30nov 08
C’était trop beau! Quel moment magique! Nous jouions tellement gros sur ce meeting! Il fallait prouver que le Parti de Gauche exprime une réalité politique de masse dans le pays. Et le moment venu: tout a fonctionné. En dépit de l’éloignement, de la pluie, la salle était au trois quart pleine dès trois heures et demi. A quatre heures et demi on débachait des rangs dans les tribunes. A cinq heures tout était plein. Plus de trois mille personnes. Une ambiance survoltée, des moments d’intenses émotions comme lorsque le message d’Evo Moralès, président de la République de Bolivie a été lu par l’ambassadrice de son pays ou bien quand la salle debout acclame Oskar Lafontaine. Une ombre au tableau. Passe Madame Régine Lamothe, pour l’AFP, que nous rencontrions pour la première fois. Elle proteste qu’elle a dû venir à pied parce qu’il n’y a pas de parking réservé! Elle exige de l’équipe d’organisation, qui le lui refuse, une interview de moi séance tenante avant que je parle. Contact désagréable pour des militants totalement engloutis par la gestion d’un déroulement de meeting géant. La vengeance est un plat qui se mange froid. La dépèche AFP tombe et annonce que nous étions juste «un bon millier». L’info est reprise en boucle sur France info et ainsi de suite comme d’habitude. Bien sûr ceux qui étaient là savent à quoi s’en tenir et de même ceux qui ont regardé la retransmission sur LCI ou Public Sénat. Certes, France Info et France inter rectifient dès 19 heures, après alerte et vérification. Mais tous les autres n’en sauront rien. Pourtant les faits sont incontestables. Dans quelques heures les images seront sur le site du Parti de Gauche. Le plan de jauge aussi. Nous avons décidé de faire un cas d’école contre cette façon de faire. Nous comptons sur les internautes pour nous aider à le faire connaitre… N’en tirez pourtant pas de conclusions hâtives. Il n’y a pas là de "complot médiatique". Il s’agit d’une personne, une seule, qui a volontairement désinformé par pure rancoeur personnelle. Rien de plus. Bien sûr c’est indigne d’une journaliste dont le travail sert ensuite de référence à toute la presse. Inutile donc de créer de l’exaspération contre toute une profession qui n’y est pour rien. Gardons plutôt à l’esprit l’image de la force qui s’est exprimée. Le parti de gauche a réussi son lancement. Les grandes lignes de son programme sont annoncées. Le front de gauche est en construction. La cohérence du projet est dorénavant sous les yeux de tous.
Pour ce cher dorant...
Son post est à vomir. Il réunie l'amnésie à la mauvaise foi.
Point de bassesse, seulement de l'objectivité.
Point d'inculture philosophique, ni économique, ni politique. Seulement du bons sens et un presque un siècle d'observations basé sur des faits historiquement indiscutables (et puis qui êtes vous jeune enfant pour vous ériger en juge de l'inculture ?...)
Aigri, frustré vous êtes ; aigri, frustré vous resterez.
@Georges ROULLIER
Non, pour moi on est certes des Partisans, mais aussi des camarades, des amis. C'était important aussi, cette impression d'une Gauche fraternelle, heureuse de se retrouver enfin, de se rassembler pour faire ensemble de belles et bonnes choses. Ca faisait partie aussi de la formidable énergie qui se dégageait, ce bonheur d'être ensemble.
Camouflet pour l'UMP à Arcachon.
Le maire (PS) du Teich François Deluga a été largement élu dimanche 30 novembre à l'issue du second tour de la législative partielle de la 8ème circonscription de la Gironde qui l'opposait au maire (UMP) d'Arcachon Yves Foulon, un proche de Nicolas Sarkozy.
Francois Deluga a obtenu 54,28 % des suffrages, son rival 45,72 %. Le taux d'abstention est de 56,89 %. Ce second tour confirme et amplifie les résultats enregistrés lors du premier tour du 23 novembre dernier qui plaçait le socialiste en tête avec 43,77 % des voix contre 40,95 % à Yves Foulon.
Ce scrutin provoqué par l'élection au Sénat de la députée UMP Marie-Hélène des Esgaulx n'aura donc pas été favorable à la majorité, qui perd ainsi un siège au Palais Bourbon, et ce malgré le déplacement jeudi du Premier ministre Francois Fillon, venu soutenir le maire d'Arcachon.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2008/11/30/01011-20081130FILWWW00178-camouflet-pour-l-ump-a-arcachon.php
A la haine faschisante du bien mal dénommé "démocratia" nous allons opposer notre plus grand nombre dans la démarche d'unité qui nous est proposée.
Et comme par hasard,le plus grand nombre,c'est le peuple travailleur ou spolié de travail,ou retraité.
Maintenant,nous sentons des ponts politiques possibles !
Tous les coups bas (ils ont déjà commencé) vont vous pleuvoir sur la couenne-qui,je le pense doit être assez épaisse-
VIVE LA SOCIALE
on a déjà eu Démocratia, sous un autre pseudo, il y a 3 mois !
avec les mêmes "copier-coller" de 3 kilomètres sur le Livre Noir du Communisme
déjà vu, rien de nouveau
et la comparaison JL MEL avec Marcel Deat, déjà eu sur ce blog il y a un mois...
bis repetitas non placent
@ creuse 23
Quelle haine fachisante ? Ou ça ? Qu’ai-je dit de faux ? Vous avez une drôle de façon de nommer la simple et stricte vérité.
Vous avez le cuir épais ? Je n’en doute pas. Le mien l’est aussi.
En matière de génie-civil, vous confondez les ponts avec les murs ; c’est fâcheux !
VIVE LA VERITE HISTORIQUE.
VIVE LA LIBERTE.
VIVE LA DEMOCRATIE.
@ Commandant P
Vos observations quant au caractère "déja vu" de mes envois sont risibles de la part d'un expert en copiés/collés pseudo-savants !
Vos citations latines sont amusantes (les sites qui les recensent à la pelle sont légion...) ; permettez moi donc une citation toute simple et en Français :
Les faits sont têtus.
juré, pas cliqué
de tête, simplement
Démocratia ?
pas ce n'est pas un mot français !
l'accent aigu, et la terminaison en a : impossible !
et, dernière chose, déjà dite souvent sur ce blog :
Melenchon, c'est avec un "e" et pas un "a"
!
Juste un détail (mais n'est-il pas révélateur ?)à l'attention du Commandant P :
L'excellent article consacré à la nature véritable et intrinsèque du communisme n'a strictement rien à voir, en tant que tel, ni de près ni de loin, avec le non moins excellent "Livre noir du communisme".
À part pratiquer le copié/collé pseudo savant et un tantinet longuet, quelles sont donc vos sources ? Vos références ? Vos savoirs propres ?
Encore un officier d'opérette... Nommez vous donc Offenbach, ce sera plus précis ; et plus drôle.
la vraie nature du communisme
post de Démocratia est le "copier coller"du post de V*é*r*i*t*a*s
le 14 septembre 2008 à 18H43 (heure du serveur...)
what else?
et sur l'usurpation pompeuse du grade d'officier,
relire mon mail du 1/07/08 après-midi, en Réponse à DEPASSAGE
où j'explique mon pseudo, en mémoire du vrai commandant P.
(relire les bouquins de Pierre MIQUEL)
@56. Etes-vous certain que fachisant puisse être utilisé en français, même de tribune ?
Fascisant serait mieux toléré, en bon langage.
Un conseil, il est tard et vous allez mal dormir.
N'est-ce pas une nouvelle semaine de travail qui commence demain ?
