18avr 09
Il a vendu la mèche! L’interview de François Hollande dans l’hebdomadaire l’Express est davantage qu’une façon de se singulariser pour exister. Encore faut-il lire attentivement ce qu’il a dit pour en mesurer toute la force. Une autre chose édifiante est la nature des commentaires qu’on fait les autres dirigeants socialistes en réaction aux propos de l’ancien premier secrétaire. Aucun ne condamne le fond. Voila qui est spectaculaire. Même Claude Bartolone, et Benoit Hamon flétrissent seulement le manque d’à propos. «Il ne met pas les wagons dans le bon ordre» dit le premier! «Les Français s’en moquent et ils ont raison» dit le second. Dans cette note je parle de cela. Et aussi de mon passage dans l’Aude. Chez les vignerons. La question du marché du vin, à la quelle je ne connaissais rien il y a un mois, me parait à présent tellement emblématique de l’effondrement libéral des ancrages les plus identifiants de notre société ! Car le vin est un produit marchand bien sûr. Mais c'est aussi une culture. Et un identifiant. Non? Je commence par ça. Le vin.
Un vin collectiviste
Au début du siècle le jeu du marché avait déjà produit ses merveilles: un désastre qui failli emporter toute la viticulture. Pour produire et produire encore à bas prix, tous les dumpings se déchainèrent, fraude incluse. Dans le sillage de la révolte de 1907 et du mouvement coopératif la France s’est dotée, d’un système de régulation collective et administrative du secteur viticole. Retenons juste un exemple des piliers de ce modèle. Afin de garantir la qualité et de protéger la valeur des «appellations» au bénéfice de tous les vignerons, les AOC, appellations d'origine contrôlées, sont créées en 1935. Le libre jeu du marché est alors fortement limité. On ne peut pas planter de vigne sans droit à plantation octroyé par l’INAO (institut national des appellations contrôlées), en lien avec les syndicats d’appellation. Et le règlement de chaque appellation fixe non seulement les contours de zones de production mais détermine aussi les cépages qui peuvent être utilisés, ainsi que les rendements et pratiques œnologiques admises pour produire le vin de cette appellation. Il faut mesurer ce que cela implique comme délibération et savoirs mis en commun. Ca compte au moins autant que les implications politiques. L’ensemble de cette réglementation codifie ce que l’on appelle le «terroir». Dans ces conditions celui-ci est la rencontre entre un sol, un climat et des pratiques viticoles affinées au fil des expériences. Cet encadrement est très strict. Il va jusqu’à préciser l’espacement admis entre les pieds de vigne. Il impose les techniques de taille et de palissage qui varient d’une appellation à l’autre. Si rigoureux et tatillon qu'il puisse paraître ce système «collectif» est très majoritairement défendu par les vignerons. Pour deux raisons: il fait l’objet d’une coproduction permanente entre l'État et la profession. Et surtout il garantit la «bonne monnaie» des AOC. Ainsi il empêche le dumping agricole et social. Mais aussi environnemental. En effet, par exemple, on ne peut pas augmenter artificiellement les rendements par l’irrigation pour concurrencer le voisin!
Le modèle viticole du libre marché
Ce système très collectif est radicalement différent du modèle viticole adopté aux Etats-Unis et chez les producteurs de vin du Nouveau monde : Australie, Nouvelle-Zélande, Afrique du Sud, Argentine, Chili. Dans ces pays, la production et la fabrication du vin obéissent surtout au libre jeu du marché. Ce modèle a conduit à une industrialisation rapide du secteur. Et aussi a une concentration caractéristique du modèle capitaliste. En Australie 4 firmes contrôlent 60 % de la production. En France les 10 premières firmes viticoles n’en contrôlent que 25 %. Le modèle viticole «libéral» du Nouveau Monde conduit à développer toutes sortes de pratiques œnologiques pas toujours vraiment compatibles avec la qualité du produit et la santé du consommateur. L’accent est mis sur la fabrication «artificielle» du vin beaucoup plus que sur la culture des raisins. La notion de terroir délimité par une Appelation d'origine controlée (AOC) est très marginale. Certains tenants de ce modèle viticole «anglo-saxon» vont jusqu’à dire que «le terroir n’existe pas» D’ailleurs le mot est intraduisible en anglais. Donc il n’y a besoin d’aucune réglementation particulière pour produire du vin. C’est ce modèle viticole qui prend aujourd’hui le dessus au niveau mondial. L'Union européenne, cheval de Troie de la généralisation du modèle anglo saxon, veut donc normaliser le modèle européen. Facile. Il faut déréguler là aussi!
La réforme qui tue le vin et favorise le liquide vineux
La Commission européenne a présenté en 2006 un projet de réforme de l’organisation du marché du vin destiné à mettre la viticulture européenne au standard du marché mondial. Il s'agit d'améliorer sa compétitivité, bien sûr! L'approche des têtes d'œuf en charge de ce mauvais coup est évidemment totalement idéologique. Elle méconnaît souvent la culture du vin telle qu'elle est vécue en Europe et surtout en France. Cette réforme a été discutée pendant 2 ans. Pour finir elle a été adoptée en 2008, en dépit de la résistance de la France. Mais il est vrai que la résistance du sieur ministre Michel Barnier qui la représentait fut des plus molles. Car son souci était surtout de jouer le bon élève de l’Europe davantage que le défenseur de la viticulture française. Cette réforme prévoit une nouvelle campagne d’arrachages subventionnés. La Commission tablait au départ sur 400 00 hectares à arracher. Elle a du se contenter de 180 000. Mais surtout elle met fin à la plupart des mécanismes de régulation des prix et des productions. La tuerie est donc libre ! C'est à peine s'il reste la possibilité de distillation garantie des excédents en cas de forte crise du marché. Et pire encore, cette réforme comporte des principes d'organisation lourds de dangers pour le système viticole «à la française».
