08mai 08
Mardi 6 et mercredi 7 mai au Sénat a été discuté le texte qui transpose l’accord entre les syndicats de salariés et ceux des patrons sur le contrat de travail. Naturellement ce texte de régressions archaïques portait le titre pompeux de « modernisation » du marché du travail. Tous les syndicats avaient signé cet accord, à l’exception de la CGT. A l’assemblée nationale le texte a été adopté avec les voix de droite. Les élus socialistes se sont abstenus sauf Marc Dolez (PS Nord) qui a voté contre. Les communistes et les Verts ont voté contre. Au Sénat il en a été de même. La droite a voté pour le texte, les communistes et les Verts ont voté contre, les socialistes se sont abstenus sauf Maryse Bergé Lavigne (PS Haute Garonne) et moi (PS Essonne) qui avons voté contre. Mes interventions peuvent être lues dans le compte rendu intégral des débats du sénat consultable en ligne. Dans cette note je me concentre sur quelques questions de principe que la situation de ce débat soulevait.
UN PUR CHANTAGE
Les principales dispositions de cette loi sont connues. Après une proclamation hypocrite selon laquelle le Contrat de travail a durée indéterminéée (CDI) est la formule de référence des contrats de travail, le texte s’applique à démanteler les garanties que celui-ci contient. Et il crée… deux nouvelles formes de contrat précaires. Le point de départ de toute cette affaire est la condamnation de la France par l’OIT à propos du CNE, le fameux contrat de travail de deux ans que l’employeur pouvait rompre sans explication ni préavis. Mais avant même que cette condamnation intervienne, les équipes de la droite et du patronat ont compris que l’affaire était perdue et qu’il leur fallait tourner leurs batteries. Ce n’est donc plus une mesure unique qui a été envisagée mais un ensemble de dispositions particulières qui mises bout à bout représente davantage que le CNE en matière de flexibilité. La droite a démarré sa campagne pendant les élections présidentielles autour du thème du « contrat de travail unique » et de la rupture du contrat de travail « par consentement mutuel ». Ces thèmes étaient aussi ceux de François Bayrou. Une fois la victoire acquise, le nouveau président s’est appuyé sur le fait qu’il l’avait annoncé dans sa campagne pour agiter la menace d’un projet de loi créant le « contrat de travail unique », appelé à remplacer toutes les autres formes de contrat de travail. Même sans être un spécialiste du code du travail on comprend que ce « contrat unique » ne pouvait qu’être aligné sur les flexibilités des contrats les plus précaires pour pouvoir les remplacer. Affaire de logique. C’est avec cette épée de Damoclès sur la tête que les négociations ont été convoquées. Et fermement encadrées. Ainsi le gouvernement a prévenu d’emblée : si la négociation n’aboutissait pas, une loi mettrait directement en application ses orientations. De son côté le président de la République a lui-même annoncé comme acquis des points qui étaient pourtant censés faire l’objet du débat. Ainsi dès le 30 août 2007 dans son discours à l’université d’été du Medef (!) il proclamait que la rupture du contrat de travail par « consentement mutuel » serait appliquée. Et comme si cela ne suffisait pas, avant même le début de la discussion, le gouvernement a indiqué dans un document d’orientation de juin 2007 les points sur lesquelles la négociation devait aboutir. C’est pourquoi j’ai résumé cette situation de cette façon dans ma première intervention en séance : « Cette négociation s’est donc déroulée suivant la règle que je vais résumer par un aphorisme : « donne-moi ta montre, je te donnerai l’heure ». Tel fut le prétendu donnant-donnant ! En cet instant, je dois répéter en séance publique ce qui se dit dans les couloirs afin que cette information figure au Journal officiel : pas un de nos interlocuteurs syndicalistes n’a considéré qu’il s’agissait d’un bon accord dans lequel le compromis comporterait telle mesure en notre défaveur, certes, mais en échange de cela qui nous serait favorable. Où se trouve le « cela » favorable ? Aujourd’hui règne la peur du pire : on nous recommande de donner notre accord afin d’éviter le pire. Cette façon de procéder s’appelle non pas une négociation, mais un chantage »
LE SENS DES VOTES DE LA GAUCHE
Je ne crois pas qu’il soit utile de passer ici en revue toutes les dispositions du texte. Le journal des débats parlementaires en offre des analyses de très grande qualité avec les interventions des parlementaires de gauche. Les sénateurs communistes en particulier ont fourni un travail d’analyse très approfondi. J’estime que mes camarades socialistes ont également très sérieusement décortiqué le texte et bien montré ses aspects néfastes. Leur abstention au moment du vote n’a donc nullement le sens d’une hésitation ou d’un accord déguisé. Leurs interventions, en tous cas au Sénat, ont été clairement et profondément critiques. Ainsi quand Raymonde Le Texier (Val d’Oise) s’est exprimé à la tribune pour demander le renvoi en commission du texte, le rejet sur le fond par le groupe socialiste est sans ambigüité : « L’objectif de ce projet de loi est, au mieux le contournement, au pire la destruction des barrières législatives encadrant le licenciement, et les salariés se trouvent pris en otage par votre incapacité à sortir d’une pensée unique : la sacro-sainte flexibilité comme panacée aux problèmes d’emplois. Les partenaires sociaux ont considéré cette négociation comme l’occasion de mieux contrôler les dysfonctionnements dont ils sont témoins. Ils ont surtout été sensibles à vos pressions. Ils vous connaissent bien, ils savent que vous pouvez faire pire. (Approbations à gauche) Il suffit d’entendre, à propos de ce texte, les commentaires des parlementaires les plus libéraux…. Ce texte est plus flexible pour le patronat que sécurisant pour les salariés, et l’équilibre annoncé est un leurre. La démocratie sociale doit être une avancée, pas un marché de dupes ! »
Et Christiane Demontès (PS Rhône), animatrice du groupe socialiste sur ce débat a présenté l’abstention des socialistes comme un soutien à la méthode de la négociation sociale alors même que le désaccord reste entier sur le fond. « De fait, a-t-elle expliqué à la tribune, les centrales syndicales signataires ont choisi de donner un coup d’arrêt à une évolution sur laquelle ils n’auraient plus eu de prise. C’est un accord défensif : les syndicats ont évité le pire, notamment le contrat unique vanté par le candidat Sarkozy. Cet accord est majoritaire et nous respectons le travail des partenaires sociaux sans pour cela remettre en cause notre devoir de législateurs qui est de veiller à l’intérêt général et de garantir un équilibre entre le puissant et le faible. » Argument repris par Raymonde Le Texier (PS Val d’Oise) dans l’explication de vote du groupe socialiste : « Nous apportons notre soutien aux partenaires sociaux, qui, lors de cette négociation, ont tenté de « sauver les meubles », notamment en évitant le contrat unique. Mais il est clair pour tous, aujourd’hui, que ce « dialogue social » a eu lieu en permanence sous la menace du Gouvernement de passer en force, par une loi plus dure, plus ultralibérale. Face à cette menace, les syndicats ont fait ce qu’ils ont pu. » Si je suis d’accord avec mes camarades sur l’analyse du texte, j’en tire une conclusion différente au moment du vote. J’ai voté contre et je veux expliquer pourquoi.
L’INTERET GENERAL
Selon moi, quelles que soient les circonstances, le Parlement n’a pas à être la chambre d’enregistrement de quelque négociation catégorielle que ce soit. Car les parlementaires ont en charge l’intérêt général. L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers, même si ces derniers ont fait l’objet d’un arbitrage raisonné dans le cadre d’un contrat. Le Parlement représente la société tout entière, qui est en quelque sorte le partenaire exclu de la négociation à deux. Il doit donc dire ce qui lui paraît juste pour la société du point de vue de l’intérêt général de celle-ci. D’abord parce qu’il est le garant ultime des droits et libertés des personnes surtout dans le moment, particulièrement crucial, où le travailleur cesse d’être un citoyen pour entrer dans un rapport de subordination, tel que le lui enjoint le contrat de travail ! Selon la formule de Jaurès, la République a fait les français rois dans la cité mais les a laissés serfs dans l’entreprise. Ensuite parce que c’est la société toute entière qui assume toutes les conséquences des relations sociales au travail. C’est elle qui finance la qualification des travailleurs par l’éducation, leur santé, leur transport et ainsi de suite dans tous les compartiments de la vie en société. Les représentants de la société toute entière sont donc entièrement légitimes à délibérer quand bien même un accord est conclu entre partie représentative et quand bien même l’est-il à la satisfaction totale des parties qui le concluent car il faut encore vérifier que celui-ci ne lèse pas la société. Enfin le débat parlementaire est le seul qui soit à la fois public, donc dont les arguments sont contrôlables, et le seul à être formulé du point de vue de l’intérêt général. Le contrat, lui ne peut s’abstraire du rapport de force des intérêts particuliers. Il ne le peut pas en fait. A preuve la caricaturale négociation sous pression de cet accord. Il ne le peut pas non plus en droit. En effet les parties sont au contraire mandatées pour ne représenter exclusivement que les intérêts de leurs mandants. La situation particulière de cette conjoncture nous permet de bien comprendre pourquoi il ne saurait y avoir de mandat impératif pour un parlementaire au contraire d’un syndicaliste. Et, précisément, admettre qu’un accord social conclu s’impose au législateur, c’est créer un mandat impératif tout à fait contraire à l’esprit des institutions républicaines. Ce que j’en dis n’est pas seulement le point de vue d’un homme de gauche attaché à la vision républicaine de l’organisation politique de la société. Car le malaise que provoque la méthode des transpositions forcées et sans droit d’amendement est partagé par tous ceux qui comprennent bien que c’est, de cette façon, un autre modèle politique qui s’impose à tous. Le rapporteur de la commission des affaires sociales au Sénat s’en est fait l’écho en présentant le texte. Et il a justifié son appel à le soutenir non du fait de l’accord conclu mais du fait de son approbation avec le contenu qu’il estime conforme à l’intérêt général du pays. Je place ici le compte rendu de sa déclaration telle que la donne le compte rendu officiel.