Vous vous fatiguez inutilement. Vous risquez de devoir consulter un psychologue, voire un psychiatre. Un peu de calme, une tasse de thé de tilleul et hop! au dodo.
pour démasquer les trolls de l'UMP :
noter dans un doc "word", open office, notepad... en copiant-collant les post (souvent très longs) de ces pseudo, dont le rôle est évidemment d'occuper et de perturber le blog
(avec un effet psychologique certain)
noter aussi le pseudo, l'heure, le jour
laissez dormir sur le disque dur...
et quand cela revient, 2 ou 3 mois après
rechercher dans vos fichiers
(Copernic, ou tout indexateur de fichier sur mots clefs est très performant pour cela)
et
poster le tout, comme élément de preuve
bon, je vous laisse, je vais aller "perturber" les blogs d'en face !
à la (cyber-) guerre comme à la (cyber-) guerre
;-)
Assez bon article sur le meeting d'hier dans le JDD
http://www.lejdd.fr/cmc/politique/200848/che-melenchon_169069.html#reactions
Et des réactions de lecteurs enthousiastes.
la répétition est simplement à la base de tout enseignement
l'enseignement, c'est répéter, répéter, répéter...
c'est ce que fait tout bon musicien !
;-)
tout navigateur fait ce que l'esprit humain fait = extraire des données
et calculer une fonction de corrélation
il le fait simplement plus efficacement...
donc
je répète :
la fonction de corrélation entre le post 46 de Démocratia ce jour
et le post de V*é*r*i*t*a*s du 14 septembre 2008 à 18H43 (heure du serveur …)
a un score de 1
= 100%
donc, ce sont les mêmes sources, les mêmes copier -coller
et ce sont, peut-être, les mêmes avatars
Quelques infos à votre attention (et celle du NOUVEAU PARTI ! Encore bravo)
Le problème du premier ministre irlandais : comment gagner un nouveau référendum sur Lisbonne quand on est à 25% d'opinions favorables ?
http://www.economist.com/world/e...
A lire !
"Je passe de temps en temps sur le site de Monsieur Lamassoure - vrai créateur du soit disant traité "simplifié" - et je viens de lire le commentaire d'une Irlando française - ou Franco irlandaise ? - qui me parait très important, et intéressant, pour NDA (les souverainistes en général)
J'invite tout un chacun à en prendre connaissance aussi ! Ses arguments sont vraiment très convaincants !
alainlamassoure.eu/forum/...
alainlamassoure.eu/forum/...
alainlamassoure.eu/forum/...
alainlamassoure.eu/forum/..".
Bonne lecture !
ce n'est plus de la c_e_n_s_u_r-e,
c'est du nettoyage industriel...
tout ça pour cacher le fait que depuis que Meluche a fait son parti,
qu'il casse bien le PS, il fait les honneurs de la presse de droite ?
on a les amis qu'on peut...et les méthodes qu'on peut.....
@ Etonnant
Vous êtes la ou le bienvenu si vous avez des propositions constructives au lieu de critiques gratuites. Ou aussi, dites ce que vous avez sur le coeur; vous semblez tellement décontenancé(e).
Le site étant à priori modéré, et vu le nombre d'intervenant set la longueur de leurs commentaires, vous comprendrez qu'il faut pouvoir suivre en temps réel.
La personne qui casse le PS c'est bien la prédicatrice Ségo avec ses accents du MoDem, pas Jean-Luc Mélenchon! Depuis qu'il a pris ses distances avec le PS, il ne porte plus aucune critique sur ce que fait ou ne fait pas tartampion ou tartampionne du PS.
Si vous en êtes, concentrez vous à y travailler pour... " Pour les Français "... Pour votre propre crédibilité. Et si vous êtes de l'opposition, d'ici 2012, il y aura à faire: deux ou trois dissidences dans l'UMP pourraient se solder par de nouveaux partis comme celui de DLR de Dupont-Aignan.
Des Mots Crasseux que vous copiez-collez ne saliront pas l'espoir en train de naître. Vous ressassez les haines d'hier, alors que le PG a déjà commencé à écrire l'avenir au verso de la page tournée.
Je suis venu au meeting, j'ai vu et entendu, et soyons-en certains, nous vaincrons car nous n'avons pas le choix.
En effet, la fuite en avant productiviste, les replis communautaristes de tous ordres, la mépris de l'intelligence et donc de l'avis et des citoyens, la perte de la dimension humaniste dans les visées finales d'une politique, ne peuvent qu'aboutir à une impasse.
Oui, il faut tout remettre sens dessus dessous, je rejoindrai donc, tant qu'il sera sur cette ligne, le Parti de Gauche.
Que se passe-t-il avec le site "Le Grand Soir" mon journal en ligne préféré.
Je voulais faire ma revue de presse sur le Meeting du PG.
Depuis ce matin, dimanche 30 novembre, la connexion ne se fait pas. Impossible jusqu'à maintenant 23:42 h.
Est-il censuré ?
A-t-il un problème technique ?
@ Démocratia
Bonsoir très cher " Démocratia ".
S'il est évident que certaines choses ne sont pas fausses dans vos envois sachez que nous en avons déjà longuement parler sur ce blog et depuis fort longtemps.
Epargnez -nous cependant à l'avenir cet air savant et emprunté quelque peu condescendant qui vous portraitise en une personne semblant s'adresser à une bande de deumeurés.
Car croyez le bien vous ne nous renseignez bien heureusement sur rien que nous sachions déjà. Oui bien heureusement car nous ne sommes pas ignorants de l'histoire et ne sommes en rien révisionnistes. Nous cherchons délibérément et consciemment à dépasser certaines ornières de l'Histoire.
Si vos envois omettent de rappeler le contexte d'émergence des partis léninistes au coeur de la plus grande boucherie Capitaliste de l'histoire humaine - à savoir la guerre de 14 -18 - permettez moi de vous en signaler l'oubli fort désagréable dans l'échafaudage réflexif de votre démonstration.
Vous n'en dites rien et vous vous satisfaisez du pire à condition qu'il ne trouble pas trop vos propres vues. Dites moi si je me trompe.
Vous ne distinguez pas suffisamment le communisme proprement dit du léninisme ou de sa créature postérieur le stalinisme. Vous semblez almagamer une histoire commencèe au 17 ° siècle en en retenant que ses spécificités dictoriales héritées du XX° siècle. Avouez que c'est bien dommage.
Car la vérité est souvent plus indomptable que nous le voudrions aisément et il semblerait qu'elle est souvent plus retorse aux catégories toutes faites,
un tantinet plus rebelles, subtiles et nuancées.
Omettant de souligner le contexte dans lequel le mouvement communiste a prit son élan vous omettez de plus d'en retranscrire les spécificités nationales et ratez dès lors toute la richesse et la complexité contradictoire et opérationnelle que le mouvement ouvrier ou le mouvement communiste dans son ensemble a inventé. Pour le pire comme pour le meilleur.
Car si nous suivions votre logique binaire nous ne pourrions pas comprendre pourquoi les communistes russes ont libéré le camp d'Auschwitz et
l'Europe du nazisme, ni comment il se fait que le parti communiste Français fut le second puissant mouvement de libération de la France écrasée sous le joug du fascisme et nous comprendrions encore moins le fait que ce sont les communistes Vietnamien qui ont permis de libérer le peuple cambodgien des Kmers -rouges qui se réclamaient eux aussi du même corpus idéologique.
Enfin vous ratez le fait que le communisme international fut un formidable levier pour la libération des peuples prisonniers des dictatures coloniales et vous omettez de préciser que la fin de l'Apartheid en Afrique du sud lui doit en partie beaucoup.
Je ne sous-estime pas la fureur d'un certain révolutionnarisme meurtrier et idéologiquement malade mais vous devriez tenter de vous décaler un peu de vos logiques simplistes et apprendre à mieux comprendre par les faits et
l'histoire ce qui a toujours distinguer un Communiste Républicain d'un abruti assoiffé de sang pol-potiste.
Franchement qui sur ce blog s'amuserait à faire l'apologie de la dictature stalinienne de corée du Nord ! Mais personne mon bon ami, vous n'y êtes pas du tout et vous vous ridiculisez inutilement.