Appellations contrôlées détruites
Première trouvaille: la fin du système des «droits à plantation». C'est la mort du système des appellations contrôlées. C’est un échec terrible de la France. Notre pays demandait à pérenniser ce régime des droits à plantation qui est consubstantielle au système des AOC. En effet, en opposition au système libéral, le système français assume qu'on ne plante pas ce qu’on veut où on veut. On plante là où on en a le droit. Et on plante ce qui est prévu là! La France n’a obtenu que le report de 2013 à 2015 de cette fin des «droits à plantation». Il a été cependant convenu de pouvoir le maintenir à titre dérogatoire en France, jusqu’en 2018. Reste que sur le principe, tout le système des plantations va être dérégulé d’ici 2018. Et ceux qui le savent, les viticulteurs, prennent leurs dispositions en conséquence dès maintenant! Désormais on pourra donc planter autant de vignes que l’on veut où l’on veut, au gré du jeu du marché. La commission table ainsi sur un ajustement du secteur par «le libre jeu de la concurrence». On comprend l'idée simplette: favoriser et accélérer les plantations là où c’est rentable et abandonner la vigne là où ça ne l’est pas. Ce n'est ni le savoir faire ni le résultat œnologique qui fera la différence, mais le libre jeu des investisseurs censé régulé le tout. Raisonnement doublement aberrant. D’abord parce qu’il risque de déboucher à court terme sur de nouvelles surproductions. Il est donc contradictoire avec la politique d’arrachage impulsée par ailleurs. Ensuite et surtout il méconnaît complètement la notion de «terroir» sur laquelle reposent les AOC et donc une grande partie des raisons de l'écoulement de la production. La commission ignore que le marché du vin est un marché du goût. Du bon goût! Elle croit que le vin est un liquide alcoolisé à base de raisin fermenté! Le raisonnement de marché de la Commission passe donc à côté de la réalité de la culture du vin qui repose sur une production viticole de qualité. Or celle-ci est contrainte par les types de sols. Par définition ceux-ci ne sont pas extensibles à l’infini. Par exemple, on ne peut pas dire que parce que les appellations Saint-Emilion ou Châteauneuf du Pape sont très rentables, il faut massivement planter là-bas et pas ailleurs. On ne pourrait le faire qu’au détriment de la qualité globale de ces AOC, en élargissant leur périmètre à des terroirs plus hétérogènes et moins qualitatifs. A terme la fin des «droits à plantation» risque donc de faire s’effondrer le système des AOC. Adieu la réponse collective trouvée dans les années 20 et 30 pour sortir du désastre du marché sauvage du vin. Retour de la piquette?
Normaliser le goût pour faire un marché unique.
Autre point très grave que la France a finalement laissé passer. Jusque là la liste des pratiques œnologiques admises ou interdites était du seul ressort des Etats au Conseil. A présent cette compétence est transférée à la Commission. Evidemment dans sa logique d’alignement sur le marché mondial, la Commission veut normaliser les pratiques européennes sur le modèle des pratiques de l’industrie viticole du Nouveau Monde. Parmi ces pratiques, jusque là honnies, on trouve notamment le mélange de vins de diverses origines ou couleurs. Ou encore l’adjonction au vin de toutes sortes d’additifs: des copeaux de bois, aux levures OGM en passant par des additifs aromatiques voire des colorants. Sans parler de techniques de vinification dignes de l’industrie chimique: osmose inverse pour concentrer les mouts issus de raisins à trop gros rendements, utilisation de neige carbonique pour conduire les macérations … Toutes ces innovations, courantes dans le «nouveau monde», ne visent évidemment qu’un seul objectif. Il s'agit de réduire les coûts de fabrication à court terme. Mais surtout à standardiser le plus possible le goût du produit sur de très grandes quantités. Par exemple, l’élevage en barrique de chêne étant jugé trop long et coûteux, on va utiliser les déchets de menuiserie, les fameux copeaux, très peu couteux, pour boiser les vins à grande vitesse.
ECOLOGIE ET MODELE VITICOLE
On le comprend, le modèle «œnologique» de la commission participe d’un modèle viticole productiviste et industriel. Pas besoin de ménager les sols ou la plante quand on peut reconstruire le goût du vin dans sa fabrication. Ce modèle laisse donc libre cours à l’irrigation, aux engrais de synthèse et aux pesticides, au service de l’augmentation des rendements. Là où la quête de qualité du modèle des AOC conduisait au contraire à les réduire. Les pratiques œnologiques «modernes» du Nouveau Monde nécessitent aussi souvent des installations technologiques peu compatibles avec une agriculture paysanne de petites exploitations.