« M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Je m’adresserai à présent à ceux de nos collègues qui s’interrogent sur le rôle du législateur, sur la part qui est laissée à ce dernier à l’heure actuelle. Cette question est légitime et d’autant plus justifiée que nous sommes à la veille d’une réforme des institutions qui est censée donner davantage de pouvoirs au Parlement.
Mme Raymonde Le Texier. Eh oui !
M. Guy Fischer. On verra !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Les institutions de la Ve République, que je défends, ont dû réduire les prérogatives du Parlement face au pouvoir exécutif pour conférer à ce dernier plus de stabilité et d’efficacité. Les lois de décentralisation successives, que j’approuve, ont retiré à l’État, et donc au législateur, une partie de ses prérogatives. Le développement de l’Europe, que j’appelle également de mes vœux, nonobstant le principe de subsidiarité, a également transféré à un autre échelon certaines responsabilités, ce qui donne parfois au parlementaire français le sentiment qu’il n’est plus qu’un « transposeur » de directives.
Mme Raymonde Le Texier. Eh oui !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. Enfin, on l’a constaté dans certains débats récents, des groupes de pression, incapables de réunir plus de 1 % à 2 % aux élections politiques, se camouflent derrière le joli nom de « société civile » pour envahir le champ du débat public et obtenir, par un puissant lobbying très bien organisé, ce qu’ils n’ont pu recueillir par les urnes.
M. Jean-Luc Mélenchon. Robert Ménard !
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. C’est dans ces circonstances que nous sommes aussi appelés à transposer dans notre droit positif une partie d’un accord conclu en dehors de nous par les partenaires sociaux.
Face à de telles évolutions, je comprends la gêne que peuvent éprouver certains de nos collègues, mais notre rôle, notre responsabilité, à l’instar de ceux qui incombent au Gouvernement, même s’ils sont distincts, ne sont-ils pas de faire en sorte que la « maison France » fonctionne le mieux possible, de façon concertée et solidaire ?
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Oui
M. Pierre Bernard-Reymond, rapporteur. En l’occurrence, je suis profondément convaincu que l’accord qui nous est présenté est un bon accord, qui fait franchir une étape significative au dialogue social, renforce l’efficacité de la politique de l’emploi, donne de nouvelles chances à notre économie et ouvre la voie à l’élaboration d’un modèle social français et européen adapté au XXIe siècle. (Applaudissements sur les travées de l’UMP et de l’UC-UDF, ainsi que sur certaines travées du RDSE.) »
SOCIAUX DEMOCRATES ET SOCIAUX REPUBLICAINS
A gauche, ce débat est au cœur de ce qui oppose les sociaux démocrates, partisans du contrat comme mode d’action réformiste et les sociaux républicains, partisans de la loi pour cela. Mais les sociaux démocrates eux-mêmes ne méconnaissent pas le doute qui pèse en toutes circonstances sur les conditions de rapport de force qui déterminent la conclusion du contrat. C’est un rude défi pour la doctrine sociale démocrate. L’issue serait alors de désigner le pouvoir politique comme responsable de la pollution du débat social contractuel. La formule peut paraître adaptée s’il s’agit seulement d’accabler le pouvoir actuel d’un point de vue polémique. La grossièreté des pressions faites donne des verges pour battre ses auteurs sans grandes difficultés. Mais il en va tout autrement s’il s’agit de fonder une doctrine d’action politique. Car si le pouvoir politique ne doit pas infléchir le contenu de la négociation ni dans l’hémicycle ni depuis l’initiative gouvernementale, alors à quoi servirait une majorité et un gouvernement de gauche en matière sociale ? Je crois que le moment où Christiane Demontés (PS Rhône) intervient sur ce point à la tribune du sénat est bien démonstratif de la difficulté sur laquelle butte le raisonnement social démocrate. Si ce passage est instructif c’est aussi parce qu’il montre comment les sociaux démocrates français intègrent cependant à leur manière la vision républicaine de l’usage de la loi généralisant par extension les droits sociaux ce qui est absolument étranger à la doctrine classique de ce courant de pensée dans les autres pays européens. Ce qui fait qu’avec le taux de syndicalisation le plus bas d’Europe, les travailleurs en France sont dans la proportion la plus large d’Europe sous protection conventionnelle.
« Mme Christiane Demontès. Monsieur le président, madame la secrétaire d’État, mes chers collègues, ce texte a pour objet de transposer dans notre législation 10 des 19 articles que compte l’accord passé le 11 janvier entre des organisations syndicales de salariés – la CGT ne l’ayant pas signé – et les organisations patronales.
Loin de « constituer un tournant dans notre vie sociale », comme le disait le ministre, ce projet de loi n’en renvoie pas moins à l’articulation qui existe entre la démocratie sociale et la démocratie représentative. Or, en cette année anniversaire des grandes luttes sociales de 1968, nous savons que l’une et l’autre sont aussi fonction du cadre dans lequel elles s’inscrivent. Aussi me permettrez-vous de revenir sur le contexte dans lequel l’accord du 11 janvier a été signé et sur la forme qu’a prise cette signature.
Les rapports qui lient ce texte à l’accord national interprofessionnel négocié par les partenaires sociaux et au rôle du Parlement méritent que nous nous y attardions parce que c’est la première fois, sans que ce soit sans doute la dernière, que nous aurons à travailler de la sorte. Au sein de cet hémicycle, nous considérons certainement tous qu’il est impératif que le dialogue social puisse se dérouler dans un climat propice à la négociation. Or de fortes pressions ont été exercées sur les syndicats de salariés.
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Oh !
Mme Christiane Demontès. Je pense notamment au calendrier des négociations, qui fut très contraignant, et à la lettre d’orientation remise par le Gouvernement, qui, outre qu’elle reprenait nombre de points du rapport Virville de janvier 2004, définissait les axes précis de la négociation. Cela est regrettable et nombreux sont les partenaires sociaux à nous l’avoir fait savoir.
La démocratie sociale ne devrait pas être placée sous la primauté du politique et subir l’injonction de celui-ci, faute de quoi la recherche d’une bonne articulation entre démocratie sociale et démocratie représentative risque, dans les faits, de n’être qu’une instrumentalisation du dialogue social ayant pour objectif d’imposer un rapport de force précis.
Mme Raymonde Le Texier. Exact !
Mme Christiane Demontès. Désormais débarrassé des principes chers au Conseil national de la Résistance, qui promouvait l’intervention de l’État dans la sphère économique afin de tenter d’atténuer les injustices du marché, et tout acquis au modèle anglo-saxon du marché de l’emploi ultra flexible, dans lequel le code du travail ne serait plus qu’un frein à la création de plus-value et le salariat une simple variable d’ajustement des coûts de production, le Gouvernement n’a cessé de faire peser sur les syndicats la menace d’un recours à la loi, laquelle, n’en doutons pas, aurait été de facture ultralibérale, et donc beaucoup plus favorable aux exigences du MEDEF. (M. Jean-Luc Mélenchon applaudit.)
À cet égard, on ne peut que s’étonner, madame la secrétaire d’État, du peu d’empressement dont votre collègue Xavier Bertrand fait preuve pour que les négociations sur la pénibilité, débutées en 2003, aboutissent.
M. Guy Fischer. Eh oui !
M. Nicolas About, président de la commission des affaires sociales. Ce n’est pas facile !
Mme Christiane Demontès. De même, comment ne pas s’interroger sur le fait que vous n’entériniez pas l’accord sur le dialogue social dans l’artisanat conclu par les partenaires sociaux en décembre 2001 ?
M. Guy Fischer. Eh oui !
Mme Christiane Demontès. Tel est donc le cadre dans lequel s’est inscrite cette négociation. Le primat du politique, voire « l’interventionnisme outrancier de l’exécutif », pour reprendre les termes de notre collègue Gérard Larcher, a été déterminant. Dès lors, affirmer, comme le fait M. le rapporteur, que « l’ANI est une première application réussie de la procédure prévue par la loi de modernisation sociale » est un peu excessif, c’est le moins que l’on puisse dire »
EN CONCLUSION ?
Il me semble que ces sortes de questions qui paraissent très théoriques et peut-être même éloignées des préoccupations concrètes sont pourtant au cœur des enjeux que soulève l’évolution des systèmes politiques de notre temps dans le contexte de la mondialisation libérale d’une part et de celui de l’impasse des stratégies de gauche pour y faire face d’autre part.
en réponse rapide aux propositions de dominique (désolé pour la fausse manip...) :
1.- Supprimer, le parlement et le sénat ! qui coutent une fortune et font des usines a gaz. On a précarisé la vie des travailleurs précarisons les politiques. Plus de rente de situation. Un gouvernement est élu pour 5 ans ! qu’il gouverne. En cas d’insatisfaction : du balai !
Pas besoin d’une cohorte de insatisfaits amendant par ci et puis par là, et menant grand train pour n’arriver a rien de supplémentaire.