Vous retardez ô combien sur les réalités d'hier et sur celles d'aujourd'hui qui à l'heure présente charrient toutes une cohortes de nouvelles barbaries.
Vous semble t-il louable de conduire illégalement une guerre dans un pays qui n'avait aucune responsabilité dans les attentats du 11 Septembre 2001 et permit l'extermination de 1 250000 civils irakiens ?
Nul communisme ici. Rien que du bon gros Capitalisme. Alors quoi ?
Que faire avec toute cette m**** d'hier et d'aujourd'hui ?
Pensez-vous qu'à Gauche nous ne soyons pas assez lucides pour bien saisir les pièges à éviter et viser les objectifs démocratiques nouveaux à atteindre et à accomplir ?
Réfléchissez bien à ce qui se passe lorsqu'une nation est attaquée et comment un étrange et détestable processus dictatorial s'enclenche par petites touches sans que l'on y prenne garde.
Rappelez-vous ces dernières années la chambre bleue horizon de M.Georges W.Bush, le Patriot act, la fin de l'Habeas corpus [Jamais personne n'aurait imaginé auparavant la chose possible] la construction de camps de concentration en Irak et ailleurs, le déni de droit et le refus d'appliquer la convention de Genève aux prisonniers déclarés " hors combattant " etc... Sans doute comprendrez -vous que les choses - sans aucunement nier les dictatures staliniennes bien évidemment - ne sont pas aussi simples et simplistes que vous tentiez à promptement nous le formuler en prenant violemment à parti les internautes responsables de ce blog.
Vous êtes ici au coeur du meilleur de la Gauche démocratique, alors restez avec nous ou partez tranquille, nous sommes d'avis que la dictature est un mal absolu et nous ne vous avons pas attendu bien heureusement pour en prendre clairement conscience.
Dès lors vous comprendrez aisément pourquoi sur ce blog chaque participant n'a cessé d'alerter nos concitoyens sur le fichage généralisé de la population qu'entreprend très rigoureusement le parti majoritaire UMP, d'avertir sur sa féroce volonté de main mise sur les médias télévisuels, de les prévenir sur les conséquences logiques de l'enfermement des mineurs qui se suicident en grand nombre dans les prisons françaises, ainsi que de la volonté barbare de ce parti d'emprisonner les enfants dès l'age de 12 ans.
La liste est si longue des reculs de civilisation dans ce pays depuis un an que
j'en omets bien des points, allant des tentatives d'intimidation de la Presse écrite à la fabrication méthodique et appuyé d'un " ennemi intérieur " qui n'est là que pour renforcer la répression général du mouvement social dans son ensemble.
Le pouvoir absolu corrompt de tout temps et au final a toujours montré un même visage. Je vous suis reconnaissant de nous en avoir rappeler certains motifs à travers les ages.
Je ne doute pas qu'aujourd'hui vous saurez reconnaître où se trouve le camp de la liberté et où se situent parfaitement les forces de la nouvelle barbarie.
Bien à vous. Au plaisir de vous lire encore.
@ Démocratia post 43 (41.42.43.44.45.46.48.41.56. 57.62.63.64.68.69.71.72.73.74)
Vos posts ci-énumérés (qui ne représentent pas votre expression personnelle) mériteraient que l'administrateur les supprime.
Vous abusez de la bonté des gens. Ce n'est pas démocratique !
Votre post 43 est particulièrement ordurier.
Des injures hystériques comme celles-ci ne resteront pas sans réaction. Je l'espère.
Vous vous êtes laissé intoxiquer. Vous en souffrirez tôt ou tard.
Vous donnez l'impression d'être la reproduction miniature de Robert Ménard.
Même les Tibétains ne souhaiteraient pas vous avoir pour défendre leur cause. Vous les discréditez par votre comportement.
@ seb
Le lien que tu as mis ne semble pas marcher ou alors c'est que je n'y arrive pas.Par contre je suis allé sur le site de M.Alain Lamasoure et je suis tombé sur ce texte envoyé par un internaute - A lire - Fort interessant :
http://alainlamassoure.eu/forum/read.php?1,6281,6281#msg-6281
"Nouveau suicide d'un détenu
Un jeune homme de 27 ans, détenu à la prison de Luynes (Bouches-du-Rhône), est mort samedi matin après s'être pendu.
Les surveillants ont découvert son corps inanimé à la remontée des promenades samedi vers 10h30, a indiqué le syndicat FSU, confirmant une information du site internet de La Provence.
Le détenu qui purgeait plusieurs courtes peines dont une de 40 mois pour conduite sous l'emprise de l'alcool, a été retrouvé pendu au lit supérieur de sa cellule. Il ne bénéficiait pas de suivi particulier, a-t-on précisé de source proche du dossier.
Il s'agit du premier suicide depuis deux ans dans cette prison située près d'Aix-en-Provence, a-t-on ajouté de même source. " (Source Libération) -
DarKos -Vador Ministre de la Déséducation Nationale a encore frappé !
"Des gilets fluos dans les allées du salon de l’Educ’ (Source Libération)
Les militants des associations sont venus nombreux cette année au salon de l'Education, qui se termine ce dimanche, pour dénoncer les coupes dans leur budget et alerter l’opinion. "
http://www.liberation.fr/societe/0101269896-des-gilets-fluos-dans-les-allees-du-salon-de-l-educ
http://www.pourleducation.fr/
http://www.rebelion.org/noticia.php?id=76749
Regardez aussi la vidéo (si vous pigez le castillan). Il arrive que l´opposition de droite au Venezuela n´est pas composée de petits et gentils anges, mais de vrais fascistes dangereux prêts à tout faire pour emm****r les bolivariens et la transformation sociale qui doit encore se faire.Dans les régions (etats) oû ils ont gagné (et ou ils ont beaucoup de pouvoir parce que le Venezuela est articulé federalement comme les etatsunis ou l´Allemagne), les etats ayant (à ce que je sais) certaines compétances même sur la police (police propre) mais pas sur l´armée; ils commencent à foutre la m**** fasciste, veulent vider les médecins cubains, envahissent des logements sociaux.Ils préparent en fait un terrain pour un coup d´état, avec l´aide inestimable des usaniens qui sont toujours derrière tout fasciste (sans exception).
La droite en Amerique Latine c´est une droite assassine, riche et bête, prête à tuer pour conserver ses privilèges, quitte a en tuer 20.000 ou 30.000 comme au Chili ou en Argentine..Le président de la Colombie est un bon exemple de ce qu´est un salaud d´extrême droite et vendu totalement aux usaniens; au pouvoir.
Il est vrai aussi que Chavez est un peu girouette. Il a dit récemment à l´acteur Sean Penn qui l´intervievait, que c´était Castro qui était communiste, lui il était socialdémocrate. Comme Ségolène-qui-ne-pense-qu´a-elle ou Martine?....
Espèrons que non, qu´un peu mieux qu´elles et que le PS; nous osons imaginer qu´il n´est pas de droite, lui.
Mais il y a aussi le danger d´un culte excessif de la personnalité de la part de Chavez, et en ce sens l´action de l´extrême droite -qui le pousse à se retrancher- est efficace dans le sens qu´ils peuvent provoquer une stratification et une paralysation du processus de chamboulement social qui doit se mener à terme.
J´avoue que je n´aime pas le populisme excessif de" harangue des masses" que Chavez utilise, parce qu´il faut davantage transformer réellement sur le terrain et moins dire vainement. Faisons les transformations sociales nécessaires; on a l´impression que Chavez ne sait trop quoi faire ou n´a pas de vrais organisateurs parmi ses appuis, et que tout le monde attend que ce soit l´autre qui décide et/ou organise pour lui. Je me souviens du ministre d´éducation du Nicaragua (Fernando Cardenal) qui m´avait dit- quand je lui demandais pourquoi la révolution s´était tarie, avait presque perdu; qu´ils ne savaient pas trop quoi faire, que soudain ils avaient le pouvoir, il était ministre, mais que faire rapidement et efficacement?