L’affaire du «rosé» de mélange
C’est exactement cette logique de marché qui a prévalu avec la décision récente d'autoriser d'appeler «rosé» du vin produit en mélangeant du rouge et du blanc. Cette horreur est une pratique employée en Australie, aux Etats-Unis et en Afrique du Sud pour recycler les invendus de vin blanc de mauvaise qualité. Car pour faire du rosé par coupage il faut beaucoup de blanc et un peu de rouge. Le tout au détriment de la qualité et même de la santé des consommateurs. Pour ceux qui ne le savent pas les blancs de faible qualité sont peu digestes et génères divers troubles… La Commission a commencé à inscrire cette trouvaille grotesque dans un projet de règlement qui est soumis au Conseil depuis janvier 2009. Le gouvernement français s’est alors illustré en parfait bon élève libéral de l’Europe sur de dossier. En effet, lors de la première réunion consultative du Conseil agriculture sur ce sujet le 27 janvier, le ministre Barnier n’a formulé aucune opposition. Alors même que certains pays contestaient le règlement proposé par la Commission, à commencer par l’Allemagne. Barnier dénonce donc aujourd’hui une mesure à laquelle il n’a rien trouvé à redire quand il était à Bruxelles. La réponse de la Commission aux critiques sur le rosé n’est pas moins révélatrice. Plutôt que d’essayer d’argumenter sur le fond du dossier, elle a renvoyé la question à l’OMC, qui doit rendre un avis sur le sujet d’ici juin. La décision finale du Conseil sur ce dossier est donc reportée d’autant. L'OMC! Si c'est pour s'en remettre à l'OMC a l'heure de défendre une production qui est en même temps une culture quasi identitaire, alors à quoi bon l'Union Européenne ?
Retour à Hollande et Bayrou
Qu'a dit hollande? Très exactement. D'abord cette phrase ciselée dans la meilleure tradition du «balancement circonspect» des énarques: «Le PS ne doit céder ni à la diabolisation sans raison ni à la séduction sans principe.» Tout est dans la nuance. Imaginez une diabolisation avec des raisons. Ou une séduction avec des principes! L'effet visé est de paraître mesuré, raisonnable. Il s'agit de disqualifier les postures actuelles en le dépassant. L'objectif sémantique est de reformuler une problématique totalement discréditée. Comment? Réponse: «proposer une clarification des convergences et des divergences.». Qui peut être contre une clarification, en général? Donc en particulier? Hollande vous a fait faire la moitié du chemin. Vous qui pensiez que le centre c'est la droite, il vous reste à admettre l'idée d'avoir une nouvelle vision de ce Centre. Une vision basée sur une «clarification» de ce qui vous paraissait pourtant parfaitement clair jusque là. C'est de cette façon que François Hollande vous conduit au seuil de l'autre moitié du chemin qui reste à faire. Attention balancement circonspect en vue. «Si les divergences l'emportent sur les convergences, chacun comprendra le refus de l'alliance. Si c'est l'inverse, alors il faudra en tirer les conclusions.» Faites une pause car vos poumons pourraient éclater. Car vous voilà rendu au point où vous allez avoir des conclusions à tirer. Parti de l'idée d'une clarification vous voila rendu au point ou vous pourriez avoir une conclusion à tirer a l'inverse de ce vous aviez toujours cru. Laquelle? «Si nous avons suffisamment à faire ensemble, disons-le, sans avoir peur de perdre notre âme.» Nous y voilà. Tout le monde s'y attendait. Quel est le sens de tout cela? Quel but vise François Hollande? Le changement d'alliance. En présentant la méthode qui le rend praticable pour le socialiste. Rien d'autres. Il ne s'en cache pas. «Je fais de la pédagogie.» explique-t-il. «J'ai posé les principes d'une stratégie d'alliance pour le Parti socialiste lors des municipales : le rassemblement de la gauche sur un projet avec des partenaires liés par un contrat. C'est sur le respect de ces principes qu'ont été acceptées des alliances locales avec le Modem.». Donc c'est bien ce que j'expliquais à l'époque. Les municipales ont été le banc d'essai d'une nouvelle stratégie. C'est l'aveu. Qui peut l'affronter sur cette base? Martine Aubry qui a elle-même fait cette alliance alors qu'elle n'en avait même pas besoin arithmétiquement. C'est parce qu'il enferme Aubry dans ses propres contradictions qui l'empêchent de réagir que Jean Christophe Cambadélis déclare au sujet de Hollande: «pervers pépère est de retour». Une fois ce bilan du passé rappelé, il semble que, pour François Hollande, la clarification annoncée au début de l'interview soit faite, vingt lignes plus bas! Voici l'aveu: «C'est la même stratégie que je propose pour les scrutins à venir.» Cette ultime phrase comporte un pluriel que les autres socialistes ont soigneusement oublié de relever… «Les scrutins à venir»! Tous ont fait comme s'il s'agissait de la présidentielle de 2012. Mais le pluriel désigne aussi les prochaines élections régionales. Pourquoi les chefs socialistes n'ont-ils pas protesté contre cette idée? Parce qu’ils se préparent à la mettre en œuvre. C'est pourquoi le niveau de la réplique à François Hollande est aussi faible et hypocrite. Tous lui reprochent le tempo. Pas le fond. D'ailleurs certains mettent les pieds dans le plat. Comme Pierre Moscovici. Il estime que l'initiative de François Hollande est "juste sur le fond". Pour lui, cette position "tranche avec certaines hypocrisies, de la part de ceux qui jurent, la main sur le cœur, qu'ils ne pactiseront jamais avec le centre, alors qu'ils se sont alliés avec lui dans leur commune ou s'interrogent sur le deuxième tour des élections régionales". C'est exactement ce que j'explique. Je suis donc d'accord avec Moscovici: Hollande a le mérite d'avoir vendu la mèche. Il a mis sur la place publique ce que les autres essayaient de reporter à demain, quand les électeurs n'y seront plus, juste après les européennes. C'était le cœur de nos divergences au PS, du temps où j'en étais membre. La question met en cause l'identité de la gauche. C'est la pente de toute la social-démocratie européenne. C'est ce qui a conduit la gauche italienne au néant. Tout cela, je l'ai analysé des dizaines de fois sur ce blog, dans mes livres et articles. J'en épargne donc le rappel. Reste ceci. L'élection européenne prend un sens parfaitement clair aussi sur ce point. Si le score du Front de gauche est suffisant, le PS se verra fermer la possibilité de faire son alliance au centre car il perdrait autant et même plus sur sa gauche. Il sera donc au contraire contraint à l'alliance à gauche sans exclusive. Il sera contraint de discuter un programme et d'organiser une dynamique en relation avec cette alliance de gauche. Le vote pour le Front de gauche est donc la garantie anti alliance au centre. Le moyen de maintenir la gauche à gauche dans le pays. Et donc de rendre possible une autre majorité parlementaire en France.