>>>Vous n’y allez pas de main morte! Je préfère personnellement des choses comme, entre autres :
- maintien de ces deux chambres mais mise en place de contrôles indépendants concernant la présence
- règle du non cumul des mandats
- introduction ”large” dans les chambres de la société civile ; mécanismes de désignation de ceux ci par pôles de compétences et désignations par les pairs.
- limitation aux mandats dans la durée : 5ans
- et quelques autres trucs...
2.- Adoption d’une loi, précisant qu’une pétition obtenant un nombre de voix assez élevé et a définir empecherai la promulgation par le gouvernement de toute loi ayant recueilli siffisamment de suffrage contre elle.
>>>trop dangereux. l'introduction dans les chambres de la société civile revient au même tout en évitant les risques que comportent ces pétitions.
3.- Cette loi refusée par le peuple devrait alors etre retoquée et ne pourrait etre adoptée que par référendum !
>>>idem que ci dessus. Par contre je précise que tout changement d'ordre constitutionnel, notamment, devrait être soumis à référendum et précédé d'une véritable campagne d'information.
4.- Une loi interdisant les interets croisés dans les conseils d’administration des grandes entreprises.
>>>Pourquoi pas... Mais j'y vois des chausses trapes, et comme on dit je souhaiterai étudier le dossier avant de dire quoi que ce soit. Celà dit, dès à présent, et dans le même esprit, je pense qu'il faudrait envisager une très sérieuse remise en cause de la nomination quasi automatique d'enarques et de polytechniciens à la tete des grandes entreprises francaises.
5.- Une loi contre les parachutes dorés des grandes entreprise.(thème à développer) c’est ce qu’a réclamé hier l’europe !
>>>si celà ne se décide pas au niveau international, on est mals...
6.- Suppression de l’ I.S.F, volonté d’économie et d’abaissement des impôts.
>>>un peu vague ca non? quelles economies...? je suis pour la defense et meme l'elargissement de certains services spublics (transports et eau notamment). Je crois par contre qu'il y a de tres tres importantes sources d'economies a realiser dans le fonctionnement des administrations notamment. Je donne mes deux mains à couper si je me trompe : prenez 50 personnes de la societe civile, competentes, non corrompues, faites leur etudier le systeme dans le detail (placards dorés, faux postes, doublons dans tous les sens, commissions inutiles, etc), je vous assure qu'il y a en economies de quoi assurer le financement de securite sociale + chomage + investissements de developpement sans aucun probleme.
7.- Garanties offertes de tranquillité pour tout les chefs d’entreprises revenant en france et y investissant.
>>>oui. mais l'attrait pour la france ne peut etre que financier. c'est un esprit d'entreprise et d'innovation qui attire les createurs d'entreprise. Or nous sommes dans un pays vérouillés par des vieux cons. Culture + science + technique = solution (cf silicon valley).
8.- Facilités pour les P.M.E inspirée de la réussite (c’est ce qui a été annoncé par les médias je n’en suis pas le propagandiste) de philippe de villiers en vendée.
>>>
connait pas. mais le nom me deplait
9.- Application d’une gestion analogue du problème des s.d.f que celle appliquée par nos amis Allemands. Là encore voir médias, plus aucun sdf dans les rues d’allemagne, prise en charge sans doute différente ?
>>>? les pauvres ne me genent pas! ce qui me gene, ce sont les raisons qui creent la pauvrete. Cette idee sent tres mauvais je trouve.
10.- Vote d’une loi obligeant sous peine de pénalités un certain quotas de travailleurs de plus de 45 ans dans les entreprises.
>>>dans cette idee de faire travailler les seniors, des dispositifs plus"subtils" et moins coercitifs pourraient etre imaginés ; je pense que le couplage jeune/senior est une piste à explorer dans bien des domaines
Heu 4aout post222, partons du principe que l'on ne peut changer les gens comme ca...
Le but est d'inventer un systeme qui limite les risques, notamment ceux que vous evoquez.
Mais pas eulement. Depuis 20 ans en gros, notre systeme politique (occidental en general) semble avoir ete detourne, comme les pires politicards et les pires salops avaient appris à en exploiter les pires faiblesses.
Donc reinventons un systeme.
ALORS LA, C'EST TROP!
Je viens de regarder le JT de france2, ce qui ne m'arrivait plus depuis un bon moment ; je suis en effet en compagnie d'un proche qui apprécie ce truc.
Et je viens d'apprendre ceci, chiffres officiels de l'Insee, annoncéspar pujadas, grosses lettres, plein écran :
POUVOIR D'ACHAT DES FRANCAIS
2007
+3,3%
Vous n'avez pas l'impression qu'en plus du fait qu'on nous prend pour des cons ca sent tres tres mauvais tout ca...?
Moi oui!
"POUVOIR D’ACHAT DES FRANCAIS
2007
+3,3%"
Bah comme en amérique, on s'est gavé de cétélem !
As-tu entendu (sur france info) la miss qu'on a à l'économie?
"Les consommateurs ont consommé".
Voilà, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. Que demande de plus le peuple de m**** ?
L'actuel taux de CO2 est le plus élevé depuis 800 000 ans.
Depuis 800 000 ans au moins, les concentrations de dioxyde de carbone (CO2) et de méthane (CH4) n'ont jamais été aussi élevées. Ce fait était fortement pressenti par les scientifiques ; il relève désormais de la certitude.
Les chercheurs du projet Epica (European Project for Ice Coring in Antarctica) ont publié, jeudi 15 mai 2008, dans la revue Nature, l'analyse des derniers mètres de la grande carotte de glace du site de Dôme C, en Antarctique. Les 3 060 premiers mètres donnaient jusqu'ici 650 000 ans d'archives climatiques. En forant 200 mètres plus bas, les glaciologues ont poussé cet enregistrement jusqu'à environ 8 000 siècles.
Les paramètres orbitaux de la Terre varient à intervalles de temps réguliers. Ces variations changent l'insolation de la planète et entraînent une alternance entre périodes glaciaires et interglaciaires (la Terre est entrée dans l'une de ces dernières il y a quelque 10 000 ans).
"Puisque ces cycles glaciaire-interglaciaire durent environ 100 000 ans, nous avons désormais accès à huit cycles complets, dit Dominique Raynaud, membre du comité scientifique du projet Epica. Ce long enregistrement confirme le lien étroit entre teneur en gaz à effet de serre et températures." Lorsque le changement d'insolation introduit un début de réchauffement, la teneur en gaz à effet de serre augmente, et ce sont ces gaz qui contribuent de façon majeure à la montée des températures... jusqu'au prochain âge glaciaire.
L'enregistrement publié donne la mesure des bouleversements actuels. Depuis 800 000 ans et jusqu'à une période récente, la concentration de gaz carbonique n'a oscillé qu'entre 172 et 300 parties par million (ppm) ; elle est aujourd'hui de 385 ppm.
Quant à la teneur en méthane, elle a varié entre 350 et 800 parties par milliard (ppb). Elle est aujourd'hui de 1 770 ppb.
Ces nouvelles archives climatiques donnent d'autres informations. Par exemple, explique Jérôme Chappellaz (Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement), coauteur de ces travaux, "on retrouve, dans les niveaux de méthane mesurés dans la glace de l'Antarctique, la signature d'événements de réchauffements brefs et intenses très marqués au Groenland, dont certaines régions ont gagné 16 °C en quelques décennies, avant de se refroidir progressivement".
Les carottes de glace du Groenland ne permettent pas de remonter assez loin dans le temps pour avoir des certitudes sur ces phénomènes. Mais l'analyse de la carotte de Dôme C montre, selon M. Chappellaz, que "ces événements ne surviennent que pendant les périodes glaciaires et jamais au cours des interglaciaires". Il eût été tentant d'attribuer le réchauffement actuel à l'un de ces événements ; ce ne peut être le cas.
Stéphane Foucart
http://www.lemonde.fr/sciences-et-environnement/article/2008/05/15/l-actuel-taux-de-co2-est-le-plus-eleve-depuis-800-000-ans_1045350_3244.html#ens_id=853716
de tradition catholique (...) chrétiens d’Orient.(...) de l’Eglise » (...) antisémitisme (...) les juifs (...) les musulmans (...)« puissance musulmane » (...) sioniste(...)« Témoignage chrétien »
Pfouuu.... Encore des conneries de religion. Ras le bol de se battre pour les dieux!
c'est bizarre,
l'instit Jean-Marc a nettement moins de monde dans sa classe
les élèves doivent etre degoutés du prof
bon,il reste quand même un fayot
Et toi t'es où? Au fond la classe, contre le radiateur, en train de pianoter sur ton portable pour bouffer du mp3 et des happy-slapping en attendant que ça vienne ?
Tient, c'est la page de pub, on va pouvoir aller pisser....
Salut a tous.
dites donc, noel (je ne sais pas quel ex-bloggueur de ce site de type "gauchard" -à ne pas confondre avec "de gauche"- se cache derriere ce pseudo, mais c'est nul), si vous essayiez de reagir aux 10 propositions de dominique par exemple.
elles valent ce qu'elles valent, mes petites reactions valent ce qu'elles valent aussi, mais ca vaut mieux que le vide absolu de vos posts!
4 aout, concenrant la remarque d'un de tes posts, je ne pense pas qu'il soit bon que les votes se fassent sur des propositions plutot que sur des personnes ; question de stabilité du systeme notamment. Mais il me semble qu'il serait assez simple de commencer a mettre en place au niveau local le vote concernant certaines propositions des elus. Il y a un equilibre a trouver, mais j'aime de moins en moins cette idee de democratie representative avec carte blanche.