Mais ils avaient perdu (aux elections législatives et présidentielles, aux urnes), parce que les etatsuniens (CIA) avaient organisé une contreguerrilla (avec la même extrême droite sociologique que celle qui s´oppose à Chavez) en Honduras qui avait presque ruiné le pays déjà sousdéveloppé.
Il m´avait dit aussi que Daniel Ortega (ancien et actuel président et chef du FSLN) était un traître. Apparemment ils n´étaient plus d´accord sur tout...
Si je parle du Venézuela, c´est parce que c´est une révolution qui est en traîn de se faire et qui pourrait réussir, mais la droite endémique latinoaméricaine va essayer par tous les moyens de tout faire échouer; nous en avons l´expérience dans le monde latino. Et Chavez ne devrait pas confondre révolution avec soi-même; la révolution c´est bien plus qu´une seule personne. Il faudait que les deux parties: Chavez, et les personnes qui l´appuient le comprennent.
Le chiffre annoncé a été minoré...
Certes, mais c'est bien plus la place totalement anecdotique dans les journaux d'actualité qui frappe.
Qui frappe un instant seulement, car cela était finalement prévisible.
Il nous faut viser à repenser la construction européenne, notre constitution et nos institutions et nos média...
Il n'y a aucune raison de laisser au Modem un sujet qui devrait être de gauche !
J'étais présent samedi. J'attends avec intérêt les retranscription des discours.
S'ils ne sont pas des assurances tous risques à mes craintes (reproduire en plus petit le modèle d'un parti d'élus avec les déviances que cela porte par essence) il faudra bien les assumer plus tard :-)
Ah nos différences...
Tenez je ne me suis pas retrouvé dans toutes les envolées du meeting comme le romantisme sud-américain un peu forcé, la claque et quelques effets trop sensibles, l'Internationnale comme un passage obligé qui semble porter parfois autant de sens qu'une photo du Ché sur un T-shirt (vous verrez ils la chanteront peut-être même au Modem un jour), l'impression que le PG va continuer de s'inscrire dans une professionnalisation de la carrière de ses (futurs) élus...
Heureusement il y avait aussi tout le reste et principalement la conviction de la nécessité du changement en refusant ces "compromis pourris" dont certaines effluves m'écœurent encore.
La route est longue, la pente est forte mais au moins elle va dans la bonne direction !
Bravo!
Bonjour à tous,
J'attends avec impatience les textes et vidéos des interventions.
Très heureux de ce lancement réussi même si je suis frustré par le traitement "light" par les médias.
Quelques retours dans mon entourage confirme des choses déjà écrites ou lues ici, sans aucune valeur statistique bien sûr, mais un éclairage venant de personnes jusqu'alors très peu "politisées" :
- le parti de gauche semble avoir la capacité d'intéresser des personnes de sensibilité de gauche mais au comportement électoral très volatile ;
- l'annonce immédiate de l'alliance avec le PC joue à l'inverse comme un frein pour ces électeurs qui ne s'inscrivent pas dans une culture politique ou historique et pour qui l'image du PC reste malheureusement négative.
Personnellement je suis bien sûr favorable à cette alliance dans le cadre d'un large front rassemblant toutes les composantes de la gauche du NON, mais je pense qu'il est indispensable d'avoir une présentation équilibrée des grandes références dont se nourrira le projet du PG. Le risque, ce sont les présentations schématiques dans les médias, par exemple samedi soir sur i-télé, quelques secondes seulement pour annoncer le meeting et le seul élément mis en avant c'est l'alliance avec le PC.
@Pierre L
Dans la précédente série de commentaires tu nous as interrogé sur l'opportunité de créer un forum de discussion.
Je me suis déjà exprimé ici sur les limites du blog quand il s'agit d'élaborer des réflexions plus construites. Un forum permet en effet de multiplier les entrées : entrées thématiques, par dossiers, par actualité, par actions, par régions...
A voir aussi l'évolution de ce blog (voire son ébullition croissante), je pense nécessaire de définir des niveaux d'intervention.
1) Un premier niveau ouvert à tout le monde comme ici, moyennant seulement une charte précisée et une modération renforcée.
2) Un second niveau réservé aux adhérents.
Je reste ouvert à l'idée de participer à tout forum particulier qui m'intéresse, je préfèrerais de loin que ce soit le forum du PG, tout simplement car je souhaite m'inscrire dans un processus de construction.
"Tu as raison de souligner l’importance de ce combat républicain pour la laïcité, combat pour lequel les partisans du PG ne transigeront pas, singulièrement dans un département où les tentations communautaires attirent tant, y compris parmi les militants de gauche, voire certains élus de gauche qui n’hésitent pas à en faire commerce…" (Nicolas Voisin)
Ce discours 100% et clairement anticommunautariste (et la pratique qui va avec bien sur) c'est comme une marque de fabrique du courant PRS (et de forces militantes aussi je suppose) et donc maintenant du PG. C'est 1 vrai avantage comparatif car exprimé aussi clairement ce discours est minoritaire parmi les forces et élus de gauche.
(d'ailleurs dans le public du meeting du 29 j'ai vu Mouloud Aounit, simple curieux sans doute tant son discours et sa pratique sont contradictoires avec les valeurs laïques du PG; mais vive le débat à gauche!)
Le 9-3 n'est d'ailleurs pas seul à être communautarisé. Je me souviens il y a quelques années avoir envoyé 1 mél de soutien au conseiller de Paris Jean-Bernard Bros (PRG) à propos de son refus de voter des subventions aux crèches des intégristes loubavitchs. Dans cette histoire toutes les grandes forces politiques présentes sur la scène municipale parisienne ont été ou sont coupables de capitulation devant l'intégrisme communautariste: le RPR-UMP, le PS depuis longtemps bien sûr mais je crois (à vérifier) que le PCF et le MDC/MRC se sont réveillés tardivement. Et Georges Sarre a été maire MRC du XIème arrdt de 1995 à 2008 et conseiller de Paris depuis presque Mathusalem. J'ai eu sous les yeux certaines délibérations du conseil du 11ème (en 2000) qui ne sont pas à son honneur (il me semble que C.Silhouette menait la fronde de qqes élus contre cette atteinte à la laïcité). Je ne connais pas le détail des votes des camarades aujourd'hui PG qd ils étaient élus PS.
Tu vois donc que je ne suis pas (pas toujours au moins...) chevènementolâtre et qu'il est tjrs utile de confronter les discours à la pratique, et que des campagnes politiques bien menées peuvent faire éclater des "compromis pourris".
Listings Clearstream: Sarkozy pas cité
AFP
01/12/2008 | Mise à jour : 08:34 | Ajouter à ma sélection.
L'ex-premier ministre Dominique de Villepin a déclaré ce matin que le "nom de Nicolas Sarkozy n'est à aucun moment cité dans les listings" de Clearstream, mais que c'est celui de son père qui y figure.
"Cela fait partie des mystères de ce dossier", a ajouté sur Europe 1 M. de Villepin, renvoyé en correctionnelle notamment pour "complicité de dénonciation calomnieuse", et qui assure s'être "toujours interrogé sur les dommages" qu'avait "pu subir" Nicolas Sarkozy dans cette affaire.
"Je n'ai de haine contre personne, a affirmé M. de Villepin qui ne "veut pendre personne à un croc de boucher", reprenant ainsi le mot prêté à Nicolas Sarkozy à son égard pour l'avoir mis en cause dans l'affaire Clearstream.
La boussole s’affole chez les militants communistes. Alors que près de la moitié des fédérations et sections se sont réunies, samedi 22 novembre, pour décider de l’avenir du PCF et élire les délégués au congrès prévu du 11 au 13 décembre, les adhérents votent sur des textes qui se sont, en quelques jours, considérablement éloignés de la nouvelle ligne fixée par la direction.