Billet d'humeur
Outrages,
Ô désespoir
Hier, place Beauvau, c'était jour de fête. Michèle Alliot-Marie remettait les prix IntériEuréka, récompensant les innovations des personnels du ministère de l'intérieur. Si la « machine à faire des dardés à vue carrés » ne semble pas avoir été retenue, on s'étonnera de ne pas voir récompensé le type qui a inventé le délit d'outrage. Car quelle plus belle invention que celle-là? D'un coup de bâton magique, il permet de transformer le moindre quidam en contrevenant. Et, comme le pistolet à tirer dans les coins, de ne jamais louper sa cible. Ainsi, dernièrement, à Pontoise comparaissait Sabrina Szmuszkowicz. Le 8 décembre 2005, elle et ses parents ont croisé la route d'un automobiliste courroucé qui, après échange de quelques noms d'oiseaux, eut la présence d'esprit de sortir sa carte de gendarme. Trois ans plus tard, sans avocat, son père, Serge, après avoir vu le procureur requérir une amende avec sursis, se vit condamner à payer 500 euros pour outrage. Même en civil, même de repos, un gendarme reste un gendarme. Hier, Sabrina a eu la présence d'esprit de venir avec un avocat à qui on à qui on ne l'a fait pas. Me Ursulet a eu, lui, le déplaisir de croiser en 2005 et en scooter quelques zélés fonctionnaires de police. Mais même en civil, un avocat reste un avocat. De ses mésaventures, il en a tiré un livre, Pourquoi me tutoyez-vous ? Et hier, il n'aura pu que constater que, si le père a été condamné à 500 euros d'amendes, la fille, elle, l'a été à 200 euros. Elle va faire appel
Sébastien Hompr
à Carlo
Partage des richesses.
Rapport de l'ONU :
"dans le monde 2% des adultes possèdent 50% de la richesse mondiale"
http://www.insee.fr/fr/INSEE_REGIONS/languedoc/publi/chroniques_radio/pdf/revenus9_2008.pdf
Rebonjour
@pierre L
Je ne suis pas raciste et ma Femme est Colombienne alors épargne moi ton analyse érronnée et pas tres réfléchie !
@jennifer
ok peut-être fait-il que le traduire mais cela dénote tout de même un état d'esprit..........................
Quands au texte il dit en gros :
Que Uribe justifie ces assassinats parce que les morts de la UNION PATRIOTICA mélanger les formes de lutte (dont ils étaient eux-mêmes responsables de leurs propres assassinats) mais à présent je t'avoue, moi-même j'ai du mal à comprendre de quoi il en retourne exactement. Mais ce qui est sûr c'est que l'etat Colombien est Responsable de ses massacres mais que Uribe ne veut pas en répondre devant les instances internationales et nie l'Evidence. L'Implication au plus haut niveau de l'Etat Colombien et des responsabilitées qu'ils ont dans ces Massacres.
Cela dit que Uribe est impliqué jusqu'au cou avec le Plan Partriote financé par les Américains dans les Massacres des Syndicalistes et de l'Opposition de Gauche et Uribe affirme qu'il respecte les droits de l'Opposition et qu'ils ne sont pas persécutés et même que soi-disant l'Etat Colombien les protégeraient alors que tout les Colombiens de bonne foi savent bien qu'Uribe ment et que c'est un Dictateur Sanguinaire.
Quands les responsables Venezueliens ont entendus cela, ils sont devenus "rouge de honte pour un tel personnage infame" car ils le connaisse bien à Uribe et ils savent tout les Syndicalistes assassinés, poursuivis et emprisonnés par l'Etat Colombien et que "EUX Venezueliens" acceuillent et aident les réfugiés Colombiens qui sont sous la protection de l'Etat Venezuelien qui est un "Peuple frère" pour rester en vie et pour échapper aux tueurs et assassins qui les poursuivent de Colombie.
VOILA,
J'ai traduis en gros car mot à mot il me faudrait une heure au moins.
Fraternellement. jean pierre.
Notre Site Web : http://npatroyesaube.canalblog.com/
De tout ça l'essentiel,écrire comme on parle.
Le P.G, avec des zozialistes de droite oui ou non ?
Rosay. à +
NAN.
à jean pierre (19 avril 2009 à 14:59)
ah bon, après la race espagnole ya une race colombienne ? mince alors.
Remarquez, jean pierre, que je dois pas être raciste non plus : ma compagne est alsacienne.
à jean pierre (19 avril 2009 à 14:59)
et je vous remercie grandement de qualifier mes moqueries d'"analyse" (même "érronnée et pas tres réfléchie")
Flatté. Merci.
à jean pierre (19 avril 2009 à 14:59)
Et puisque vous avez des connexions colombiennes vous pourriez m'avoir de la cocaïne pas trop chère ?
à jean pierre (19 avril 2009 à 14:59)
Je comprends mieux maintenant pourquoi dans vos commentaires vous employez si souvent le terme "COCOS" !