Sinon, à l'occasion et si tu en as le temps, que penses tu de l'idee exposée dans le point 1 des reactions a dominique, concernant la societe civile?
A+, bonne fin de soirée
@ Jean-Marc
Extrait d'un tract du POI
"Seule une Assemblée constituante souveraine, rassemblant
les délégués du peuple, aura les moyens de définir les
contours d’une véritable démocratie."
"question de stabilité du systeme notamment"
Le système n'est-il pas déjà instable de par son alternance et ses cohabitations? De par la conviction qui dit de voter "non" à une loi, mais dont l'allégeance au parti en place commande de voter "oui" ? Quand cette bande de godillots vote oui à 80% quand leurs électeurs disent non à 55% ?
Si les votes vont dans le sens de l'intérêt général, et qu'en plus les citoyens ont confiance en leurs mandataires (révocables), alors il ne devrait pas y avoir de problèmes !
@ MODERATEUR
Camarade, n'hésite pas à effacer mes messages quand ils n'auront plus lieu d'être ! (#187,205,206,236,243)
Salut.
Rep à Messages 223 et 224.
Tu me rappeles ce qu'est le POI? parti ouvrier ou qch comme cela?
Tu sais, une phrase comme celà est tellement generale (“Seule une Assemblée constituante souveraine, rassemblant
les délégués du peuple, aura les moyens de définir les
contours d’une véritable démocratie.”) qu'on y met ce qu'on veut dedans. N'oublions pas que a ce jour les representants sont deja censés etre des delegues du peuple, que ce soit de maniere directe ou indirecte.
Ce qui est interessant je trouve, et dans la mesure où je pense que la 5eme est a present devoyee car les faiblesses du systeme sont mises a jour et utilisees (combinees avec une utilisation des grands media indigne), c'est de reinventer un systeme qui corrige du mieux possible ces deviances.
En plus, parfois, les elus et les elites ont une conception plus avancée des choses que la majorite des citoyens ; n'oublions pas le vote contre la peine de mort par exemple!
Je trouve qu'introduire la societe civile dans les chambres, en creant des mecanismes de designation lies a des champs de competence et par les pairs, pourrait rompre cette spirale de consaguinité et lachete qui tue l'occident, et notre pays particulierement.
@noel
La capacité de nuisance de Jean-Marc est sidérante.
Est-il un maniaque réclamant des soins urgents? S'agit-il d'une taupe en service commandé pour un travail de sape?
Dans un cas comme dans l'autre il s'agit d'une tare très dommageable!
Cela me fait penser à Staline: il élimine l'opposition de droite, il élimine l'opposition de gauche et puis il reste le seul chef incontesté.
Là on n'est pas éliminé mais quel plaisir ou intérêt à discuter dans ces conditions. Avec toute ma liberté, je renonce à partager mes idées ou mes informations tant qu'on aura cette ambiance sur ce blog.
Je pense par ailleurs qu'une des responsabilités en revient à Jean-Luc Mélenchon qui laisse trop longtemps ses posts et donc faute de nourriture, certains se défoulent sur les blogueurs. Le cadre du blog permet ce pourrissement du débat, et la prise de pouvoir du Mr je-sais-tout et je distribue des bons points ou des mauvais points.
Sarkozy annonce un projet de loi qui obligera les 36 000 communes de France à accueillir les écoliers les jours de grève : " Le projet prévoira également que les communes devront proposer des solutions d’accueil, mais dont je précise que la charge financière sera assurée par l’Etat. C’est l’Etat, en charge du service public de l’Education nationale, qui assurera le remboursement des frais engagés par les communes qui devront organiser un service d’accueil les jours de grève. "
Jacques Pélissard est un député UMP. Il est le président de l'Association des Maires de France. Il s'oppose à ce projet de loi. Il déclare que l'Etat ne doit pas reporter sa propre responsabilité sur les 36 000 communes de France en cas de conflit avec les enseignants :
" Jacques Pélissard, Président de l’Association des Maires de France, déclare que c’est à l’Education nationale d’organiser le service minimum dans les écoles primaires en cas de grève des enseignants. Xavier Darcos, ministre de l’Education nationale propose que ce service soit organisé en externe par les communes qui le veulent. Il s’agit donc d'une conception originale du service minimum par report de la responsabilité de l’Etat sur des acteurs étrangers aux conflits ayant conduit à la grève.
Il rappelle que pour rendre service aux familles, certaines communes assurent d’ores et déjà un service minimum, sur la base du volontariat et sur leurs financements propres, en mettant en place une solution d’accueil.
Par ailleurs, l’Association des Maires de France prend acte de la compensation financière partielle proposée par l’Etat au profit des communes volontaires pour organiser ce service minimum.
L’Association des Maires de France tient à insister sur le fait que l’organisation d’un tel service est décidée librement par chaque commune, en fonction des contingences locales et du besoin des familles. "
http://www.amf.asso.fr/actualites/chargement.asp?ref_actu=735
C'est proprement hallucinant!
Ceux qui savent ce que je fais sur ce site depuis 2 mois, le nombre de contributions de toute sorte que j'ai déposées, que ce soit des liens vers des infos (dont même ces deux insurportables lobotomisés Digeo et Jennifer m'ont remercié parfois), des pistes vers ce qu'Internet peut avoir d'intéressant pour imaginer de nouvelles règles, des tentatives de réflexion sur les institutions, des soutiens aux démarches de Jean-Luc Mélenchon que je trouve louables car elles réintroduisent un peu d'équilibre dans les débats faussés sur le Tibet ou le traité dit simplifié, ceux qui savent celà donc ne peuvent que tirer les conclusions sur ces deux emplâtres qui se sentent déposséder de "leur" blog.
Car en effet, ces deux emplâtres là ne sont capables que de réactions primaires contre le gouvernement actuel, sont incapables de rebondir sur des sujets comme la conclusion du billet de Jean-Luc Mélenchon ci-dessus, sont incapables de toute réflexion et de tout jugement nuancé.
Il suffit de prononcer les mots clés"réconciler socialisme et économie marché" pour que s'ensuive l'insulte chez eux de "droite".
Il suffit de citer un nom non adhoubé gauchard par eux, même si cette personne dit quelquechose de censé, pour qu'ils braillent. Ces abrutis sans nom refuseraient de croire que le ciel est bleu si c'était un homme de droite qui le disait.
Bref, ces deux emplâtres incapables de se détacher de leurs références figées et de faire décoller leurs réflexions ne font en gêmissant avec rancoeur que dévoiler leur frustration.
Alors qu'ils montrent plutôt qu'ils ont quelquechose à apporter en dehors de leurs brailleries et leurs gêmissements, et cessent de considérer ce blog comme une extension qui serait leur propriété et le lieu d'expression des pires archaïsmes de gauche. Jean-Luc Mélenchon a dépassé et de loin ceci!
Qu'ils acceptent par exemple que j'y parle de ce qui m'intéresse, Internet et les logiques sous jacentes à ce dispositif technique, la manière dont une pensée de gauche peut renaitre d'un armistice avec l'économie de marché et de son dépassement, la façon dont les institutions peuvent ête améliorées pour réintroduire les citoyens et la société civile dans les mécanismes démocratiques.
Bref, cohabitons!
Mais de loin...
Reset
Le post n°1 de ce fil de discussion, "sympa", de Gerard Perrier.
Tout à fait d’accord avec ton analyse de l’évolution des “systèmes politiques de notre temps.” Tu as pris le soin de la pédagogie sur la loi,le contrat,l’intérêt général,le rôle du délibératif par rapport aux négociations sociales. Le grand intérêt de ces questions n’échappera qu’aux petits idéologues pressés qui ne se préoccupent jamais de la politique concrète telle qu’elle s’inscrit ensuite dans la vie quotidienne du monde du travail.
Reste une interrogation en forme d’appel au débat dans la conclusion:”….La mondialisation libérale et …l’impasse des stratégies de gauche pour y faire face…”. Les textes du congrès à venir du PCF (?) celui du PS (les textes publiés ne semblent pas pour l’heure s’y intéresser vraiment) seront -ils de quelque lumière sur ce sujet? On peut en douter quand on suit la vie politique de près.
Cet appel aux interrogations et discussions est donc bel et bon.
Me vient une question tant de fois déclinée sur tous les modes dans les interventions des lecteurs ce blog: une voie sans issue appelle une “bifurcation”pour éviter une collision avec le mur d’en face. Pour reprendre tes propres termes.
Quand le mur d’en face signifie la régression historique mondiale que les forces de progrès n’ont pas su empêcher pour l’heure.J’ai pensé que l’Europe et singulièrement la France républicaine avaient un rôle particulier à tenir. Cette réflexion me venait dans les années qui suivirent la chute du mur à Berlin. Près de 20 années plus tard,je ne vois pas de motif d’en changer. Comme le temps passe ! Comme “l’espérance est violente”!
Une occasion a été perdue après la victoire du Non au TCE et les essais de coalition anti libérale qui s’ensuivit. Des leçons ont été tirées. Alors ?
Une autre occasion de “bifurquer”peut être saisie dans certains pays de l’Europe pour les élections européennes de l’an prochain. Des conversations à Marseille avec les diverses couleurs du Non de 2005, ces derniers mois, m’incitent à le penser.
Il faut un signal.