C’est l’appel à "un front progressiste européen" voté trois jours plus tôt en conseil national qui a changé la donne. Cet appel, qui se traduit par la présentation de listes communes aux Européennes de juin avec l’ancien socialiste Jean-Luc Mélenchon et toutes les forces favorables à la construction d’une "autre Europe", est soudain devenu "la" priorité du parti.
Or cette politique d’alliance avec M. Mélenchon, qui fait écho au "front du non de gauche" de 2005, tranche avec l’orientation qui avait été arrêtée pour le congrès.
Il y a trois semaines, la direction du parti avait en effet proposé un texte très conservateur de maintien en l’état du PCF. Les militants avaient voté sans enthousiasme : seuls 28 % avaient suivi Marie-George Buffet.
Les assemblées générales avaient été marquées par une fréquentation très faible, une démoralisation certaine... et une poussée des "orthodoxes" derrière le député André Gerin. Un climat délétère de guerre de succession s’était installé, des dirigeants demandant désormais ouvertement le départ de Mme Buffet de son poste de secrétaire nationale.
Résultat de cette sourde crise : le 6 novembre, 20 membres de la direction publiaient un texte proposant d’ouvrir le PCF "à d’autres cultures politiques" et de changer son nom pour "donner corps à sa métamorphose". D’un coup, une partie du noyau dirigeant qui avait bâti un congrès de repli changeait de pied parce qu’elle sentait que la base ne suivait pas et que la crise allait profiter aux plus raides.
Le départ de M. Mélenchon du PS, le lancement de son nouveau parti, son accord pour des listes communes semblent avoir sorti le PCF de sa torpeur. Et permis à la direction d’éviter de faire apparaître son congrès comme celui du repli. "Depuis dix jours, on sent avec cette ouverture une nouvelle envie chez les cocos", reconnaît Olivier Dartigolles, porte-parole.
"Cette ligne unitaire va bousculer un congrès verrouillé", confirme Dominique Grador, membre de la direction. "On est en pleine schizo-stratégie entre un purisme révolutionnaire pour le parti et des listes ouvertes pour les Européennes", nuance Gilles Alfonsi, animateur des communistes unitaires. Dans les réunions, les militants suivent, entrevoyant une possibilité pour le PCF d’exister à nouveau.
Les "orthodoxes" ne s’y trompent pas. Eux qui se voyaient en grands vainqueurs de la consultation militante, ont vivement réagi en dénonçant le risque d’une "dissolution du PCF".
Sylvi Zappi, http://www.lemonde.fr/politique/
Bien qu’ayant décidé pour diverses raisons de ne plus être membre du PCF pour le moment, je suis et reste communiste.
C’est là, dans ce combat, avec ces idées, que j’ai donné un sens à ma révolte, grâce à mes camarades et à l’exemple des salariés en lutte, et c’est aussi dans ma révolte que je construis mon communisme, et ça se construit tous les jours.
En tant que telle, rien de ce qui se passe au PCF mais plus généralement dans la gauche, notamment communiste, ne peut me laisser indifférente.
Il y a trop de gens qui ne sont pas communistes, ni même socialistes, ces derniers temps, qui se sont penchés - et se penchent encore, parfois avec la gourmandise des charognards - sur notre "dépouille", pour que les communistes, même celles et ceux qui ne sont plus encartés, ne se sentent pas le droit, voire, le devoir, d’au moins donner leur avis, d’exprimer leur souhait.
L’annonce de Mélenchon, certains s’en réjouissent, moi, je dirais que ça ne me réjouit pas.
Cependant, je crois que vouloir calquer un modèle de "Die Linke" en France est voué à l’échec, d’autant que ce projet fait l’impasse sur une question fondamentale.
Par contre, je suis de plus en plus effrayée de voir que le débat sur le fond du projet ne semble pas vouloir s’enclencher au PCF, et que la lutte des places "par le haut" semble toujours battre son plein.
Alors que nous vivons un moment historique (ce qui ne signifie nullement qu’il soit agréable) - oui, et ce n’est pas l’élection d’Obama.
Ce moment historique, c’est la crise du capitalisme, ce sont les développements modernes de l’impérialisme.
Cela est étrangement absent des débats du 34ème congrès du PCF. Les "partis de gauche" se taisent ou se contentent de parler.
C’est la campagne électorale permanente.
Qui ne voit pas se profiler derrière ce brumeux silence, entrecoupé de quelques hoquets d’indignation contenue, les fumeuses élections européennes, hein?
Il me semble, dans tout ça, qu’un parti communiste doit d’abord être, non seulement un parti de classe, mais encore et avant tout, qu’il doit être le parti de notre classe, celle des prolétaires - c’est à dire en langage un peu plus "moderne", et bien que ce ne soit pas complètement équivalent, le parti des salariés (d’active ou pas) -.
Le parti de ceux qui ne sont pas propriétaires du capital, de ceux qui ne sont pas propriétaires de l’usine, des machines, des ordinateurs, de l’immeuble... le parti de celles et ceux qui n’ont que leur force de travail à vendre pour pouvoir bouffer, et un peu plus dans certains cas (de plus en plus rares).
Cela implique, je pense, que nous, communistes, considérions d’abord notre classe comme le premier échelon d’un parti quel qu’il soit.
Notre classe, c’est notre base.
Pour être encore plus claire, je pense qu’avant même de nous considérer comme "membre du PCF" ou "membre de la LCR" ou que sais je, c’est sur notre appartenance de classe, l’appartenance de classe, en conscience, que nous devrions nous réunir, et que c’est notre classe, (et notre conscience de classe), son combat, son unité, et sa victoire, qui doivent être notre objectif premier.
C’est cette appartenance de classe qui doit irriguer la démarche et la réflexion des communistes quel que soit le parti au sein duquel ils ont choisi de se réunir, de s’organiser, ou qu’ils aient choisi, finalement, de ne pas s’organiser du tout (ce qui, de mon point de vue, reste une erreur - il faut s’organiser, même a minima).
Je crois aussi que notre problématique immédiate dans laquelle inscrire tout cela, doit être d’abord celle de la lutte (voire, de la guerre selon certains) des classes, cette lutte des classes dont découlent toutes nos luttes de classe, pour notre classe.
Cette guerre des classes où s’inscrivent les bataillons des Goodyear, des Renault, des Ford, mais aussi de La Poste, et tant d’autres avant eux, de la Samaritaine, des Moulinex, des Lu, des Marks et Spencer, de toutes ces entreprises du textiles, de la métallurgie, mais aussi, de tous ces sous traitants, des services (archivages, centre d’appel, nettoyage etc).
Et oui on le dit peu, mais le capitalisme ravage aussi le tertiaire - scissions pour faire passer les effectifs sous le seuil des 50 salariés, déconventionnement, délocalisation, précarisation avec l’emploi d’intérimaires...
On va me dire que ce sont des évidences tout ça - je dirais, peut être, mais ça ne me semble pas si clair.
En tout cas c’est une évidence qui reste lettre morte, qui pourrit sur pied, qui se dessèche, et dont plus aucun "leader" soi disant de gauche ne semble vouloir tirer les conclusions à fond...
Dans le meilleur des cas on reste au niveau de l’abstraction romantique, ou des revendications certes véhémentes, mais qu’au fond, les syndiqués portent tout aussi bien (et plus efficacement) que les politiques.
La conclusion que je tire de cette évidence, c’est d’abord que le parti qui se prétend un parti de communistes, quel qu’il soit, doit savoir écouter la classe, et pas l’inverse.
Il doit savoir transcrire politiquement les attentes concrètes de la classe pour laquelle il existe et d’où il tire sa justification. En théorie, il ne devrait pas avoir trop de peine à le faire parce qu’il est supposé être une organisation politique d’une partie de cette classe...Donc, issu de ses rangs directement, et selon ses principes.
