@Claire Strime
en complément (je continue à lire) la phrase en fin de l'article:
http://www.monde-diplomatique.fr/2003/11/DORNA/10680
"La présence du populisme est assimilable, mutatis mutandis, à un accès de fièvre. Et si la fièvre est symptôme de maladie, elle n’est pas, en elle-même, la maladie." me convient comme analyse, mais comme remède?

merci pour cette référence à Evelyne Grossmann, dont le texte répond à la question que tu poses sur l'irrationnel et le magique dans le populisme...:

"Il est vain, par conséquent, de mépriser les aspects affectifs du populisme au nom d’une rationalité à l’abri de toute contamination : les logiques qu’il met en œuvre sont inscrites dans le fonctionnement réel de tout espace communautaire. Le populisme n’est donc pas un certain type de mouvement identifiable à une base sociale particulière – la paysannerie ou les petits propriétaires par exemple – ; il est une logique politique qui tente de constituer le « peuple » comme acteur historique à partir d’une pluralité de situations antagoniques. Ce qu’il vise ? Restaurer une société pleinement réconciliée : horizon politique (voire mythique) qui marque selon Laclau la logique universaliste de la notion même de « peuple »."

Irish Times
Il est grand temps de te rendre compte, que la presque totalité des médias nationaux, à part peut-être l'Humanité sont dans la main des grands groupes capitalistes, Le Figaro, Libération, l'Express, Le Parisien, et pour les grandes chaines de télé c'est idem. Alors regarde bien les chôses en face, si il y avait une objectivité des médias cela se serait.. Rappel toi le référendum sur la constitution, ils étaient tous pour le oui, Madame Ockrent en premier alors... Mais, cela n'a pas suffit, cela me rappel beaucoup les pays de l'est, il avaient le pouvoir, les médias, l'armée et les barbelés et il ont tous étaient balayer par la volonté populaire. Mais à terme, cela pose la question de la démocratie, nous avons bien en France la pluralité des médias, mais ils raconte tous la même chôse ou presque.

Pour conclure sur ce chapitre, il y déja eu un tremblement de terre avec le NON français, et on voit bien que les parlementaires français à une large majorité ont étaient à contre sens du choix du peuple, est c'est là notre probléme, la représentation française de correspond pas réellement a ce que le peuple pense, tout cela est du au mode de scrutin et aux redécoupages électoraux, qui par exemple dans mon département d'origine la Corrèze en 88 à vu la perte du député communiste Jean Combasteil au profit de François Hollande illustre inconu à cette époque sur le département... et ce n'est pas tout puisque comme le PCF n'a pas était éradiqué par le découpage précédent et bien il va y en avoir un nouveau bientôt, qui permettra enfin au PS et à l'UMP le fameux bipartisme.