Allez, jean pierre, je déconne, je veux pas de coke, j'aime que le cannabis.
S'attaquer aux privilèges !
Le pays tout entier est en état d'urgence. Peut-ont agir contre la crise, bloquer les licenciements, stopper la chute du pouvoir d'achat et retrouver l'espoir d'une vie meilleur ? Nous, au Parti communiste, nous pensons que c'est possible, à condition d'agir dans tarder, en inversant les grands choix politiques. Nous faisons des propositions pour cela. Nos élus, nos parlementaires partout les défendent.
Nicolas Sarkozy nous dit : « Attendez, ça ira mieux demain, rentrez sagement chez vous et cessez de manifester ».
mais qui peut attendre quand la crise fait si mal ? Ce serait une folie de l'écouter. Ce n'est pas en renflouant la machine à faire du profit, en protégeant de manière indécente les actionnaires et les dividendes, et en écrasant les salaires, la consommation, l'investissement public, le crédit aux PME pour payer l'addition qu'on s'en sortira. C'est exactement le contraire qu'il faut faire en commençant par s'attaquer aux privilèges du capital et de la finance.
Nous sommes des millions à ressentir et à partager ces urgences. Comment les faire avancer face à ce pouvoir sourd et arrogant ? En poursuivant les mobilisations sociales, assurément. Et en saisissant toutes les occasions de faire prévaloir d'autres choix politiques.
L'élection européenne du 7 juin prochain en sera une. Nous pourrons ce jour-là donner un carton rouge à la politique de Nicolas Sarkozy, et à toutes les politiques libérales qui fondent les traités européenne actuels et nous ont conduit dans le mur.
Le PCF a initié pour cela un front unitaire, le
« Front de gauche pour changer d'Europe ». Il regroupe aujourd'hui le PCF, le Parti de gauche, la gauche unitaire et de nombreux acteurs du mouvement social. Il est ouvert à tous.
Le 7 juin, le vote pour ses listes peut donner une grande force à cette exigence : Il est urgent de changer de cap en France et en Europe.
à Maxou (19 avril 2009 à 16:14)
Bonjour Maxou,
d'abord, sachez-le, je suis en général d'accord avec vos commentaires (sauf celui du 19 avril 2009 à 9:33 :))
Mais je me permets une remarque.
Votre commentaire du 19 avril 2009 à 16:14, par exemple.
Est-ce votre point de vue ? bien entendu, mais c'est avant tout une communication du PCF !
http://www.pcf.fr/spip.php?article3612
S'il vous plait, Maxou, lorsque vous publiez un "couper-coller", pourriez-vous en indiquer la source ?
En plus je vous dis pas l'avantage : vous faites un commentaire qui vient du site de l'Huma ou du PCF, vous citez votre source par un lien, et hop, les lecteurs(trices)(1) de ce blog un peu curieux(ses)(2) cliquent sur votre lien, ils(elles)(3) se retrouve sur les sites de l'Humanité ou du PCF...dans lesquels ils(elles)(4) peuvent naviguer !
(1) à Pulchérie, Jennifer, etc : franchement c'est chiant !
(2) voir (1)
(3) voir (2)
(4) voir (3)
(1) à Pulchérie, Jennifer, etc : franchement c'est chiant !
(2) voir (1)
(3) voir (2)
(4) voir (3)
écrivaines, auteures, vous en pensez vot'Féminité ?
Simple, mais efficace " être ou ne pas être avec des zozialos de droite ? zat in ze quoichone ?".
Pas si simple la réponse.
Pour moi, aujourd'hui, c'est sans les Zozialos.......
Sauf à avoir une intervention rapide de la Direction Générale du" Parti de Gauche"., me permettant une libre réflexion sur le sujet, je répète, avec ou sans les zozialistes , bien entendu LES RESPONSABLES AYANT VOTES, le traitre traité de Lisbonne, et les OUITISTES du feu T.C.E. pouris
Rosay.à +
@Pierre L
la plus part de mes sources viennent de l'huma, mais je ne fait pas que du copier coller, mais je prends la peine d'écrire presque tous mes textes au clavier (à la main !)et ensuite je fait un copier coller, ou est le problème ?
Mais toute mes excuse Pierre L, je ne savais pas que l'humanité été interdit sur ce blog, de plus vous êtes bien un des seuls à ne pas savoir que je prends mes source de l'humanité, donc je répète qu'elle viennent presque toutes de l'humanité.
Encore une fois excusé moi ; si vous voulez m'exclure de ce blog dite LE
excusé moi !
Excusé moi !
Excusé moi ! X 1000
Oui, rozay, pas si simple, et le discours est le suivant :
il n'est pas question que je vote pour le PS.
mais si je ne vote pas pour le PS je fais gagner la droite.
:idea:
évaporation de la contradiction : le PS c'est la droite.
comme l'a bien dit jean pierre (19 avril 2009 à 12:06) :
"Au second tour, si VOTRE CHOIX ET LISTE n’est pas Majoritaire alors allez à la campagne vous promenez mais surtout ne votez plus pour le moins pire car c’est UNE ESCROQUERIE INTELLECTUELLE..
Suis-je excusé Pierre L ?
à Maxou (19 avril 2009 à 18:00)
Hé Maxou,
il n'y a aucun problème !
relisez mon post !
Et ne vous excusez pas, il n'y a aucune offense !
À Pierre L
Par contre moi je suis un grand fan de vos textes, j'aurais aimé manier la langue de molière comme vous, je n'aurais pas besoin de m'inspirer de textes existants, est puis de toutes façons vous êtes un homme de gauche, comme moi, donc vous ne subirez aucune attaque de ma part.
