18sept 08

Si cette crise "financière" est bien la crise globale du capitalisme que nous voyons, alors nous sommes entrés dans une phase périlleuse de l’histoire de l’humanité. Les relations sociales dans chaque pays et les relations entre les nations vont en être toutes atteintes dans le sens du durcissement des tensions et de la confrontation. Triste perspective si l’on se souvient que les deux dernières crises générales se sont dénouées dans des guerres mondiales. Et il est bien dans le ton du monde actuel qu’il en aille ainsi. Dans ce monde entièrement dominé par le capitalisme, les divergences d'intérêts sont redevenues des conflits type dix neuvième siècle. Ils  opposent des impérialismes en vue de la maitrise des matières premières, des marchés et des voies de communication. Le maintien de la paix redevient donc une question centrale. Bellicistes et pacifiques vont s’affronter idéologiquement. On doit se souvenir que la paix n’est pas l’état de nature entre les hommes. C'est une construction politique. Dès lors, la paix est un enjeu politique. Quelle stratégie construire dans ce but ? Face aux tensions, que faire : la force ou la négociation ? Le point de vue de gauche dans le siècle passé est celui de la négociation et le refus de la force. Ce choix présuppose la reconnaissance des intérêts contradictoires des protagonistes. Le contraire du système blanc et noir, bon et méchant qui tient lieu de catégories mentales chez les importants aujourd’hui. Ce n’est pas tout. La paix et la guerre sont des dynamiques globales qui s’ancrent dans le sort des incendies locaux. Conflits ethniques, religieux, écologiques peuvent occasionner des départs de feux généraux sans commune mesure avec les origines ni leur impact local. C’est pourquoi je range dans la même catégorie de danger la situation au Caucase entre nations et la situation en Bolivie. Là, les riches aidés par les USA ont entrepris de déstabiliser le pays en agissant pour sa partition. L’expulsion de l’ambassadeur US est une bonne chose, intuitu personae. En effet cet homme est un spécialiste de la déstabilisation sécessionniste. C’est lui qui négocia les accords de Dayton qui entérinèrent le nettoyage ethnique de la Bosnie. C’est lui qui représenta les USA au Kosovo. Il manigança la criminelle indépendance de cette province. La réunion des chefs d’Etats américains a condamné les nouvelles activités des sécessionnistes boliviens. Je suis attristé de voir dans quel abandon la gauche laisse cette question. Quel peu de solidarité et d’information elle diffuse à ce sujet! Je crois que le devoir de la gauche de résistance est de se mettre en mouvement comme elle peut, dès qu’elle le peut. Peut-être que cela n’aura pas d’influence sur les évènements eux-mêmes. Mais ce n’est pas sûr. Ce qui est certain par contre c’est que cela permettra à tous ceux qui en seront saisis de comprendre comment la stratégie du « Choc des civilisations » se construit localement dans l’ethnicisation des conflits. « La politique locale est ethnique, dit Samuel Huntington l’inventeur de cette théorie, la politique globale est civilisationnelle ». Le complot pour la partition de la Bolivie n’est pas une affaire bolivienne.


274 commentaires à “Jusqu’à la paix”
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  1. maxou dit :

    Est-ce (mon père) ?
    Etienne Boulanger, Arcens (Ardèche)
    Dans l'huma du 11 septembre, sous le titre (La laïcité au coeur de la visite papale), le sous-titre est : (Le Saint-Père entame demain son premier séjour en France). Je ne pense pas être un laïc négatif (encore moins pour une laïcité positive !), mais ces qualificatifs de (Saint) et de (Père) dans l'Humanité, qui plus est dans un article affichant le mot laïcité dans son titre, me semble complètement en opposition avec nos principes laïcs. Le pape doit être appelé (pape) (sans majuscule), comme (facteur) ou (secrétaire) ou (docteur) car, pour nous laïcs, il n'est pas plus (saint) que nous ! Et il n'est pas (père) que je sache.

