentaux doivent considérer celà comme une déclaration de guerre.
Les enjeux sont très sérieux, touchent au politique, à l’économie, aux droits des personnes.
J’attend (sans grande illusion) un front de gauche ferme (SR, Delanoe, etc) sur ces points qui engagent notre avenir!
Des amendements liberticides au Parlement européen
http://www.numerama.com/magazine/9598-Des-amendements-liberticides-au-Parlement-europeen.html
Idem
Le Canada valide le bridage du P2P par les opérateurs historiques
http://www.numerama.com/magazine/9600-Le-Canada-valide-le-bridage-du-P2P-par-les-oprateurs-historiques.html
C'est l'occasion de rappeler qui commande à Bruxelles, et pourquoi...
Jean-Marc, à moins de créer un VPN incassable, je crois que c'est grillé pour les logiques sous-jacentes...
Oui...
C'est l'occasion de rappeler aussi que la politique, ce n'est plus gauche contre droite, c'est politique (de gauche et droite) contre transnationales!
Un cauchemard... surtout quand on voit le nombre de personnages politiques qui rampent.
Une impasse quand on constate que nos "démocraties" ne sont plus capables de proposer au final, pour les plus hautes responsabilités, que des rampants.
Quant à l'histoire VPN, je crois qu'il ne faut pas sous estimer la société civile et le travail de tous ceux (hors politique donc!) qui permettent et permettront de contourner ces despotismes.
La lutte sera longue, mais je crois que rien ne pourra empêcher les choses de se mettre en place relativement correctement.
Tout de même, et j'en ai des frissons, je me demande si l'étape'Orwell et victoire des transnationales'est évitable ou un passage obligé : (
"ce n’est plus gauche contre droite, c’est politique (de gauche et droite) contre transnationales!"
Pire que ça: transnationnales contre les peuples avec la complicité des politiques !
"Tout de même, et j’en ai des frissons, je me demande si l’étape ‘Orwell et victoire des transnationales’ est évitable ou un passage obligé : ("
Vu les moyens techniques d'aujourd'hui, et ce qui se prépare pour demain (je pense aux nano-technologies), le "passage obligé" a de bonnes chances de devenir permanent. C'est aujourd'hui qu'il faut éviter le point de non retour. Pour l'instant, on fonce droit dedans (au nom de la sécurité machin toussa).
Le film "le 5ème élément" me semble être le modèle de société à venir...
hum 4aout, vous etes encore plus pessimiste que moi, qui au pire considere le cauchemard comme une étape :)
PS. eh dites donc le modérateur de ce blog, vous avez enlevé mon post "piquant" vis à vis de la petite gaucharde fausse sainte nitouche mais bel et bien obtue gêmissante et braillarde (oups), qui devait se trouver autour du n°168. Pourquoi pas, je le regrette d'une certaine manière... Mais alors enlevez aussi celui de ce noël (n°156) par soucis d'impartialité, et le rebond (n°163) de la gaucharde de service qui en a profité pour gemir son mièvre désarroi et ses faiblesses conceptuelles sur mon dos. Neutralité de modérateur quoi...
test
test
test
Ffouuu... Ca marche pas les "font color" !
Jean-Marc, t'es pas sympa avec Jennifer... Plutôt que de taper sur ceux (et celles) qui veulent avancer et le font peut-être maladroitement, on devrait garder notre énergie pour éradiquer ceux qui nous mettent des boulets aux pieds, naannn ?
(On pourra se taper dessus quand il n'y aura plus que ça à faire)
Allé, J-M / Jenni, le - bêêêzôôô - le - bêêêzôôô !
En réponse à des questions qui se posent et qui sont mal posées.
Quels sont les individus qui pourraient aujourd'hui occuper légitimement la 1ere place de la Direction d'un Parti de Gauche ? : Aucun !
Il existe cependant des individus qui croient pouvoir à eux seuls incarner l'émancipation légitime de l'homme ; certains portent en eux les qualités essentielles, foi, dévouement, don de soi dans toutes les circonstances. Ce genre d'individu est en principe relégué au rang de ceux qui ne concrêtisent jamais leur projet de conduire la multitude ; la raison en est simple la philosophie, plutôt les philosophies possibles sont connies de tous, et l'application sociologique aussi. Il resterait donc que le Zoo comme le chantait Jean Ferrat après l'effondement des communismes d'Etat. Non!. Il reste ce qu'aujourd'hui beaucoup de militants, je préfère le mot Partisan, beaucoup de Partisans prennsent en compteet contruisent tous les jours, l'Union des différentes façons de pensées l'émancipation. Peut-on unir autour d'une action Olivier Besancenot et Andrè Gerin (Député, maire communiste de Vénissieux qui revendique la place de N° 1 du PCF) à priori Non ! A moins que l'on soit complétement facho ou anti communiste primaire ou les deux on ne peut douter de l'engagement de ces deux hommes, cependant sur le chemin des luttes spécifiques ils sont unis même éloignés pour un même résultat. Tous deux sont des hommes intelligents qui savent très bien que le Monde entier se fout de savoir qui des deux avaient raison Trotski ou Staline, par contre le Monde entier gardera toujours en mémoire les 20 millions de morts du Second et se pose aussi la question combien en aurait fait le Premier. Le Socialisme honnête serait là pour tout résoudre en douceur et profondeur, le lébéralisme le permet la collaboration de classe aussi, on peut se dire de Gauche comme Dominique Srauss Khan et finalement se vautrer dans les draps de la Droite, DSK ou Kouchner, quand on lit comme moi ce qu'ont écrit ces deux là et d'autres, le constat est simple, l'opportunisme les a conduit et l'opportunisme de la droite les a recuelli. A pendre ! intellectuellement parlant s'étant, encore que devant un tribunal international, on pourrait en discuter, ces défenseurs du libéralisme laissent sur le carreau en s'en excusant biensur de famines des génocides et des suicides, oui coupables mais pas responsables.