Veuillez m'excuser je ne connais pas l'orthographe de molière.
J'ai bien relu le post et il est vrai qu'il n'y a aucune offense, mais si je suis chiant c'est a l'insu de mon plein grès (lol)
à Maxou (19 avril 2009 à 18:20)
Mes textes Maxou ? Vous plaisantez. Quels textes ? Je profite justement du caractère multimédia de l'internet pour réduire le texte au minimum et résumer par l'image.
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Et vous avez raison de communiquer ici des textes pris ailleurs !
Faites comme vous le sentez !
Mais par exemple, votre commentaire du 19 avril 2009 à 16:14 :
imaginez une personne qui débarque pour la première fois sur ce blog, elle ne connait pas Maxou, elle lit votre commentaire et elle pense quoi ?
Et bien elle peut penser que ce commentaire est le point de vue personnel de Maxou, alors que ce que vous vouliez exprimer, je crois, était une position du PCF, que vous partagez.. C'est pour cela que je vous conseillais de citer la source de vos textes.
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est puis de toutes façons vous êtes un homme de gauche, comme moi, donc vous ne subirez aucune attaque de ma part.
Ben tiens et puis quoi encore ? Si vous n'êtes pas d'accord avec moi, ne vous gênez surtout pas pour le dire.
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Veuillez m’excuser je ne connais pas l’orthographe de molière.
M'en fous, de l'orthographe de molière.
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une jolie rime ?
Bisous, Maxou.
Pierre L
Vous vous défoulez aujourd'hui! Est-ce l'approche du printemps?
à Jennifer (19 avril 2009 à 19:03)
Arrière, Pécheresse !
Ce matin à la messe l'Esprit Saint m'a envahi et rempli d'inspiration.
Dominique Villepin a dit dans "Le Point " :
"Oui il y a un risque révolutionnaire en France"
ah oui ? Sans blague. Bon, après, c'est plus facile à dire qu'à faire.
Mais en y réfléchissant un peu plus et à force d'entendre tous les barons du pouvoir - de A.MINC à D. Villepin crier à la Révolution menaçante, je m'interroge :
Ne serait-ce pas là, plutôt, une nouvelle STRATEGIE de la PEUR et du CHOC visant à manipuler l'opinion ?... Tant La STRATEGIE POLITIQUE DEMOCRATIQUE DE PRISE DE POUVOIR PAR LES URNES semble beaucoup plus les effrayer que l'hypothèse de myriades de rébellions urbaines dans le pays, toutes plus faciles les unes que les autres à réprimer depuis
l'Etat d'urgence en 2005 dans les quartiers populaires ?
Les escrocs au pouvoir savent faire désormais. N'ont -ils pas déjà testé les nouveaux arsenaux juridiques ? La militarisation rodée du territoire et de l'espace public n'ont-il pas été renforcé ? Et même si l'on ne doutait pas de la combativité du peuple, jusqu'à quand pourrait- il tenir et vers quoi pourrait- il faire converger ses forces ?
Reprenons un instant plutôt nos esprits :
Il me semble qu'il ne faut pas croire la poussée de fièvre alarmiste des tenants du pouvoir oligarchique. Eurent-elles été prononçées par des personnes en disgrâce à la cour de Nicolas Sarcaucescu que rien n'y changerait.
Il faut plutôt l'apprehender comme une ènième ruse pour recapter un électorat défaillant et démissionnaire.
Quoi de mieux que LA FRAYEUR couplée à la jouissance ambigüe de part et d'autres des camps que de clamer par voie de propagande acharnée :
"Attention la Révolution arrive, méfiez-vous et votez pour nous ! "
Ayant toujours aspiré à l'UNITE de la gauche de la gauche, c'est là me semble t-il le véritable piège tendu par l'ultra-droite : Titiller les chimères de Révolution dans les deux camps afin qu'elle n'arrive JAMAIS et qu'elle soit " morte-née " avant qu'elle n'ait déjà commencé.
Comme il serait facile en effet de tout réprimer et d'asseoir une nouvelle asssise au pouvoir en place, pour 20 ans, sans plus aucune bronca !
A l'inverse si nous réussissions l'UNITE à la gauche de la gauche (OUI IL FAUDRAIT ENCORE OSER LE FAIRE !) il est clair qu'une fois conquis le pouvoir par les urnes de façon majoritaire, il serait loisible de véritablement appliquer nos vues et de reconquérir les territoires perdues d'une guerre culturelle et politique définitivement abandonnés en rase campagne par le PS depuis belle lurette.
Oui, loisible de renverser la table pourrie jusqu'à l'os du Capitalisme tardif et de sa nouvelle matrice néolibérale-sécuritaire qui nous attète à une nouvelle psychologie d'esclave sous arrière fond de " guerre antiterroriste " et tranformer le système. En effet, nouvellement et différemment portés par un créatif murissement des intelligences individuelles et collectives mondiales, les temps révolutionnaires pourraient enfin veritablement et légalement s'écrirent et non plus seulement se fantasmer "hors-la -loi" dans de répressifs imaginaires.
Réfléchissons- y ensemble- Il est encore temps.
"“…Notre délégation du PG a également essayé de comprendre jusqu’où allait « l’indépendance » vis-à-vis du PS. Est-ce que cela pouvait signifier aucun appel au 2ème tour à battre la droite ce qui pourrait du coup permettre à cette dernière de gagner toutes les régions ? Anne Leclerc nous a dit que le NPA n’avait pas encore de position sur ce point. Nous avons répondu qu’il s’agissait pour nous d’un principe fondamental : nous voulions contester l’hégémonie sociale-libérale, les devancer dans les urnes mais en aucun cas nous ne participerions à une victoire de la droite."