  2. maxou dit :

    Bonjour Julie, vous avez raison, mais j'ai simplement relevé un article.
    Vous avez raison mais cela à le mérite de dire la vérité.
    Et j'ai relevé cet article dans l'humanité qui fait rarement de si grossières erreurs
    Amicalement
    Max

  3. JM dit :

    Modérateur, vous auriez pu laisser ma réponse faite à digeo et joseangel, elle disait ce qu'il y avait à dire sur ces deux médiocres personnages :)

    H2 post 238
    J'aime beaucoup Stiglitz, et ce qu'il dit là est clair. Par contre, et c'est là que le bat blesse au regard d'une stratégie d'action politique efficace et d'une proposition quant à un modèle économique alternatif, les idiots utiles de la gauche gaucharde croient que les difficultés que rencontre ce libéralisme devenu extrêmiste représente une validation de leurs idées et de leur position.
    Ceci est du point de vue de l'analyse et de celui de la projection dans l'action pathétique d'étroitesse et d'aveuglement, et dangereusement contre productif vis à vis de l'appel aux peuples pour sortir de ce système là.

  4. jennifer dit :

    Digeo
    JM a dit qu'il était psychosociologue une fois.

    Maxou
    Depuis un moment tu ne fais que des copier-collers. Il me semble deviner que c'est en lien avec ce qu'a dit Jean-Luc Mélenchon et dont tu avais parlé. Moi aussi cela m'avait frappée. En gros il disait que pour parler sur ce blog, il fallait argumenter (la régle 3) et comme on m'a reproché de ne pas "argumenter" mes posts, je me suis sentie visée comme toi. Finalement, je ne pense pas que c'est cela qu'il voulait dire mais il visait sans doute ceux qui sortent des insultes et sans démontrer. Parce qu'évidemment quand les gens ne sont pas convaincus de nos positions, ils peuvent souvent nous accuser de ne pas argumenter, et puis il y a des gens plus doués pour développer des pensées que d'autres mais sommes-nous pour discriminer ceux qui n'y arrivent pas? Je ne pense pas et ce n'est pas l'esprit de ce blog. Donc dépassons nos complexes et parlons sur ce blog avec nos moyens et notre sincérité, même si cela de toute façon gênera ceux qui ne partagent pas nos idées.

    S'il te plaît, continue de développer tes idées qu'elles soient inspirées par le PCF ou autre! Moi je trouve que c'est plutôt bien que tu sois au PCF, tu apportes ton point de vue et cela permet avoir un éventail des positions de la gauche ici (ou républicaines). Cela permet de sortir des "ornières" de notre point de vue et voir les choses sous un autre angle.

  5. maxou dit :

    Julie, précision, jai relevé l'article dans le débat des lecteurs de l'huma.

  6. maxou dit :

    Merci Jennifer d'avoir compris exactement le sens de mes copier, coller, (très bien vue !)

  7. Pierre L dit :

    Pour faire suite aux commentaires de JM et au post d'H2 (21 septembre 2008 à 2:19) sur le flicage des réseaux, deux articles qui me semblent intéressants à propos des possibilités ouvertes par les "nouvelles" technologies en ce qui concerne la collecte d'informations :

    Sur les puces RFID :
    http://infokiosques.net/imprimersans2.php?id_article=349

    Sur la géolocalisation, entre autres, des téléphones portables :
    http://www.legalbiznext.com/droit/Enjeux-et-risques-des-services-de