Celui-ci ne peut venir que des rangs de ceux qui ne renoncent pas à s’afficher à gauche, et en actes, du côté du PS. Pour des raisons historiques et parce que le PS est l’axe central,pour l’opinion publique,de la gauche.Tout l’éventail des couleurs de l’espoir cristalliseront alors autour de ce signal.Comme la métaphore de Stendhal à Salzbourg au sujet de l’amour.Sans cela,éparpillement,désagrégation,poursuite des régressions…
Le président (UMP) de l'Association des Maires de France, Jacques Pélissard, a estimé vendredi 16 mai que mettre "à la charge des communes" l'organisation du service minimum d'accueil dans les écoles n'était "pas acceptable" et a averti que les maires ne joueraient pas "un jeu faussé".
"L'officialisation d'un dispositif qui mettra à la charge des communes l'organisation de cet accueil alors que c'est la compétence de l'Etat, ça ne me paraît pas acceptable et les maires ne joueront pas ce jeu? qui me paraît un jeu faussé", a déclaré M. Pélissard sur France Inter.
"Autant je suis favorable au service minimum, autant je considère que c'est à l'Education nationale en interne de l'assumer et non pas aux communes", a ajouté le député-maire UMP de Lons-le-Saunier (Jura).
Interrogé par l'AFP, le président de l'Association des Maires de France a précisé que si "la continuité de service public s'impose à chaque service public", cette mission "n'est pas de la compétence des communes". "Ce rôle de supplétifs des enseignants en grève n'est pas le nôtre".
"Si demain les éboueurs de ma commune sont en grève, je ne vais pas aller demander aux instituteurs d'aller ramasser les poubelles", a encore dit M. Pélissard. "C'est une question de principe".
Le député du Jura a également souligné sur France-Inter que "le régime de responsabilité en cas de problème, d'accident (n'était) pas bien défini".
Enfin, a-t-il fait valoir, "nous avons des petites communes et ces communes ne sont pas dotées des personnels qui permettraient l'accueil des enfants. Ce n'est pas avec un cantonnier ou un garde champêtre qu'on va faire l'accueil des enfants".
http://www.marianne2.fr/_afp_newsmlmmd.bf36a4e69f4c6b346a06188499d4e4af.871_pnewsmlmmd.bf36a4e69f4c6b346a06188499d4e4af.6c1_nnewsmlmmd.1654ab1c8769c5a242dd7c6622dd6ec4.351_r3
@jennifer,
Jean-Marc le reconnait lui-même, il hallucine. C'est bien ce que je pensais mais il vaut mieux que ce soit lui qui le dise.
Il n'est pas assuré qu'un, voire deux, emplâtres puissent y remédier. Contre la folie des grandeurs il n'y a pas grand-chose à faire!
Un petit tour du côté de Wikipédia.....................
La mégalomanie consiste en la surestimation de ses capacités, elle se traduit par un désir immodéré de puissance et un amour exclusif de soi. Elle peut être le signe d'un manque affectif. En psychiatrie, la mégalomanie est classée dans la famille des psychoses délirantes chroniques. On la nomme couramment Folie des grandeurs.
« La généralisation du modèle occidental de croissance et l’émergence de nouveaux pays avides de dépenser et de jouir nous conduisent à de redoutables impasses. Le rêve des Chinois (comme le nôtre, comme celui des Indiens et des autres) consiste à consommer. Je le déplore, mais c’est ainsi. Où cela nous mène-t-il ?
Le Earth Policy Institute (EPI), de Washington, s’est livré à quelques calculs amusants. Si la croissance de l’économie chinoise se poursuivait au rythme actuel (10 % par an), les Chinois rattraperaient les Américains en 2030, avec un revenu annuel per capita de 38 000 dollars. La Chine serait alors peuplée d’un milliard quatre cent cinquante millions d’habitants et on y verrait pétarader un milliard cent millions d’automobiles – alors qu’il en existe huit cents millions aujourd’hui sur la Terre. D’où sortirait le carburant ? A quel prix les citoyens de Pékin ou de Canton feraient-ils le plein ?
Dans la même hypothèse de « rattrapage », la Chine émettrait, en 2030, deux fois plus de gaz à effet de serre que le reste du monde. Elle consommerait plus de papier que toutes les forêts de la Terre n’en pourraient offrir. Elle absorberait les quatre cinquièmes de la production actuelle de viande et les deux tiers de celle de céréales…
Supposons que l’Inde s’y mette avec la même hargne. Et tous les pays sous-développés…
Abracadabrantesques perspectives…
Mortelles illusions de l’économie de marché et de la sacro-sainte « politique de croissance » !
A mes yeux, une chose est sûre. Avant d’en arriver à de telles absurdités, nous nous serons entre-tués. Nous nous serons massacrés les uns les autres pour le pétrole, l’eau, les minerais, le bois, le dernier poisson, la dernière baleine, bref pour tout ce que nous appelons nos « richesses naturelles » ou nos « ressources ».
Nous nous comportons comme des goinfres. Nous incarnons d’insatiables gloutons. Nous sommes les seuls vrais parasites de la planète…Nous dévorons le monde sans regarder au-delà de notre jardin, de notre rue, de notre compte en banque, de notre cours de bourse ou de la prochaine élection. »
(Yves Paccalet)
Donc mon cher YVES bien sûr pour toi maintenant le programme c'est :
Ceinture sur tout...
Bon courage et merci pour la planète !
Laisse moi te dire que tu es délibérément pessimiste, il y a aussi des bonnes nouvelles !
Les guerres, les maladies, les cyclones, la faim, les tremblements de terre...
Que des raisons d'espérer, quoi, et si bientôt nous étions beaucoup moins nombreux et propère que maintenant !
Pas envie de jouer avec mon IP et des proxy.
Mais je me souviendrai de mon passage et de mon expérience sur ce blog, que je communiquerai assez largement autour de moi. :)
"A mes yeux, une chose est sûre. Avant d’en arriver à de telles absurdités, nous nous serons entre-tués. Nous nous serons massacrés les uns les autres pour le pétrole, l’eau, les minerais, le bois, le dernier poisson, la dernière baleine, bref pour tout ce que nous appelons nos « richesses naturelles » ou nos « ressources »."
Des fois je me dit que c'est pour ça que les dirigeants se foutent de notre avenir. A quoi bon se préoccuper de condamnés? Prenons tout le fric et faisons une dernière orgie monumentale !
Johann Hari : La méprisable campagne de diffamation contre les critiques d¹Israël
Par Johann Hari, The Independent, 8 mai 2008
Mon propre cas n¹est pas spécialement important, mais il illustre bien la façon plus générale dont ce processus d¹intimidation opère. Mon travail de reporter m¹a amené à m¹infiltrer parmi les activistes de la mosquée [jihadiste] de Finsbury Park et dans le milieu des négationnistes néo-nazis afin de mettre en lumière la haine anti-juive qui y règne. Lorsque je suis intervenu sur la chaîne Islam Channel pour dénoncer l¹anti-sémitisme des islamistes, j¹ai reçu une série de menaces de morts accompagnée de messages me traitant d¹« adorateur des Juifs », de « cochon de pédé sioniste » et autres nom d¹oiseaux.
Mais attendez, ce n¹est pas fini. J¹ai aussi fait des reportages à Gaza et dans les territoires occupés. La semaine dernière, j¹ai écrit un article qui décrivait la façon dont les eaux usées et non retraitées des colonies israéliennes illégales étaient reversées sur les terres des Palestiniens, contaminant leurs réservoirs. Cette information n¹est pas contestable : elle a été bien documentée par les Amis de la Terre et j¹en ai moi-même constaté la véracité de mes propres yeux.
La réaction ? On n¹a pratiquement pas essayé de contester les fait que j¹exposais. En revanche, certains des auteurs et des groupes « pro-israéliens » les plus connus ‹ y compris les ONG spécialisés dans la critique des médias Honest Reporting et Camera ‹ ont déclaré que j¹étais un raciste anti-juif assimilable à Joseph Goebbels et Mahmoud Ahmadinejad. Melanie Phillips a même fait un lien entre l¹agression au couteau contre deux Juifs au nord de Londres et des articles comme les miens. La rédaction de The Independent a été inondée par une avalanche de courriels réclamant mon licenciement.
Toute tentative de décrire de façon objective la situation des Palestiniens se heurte à la même réaction. Si vous parlez de la contamination des terres palestiniennes par les eaux d¹égout des implantations juives, l¹ONG Honest Reporting vous accusera de ressusciter le mythe antisémite des Juifs qui « empoisonnent les puits ». Si vous interviewez une femme dont le bébé est mort en 2002 parce qu¹elle a été arrêtée en pleine phase d¹accouchement par des soldats israéliens à un poste de contrôle dans les territoires occupés, Honest Reporting vous reprochera de ne pas avoir expliqué la « véritable cause » de ce drame, à savoir l¹élection de HamasŠ en 2006 ! Et c¹est constamment la même chose.
David Landau, ancien éditeur du quotidien Ha¹aretz décrit le comportement de ces groupes comme une forme de « maccarthysme émergent ». Les principaux responsables de ce maccarthysme défendent des positions extrémistes tout à fait personnelles qui les situent largement à droite de la plupart des Israéliens. Alan Dershowitz et Melanie Phillips sont deux de ces personnalités très en vue qui attaquent quiconque se déclare en désaccord avec la droite israélienne. Dershowitz est avocat, professeur à Harvard et auteur de The Case For Israel (Plaidoyer pour Israël). Il considère le nettoyage ethnique comme un détail sans grande importance : « Les solutions politiques exigent souvent des déplacements de population, et ces déplacements ne sont pas toujours volontaires.[Š] il s¹agit là d¹un problème de cinquième ordre (fifth-rate issue) analogue sous bien des aspects à ce qui se passe dans certaines opérations de rénovation urbaine de grande ampleur. » Le plus souvent, à peine une personnalité américaine de premier plan adopte-t-elle sur Israël une position plus à gauche que la sienne, que Dershowitz se répand dans les médias pour l¹accuser d¹antisémitisme et de racisme.
