10mai 09
Cette semaine a été plus mouvante encore que les précédentes. J’en parle. Tous les efforts de campagne semblent pourtant se briser sur l’annonce que le taux d’abstention aux élections sera record. On se demande si ce n’est pas plutôt un souhait pour certains. Comme d’habitude, une totale hypocrisie règne. Pourquoi les Français s’intéresseraient-ils à une élection dont aucun enjeu n’est évoqué? Ils n’entendent parler que de la compétition politicienne entre les partis qui présentent des listes! L’étouffoir semble sans faille. Le double langage joue un grand rôle dans l’affaire. Les deux premiers partis dans les sondages, l’UMP et le PS, rivalisent d’audace dans leurs revendications à l’égard de l’Europe. Mais les deux se gardent bien de dire ce qu’ils y font réellement. Ça intéresserait pourtant bigrement le débat. Par exemple le vote des députés UMP et socialistes français sur les directives électricité le 22 avril dernier ? Rien pas un mot. Nulle part. Il y a de quoi. Ils ont honte, c’est sûr ! Donc je décide de consacrer une bonne partie de cette note à un projet particulièrement condamnable qui bénéficie de l’accord de l’UMP et du PS depuis quelques temps déjà. Il s’agit du projet de formation d’un grand marché libre et sans entrave entre les États unis d’Amérique et l’Union Européenne. Il se mettra en place en 2015. Et cela n’est débattu nulle part.
PERIPLE
J’ai fait un périple bondissant entre Paris, Sète (lundi, six cent au meeting), Auch (mercredi, trois cent au meeting), et Besançon (jeudi, huit cent au meeting). Dans de tels cas, la fatigue vous expédie dans un état bulleux où le souvenir des jours qui passent s’estompe dans un brouhaha mental bourdonnant. Christian Piquet, que j’ai croisé à Besançon, me confie ne plus se souvenir certains jours d’où il se trouvait la veille. Moi de même. Chaque fois que j’ai un membre du bureau du parti de gauche au téléphone, je note qu’il lui est difficile de me parler d’un fait de plus de deux jours. Tous tirent sur la corde, parfois davantage que moi. Mais c’est là notre la tactique de campagne: construire un socle de soutien solide à partir de milliers de réunions qui mettent en mouvement tout le premier cercle de la gauche. Il est impossible de compter sur autre chose pour contrebalancer l’étouffoir national. Il faut répéter les arguments. Ceux qui les adoptent sont ensuite des relais d’opinion imparables que le système ne peux plus contenir. Il faut répéter. Sans relâche. Mon luxe alors, quand vient la pause, c’est de ne plus m’entendre parler… Je deviens alors un «taiseu» par gourmandise. Ce que l’on appelle la vie privée n’y trouve pas son compte, c’est sûr.
DES BONNES NOUVELLES ET D’AUTRES
L’autre jour j’ironisais, en conférence de presse, sur l’UMP qui distribue des tracts à Paris, gare Montparnasse sur les prochaines élections régionales alors que nous sommes à un mois des élections européennes. Retour de bâton, un journaliste me dit: «oui, mais vos amis en font autant! Voyez madame Clémentine Autain fait une réunion à Nîmes sur le thème de l’unité de l’extrême gauche aux élections régionales. Et en plus c’était le jour du discours de Sarkozy sur l’Europe!» Et en plus dans la circonscription où je me présente! Tant pis pour moi. Comme avait dit Clémentine après avoir renvoyé si injustement tout le monde dos à dos à propos de l’échec d’un front de toute l’autre gauche: «c’est déliraaaant!». Je me fais à l’idée qu’avec une telle amie je n’ai pas besoin d’ennemi! Par contre les bonnes nouvelles il y en a aussi. Finalement ce sont onze comités départementaux du MRC qui ont décidé de faire campagne avec le Front de gauche dans cette élection. Localement de nombreux militants des Alternatifs donnent aussi le coup de main. Et aussi de nombreux militants de comités anti libéraux. Ma liste dans le Grand Sud Ouest en compte une représentante, en sixième position! Des comités du NPA font de même. Ainsi l’essentiel de celui de Mende et celui de Périgueux, dans le grand sud ouest également où l’on devine que je me tiens informé de tout ce qui aide à faire la différence. Et pour moi la principale différence c’est que nous sommes la seule gauche rassemblée et cela sur une ligne cohérente dans cette élection.