  8. La folie continue. dit :

    On ne sait pas trop par où commencer pour évoquer la semaine qui vient de s'écouler sur les marchés financiers, tant il s'est passé d'événements extraordinaires, hors normes.
    Le plus sensationnel, à défaut d'être le plus remarqué, c'est l'incroyable stabilité du marché des changes au cours de ces quelques journées. Alors même que les plus grands noms de Wall Street sombraient les uns après les autres, alors que le premier assureur du pays AIG était nationalisé, le dollar n'a pas bougé. Il a même gagné un peu de terrain face à l'euro, comme si les investisseurs continuaient, malgré tous leurs malheurs, à avoir confiance dans la monnaie des Etats-Unis. Comme si, surtout, ils estimaient qu'il ne fait pas forcément meilleur temps ailleurs.
    Les marchés obligataires ont été beaucoup plus agités, évoluant directement en fonction du degré d'angoisse des investisseurs. Plus ces derniers prenaient peur, plus ils achetaient des emprunts d'Etat, valeurs réputées les plus sûres. C'est ce que les spécialistes désignent par l'expression de "flight to quality", la fuite vers la qualité. Ce mouvement a fait tomber le rendement de l'emprunt du Trésor américain à dix ans à 3,35 % mercredi 17 septembre, au plus forte de la tempête, avant de remonter à 3,73 % vendredi.
    Une autre opération hors du commun est celle qui a vu le Trésor américain annoncer la création d'une structure de garantie des fonds de placement monétaires dotée de 50 milliards de dollars. "Pendant l'année à venir, le Trésor américain va assurer les avoirs de tout fonds commun de placement monétaire commercialisé", explique le communiqué. Ce marché avait commencé à tanguer après l'annonce de difficultés rencontrées par l'un des plus anciens fonds monétaires des Etats-Unis, le Reserve Primary Fund. La valeur de ses actifs a chuté de 65 %, en raison notamment de l'effondrement de ses créances sur Lehman Brothers.
    Autre action inédite, celle qui a vu le Trésor américain remplir les caisses de la Réserve fédérale américaine (Fed). Celle-ci avait vu son bilan sérieusement se dégrader après les opérations de sauvetage de la banque d'affaires Bear Stearns, puis de Freddie Mac et Fannie Mae, les deux piliers du marché hypothécaire aux Etats-Unis, et enfin d'AIG.
    Aussi le Trésor, après avoir levé 40 milliards mercredi, a-t-il émis 100 milliards le lendemain, afin de renforcer les réserves financières de la banque centrale. Cette aide exceptionnelle du Trésor permet à la Fed de ne pas avoir recours à la planche à billets, ce qui aurait pour effet pervers d'alimenter l'inflation, que précisément la banque centrale cherche à combattre.
    Paradoxalement, la période incroyablement agitée permet au Trésor américain de lever des fonds à des conditions jamais vues. Les banques ont tellement peur de ne pas récupérer leur argent en le prêtant à d'autres établissements bancaires, même pour de très courtes périodes, qu'elles se ruent sur les Treasury bills.

    Seul l'Etat trouve grâce à leurs yeux.

    La demande est telle pour ces titres, lors des adjudications, que les prix grimpent à des sommets et que les taux d'intérêt s'approchent de zéro pour cent. En un mot, les établissements de crédit acceptent de prêter gratuitement de l'argent à l'Etat américain. La seule chose qui importe pour eux est de ne pas perdre de capital. Tant pis pour les intérêts.
    La création d'une structure destinée à assainir les bilans des banques en reprenant les actifs "toxiques" que celles-ci détiennent ne semble pas entamer le crédit dont jouit le Trésor des Etats-Unis.
    Ce projet pourrait pourtant lui coûter cher, très cher - jusqu'à 500 milliards de dollars, a estimé vendredi le sénateur républicain Richard Shelby. Un montant énorme, mais qui doit être relativisé lorsqu'on sait que le coût budgétaire annuel de la guerre en Irak est d'environ 120 milliards de dollars. En un mot, le sauvetage du système bancaire américain pourrait au final coûter moins cher que l'aventure irakienne.

    L'agence Standard and Poor's, chargée d'évaluer la solvabilité des emprunteurs, a en tout cas choisi, vendredi, de maintenir la note de la dette des Etats-Unis à triple A, la meilleure possible. C'est au moins une bonne nouvelle.
    Pierre-Antoine Delhommais.

    http://www.lemonde.fr/opinions/article/2008/09/20/le-tresor-americain-se-finance-presque-gratuitement_1097582_3232.html

    Je trouve incroyable que Pierre-Antoine Delhommais prenne encore au sérieux l'agence Standard and Poor's !