L’avant-garde de la classe qui a jugé utile et opportun de se retrouver dans un parti dit communiste doit savoir avant tout traduire les attentes profondes de la classe.
C’est à dire que, particulièrement à un moment comme celui que nous vivons toutes et tous, je veux parler de ce moment de "Krise" du capitalisme, il faut un projet politique pour notre classe.
Or, aucun projet politique n’affleure à ce stade, d’aucune discussion des organisations politiques dites "de gauche", et certainement pas dans la gauche communiste.
Ce que l’on propose, ce que l’on voit, c’est à la rigueur un programme, plus ou moins bien ficelé, enrobé plus ou moins de "marxisme" - on trouve bien des expressions consacrées ici ou là.
Un programme avec parfois de bonnes idées mais surtout, où que l’on pose les yeux, un programme sans projet politique, un programme, une illusion de force, qui, de fait, nous condamne à répéter les mêmes erreurs et qui traduit notre autisme, au fond alors, un programme impardonnable.
Un geste qui confond utopie et espoir.
Je pense que, tout mis bout à bout depuis 25 ans, ce que nous devrions traduire, en tant que communistes, c’est avant tout que notre classe est désespérée (ce qui ne signifie pas qu’elle ne sache ni ne veuille se battre).
Comment voit on qu’elle est désespérée?
Parce qu’elle ne vote pas ou plus. Ou avec difficultés.
Parce qu’elle se laisse piéger par des bateleurs d’estrade, des champions de foire, un jour Le Pen, "candidat anti-système", un autre Sarkozy, celui de la "rupture".
Parce que même face à un Sarkozy justement, on ne vote plus pour ce qui fut un jour "le parti socialiste".
Parce que ses jeunes disent "ce sont tous des bouffons, le système est pourri, on ne s’y reconnait pas..."
Parce qu’elle se syndique de moins en moins.
Parce qu’elle est absente des débats de tous les congrès de tous les partis, laissés en grande partie aux mains de travailleurs qui sont plus souvent des partisans, ou des militants, que des représentants de leur classe.
Et encore, quand ils peuvent se faire entendre, si les élus et autres apparatchiks ne les ont pas privés d’intervention réelle.
Parce qu’elle est absente de la discussion politique tout court, ou presque.
Elle est désespérée car les partis communistes et socialistes l’ont désespérée au sens où ils l’ont privée d’espoir.
Au sens où Sartre disait "Il ne faut pas désespérer Billancourt".
Et elle est désespérée avant tout par la politique.
La politique telle qu’on la fait, la politique telle qu’on la vit.
Qu’elle se dise communiste ou socialiste ou que sais je. Quand elle entend "politique" elle pense d’abord (et moi aussi, je le reconnais, si je n’avais pas mon "surmoi militant" qui se rebelle) on pense "magouilles, places, politicards, politique politicienne" - trois petits tours et puis s’en vont.
Elle exprime confusément parfois, comme elle peut, avec les moyens du bord, une chose que nous refusons d’entendre, tellement nous confondons "avant garde" et "gardiens de troupeau" : notre classe, les éléments de notre classe qui sont plus ou moins conscients d’y appartenir, elle ne veut plus faire de politique comme nous la connaissons depuis des décennies, sinon des siècles.
Le système politique, la démocratie telle qu’elle existe, ne permettent plus à notre classe de faire valoir ses droits, et notre classe le sait,le voit, puisque tous les jours elle en paie le prix dans sa chair, tous les jours la fin du mois commence le 15, les gosses ne vont plus en vacances, les pavillons pas finis d’être payés sont saisis faute de sous, les cités autrefois ouvrières pourrissent, croupissent, se ghéttoïsent, et nous, communistes, nous ne faisons plus aucune proposition sérieuse pour changer cela.
Certes, les travailleurs luttent pour leurs droits immédiats, ils ne peuvent pas faire autrement car c’est leurs vies qui sont en jeu. Ils n’ont pas le choix.
Mais nous, communistes, ne leur sommes d’aucun secours, car au fond, nous refusons catégoriquement de prendre le pouvoir.
Nous refusons de nous construire la possibilité de prendre ce pouvoir et nous refusons d’envisager comment nous devons le prendre.
En somme, ce sont nos lâchetés qui détruisent le communisme comme hypothèse d’avenir crédible.
Et cela, les travailleurs, qui sont aussi des citoyens, le savent, le sentent, le voient, plus ou moins clairement.
Combien nous disent sur les marchés, dans les bistrots, les cages d’escalier "Vous les communistes, on vous aime bien, mais aujourd’hui vous ne servez plus à rien".
Comment faut il traduire, expliquer cela?
Par les "valises de plomb"? Par la mise au placard de ce désir fou de changer de société? En disant "tout cela n’est plus d’actualité"? Mais non, justement, c’est l’inverse !
De fait, si nous respectons les règles du jeu de la bourgeoisie (la constitution de la 5ème république, comme celle de la 3ème, bref, toutes celles qui sont plus ou moins issues de la tradition de la Révolution française) nous ne servons à rien - ces règles ont été faites, exactement, pour nous tuer.
Notre système actuel est fait pour garantir les droits des exploiteurs, notre système est fait pour, toujours, que la droite ou que la gauche gouverne, ce soient les patrons qui s’en sortent et les salariés qui trinquent.
Nous le savons bien que la loi en France, aujourd’hui, c’est la loi du Maitre et pas celle de l’esclave !
C’est la loi de l’exploiteur et pas celle de l’exploité !
On envoie au trou un pauvre gars qui a piqué deux tranches de jambon parce qu’il crevait la dalle, mais on garde bien au chaud avec caviar et champagne, les salauds qui, pour quelques centaines de milliers d’euros de plus, quelques millions, délocalisent une usine construite et entretenue pendant des années avec la richesse créée par le travail des salariés !
Et vlan, 50 familles foutues à la rue, un département qui sombre davantage dans la misère et la précarité.Des salariés qui se suicident, des chômeurs qui se tuent, des retraités qui crèvent de faim.
Mais MM. Arnault, Lagardère, Dassault, Mittal et compagnie continuent de se pavaner sans crainte. Est ce que pourtant, ce qu’ils font ne mérite pas la prison?
Mais eux,non, ils ne vont pas en prison et pourtant, ce sont bien plus des voleurs que ce pauvre gars qui pique sa tranche de jambon.
Et ce sont des voleurs dont les crimes ont des proportions gigantesques, des vols à côté desquels Mesrine est un enfant de choeur !
Chacun de leurs plaisirs, de ces plaisirs qui s’étalent honteusement dans les pages des magazines, chacun de leurs plaisirs, de leurs caprices, est payé de notre travail, de notre sueur, pour certains d’entre nous, de notre santé. Chacun de leur achat d’hôtel particulier, de vacances au bout du monde dans des havres de paix, est payé par le recel de ce qu’ils nous ont volé.
Où vont aller les 360 milliards pris au travail, pris dans nos poches, pour "sauver les banques"? Combien vont ils décider de nous voler, au sommet du G20, le 15 novembre prochain, et comment?
En France, par exemple, notre code civil construit la notion de propriété exclusivement comme privée, non pas pour protéger l’acquisition légitime d’une maison pour y vivre, non, exclusivement comme une continuation de l’exploitation de notre majorité, les prolétaires, par une minorité, les capitalistes.
La notion de propriété, comme celle de citoyenneté d’ailleurs, ne reposent pas sur le travail dans la plupart des pays non socialistes.
Elles reposent, implicitement, sur le déni de justice, elles légitiment le vol permanent dont nous sommes toutes et tous victimes.
Elles reposent sur des ségrégations factices, comme l’ethnie, la couleur de peau, le hasard de la naissance sur un territoire ou sur un autre.