Voilà justement l´énorme erreur.
Le PSF sait que le mauvais (très mauvais), le pire système electoral possible: le système majoritaire à 2 tours à circonscription unipersonnelle (le meilleur et le plus juste, plus équitable, meilleur distributeur, est le système proportionnel avec circonscription électorale grande (le département ou encore mieux: la région)) appliqué en France lui permet de museler littéralement toute son aile gauche, en les faisant voter pour eux au 2º tour. Ils n´ont donc pas à se préoccuper (le PS) de faire une politique de gauche.Ils peuvent faire une politique de droite, et c´est ce qu´ils font, pour ensuite recueillir les votes gratuits totalement (pour eux, qui ne payent rien) de la gauche de la gauche qui croit ingénument (ou connement) qu´ils évitent ainsi l´accès de la droite au pouvoir.
Ce qui arrive est exactement le contraite.La droite (Le PS qui est la droite se disant la gauche) arrive au pouvoir avec les votes au 2º tour de la gauche de la gauche qui ne reçoit rien en échange de ces votes puisque nous constatons que la politique du PS (en Ibérie c´est honteusement pareil) est au fil des ans de plus en plus misérablement de droite dans absolument tous les domaines.
Ainsi donc le PS se dém**** très habilement pour voler gratuitement nos votes por faire du droitisme ehonté ensuite.
Cela doit changer.
Je propose d´avertir cette fois le PS que personne ne lui votera cette fois au 2ª tour, et s´abstenir de voter au 2º tour ou bien voter nul en votant à notre parti (PG ou NPA ou....).
C´est le seul moyen d´endiguer la dérive du PS et le mettre contre les cordes ce qu´il mérite grandement.
Plus tard il faut penser à implanter le système proportionel pour les législatives en France, ce que le PS s´est bien gardé de faire lorsqu´il était au pouvoir, justement parce qu´il espérait tirer parti du système majoritaire à 2 tours, de ce vol des votes à la gauche de la gauche.
@Hold up
Oui ils savent bien (les sarkoceauscu) qu'il va y avoir des luttes et des luttes car comme ils ont décidé que c'est le peuple qui paierait pour la crise, les licenciements vont déferler et tout le reste, donc la colère va gronder. Ca ils ont raison d'y penser car ils ont choisi. Alors déjà ils se dépêchent de la caricaturer (la révolution! Rien que ça!) et de la criminaliser (les voyous sequestreurs) et aussi dans les quartiers car le chomage déjà là va encore augmenter et le risque d'explosion aussi (loi sur les bandes).
Mais qu'il y mette toutes les formes, ils n'empêcheront pas une radicalisation et ils ne savent vraiment pas comment ils y feront face.
@Pierre L
Grand bien vous fasse, j'espère qu'Il vous entendra là-haut...
@ Pierre L
heu... je crois que pour ma part, il est aussi temps de changer d'étendard.
Rassure -toi, le Rouge y est encore :
Depuis son interdiction militaire sur les balcons populaires au dernier sommet de l'OTAN, celui-ci n'a t-il pas pris une nouvelle valeur symbolique qui l'épargne désormais et définitivement de toute excessive niaiserie ?
http://www.hlm-magazine.net/drapeaux_no_to_nato.htm
http://www.lexilogos.com/drapeau_paix.htm
à Hold-up (19 avril 2009 à 19:20)
Oui, c'est bien vu. Mais je crois qu'il n'y a pas que de la stratégie dans leur discours.
"Les escrocs au pouvoir" n'ont aucune idée de ce que peuvent ressentir les gueux, sinon par RG et sondages, miroirs bien déformants.
Pierre L
Pourquoi "Il" d'ailleurs? La question n'est pas: dieu existe-t-il? Mais s'il existe, est-il un homme ou une femme?
Hold-up (19 avril 2009 à 19:37)
oui mais non. :)
à Jennifer (19 avril 2009 à 19:46)
pour moi la question est : s'il existe amener le moi que je lui demande des comptes sur sa création.
Et je l'aimerais masculin.
Car si c'était une femme mon reste de machisme (=galanterie) m'empêcherais de lui exploser sa divine face.
C'est vrai cela Pierre L. A la réflexion, pour créer un tel monde, il fallait bien qu'il soit un homme!
Excusez, j'ai des poussées de féminisme parfois!
Attention !
Ne jamais dire "bougnat du coin" : c'est raciste.
Laisser l'usage de "ch'tis" aux naturels indigènes du pays du grand Nord.
Eux seuls peuvent le dire.
De même que "parigot".
"Bouillat baise à toute heure" est insultant pour les gars de la Marsiale.
Gare à l'emploi de "sioniste" c'est hyper-raciste.
Facile d'argumenter avec une telle riposte. Tout de suite la loi Gayssot !
Vous êtes forts, les gars !
De toutes façons il ne devait pas être un ange ?
à Pulchérie (19 avril 2009 à 20:21)
Et faut faire gaffe au bistrot : bien dire "expresso" et surtout pas "un petit noir".
@ Pierre L
Bon, là c'est vrai que c'est très " minimaliste " et quasi- conceptuel ton carré rouge ! (rires) C'est vachement branchouille !
Allez, je ne résiste pas - Pour de rire :
L'ORACLE vient encore de pisser copie !
Lisez notre grand trafiquant d'Histoire !