La journaliste Melanie Phillips joue un rôle analogue en Grande-Bretagne. L¹année dernière, un collectif intitulé Independent Jewish Voices s¹est formé et a publié une déclaration d¹intention affirmant que « les Palestiniens et les Israéliens jouissent d¹un même droit à la paix et sécurité. » Parmi les signataires, on comptait diverses personnalités juives britanniques comme le cinéaste Mike Leigh, le comédien Stephen Fry et le rabbin David Goldberg. Phillips s¹empressa de baptiser le groupe « Jews For Genocide » (Juifs favorables au génocide), déclarant qu¹ils « encourageaient » les « assassins » de Juifs. D¹où viennent de telles insanités ? Toujours d¹après Phillips, les Palestiniens sont un peuple « artificiel » qui mérite une punition collective parce qu¹il s¹agit d¹une « population terroriste ». Elle estime que si, « pris individuellement, les Palestiniens méritent éventuellement la compassion, leur projet national équivaut à une forme de négationnisme ». Honest Reporting mentionne Phillips comme un modèle de journalisme fiable.
Ces individus dispensent l¹accusation d¹antisémitisme avec une telle facilité que, si l¹on s¹en tenait à leurs critères, une majorité de Juifs israéliens pourraient être accusés d¹arborer des tendances antisémites. Dershowitz a ainsi déclaré que la décision de Jimmy Carter de dialoguer avec le gouvernement élu de Hamas « frisait l¹antisémitisme. » Un sondage publié par Ha¹aretz le mois dernier démontre que 64 % des Israéliens souhaitent que leur gouvernement prenne langue avec Hamas.
En tant que président des États-Unis, Jimmy Carter a démontré son engagement aux côtés d¹Israël. Il a apporté à ce pays une aide beaucoup plus massive qu¹à n¹importe quelle autre nation et a promu le seul accord de paix avec un régime arabe dont l¹État juif ait jamais bénéficié. Il est également désireux de voir se créer un état palestinien viable et sûr aux côtés d¹Israël, c¹est pourquoi il a publié l¹année dernière un livre intitulée Palestine : Peace Not apartheid (Palestine : la paix, pas l¹apartheid). Cet ouvrage se contente d¹exploiter de façon assez modérée et factuelle les rapports sur la question rédigés par les principales organisations de défense des droits de l¹homme. Il n¹y a là rien qu¹on ne puisse lire tous les jours dans la presse israélienne établie. La comparaison que fait Carter entre la vie dans les territoires occupés (et non pas en Israël même) et l¹Afrique du Sud de l¹apartheid n¹a rien de nouveau. Les territoires occupés sont gouvernés au service des intérêts d¹une petite minorité juive ; ils sont sillonnés de routes destinés exclusivement aux colons juif et dont les Palestiniens sont bannis. D¹après l¹organisation de défense des droits de l¹homme israélienne B¹tselem, cette situation « présente une similarité frappante avec le régime raciste de l¹apartheid ». Mais, pour la simple raison qu¹il a fait écho à ces réalités aux États-Unis, Carter a été abondamment traité de « raciste ». Plusieurs universités ont même refusé de laisser l¹ancien président s¹adresser à leurs étudiants.
Ces batailles de campus sont souvent couronnées de succès. Norman Finkelstein est un politologue américain dont les deux parents ont survécu au ghetto de Varsovie et aux camps de concentration nazis. Ils y ont perdu tous les membres de leur famille. Finkelstein s¹est fait connaître pour avoir démasqué un ouvrage intitulé From Time Immemorial (Depuis la nuit des temps), de Joan Peters, qui expliquait que la Palestine était pratiquement vide quand les colons sionistes sont arrivés et que les prétendus Palestiniens étaient pour l¹essentiel des imposteurs provenant des régions limitrophes qui ont immigré sur place pour exploiter la situation. Finkelstein démontra que Peters avait falsifié les statistiques et grossièrement manipulé les sources. Dès cette époque, il fut traité d¹antisémite par les laudateurs du livre de Peters. Mais, il y a deux ans, quand Finkelstein révéla qu¹Alan Dershowitz avait repris sans la citer des passages entiers de l¹ouvrage mensonger de Peters dans son propre livre The Case For Israël, les choses ont commencé à empirer. Dershowitz fit campagne pour empêcher Finkelstein d¹être titularisé comme professeur à l¹université où il enseignait. Il alla même jusqu¹à déclarer que la mère de Finkelstein ‹ qui a survécu à Maïdanek et à deux camps de travail forcé ‹ avait collaboré avec les nazis. Cette campagne de diffamation atteignit son but. La titularisation de Finkelstein fut refusée par l¹université De Paul pour la seule raison qu¹il avait dit la vérité
L¹hystérie croissante des Dershowitz, des Phillips ou des groupes comme Honest Reporting ne serait-elle pas due au fait qu¹ils sentent bien qu¹ils sont en train de perdre la bataille des arguments ? Les Juifs progressistes ‹ qui sont la majorité ‹ sont en train de créer des organisations susceptibles de rivaliser avec celles de la droite dure, auxquelles adhèrent Dershowitz et Cie. Ils décident de s¹engager parce qu¹ils sont convaincus que cette campagne de diabolisation porte préjudice à tout le monde. Elle porte préjudice aux Palestiniens parce qu¹elle empêche que leur sort soit débattu de façon honnête. Elle porte préjudice aux Israéliens, parce qu¹elle stimule leur vaine fuite en avant sur le chemin de l¹agression. Et elle porte préjudice aux Juifs de la diaspora parce qu¹elle rend de plus en plus difficile de combattre le véritable antisémitisme.
Il est temps de regarder les instigateurs de cette chasse aux sorcières droit dans les yeux et de leur répéter les propos émis en 1954 par l¹avocat Joseph Welch dans son interpellation du sénateur Joseph McCarthy : « Cela suffit, maintenant. Est-ce que vous êtes encore capable d¹un minimum de décence ? Vous reste-t-il un minimum de décence ? »
Johann Hari, né en 1979, est un journaliste et auteur britannique, éditorialiste des quotidiens The Independent et Evening Standard. Ses articles ont également paru dans le New York Times, le Los Angeles Times, The New Republic, Le Monde et Ha’aretz. En 2007, il a été nommé « journaliste de l¹année » par Amnesty International et a reçu en 2008 le prix Orwell du journalisme politique.
Référence : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1986
Faites tourner (source Irlande) :
--------------
"Stoppons le traité europeén! Faites entendre votre voix en Irlande!
Le 13 décembre 2007, les chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union Européenne ont signé le "Traité de Lisbonne" dont ils souhaitent voir la mise en œuvre au 1er janvier 2009. Ce traité sera le cadre des futurs travaux de l'Union Européenne et, comme la Constitution Européenne rejetée en 2005 par les Français et les Néerlandais, il définit de la même manière une Union Européenne néolibérale où le marché est libre. Comme aucun traité auparavant, il créera un bloc militaire où la course à l'armement devra être permanente. Par contre, les besoins sociaux des citoyens européens ne sont pas pris en compte. Au lieu de répondre aux souhaits des citoyens européens pour une Europe démocratique, sociale, pacifique et écologique, ce traité grave dans le marbre une feuille de route néolibérale pour l'Union Européenne.
Pour réussir ce coup d'état, tous les appels à référendum ont été ignorés et les gouvernements trompent leurs citoyens sur le contenu du traité.
Nous demandons aux Irlandais de voter contre ce Traité pour l'Union Européenne!
Nous plaçons notre espoir dans les Irlandais, et dans la capacité de nos camarades Européens à rejoindre cet effort.
Nous disons OUI à l'Europe, mais nous voulons un nouveau départ. Nous voulons une Europe pacifique, sociale, écologique et démocratique et nous disons NON à la militarisation de l'Union Européenne, à son orientation néolibérale, et à la dégradation des libertés démocratiques.
Nous aspirons à une Union Européenne des peuples, par les peuples, pour les peuples, mais cela ne peut être possible que si tous les citoyens de l'Union se voient accorder le droit de décider par eux-même s'ils acceptent le Traité de Lisbonne. Nous disons NON et vous demandons de faire de même.
http://www.irish-friends-vote-no-for-me.org/index.php?set_language=fr&cccpage=home
Plus du quart de la faune mondiale a disparu depuis les années 70, a révélé une étude publiée vendredi 16 mai 2008 par la Société zoologique de Londres en collaboration avec le Fonds mondial pour la nature (WWF).
Cette étude a observé l'évolution de quelque 1.400 espèces de poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux ou mammifères pour conclure à un déclin de 27 % de la faune entre 1970 et 2005.
La faune terrestre a reculé de 25 %.
La population animale en eau de mer a chuté de 28 %, et celle en eau douce de 29 %, selon ce rapport.
L'être humain contribue à la disparition d'environ 1 % des espèces animales chaque année, selon le rapport, qui souligne qu'un des "grands épisodes d'extinction" de l'histoire est en cours.
La pollution, l'agriculture, l'expansion urbaine, le recours excessif à la pêche et la chasse, sont les raisons citées pour expliquer cette tendance.