On ne dit pas d’un patron qui sous paie ses salariés pour pouvoir, lui, se coller des dizaines, des centaines, de milliers d’euros dans la poche chaque mois, qu’il détourne ainsi une propriété collective, celle des travailleurs, on ne lui dit pas, à lui, que c’est un voleur.
Légalement on ne peut pas lui dire d’ailleurs, car la loi, le droit, ici, sont ceux des Maitres.
Et si vous le lui dites, la même Loi, l’action en diffamation, sera là pour vous rappeler que vous n’avez pas le droit de dire que votre patron M. Duschmoll est un voleur parce que c’est un capitaliste !
Ah non Monsieur Durand, l’ouvrier de l’usine, le vol ce n’est pas ce que vous fait votre patron, c’est ce qu’a fait votre voisin en piquant deux tranches de jambon, ne faites pas l’idiot, allons, vous le savez bien.
On ne retire par leur citoyenneté aux patrons qui foutent tout leur fric, le recel de ce qu’ils nous volent, dans des banques étrangères où ils ne seront pas soumis à l’impôt, tout cet argent détourné de l’investissement dans les entreprises, dans les salaires, dans les services publics, ça non, mais on refuse des droits élémentaires à des travailleurs "venus d’ailleurs" alors que eux contribuent largement à l’économie locale, construisent la société, et se font exploiter sur notre sol.
Alors oui, nous le refusons, le pouvoir, nous les communistes.
Nous ne voulons pas le prendre.
On veut bien gouverner, ça c’est même devenu notre dada pour certains, mais ça, ce n’est pas la même chose ; quand on est communiste, gouverner avec les bribes que nous laisse le pouvoir bourgeois, ce n’est pas prendre le pouvoir.
Nous faisons semblant d’attendre qu’au travers d’un processus qui a été mis en place par la bourgeoisie pour nous étouffer, "on"nous le donne.
C’est très très malhonnête - nous savons qu’on ne nous ne nous donnera jamais rien dans une dictature bourgeoise, et certainement pas le droit ni le pouvoir de faire une révolution socialiste par les urnes au terme des échéances électorales bourgeoises !
Alors, si c’était cela que nous faisait payer nos semblables, les prolétaires, qui n’ont aucune pitié pour nous (et ils ont bien raison) car nous venons de la même classe?
Si véritablement nous avions encore envie de le prendre, le pouvoir, il y a belle lurette que nous aurions commencé par reprendre nos combats ancestraux.
Ceux qui sont notre essence même, c’est à dire par exemple le combat pour que la majorité, nous les prolétaires, nous puissions, non pas seulement "faire valoir nos droits", les droits que nous arrachons au patronat à travers des lois faites par les patrons, mais pour que nous puissions décider dès l’origine de ce qu’il nous faut pour nous.
Notre combat principal, et particulièrement aujourd’hui, c’est celui de la démocratie prolétarienne, notre objectif, c’est de dire à notre classe :
"Oui, le système est pourri, nous le savons, il faut en changer, sinon, rien, en effet, n’ira jamais mieux. Cela pourra aller un peu mieux en fonction de la couleur des uns ou des autres, mais ce mieux sera toujours précaire, toujours fragile. Tant que nous n’aurons pas le pouvoir, à la base, nous, les travailleurs, nos combats dans une guerre des classes inégale, seront épuisants, parfois vains et nos gains seront minimes et toujours en danger."
Quand D. Kessler, un des chefs du MEDEF, a dit, triomphant, "il faut casser le modèle hérité du Conseil National de la Résistance", il visait, non pas les accommodements sociaux-démocrates qui en ont suivi, non, il visait un projet politique de société, traduit dans le préambule de la constitution de 1946, que je me permets de vous remettre ici :
"Au lendemain de la victoire remportée par les peuples libres sur les régimes qui ont tenté d’asservir et de dégrader la personne humaine, le peuple français proclame à nouveau que tout être humain, sans distinction de race, de religion ni de croyance, possède des droits inaliénables et sacrés. Il réaffirme solennellement les droits et libertés de l’homme et du citoyen consacrés par la Déclaration des droits de 1789 et les principes fondamentaux reconnus par les lois de la République.
Il proclame, en outre, comme particulièrement nécessaires à notre temps, les principes politiques, économiques et sociaux ci-après :
La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme.
Tout homme persécuté en raison de son action en faveur de la liberté a droit d’asile sur les territoires de la République.
Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi
. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances.
Tout homme peut défendre ses droits et ses intérêts par l’action syndicale et adhérer au syndicat de son choix.
Le droit de grève s’exerce dans le cadre des lois qui le règlementent.
Tout travailleur participe, par l’intermédiaire de ses délégués, à la détermination collective des conditions de travail ainsi qu’à la gestion des entreprises.
Tout bien, toute entreprise, dont l’exploitation a ou acquiert les caractères d’un service public national ou d’un monopole de fait, doit devenir la propriété de la collectivité.
La Nation assure à l’individu et à la famille les conditions nécessaires à leur développement.
Elle garantit à tous, notamment à l’enfant, à la mère et aux vieux travailleurs, la protection de la santé, la sécurité matérielle, le repos et les loisirs.
Tout être humain qui, en raison de son âge, de son état physique ou mental, de la situation économique, se trouve dans l’incapacité de travailler a le droit d’obtenir de la collectivité des moyens convenables d’existence.
"
Voilà, ça, on le devait principalement aux communistes.
C’est ça, le modèle hérité de la Résistance en France, et ce n’est pas un hasard vu le poids des communistes dans cette résistance et leur poids dans les institutions - en 1945 nous, les communistes, nous sommes majoritaires à l’Assemblée nationale.
C’est cela qui était visé par Kessler, c’est cela que Sarkozy, qui parle, avec raison de "projet de civilisation", a dans son viseur.
C’est cela que les Maitres des Forges n’ont toujours pas encaissé. C’est l’heure de la revanche.
Si ce n’est pas aujourd’hui, aujourd’hui que notre ennemi a enfin mis un genou en terre, que nous faisons le lien entre l’économie et le politique, si ce n’est pas aujourd’hui, alors que tous nos frères de luttes s’arcboutent pour ne pas céder à la pression du capital, que tous les travailleurs vont bientôt être dans la tourmente, si ce n’est pas aujourd’hui que nous disons
"Démocratie prolétarienne, sociale, contre le capitalisme et la dictature bourgeoise",
alors quand?
Comment lutte-t-on contre le capitalisme si on ne lutte pas aussi contre les lois qui le fondent, contre les structures qui le protègent, contre l’Etat bourgeois qui le nourrit, que cet Etat soit celui d’une hypothétique nation française ou qu’il soit celui de l’Union Européenne?
On ne peut pas.
Tout ce que nous faisons, tout ce ce que nous mettons en place, nous communistes, dans cette dictature bourgeoise, est voué à nous péter à la gueule à court ou moyen terme, car nous ne sommes pas faits, nos idées, nos combats, ne sont pas faits pour accepter ce système-là, nous ne sommes pas faits pour le supporter ni pour le gérer.
Nous sommes faits pour le combattre ardemment, par toutes ses faces, tant qu’il tient debout.
Sinon, nous devenons, vulgate marxiste léniniste ou pas, nous devenons des socio-démocrates, c’est à dire, des gens qui ont accepté, finalement, et même sans le dire, de gérer le capitalisme, de faire avec les institutions bourgeoises, avec, selon nos chapelles, une tendance plus ou moins marquée à la bureaucratie, au népotisme, au nationalisme ou à la dépolitisation...
C’est ce combat là que nous avons abandonné depuis trop longtemps, le combat contre l’Etat bourgeois et si nous ne le reprenons pas, tout combat contre le capitalisme sera vain, car l’Etat bourgeois nous contraindra à abandonner ce que nous avons acquis dans nos luttes de terrains, dans nos confrontations immédiates, locales, avec les forces capitalistes.
C’est nous qui travaillons, quelle que soit notre couleur et notre nationalité, c’est nous qui payons et produisons la quasi totalité des richesses de ce pays, donc, c’est à nous de décider.