    L’autre leçon que nous devons tirer des dix années qui viennent de s'écouler, c'est celle-ci : les agences comme Standard and Poor's, c'est du pipeau. Les notes données par ces agences, c'est du pipeau.

  9. Pierre L dit :

    à Maxou,

    Vous serait-il possible d'indiquer la source de vos copier/coller ?
    Cela permet souvent de découvrir des articles connexes et de creuser le sujet.
    Et cela remet les articles dans leur contexte.

    Cordialement.

  10. maxou dit :

    Mais oui Pierre sans aucun problème, je lis le journal l'humanité de préférence, ou mon journal quotidien, ou des livres et je les recopient tout simplement, voila Pierre et si vous voulez d'autres précisions vous n'avez qu'a me demander je me ferait un plaisir de vous répondre
    respectueusement
    Max

  11. Pierre L dit :

    merci !

  12. JM dit :

    @PierreL
    Oui Pierre, les RFID et la géolocalisation sont dangereux si laissés aux mains du "marché".

    Mais je me permets d'insister. Pour l'heure, dans l'immédiat, il y a 3 choses très dangereuses (en plus d'edvige) et qui sont en cours de déploiement, et sur lesquelles TOUS courants confondus il faut lutter et qu'il faut faire connaitre.
    Ces 3 choses sont dans l'ordre temporel :
    - Paquet telecom au niveau européen et sur lequel il faut faire pression auprès des députés
    - Hadopi
    - Assises de la presse

  13. JM dit :

    très dangereuses ET à la portée politique sociale et économique très large et très profonde.

  14. Pierre L dit :

    à JM,

    pourriez-vous (à nouveau ?) nous indiquer les liens qui vous semblent la meilleur
    introduction sur ces trois sujets ?
    Où developper vous-mêmes ?

  15. commandant P. dit :

    avant le débat parlementaire sur les troupes française en Afghanistan
    (enfin...)

    je cite quelques extraits de réflexions de "spécialistes"

  16. JM dit :

    pierreL, ces trois derniers mois j'en ai parlé tant et plus ici de ces 3 sujets, ai donné des liens, ai répondu à des questions, ai développé, etc...
    je ne recommencerai pas à zéro.

    ce travail, c'est aux "cadres" et militants de PRS du PC et autres de le faire à présent, et AUSSI aux assistants que JLM-sénateur paye avec l'enveloppe républicaine prévue pour cela : établir des dossiers sur des sujets importants et concernant note pays, ces 3 sujets là étant urgents et extrêmement dangereux et structurants.

  17. commandant P. dit :

    précisions sur post 268
    1°) TTU est LA feuille spécialisée en France sur les questions militaires

    2°) je ne partage évidemment pas toutes les réflexions de l'auteur;
    mais l'analyse est sérieuse
    et dans les solutions préconisées, on voit clairement les risques de dérives
    (cf. la référence à un certain BIGEARD !)

  18. DiGeo dit :

    Jennifer vous êtes la sagesse même.

    Je me sans un peu coupable même si vous n'avez pas formulé votre critique jusqu'au bout. Je sens comme un agacement.

    Je pense que pour traiter un intolérant plein de suffisance il n'y a que l'intolérance et la dérision.
    J'essayerai de faire mieux promis juré.

  19. jennifer dit :

    Digeo
    Je ne suis pas agacée du tout mais j'aimerais bien comprendre JM. Pourquoi il est ainsi? Pourquoi cette haine du militant? de la gauche?
    Comme il n'argumente rien et lance juste des insultes on est poussé à faire de même mais cela tourne en rond et tout le monde en a marre, y compris Jean-Luc Mélenchon je pense.
    Je ne vous critique pas. Vous m'avez toujours soutenue et je vous en suis très reconnaissante.
    Je pense juste qu'il faut cerner au plus près la vérité des faits et cela doit être légèrement différent que ce que vous dites bien que José Angel semble avoir mis le doigt sur quelque chose, une explication. Continuez vos recherches. Peut être un jour nous comprendrons. A moins que JM veuille nous expliquer calmement et raisonnablement pourquoi il hait la gauche, les militants. Qu'il trouve autre chose que lobotomisé etc...
    Bien à vous

  20. Pierre L dit :

    Crash programmes en Afghanistan

    Par « crash programmes », il faut entendre des projets et commandes rendus urgents par les exigences de la situation et qui doivent donc s'affranchir des habituels obstacles administratifs, qu'il s'agisse de planification, d'essais, de contrôles, de législation, de finances.
    http://www.rfi.fr/actufr/articles/105/article_72335.asp

    Les "colonel Kurtz" seraient-ils les bienvenus en Afghanistan ?