"La réduction de la biodiversité signifie que des millions de personnes font face à un avenir où les réserves en nourriture seront plus vulnérables aux insectes et maladies, et où l'eau sera disponible en quantité faible et irrégulière", a déploré James Leape, le directeur général du WWF.
"Personne ne peut échapper à l'impact de la réduction de la biodiversité sur nos vies parce que cela se traduit très clairement par moins de nouveaux médicaments, une plus grande vulnérabilité aux désastres naturels, et des effets accrus sur le réchauffement climatique", a-t-il ajouté.
Ce déclin intervient à une époque où les êtres humains consomment chaque jour plus de ressources naturelles, et où ils utilisent 25 % de plus que ce que la nature peut remplacer, selon l'étude.
Ce rapport précède la convention de l'ONU sur la biodiversité qui se tiendra la semaine prochaine à Bonn (Allemagne).
http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-35482976@7-37,0.html
Ségolène Royal a officialisé sa candidature à la direction du Parti Socialiste.
Certes, manifestement, sa candidature déplaira pas aux " éléphants ".
Mais, in fine, seul le vote des militants sera pris en considération.
La démocratie, c'est cela...
Dans ce post, il y a des moments d'échanges intéressants, des propositions que je n'ai entendu nulle part. Même si elles ne sont pas toutes pertinentes, il y a débat. Alors, n'allez pas bouder, les uns et les autres.
Je crois que nous sommes tous dans la cadre que définit la République:
- La Loi est ce qui protège le faible du puissant
- Tout contrat entre deux groupes d'intérêt doit être conforme à la loi votée par la représentation citoyenne.
- La Nation est le cadre qui permet la souveraineté populaire et la citoyenneté. Elle n'entre pas en conflit avec l'internationalisme prolétarien.
Jeudi est sorti l'appel à gauche de Politis: il me semble aller dans le sens de PRS, d'une gauche socialiste qui sache faire des alliances pour gérer le pouvoir.
Nous voulons aller vers une force capable de résister à la majorité du PS sur ses bases socio-dem et aux encouragements de la LCR qui veut immobiliser un pôle de radicalité incompatible.
Donc, çà bouge !
Question à JLM: que fais-tu de cet appel à gauche?
Bonjour
M. Mélenchon, je souhaiterai connaitre votre position sur le débat actuel en rapport avec l'éducation. Je ne parle pas de la laïcité attaquée de toute part, ni même du financement d'écoles catholiques par l'état. Ce qui m'intéresse pour l'instant serait plutôt votre point de vue sur la crise actuelle, les postes supprimes, les classes qui vont être surchargées, les programmes qui s'allègent, enfin toutes les vrais revendications des professeurs.
Merci
Bonjour tout le monde.
à Ludo
17 mai 2008 à 11:11
Peut-être trouverez-vous quelques réponses ici :
Melenchon - Question d’actualité sur la situation dans l’éducation nationale
ah merci bcp !
Bonjour Camarade,
Elles sont accessibles où en ligne les professions de foi descandidats sénateurs qui se présentent en septembre prochain aux élections ?
Et leur programme il est adressé quand et comment à leurs grands électeurs ?
S. Renault.
à Renault 17 mai 2008 à 12:53
"Date limite d'envoi de la propagande électorale des candidats aux électeurs sénatoriaux", voyez ici :
Calendrier des élections sénatoriales 2008
Quant a la disponibilité des professions de foi et des programmes en ligne,
je doute fort qu'il existe un site les regroupant tous.
Vous pourriez essayer ceci :
dans un moteur de recherche (style Google), vous tapez
nom du senateur qui vous interesse programme profession de foi.
Samedi 27. Ce blog a l'honneur d'être cité (si pas récupéré pour une manipulation par mensonge) sur les commentaires du site :
http://cyppluraghi.free.fr
et en ces termes peu amènes :
- "ah au fait Sanglier/MoucheAMerde,
dans le désordre.... j'ai pas insisté sur ton éviction.(je vais juste vider le sujet...maintenant...)
dis...tu t'es fait virer de chez Mélenchon ? wwwaaaghaggggh...le pieeeed....
On dirait bien que le modérateur m'y a écouté : plus de Sanglier, plus de Veritas, plus de Marcassin...
Au moins tu vois les méchants extremeRouges, nous avons nos convictions.
Dommage que je gestionnaire (communautariste) de chez DSK ne t'ai pas viré, Sanglier, à l'époque. Je connais bien Benjamin Griveaux, il a les mêmes gouts que toi, ou que Christophe Arvis en tout cas. Qui se ressemble, s'assemble...
Nous les Rouges on sait etre CARRES, tu comprends (on prend l'équerre et on sait s'en servir...) évidemment, vous autres vous préférez les trucs ronds...et vous croyez que ça marche en politique...
Malheureusement, ma puce, la politique ce n'est pas la vie privée...
T'as pas encore compris pourquoi on te laisse écrire ici ? Crétin, va.
le Beelge"
Tu parles de rouge ? Tu en es peut être. ALORS une bonne nouvelle pour toi camarade, encore un pays communiste qui va passer à l'ouest !
yip, yip, hurrah !
Raoul Castro a autorisé depuis peu la pluralité des partis ce qui était interdit sous l'autre vieux snock.
Le communiste c'est formidaable, c'est tellement vivable que ça se barre en couilles de tout les cotés.
Les rouges n'ont jamais rien compris en politique, ils se sont encore plus bouffés entre eux que les autres. Le CHE a été laché et condamné par castro, troski assassiné par staline.
C'est de la totale m**** en branche tout ça !
yêk, yêk, yêk depuis la chute du mur de berlin on rigole un max.
Si les rouges aiment être carrés c'est parceque ça évoque la forme d'une prison, d'un stalag ou bien d'un laogaï.
GOD BLESS AMERICA !
.
Je suppose comme son nom l'indique que " 4 aout " veut réitérer 1789 qui nous a conduit au point où nous en sommes, et dont il se plaint.
C'est super, ça me fait penser au Barios !
Y avait toujours un des deux freres qui expliquait quelque chose à l'autre et pendant ce temps celui des deux qui écoutait l'explication hochait la tete en guise d'acquièssement.
Quand l'autre lui demandait s'il avait finalement compris il répondait immanquablement : " Hein ?... non ! "
De toute manière les communistes c'est des frustrés qui font semblant de critiquer l'organisation du monde mais qui critiques seulement que ce ne soit pas eux qui en profitent !
Le tout sous couvert de propagande humaniste qu'ils oublient encore plus vite que les autres quand ils sont au pouvoir.
Quand ils y sont c'est tout pour leur gueule et celle des copains, RIEN pour les autres. Et sous régime communiste RIEN ça veut dire MOINS QUE RIEN.
Comme disait gabin dans la traversée de Paris : " Salauds de pauvres ! "
Ce qu'ils critiquent dans la richesse c'est simplement d'etre de leur coté de la barrière pas le systeme qui gère la planète.
Ce que reflète ce blog c'est qu'il est à l'image de la Société actuelle il s'agit là d'une discussion permanente de gens qui ne s'écoutent pas et dont beaucoup, je vous prie de m'excuser si cela fache certains, beaucoup ne connaissent pas le sujet qui les préoccupe, je crois que c'est grâve. Aujourd'hui à la lecture de ce blog, on aperçoit bien le moitié des 258 participations orientées vers des besoins à satisfaire que philosophiquement on pourrait dire de Gauche,dans le besoin on remarquera cependant qu'aucun cherche à concilier sa vision des choses avec celle d'un autre . Que je sache Le Sénateur Socialiste Jean Luc Mélenchon a mis à disposition des curieux socialisants ce blog qui devrait être un laboratoire d'idées pour envisager la création d'un modèle de Société. Certain ici parlent de Société Libérale comme ci c'était une invention du 20e siécle, ils parlent aussi du Marché, d'autres enfin et même si ce n'est pas exprimé ainsi de conciliation de tous les intérêts dans ce monde.
Il est convenable de dire et de le prouver par de nombreux écrits que le Marché a pris ses racines au 17eme Siécle, en gros depuis la naissance des industrialisations, le Siécle des Lumiéres mit en exergue par les connaissances acquises et toutes les dimensions de l'Homme et de son avidité à développer son besoin de puissance, l'individu contestera le Roi représentant de dieu sachant que dieu est une invention du Roi et de ses serviteurs avides de se nourrir des miettes du souverain. Depuis que le Marché existe, il est lié à l'argent et à l'exploitation des hommes. L'esclavage sera la pire forme d'exploitation du primate que l'on nomme être humain, mais à côté de ce crime immonde naitront des hommes qui peu à peu enseigneront à l'Homme les libertés. Seront toujours inconciliables les intérêts de l'esclave et ceux du maître, l'esclave ne possède que ses bras et le maitre son droit de vie et de mort.
Je me permettrai de revenir demain et si vous le permettez pendant plusieurs jours sur ce sujet oh combien important de notre actuelle Société et il va s'en dire de ses racines
Le nombre d’espèces animales connaît un déclin à un taux « sans précédent depuis l’extinction des dinosaures », indique une nouvelle étude sur le règne animal.
The Living Planet Index, publié le 16 mai 2008, montre les effets dévastateurs de l’activité humaine sur la biodiversité, qui a chuté de près d’un tiers durant les 35 années précédant 2005.
Ce rapport, établi par le WWF, la Zoological Society of London (ZSL) et le Global Footprint Network, indique que sur l’échantillon observé, le nombre d’espèces terrestres a diminué de 25 %, la faune marine de 28 %, et les espèces vivant en eau douce de 29 % (l’analyse a porté sur la situation de 3600 populations animales, appartenant à 1300 espèces différentes).