Mélangez tout avec n'importe quoi - Mentez sur l'Histoire, brouillez les faits, pratiquez la fausse analogie, sachez cacher l'essentiel que l'on ne saurait voir, déformez l'ensemble puis servez très froid dans la rubrique du "Point" chaque semaine. De la pure calmonie en mot. Pas chié le gonze !
http://www.lepoint.fr/actualites-chroniques/2009-04-16/le-bloc-notes-de-bernard-henri-levy-il-est-revenu-quoi-le-temps-des-sequestrations/989/0/335581
à Pulchérie (19 avril 2009 à 20:21)
Pis quand on est soul, pas dire "j'suis noir" mais "quelque peu éméché".
Mais qu'est ce que j'ai avec les noirs ?
Je suis raciste.
A L'AIDE !
Quand je dis : "Il serait tout à fait séant que la France et les autres pays européens qui en font partie, quittent (quitassent si vous voulez) cette honorable alliance nommée OTAN, et que ce soit là le but premier de la politique actuelle des gens fidèles à la Solidarité Sociale", voyez-vous un moyen de trouver, dans ce souhait, de la xénophobie, de la haine raciale, et autres attitudes rouge-brun
(comme dirait l'honoré BHL) ?
Eh bien ! moi, je pourrais en trouver, en mettant de côté toute bonne foi.
Soyez bons pour les animaux peut être également interprété comme raciste...
Et ainsi de suite.
Un avocaillon vicieux trouvera toujours un chemin logique pour voir du rouge là où il y a du bleu etc.
J'espère qu'il n'y a pas de robin dans ce forum. Sinon, mes plates excuses.
Il fallait lire : CALOMNIE
"Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose"
à Hold-up (19 avril 2009 à 20:36)
Branchouille ?
On faisait mieux en 1918 :
http://www.productionmyarts.com/arts-en-profondeur/20e-siecle/malevitch-carre-blanc-sur-fond-blanc-fr.htm
Quel connard abject ce BHL (cf lien donné par Hold up)!
En plus ce sont les medias qui ont fait la pub aux séquestrations, comme quoi ils préfèrent que ce genre de pratique désespérée se répande plutôt que de grandes luttes de solidarité. Fichtre si on était en 68 j'ai l'impression que c'est BHL qui serait pendu par les c. Il suffirait qu'il lise le torchon injurieux qu'il a écrit.
faute d'orthographe: il suffirait qu'ils lisent (les ouvriers)
Ils lui feraient bien la peau! Ca vaudrait la peine de donner à lire son ordure de papier aux ouvriers licenciés à l'heure actuelle aussi.
@ Pierre L p.135
Que c'est doux d'être si vite comprise)
J'ai un très vieux copain béninois qui, invariablement, quand on lui offre un verre,
répond :" Avec grand plaisir...un p'tit blanc"
Le NPA a changé de discours face au Front de Gauche.
http://www.gauche-unitaire.fr/2009/04/17/le-front-de-gauche-vu-par-le-npa/
Pierre, au début de ce fil, parle de Julien Coupat et utilise, avec une allusion juste, le mot séquestration, que nous pouvons mettre en balance avec l'emploi qui en est fait aujourd'hui.
Bien ! mais ceci appelle en moi brutalement et sans aucun rapport avec le texte de J.L. Mélenchon, le sort de Yvan Colonna dont personne n'a parlé sur ce blog !
Peut être que son parcours, ces idées n'intéressent pas la gauche ou l'extrême gauche.
Je suis,en tant que citoyen français (au nom de qui le justice à été rendue...) profondément concerné par cette affaire dans laquelle la raison d'état a étouffé la justice... comme pour Julien Coupat.
Oui Clama
Je suis de loin l'histoire de Colonna mais ça a l'air d'être un vrai coup monté et si ça l'est, c'est tout à fait scandaleux. En gros, la justice n'est plus juste. On savait que c'était une justice de classe mais dans l'ensemble. Mais là c'est une vraie bouffonnerie. Il n'y a plus de vraie justice. C'est GRAVE
Je ne connais pas, comme la plupart d'entre nous, le fond du dossier Colonna mais si des preuves irréfutables avaient pu être présentées lors de ces deux procès, elles auraient été rendues publiques.
Rien, sinon les accusations, un jour oui et l'autre non, de présumés comparses ! La réclusion à perpétuité justifiée par du vent.
Ce qui me choque le plus dans cette affaire est l'attitude des représentants de la famille Erignac qui, plutôt que de réclamer que la vérité et la justice soit faite sur le meurtre du préfet, n'ont eu que la volonté de voir Yvan Colonna condamné.
Que signifie cette certitude de culpabilité ?
Ou est le bénéfice du doute ?
Que contient le dossier Colonna de part obscure ?
Ou en est la justice ?
à Clama
N'ayant suivi que de loin l'affaire Colonna je n'ai pas vraiment d'avis sur le sujet
mais vous n'êtes pas la seule a faire un parallèle entre Coupat et Colonna :
http://www.mediapart.fr/club/blog/pfsim/300309/pourquoi-l-affaire-colonna-n-est-pas-un-derapage-judiciaire
@Bonne nuit à tous,
et à demain ?
Pour en revenir au sujet, inutile de parler de vin, le vin se suffit à lui même, il fait parler.
Je suis bien entendu d'accord : du goût mondialisé, assez ! stop ! basta cosi !
Mais juste une remarque : les méthodes technologiques utilisées ne sont pas forcement ennemies de la qualité.
Tous les viticulteurs de BONS crus français les utilisent sans forcement tricher.
Ils ont appris à maitriser un processus biologique avec des moyens modernes.
Ce qui leur permet de limiter les variations de qualité naturelles de leur production selon les années.