DES SONDAGES
Finalement, petit à petit, si l’on en croit les sondages, notre travail de terrassiers laborieux commence à payer. D’un sondage à l’autre nous progressons. Nous approchons du coude à coude avec le NPA. Ce n’est que plus rageant. Car l’autre gauche fait un total de 15 points dans toutes les enquêtes! La question, si elle doit être réglée pour la prochaine étape est quand même de savoir à qui il est donné raison. Aux unitaires ou aux solitaires? Ce n’est pas une question annexe ni même électoraliste. Il s’agit vraiment de savoir quel chemin est désigné par les électeurs de gauche pour le rude bras de fer qui s’engage avec la droite à mesure que le pays s’enfonce dans la crise et que le président dit qu’il va «profiter» de cette crise pour faire avancer sa politique. Certes, à 6% des intentions de vote on ne passe pas en tête! Mais on sait quand même que, la courbe étant ascendante, nous portons un espoir de futur moins désespérant que ne l’annonçait d’abord les enquêtes quand le paysage était pétrifié autour du couple UMP et PS. Reste que la droite et le total de ses intentions de vote restent en tête. Cela signifie que c’est de ce côté que reste le sentiment donné de la force et de la détermination. Donc notre tache en direction des vastes secteurs des personnes désemparées et désorientées reste la priorité. J’estime que nous en sommes dignes du seul fait que nous avons su nous rassembler pour cela.
LE SUJET EST-IL TABOU?
De soir en soir j’évoque dans mes discours un sujet que je juge essentiel à propos de l’évolution de l’Union Européenne. Il s’agit du projet de Grand Marché transatlantique adopté par le parlement européen. Après l’avoir évoqué à BFM devant Kart Zéro, un début de buzz s’est fait sur la toile internet. Puis, faute de rebonds, le tout est retourné aux oubliettes. Je décide donc de publier mon dossier ici. Tel qu’il est présenté il s’agit d’un travail collectif mené sous la houlette de Laurent Maffeis, le responsable de mon bureau à Paris. C’est donc un argumentaire recoupé et vérifié en tous points. Il peut être utilisé en confiance. Après sa présentation au secrétariat du parti de gauche, il est convenu d’en faire une édition à mettre en circulation aussi largement que possible. J’en appelle donc à ceux qui me lisent pour qu’ils fassent connaître les faits et les arguments que j’expose. Si je m’y prends de cette façon c’est que je ne reçois jamais la moindre réponse d’aucune sorte de la part de ceux que j’interpelle. Et ce n’est pas d’aujourd’hui que je le fais. Car depuis 2004, la Commission Barroso et le Parlement européen soutiennent avec un entrain très actif ce projet de constituer un grand marché transatlantique entre l’Union européenne et les États-Unis qui trainait dans les cartons depuis déjà quelques temps. Dorénavant, de sommets en réunions ministérielles, ce projet avance discrètement mais vivement. Au Parlement européen, lors de 5 votes successifs depuis 2004, le PPE (le groupe des partis de la droite européenne) et le PSE (parti socialiste européen) ont donné leur appui enthousiaste à son avancement. Il s’agit bel et bien d’un changement de nature de l’Union européenne. Pourtant, ce projet n’a jamais été soumis au vote des citoyens européens. Ni même au débat public. Et les députés européens PPE et PSE sortants se sont bien gardés d’évoquer où que ce soit leur décision inouïe.
UN VIEUX MACHIN EST DE RETOUR
Le projet d’une «union transatlantique» est en fait une vieille idée. On en trouve une première tentative dès le début de la guerre froide sur différents terrains: militaire mais aussi économique. Mais l’échec du projet de Communauté Européenne de Défense (CED), un projet américain tourné contre l’Union soviétique, avait gelé ce type d’initiative. En France, des élus de la gauche modérée comme Mendès France ou François Mitterrand s’étaient retrouvés avec les gaullistes et les communistes contre ce type de démarche vassalisante. Sur le plan économique, les États-Unis avaient aussi tenté de faire évoluer l’OECE, organisation créée en 1948 pour gérer les crédits du Plan Marshall, vers une zone de libre échange. Mais ce plan avait aussi échoué en raison des projets lancés au même moment par les Européens pour développer leur propre marché commun: la CECA (Communauté économique du charbon et de l’acier) puis la CEE (la communauté économique européenne). Les États-Unis avaient cependant obtenu la création de l’OCDE. Car cet organisme, présenté aujourd’hui à intervalle régulier comme une quasi institution neutre, est bien depuis le début un regroupement politique transatlantique, même si, suivant en cela les fourgons de la nouvelle OTAN, il est aujourd’hui élargi à d’autres alliés des USA. Son but est de défendre l’économie de marché en exerçant un leadership scientifique et intellectuel. Mais tout cela, c’était faute de mieux, dans le contexte des rapports de force de la guerre froide. Comme on l’imagine, l’idée d’un nouveau rapprochement transatlantique a réapparu aussitôt après la chute du mur de Berlin, en même temps que la théorie du «choc des civilisations» qui en est la mise en scène en quelque sorte justificative. En voici un historique, résumé autant que faire se peut.