Jonathan Loh, le rédacteur en chef de cette publication, déclare que cette forte baisse est « tout à fait sans précédent durant l’histoire de l’humanité ».
« Il faudrait remonter à l’extinction des dinosaures pour observer un déclin plus rapide que celui-là, ajoute-t-il. A l’échelle de notre vie, nous voyons peut-être les choses changer relativement lentement, mais à l’échelle de l’histoire du monde, c’est très rapide. »
Le mot « rapide » est un euphémisme. Les scientifiques indiquent que le taux d’extinction actuel est aujourd’hui 10 000 fois plus élevé que ce qui a été considéré comme la moyenne historique habituelle.
Au moment où la communauté internationale est réunie à l’occasion de la Convention sur la Diversité Biologique à Bonn, ces chiffres alarmants jetteront une ombre sur les engagements pris par les gouvernements pour parvenir à une réduction « significative » de la baisse de la biodiversité d’ici à 2010. En fait, les auteurs du rapport affirment que l’inaction des états rend déjà totalement hors d’atteinte cet objectif.
« On peut reprocher aux états qui participent à cette Convention de ne pas être en mesure d’atteindre l’objectif qu’ils se sont eux-mêmes fixés », juge M. Loh. « La conférence ne se traduit pas en actes. Nous sommes en train d’échouer, et les conséquences seront dévastatrices. »
Les chercheurs ont observé la situation de près de 4000 espèces entre 1970 et 2005. Ils révèlent non seulement la destruction des espèces, mais pointent également du doigt les responsables de cette destruction.
Ben Collen, chercheur spécialisé dans l’étude de l’extinction à la Zoological Society of London, déclare : « Entre 1960 et 2000, la population humaine mondiale a doublé. Mais au cours de la même période, les populations animales ont diminué de 30 %. Il est hors de doute que ce déclin ait été provoqué par l’homme. »
L’étude identifie cinq raisons au déclin des espèces, qui peuvent toutes être attribuées à l’activité humaine : le changement climatique, la pollution, la destruction de l’habitat naturel, l’introduction d’espèces envahissantes et la surexploitation des espèces.
Au moment où les USA ont enfin décidé d’ajouter l’ours polaire sur la liste des espèces en danger, il apparaît que l’ampleur de cette disparition va bien au-delà des animaux dont le sort est le plus médiatisé. Mais, comme dans le cas de l’ours polaire, le comportement de l’humanité doit changer radicalement pour mettre un terme à cette destruction de la biodiversité.
Le cas du dauphin d’eau douce du Yangtze en fournit un bon exemple. Les scientifiques pensent que l’espèce s’est éteinte, car les différentes recherches pour retrouver ce mammifère d’eau douce se sont révélées vaines. Il existe de nombreuses raisons expliquant son extinction rapide : les collisions avec les navires, la disparition de son habitat et la pollution. Dans chaque cas, l’homme est le responsable.
En dehors de la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, le rapport recommande deux méthodes qui pourraient être mises en œuvre pour combattre ce déclin : préserver les habitats naturels contre les emprises excessives des activités humaines et éviter la surexploitation et la surpêche des espèces.
Les implications de ces réductions drastiques de la biodiversité ont déjà des conséquences sur la vie humaine. « La réduction de la biodiversité implique que des millions de personnes seront confrontées à un futur où l’approvisionnement alimentaire deviendra plus vulnérable aux parasites et aux maladies, » déclaré James Leape, directeur général du WWF. « Nul ne peut échapper aux conséquences de cette perte de biodiversité parce que cela se traduira très clairement par moins de nouveaux médicaments, une plus grande vulnérabilité aux catastrophes naturelles et par un impact plus fort des effets du réchauffement de la planète. Les pays développés doivent soutenir les efforts de la communauté internationale visant à atteindre ces objectifs, pas seulement sur leur propre territoire où la biodiversité a déjà beaucoup diminuée, mais aussi au plan mondial. »
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=1989
à Marcus 17 mai 2008 à 18:49
ils parlent aussi du Marché
Depuis que le Marché existe
le Marché a pris ses racines au 17eme Siécle
J'aime bien les donneurs de leçons dans votre genre qui, surtout,
évite d'appeller les choses essentielles par leur nom.
C-A-P-I-T-A-L-I-S-M-E
Si déjà le mot vous fait peur, ça promet...
A demain.
Monsieur le Sénateur,
cher Camarade,
tant que le modérateur travaillera ainsi, le blog sera invivable politiquement.
Il faut se rendre compte que les pressions sociales rendent fous beaucoup de nos concitoyens, alors ils se défoulent sur Internet.
Pierre "le Belge" de Lille
@ Dominique
"1789 qui nous a conduit au point où nous en sommes, et dont il se plaint."
Ce dont je me plains, c'est le retour à l'avant 1789 auquel on assiste.
Des seigneurs tout puissants qui possèdent tout et qui font les lois, des gueux qui triment pour survivre. La différence avec 1789, c'est qu'aujourd'hui c'est mondial, et que c'est devenu LA norme. Aujourd'hui, le gueux crève de faim devant un champs de maïs transgénique, hyper bien sécurisé par une police qu'il paye de ses impôts pour veiller aux "intérêts privés"... Ce maïs, une fois transformé en bio-éthanol, pourra alimenter le porsche cayenne du patron. (Oui je sais, c'est un peu gros, mais c'est tellement ça !)
Monsieur le Sénateur, cher camarade,
Ce blog est bel et bon... mais à quoi sert-il? si ce n'est de défouloir?
La question, une fois de plus, de l'abstention du PS pèse... Ne le voyez-vous pas?
Lors du TCE, lors du Congrès de Versailles, j'avais écrit à F. Hollande pour expliquer combien la "France d'en bas", tout en restant attachée à l'Idée européenne, ne pouvait accepter de tels traités...
Même si ses réponses ne me satisfaisaient pas, elles avaient le mérite d'exister... En termes de "non réponses" on pouvait difficilement faire mieux! mais, il y avait réponse, et, pour moi, prise de conscience (si besoin était) des abysses séparant le "bon peuple de France" de ceux qui sont sensés le représenter, de ceux qu'ils ont élus pour cela! (à gauche s'entend).
Voilà quelques semaines, je vous ai écrit, personnellement, à Trait d'Union... et n'ai obtenu aucune réponse de votre part, alors que vous représentiez encore les "reliefs du socialisme", dans mon esprit très jaurèssien.
Si je n'obtiens aucune réponse de votre part, je cesserai de croire en cette gauche nouvelle que vous pourriez incarner... Il ne suffit pas de dénoncer, de venir à Montpellier ou à Saint Ouen pour dire que rien ne va plus dans le PS... il importe désormais de mettre en ordre de marche une gauche véritable qui n'attend que vos décisions...
Je demande expressément une réponse...
Chere Anny Paule,
tu as raison évidemment. Enfin, tu sais comment ça marche le quotidien d'un homme politique...les pressions, le timing, les foultitudes de sollicitations, etc.
J'attire ton attention et l'attention de tous sur ceci :
c'est bien beau de demander le changement "en haut".
Rien ne changera tant qu'il n'y aura pas l'Union A LA BASE.
Et ça, c'est l'explication de nos malheurs.
le Belge
Bonne chance Marcus...
Comme le montre déjà le post 261, vous allez rencontrer sur ce blog les esprits les plus ouverts et subtils qui soient! : (
Pierre L 261. Le mot Capitalisme ne me fait pas peur ce qui me fait peur c'est la lacheté des gens a ne rien faire pour se séparer du Capitalisme. Je suis pour que le chatiment suprême soit appliqué aux capitalistes responsables de Suicides resultants de la surexploitation, je trouve inadmissible qu'un homme touche en prime de licenciement 7000 fois le Smic
-----------------------------------------------------------------------------
Comme je trouve inadmisible de ne pas rechercher l'union de toutes les forces de Gauche pour en finir avec le Capitalimse
------------------------------------------------------------------------------
Je trouve inadmissible de porter un jugement sans valeur contre quelqu'un qu'on ne connait pas
---------------------------------------------------------------------------------
Ajourd'hui ce qui m'a fait réagir c'est que quelqu'un soumettait l'idée de réconciliation de la Gauche avec l'Economie, il se trouve que cette personne s'exprime comme une personne de Droite infuencée par le processus des exploiteurs.
---------------------------------------------------------------------
Le peuple de France est issu d'une longue évolution historique, ou chacune de ses piéces est importante je crois aussi a une révolution prolétarienne respectueuse de son passé et possible
Possible mais pour y arriver il faudra que Notre Peuple atteigne un très haut niveau de Culture,
------------------------------------------------------------------------
Bien qu'il m'arrive souvent d'enseigner, je ne "donne" pas de leçon, je lis les remarques simplement des "révolutionnaires anticapitalistes du moment afin de débattre ensemble pour aller plus loin ensemble"
-------------------------------------------------------------------------------
Je constate que ce blog ne sert pas à grand chose alors qu'il devrait être un carrefour culturel de confrontation d'idées.
---------------------------------------------------------------------------------
Pierre avez-vu lu le dernier livre de Mélenchon " En quête de Gauche" si oui que pensez-vous du contenu des pages de 73 à77 puis de 80 à 84puis 174 à 191 puis la conclusion "quand l'heure du rassemblement aura sonné" à partir de la page 300
------------------------------------------------------------------------------------
Ma conclusion personnelle est que le temps des cerises n'est pas pour demain