La Loi, expression politique d’une classe et de ses intérêts, doit être faite par nous.
La propriété, la citoyenneté, doivent être fondées aussi sur le Travail.
Démocratie prolétarienne, voilà le cri qui doit résonner partout.
Voilà le projet politique que le PCF n’a plus et sans lequel, de toute manière, il périra.
Qui de Buffet, de Gérin, de Bessac ou de Le Reste doit chapeauter le PCF, au fond, on s’en fout ! Que la LCR s’appelle NPA ou truc, on s’en fout aussi ! De la tronche des gens sur les listes européennes, de la couleur du papier, on s’en fout aussi ! Que Mélenchon se barre et que Royal reste, on s’en fout !
Ce n’est pas cela qui changera cette société pourrie à l’os, ce n’est pas ça qui nous sortira de nos fers. Bien sûr avec certains, on bouffera mieux qu’avec d’autres et ce n’est pas négligeable. On ne doit pas cracher sur les réformes sinon on n’est pas révolutionnaire !
Mais ce n’est pas ça qui doit nous unir, nous prolétaires, dans un combat communiste. Ce n’est pas ça qui doit faire la différence, puisque, nous le savons, cela ne fera pas la différence au bout du compte !
Le pouvoir et la liberté pour notre classe, voilà le seul combat digne d’un parti de communistes.
Le projet politique de donner vraiment le pouvoir aux travailleurs, du sommet d’un Etat, appelé à disparaître, jusqu’aux tréfons des usines et des bureaux, voilà notre combat.
Cela signifie oser réclamer que nous ne soyons pas dépossédés du contrôle et des décisions sur notre argent, nos richesses, dans les entreprises et dans les services publics.
Oser dire "il faut vider les prisons de tous ces malheureux qui n’ont rien à y faire, et les remplir des patrons voyous".
Cela veut dire nationaliser les entreprises, les banques.
Oser établir une véritable liberté d’expression, partout, au plus simple, non, les usines, les bureaux, ne doivent pas regorger de salariés dont les lèvres restent fermées comme des tombeaux même au pire des humiliations, des brimades.
Oser le dire et oser le faire.
Voilà le combat d’où les communistes tirent leur utilité pour leur classe, et donc, leur légitimité.
Denis Kessler, Nicolas Sarkozy, Antoine Seillières, Laurence Parisot, ils veulent la mort de notre projet politique, ils veulent liquider le projet de société issu du Conseil National de la Résistance?
Et bien camarades, c’est aujourd’hui que nous devons le reprendre, le combat politique des résistants communistes !
Bonjour et vive le PG, j'adhère aujourd'hui même avec enthousiasme
Je me retrouve point par point dans le 4 pages de présentation, mon parti est dans la ligne même du collectif alternatif de gauche que j'ai l'honneur de présider.
Il ne s'agit pas de créer un parti de plus à gauche, mais de créer une structure pérenne qui va fédérer toute la gauche, la vraie, la gauche anticapitaliste et qui est prête à la véritable alternance dans ce pays et en Europe.
J'ai hâte de commencer à faire bouger ce peuple qui semble résigné, qui ne croit plus à la politique, mais chez qui on sent souvent un fond de révolte, qui ne demande qu'un peu d'organisation et de solidarité pour flamber. Soyons cette étincelle qui va faire que nous pourrons tout changer.
OUI, TOUS ENSEMBLE, NOUS POUVONS LE FAIRE!
http://collectif-citoyen-plaisance.elunet.fr/
Excellent article, de bonne longueur, objectif, sérieux, annoncé en page d'ouverture du 30 novembre sur le site de DER SPIEGEL, le plus important magazine allemand et le site d'information le plus lu en Allemagne:
http://www.spiegel.de/politik/ausland/0,1518,593447,00.html
Je viens d'écouter l'émission sur Radio Orient. Très bonne intervention, je crois que ce qui contribue le plus à convaincre c'est la cohérence intellectuelle de la pensée et la clarté du positionnement politique et stratégique.
Maintenant j'ai hâte de voir s'organiser les espaces de travail pour l'élaboration plus précise du projet à soumettre au congrès fondateur de février.
Il est urgent de créer un forum, pour que nous puissions créer un véritable espace de militants, suivre les différents fils de conversation.
En effet, avec plus de 200 commentaires par billet, le blog n'est plus un outils adapté.
"L’annonce de Mélenchon, certains s’en réjouissent, moi, je dirais que ça ne me réjouit pas."(la louve)
ça serait tellement + simple s'il était resté au PS socio-libéral, plus simple pour le dénoncer aller prétendre que d'autres partis ont 1 drapeau sans tâche...
mais les faits sont têtus et Mélenchon n'est plus sur les estrades aux côtés des Aubry, Fabius, Delanoë, DSK, Moscovici, Valls etc...
pour le reste de ton (long) post, pas la peine de te répondre, Lénine a déjà répondu à Sylvia Pankhurst...
Hallucinant de lire cette Dame La Louve sur ce blog, elle qui ne supporte quasiment personne en dehors de ceux qu'elle supporte !
Hi Hi Hi,
On n'a pas fini de rire !
Il nous faut un chant fédérateur, un hymne..
Pourquoi pas le chant des partisans?
Le Front de Gauche pour les élections européennes, d'accord..
Mais ce front de gauche doit devenir pérenne après les élections aussi et ne pas laisser dire par nos adversaires que ce n'est qu'une alliance hétéroclite de circonstance..
et il faut le dire.
A son époque le cartel des gauches avait eu un grand succès et des résultats que l'on connaît, pourquoi ne pas le remettre au goût du jour?
j'étais à l'entrée qd mme l'AFP est arrivée (euh, dans sa mercedes, puis je le préciser :lol).... elle vitupérait déjà, en effet parce qu'elle ne pouvait pas entrer en voiture. Du coup étant allée se garer plus loin, elle a bousculé les personnes qui traversaient le pont pour arriver plus vite... normal, il était déjà 15h15, bref elle était en retard, pour une professionnelle c'est moyen..
ce qui est étonnant tout de même, c'est qu'il y avait un paquet de caméra.....
la presse ne croiserait donc pas ses informations entre l'image et la parole d'une seule personne ?
Affaire Clearstream : Villepin accuse Sarkozy d'être juge et partie
LEMONDE.FR avec AFP | 01.12.08 | 09h22 • Mis à jour le 01.12.08 | 09h50
Dominique de Villepin estime, dans une interview parue dans Le Parisien lundi 1er décembre, être le "bouc émissaire" de l'affaire Clearstream et accuse Nicolas Sarkozy d'être "aveuglé par la passion" dans ce dossier. L'ex-premier ministre, soupçonné d'avoir participé, dans le cadre de l'affaire Clearstream, à une machination visant à déstabiliser Nicolas Sarkozy, a été renvoyé en correctionnelle le 18 novembre dernier pour "complicité de dénonciation calomnieuse".
"Mon innocence dans cette affaire est totale, déclare M. de Villepin. Je considère que l'instruction a été partielle et partiale. Elle s'est focalisée sur une rivalité politique entre Nicolas Sarkozy et moi-même, rivalité politique qui aurait tourné au règlement de comptes." Il ajoute : "Je crains que Nicolas Sarkozy ne soit en grande partie aveuglé par la passion, cédant même parfois à une tentation de victimisation."
Pour Dominique de Villepin, "il n'est pas acceptable qu'il puisse y avoir dans notre pays une telle confusion entre les intérêts privés d'une partie civile et la responsabilité publique du président de la République". Déjà, le 24 novembre, l'ex-premier ministre avait estimé, via ses avocats, que Nicolas Sarkozy avait "violé le droit au procès équitable" et le "principe de l'égalité des armes" dans le dossier Clearstream en maintenant le juge Henri Pons, chargé de l'instruction, dans ses fonctions.