Il faut bien en finir pour aujourd'hui mais j'y reviendrai, pour virer toute la m**** politique UMP et Centristes de tous crins dans les quels je mets PS de droite, il nous faut construire l'Union sans exclusive des Gauches de gauche ; ah oui ça ne se passera pas sans mal ! oui nous saurons répondre à la violence sans tendre la joue gauche.
Fraternellement
RG
Excusez moi de vous demander pardons, mais à l'instant je reçois une invitation qui me provient du Staff de ségolène Royalqui vient de fonder :
Le Pacte Rénovateur
En fait de Rénovation les adhérents de Désirs D'Avenir dont j'étais ont quitté ce bateau qui prenait l'eau de toute part, beaucoup s'en sont aperçus quand agrippés au bastingage son renversement à droite devint prévisible.
Vous Chère Ségolène dont les femmes en majorité ne votèrent pas pour Vous, par jalousie sans doute envers votre beauté, peut être allez-vous poser encore une une fois à votre petit Miroir Magique:
"
Petit Miroir Magique serai-je élue en 2012 Présidente de la République "
NON! non non et Non!
RG
Bon, repassons aux choses sérieuses, calmement... : (
Dites donc, vous avez l'air remonté georges, hein 4aout...?
Mais comment faire pour éviter que ce soit SR ou BD (ou un autre du meme acabi) qui porte le flambeau contre NS en 2012...? Vous avez une idée? Moi pas...
Ségolène Royal est loin d'etre la plus désagréable au P.S et serait presque parmi les plus compétents.
Malgré tout j'estime impossible qu'elle gouverne un jour la france parceque les socialistes sont des " tocards ", qui ne savent que dire "il faut..." sans jamais dire comment. Impossible de rien bâtir ils sont là pour la curée personnelle, leur ligne politique = parlez moi de moi ya que ça qui m'interesse.
Dernier exemple écoeurant, Michel Rocard qui critique Ségolène Royal et qui pendant la campagne lui a demandé de s'effacer à son profit après qu'elle fut désignée par les militants.
C'est plus une cervelle c'est une passoire qu'il a ce rocard.
Hier soir Maître Vergès a demandé que soit retiré de chaque ville et village de France le nom de Mitterrand cat ce dernier a commandé à une époque l'éxécution d'un prisonnier de guerre génant pour les interêts politiques de l'époque.
Gauchistes et socialistes sont une avalanche de putes !
ailleurs aussi, seulement ils se parent moins de toutes les vertues de la terre !
Heu, oui Dominique...
Vous avez une solution?
Heeeeeeeeeeelp!
Quelqu'un ici peuyt me rassurer? Bertrand Delanoe a t'il vraiment l'intention de rebaptiser l'opéra garnier en opéra sevran?
http://clic.20minutes-blogs.fr/archive/2008/05/15/l-opera-garnier-rebaptise-opera-sevran.html
J-M, ton post 151
"Chacun des participants a pu établir le classement de ses candidats préférés, ce qui a donné un résultat différent de celui qui serait ressorti d’un vote traditionnel.
Des résultats plus équitables
En effet, le candidat qui aurait été élu en temps normal, ressortait quatre fois en première place, mais le reste du temps il figurait en bas de liste. "
démontre que les Français ont beau être intelligent, ils sont surtout sensibles à la propagande TV et au populisme. Et ils votent dans ce (mauvais) sens....
Jooooooke ;)
Celà dit, on a quand meme eu droit à la place JP2...
4 aout, ce vote n'etait pas un vote francais, ni un vote politique.
je trouve interessant de reflechir a ce type de mecanisme de vote, notamment dans le cadre d'une democratie participative au niveau local.
quant à la sensibilité a la demagogie et a la propagande, je en suis pas que ce soit modifiable ; que d'education a mettre en oeuvre...
il est par contre peut etre plus simple de mettre en place une forme de democratie qui pondere mieux ce type d'errements d'une part, et favorise l'emergence d'un autre type d'elites (fausses elites à mon sens) d'autre part.
enfin, tout ca est bien compliqué...
Solutions ? j'ai au moins des avis d'urgences qui n'ont aucune chaance de voir le jour.