  21. commandant P. dit :

    conclusion de l'article TTU cité par Pierre L, sur l'engagement français en Afghanistan :
    "Personne, à l'exception de l'extrême-gauche politique, n'envisage dans tous les cas un retrait".

    je renvoie alors à un autre article :

    Les guerres anti-insurrectionnelles sont-elles condamnées à échouer ?
    Lorsqu’il est question d’un Etat en guerre avec un ennemi non étatique, l’impression est très répandue que l’Etat est condamné à échouer.
    En 1968, Robert F. Kennedy concluait que la victoire au Vietnam était probablement « hors de notre portée » et en appelait à un règlement pacifique de la situation. En 1983, l’analyste Chahram Shubin écrivait que les Soviétiques en Afghanistan étaient englués dans une « guerre qu’ils ne peuvent gagner ». En 1992, les dirigeants américains se sont montrés réticents face à une intervention en Bosnie, craignant une implication dans un conflit séculaire. En 2002, l’ancien général Wesley Clark a décrit l’action américaine en Afghanistan comme non susceptible de déboucher sur une victoire. En 2004, le Président Bush a dit de la guerre contre la terreur : « Je pense que nous ne pouvons pas gagner ». En 2007, la Commission Winograd a estimé que la guerre menée par Israël contre le Hezbollah n’était pas gagnable.
    Davantage que toute autre guerre récente, l’action des forces alliées en Irak a été considérée comme condamnée à un échec certain, tout spécialement au cours de la période 2004-2006. L’ancien Secrétaire d’Etat Henry Kissinger, l’ancien ministre britannique Tony Benn, l’ancien délégué spécial des Etats Unis, James Dobbins, ont tous déclaré que la guerre ne pouvait être gagnée. Le rapport du groupe d’études Baker-Hamilton s’est fait l’écho de ce point de vue. L’analyste militaire David Hackworth, parmi d’autres, a comparé l’implication militaire en Irak à la guerre du Vietnam : « Comme cela a été le cas au Vietnam, le bourbier irakien ne pouvait que mener à l’enlisement, et il semble très difficile de s’en sortir ».
    La liste des guerres réputées non susceptibles d’être gagnées ne cesse de s’allonger et inclut, par exemple, les actions anti-insurrectionnelles au Népal et au Sri Lanka. « Ce qui sous tend toutes ces analyses », note Yaakov Amidror, un général israélien à la retraite, « est l’idée que les actions anti-insurrectionnelles se transforment en conflits sans fin qui ne peuvent que conduire ceux qui les mènent à perdre tout soutien politique ».

    Je n'ai pas le souvenir que JF Kennedy soit un penseur d'extrême-gauche...
    ;-)

  22. Pierre L dit :

    à Jennifer (21 septembre 2008 à 15:26)

    JM a raison a propos d'Hadopi, du paquet telecom...

    Seulement quand il balance des trucs du style "bande de militants gauchards bêlants lobotomisés vous feriez mieux de vous pencher sur..."
    et bien je n'ai pas envie de cliquer sur les liens qu'il propose...

    Vos manières sont totalement contre-productives, JM.

    Et voir H2, PS du commentaire du 18 septembre 2008 à 23:06.

    Je l'adore et elle devrait vous plaire, JM :
    Metal Urbain - Numero Zero

  23. Pierre L dit :

    Les guerres anti-insurrectionnelles sont-elles condamnées à échouer ?
    http://fr.danielpipes.org/article/5898
    cf commandant P.


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