1.- Supprimer, le parlement et le sénat ! qui coutent une fortune et font des usines a gaz. On a précarisé la vie des travailleurs précarisons les politiques. Plus de rente de situation. Un gouvernement est élu pour 5 ans ! qu'il gouverne. En cas d'insatisfaction : du balai !
Pas besoin d'une cohorte de insatisfaits amendant par ci et puis par là, et menant grand train pour n'arriver a rien de supplémentaire.
2.- Adoption d'une loi, précisant qu'une pétition obtenant un nombre de voix assez élevé et a définir empecherai la promulgation par le gouvernement de toute loi ayant recueilli siffisamment de suffrage contre elle.
3.- Cette loi refusée par le peuple devrait alors etre retoquée et ne pourrait etre adoptée que par référendum !
4.- Une loi interdisant les interets croisés dans les conseils d'administration des grandes entreprises.
5.- Une loi contre les parachutes dorés des grandes entreprise.(thème à développer) c'est ce qu'a réclamé hier l'europe !
6.- Suppression de l'I.S.F, volonté d'économie et d'abaissement des impôts.
7.- Garanties offertes de tranquillité pour tout les chefs d'entreprises revenant en france et y investissant.
8.- Facilités pour les P.M.E inspirée de la réussite (c'est ce qui a été annoncé par les médias je n'en suis pas le propagandiste) de philippe de villiers en vendée.
9.- Application d'une gestion analogue du problème des s.d.f que celle appliquée par nos amis Allemands. Là encore voir médias, plus aucun sdf dans les rues d'allemagne, prise en charge sans doute différente ?
10.- Vote d'une loi obligeant sous peine de pénalités un certain quotas de travailleurs de plus de 45 ans dans les entreprises.
Des idées, vous vouliez des idées cher Jean marc en voici quelques unes... d'autres peuvent venir.
Un progrès social pour 78% des Français
Intéressant pour ceux qui concidèrent ces"trucs" comme un enjeu économique et social majeur.
Quel bilan pour la politique numérique de Nicolas Sarkozy ?
http://www.homo-numericus.net/spip.php?breve963
"ce vote n’etait pas un vote francais, ni un vote politique"
C'est un phénomène mondial, qui existe depuis que l'homme est humain... Ca s'applique sans peine à tout les Français du président. 1/2 heure d'émeutes au JT, 2 ou 3 pédophiles et hop! la droite gagne avec son ordre et sa sécurité. Trop facile. Et les idées dans tout ça ? Ah mais oui, les Français voulaient travailler plus et plus longtemps, ils voulaient grignoter leur épargne pour maintenir leur pouvoir d'achat, et ils voulaient se la faire mettre le 4 février à Versailles. Ils voulaient aussi bouffer des OGM, cultiver du Monsanto, communiquer leur préférence sexuelle aux flics, donner un bouclier fiscal aux "SDF",....
Bon j'arrête, je m'énerve, là....
Dominique, j'arrive, je vais essayer de réagir à vos propositions, l'occasion pour moi de réfléchir aussi. Décidemment, je profite de ma relative disponibilité actuelle ;)
en réponse aux propositions de dominique :
1.- Supprimer, le parlement et le sénat ! qui coutent une fortune et font des usines a gaz. On a précarisé la vie des travailleurs précarisons les politiques. Plus de rente de situation. Un gouvernement est élu pour 5 ans ! qu’il gouverne. En cas d’insatisfaction : du balai !
Pas besoin d’une cohorte de insatisfaits amendant par ci et puis par là, et menant grand train pour n’arriver a rien de supplémentaire.
>>>Vous n'y allez pas de main morte! Je préfère personnellement des choses comme :
- maintien de ces deux chambres mais mise en place de contrôles indépendants concernant la présence
- règle du non cumul des mandats
- introduction"large" dans les chambres de la société civile ; mécanismes de désign
2.- Adoption d’une loi, précisant qu’une pétition obtenant un nombre de voix assez élevé et a définir empecherai la promulgation par le gouvernement de toute loi ayant recueilli siffisamment de suffrage contre elle.
3.- Cette loi refusée par le peuple devrait alors etre retoquée et ne pourrait etre adoptée que par référendum !
4.- Une loi interdisant les interets croisés dans les conseils d’administration des grandes entreprises.
5.- Une loi contre les parachutes dorés des grandes entreprise.(thème à développer) c’est ce qu’a réclamé hier l’europe !
6.- Suppression de l’ I.S.F, volonté d’économie et d’abaissement des impôts.
7.- Garanties offertes de tranquillité pour tout les chefs d’entreprises revenant en france et y investissant.
8.- Facilités pour les P.M.E inspirée de la réussite (c’est ce qui a été annoncé par les médias je n’en suis pas le propagandiste) de philippe de villiers en vendée.
9.- Application d’une gestion analogue du problème des s.d.f que celle appliquée par nos amis Allemands. Là encore voir médias, plus aucun sdf dans les rues d’allemagne, prise en charge sans doute différente ?
10.- Vote d’une loi obligeant sous peine de pénalités un certain quotas de travailleurs de plus de 45 ans dans les entreprises.