UN RESUME DES ETAPES RECENTES
En 1995, Bill Clinton, Président des États-unis, Jacques Santer, Président de la Commission européenne, et Felipe Gonzalez, Président du Conseil européen signent le «Nouvel Agenda transatlantique». Deux instances permanentes sont créées et fonctionnent encore aujourd’hui. Elles vont servir de laboratoire au projet de grand marché transatlantique. Il s’agit, d’une part, du "Dialogue transatlantique des législateurs" entre le Congrès américain et le Parlement européen, et, d’autre part, du "Transatlantic Business Dialogue", entre les grands patrons américains et européens.
En 1998, la Commission européenne appuie le projet de «Nouveau Marché transatlantique», impulsé par les commissaires européens les plus libéraux et atlantistes: le conservateur britannique Leon Brittan, l’italien Mario Monti et le libéral allemand Martin Bangemann. Les objectifs de ce marché étaient la création d’une zone de libre échange pour les services, l’élimination des barrières techniques et réglementaires au commerce, la libéralisation des marchés publics, de la propriété intellectuelle et des investissements, ainsi que la suppression progressive des droits de douane sur les produits industriels d’ici 2010. Ce nouveau projet est alors mis en échec par le refus de la France de Jospin-Vedrine et Chirac. Néanmoins, le sommet UE-USA de Londres en 1998 lance un «partenariat économique transatlantique» en vue d’une plus grande intégration économique entre l’Europe et les États-Unis. Ainsi le projet de Nouveau Marché Transatlantique rejetté par les français aura quand même servi de ballon d’essai. Il va rapidement revenir sous un autre nom. Le Parlement européen a adopté depuis 2004 plusieurs résolutions en ce sens, sans la moindre publicité.
A L’HORIZON 2015 !
Dès 2001, dans une résolution sur les relations transatlantiques (17 mai 2001), le Parlement européen voit dans le projet de zone de libre échange des Amériques une opportunité intéressante pour libéraliser plus avant les échanges entre UE et USA. Certes le projet a avorté depuis sous cette appellation. N’empêche que l’argumentaire pour le justifier va continuer à vivre sa vie. Il affirme ainsi que «le Sommet des Amériques, qui s’est tenu à Québec en avril 2001 et était consacré à l’instauration d’une zone de libre échange des Amériques d’ici à 2005, pourrait avoir un impact important sur les relations commerciales traditionnelles établies entre l’UE et les Amériques.» Afin de préparer ces changements, le Parlement invite ensuite la Commission (résolution du 15 mai 2002 Vers un renforcement de la relation transatlantique) « à proposer une actualisation du Partenariat économique transatlantique, de manière à établir un ordre du jour économique plus substantiel.» Pour cela le Parlement «invite la Commission à examiner comment s’exerce l’interdépendance économique entre l’Union et les États-Unis au niveau sectoriel (agro-industrie, automobile, industrie aérospatiale, alimentation et santé, pharmacie, biotechnologie, commerce électronique, etc.), dès lors qu’il existe d’ores et déjà un marché transatlantique dans un nombre croissant de domaines.» ? Ces travaux préparatoires du Parlement européen et de la Commission débouchent en 2004 sur le «projet de marché transatlantique pour 2015». Dans une résolution du 22 avril 2004 sur les relations entre l’Union Européenne et les USA, le Parlement européen consacre un paragraphe complet à la description du projet: «Mise en place du marché transatlantique pour 2015 13. propose le lancement d’un plan d’action sur dix ans visant à approfondir et à élargir le marché transatlantique ainsi que la coopération économique et monétaire transatlantique en vue de mettre en place un marché unique transatlantique pour 2015; invite le prochain sommet UE-États-Unis à constituer un groupe d’experts chargé d’élaborer des propositions spécifiques à cette fin; 14. recommande toutefois une date d’exécution anticipée à 2010 pour les services financiers et les marchés des capitaux, l’aéronautique, l’économie digitale (vie privée, sécurité et droits de propriété intellectuelle), la politique de concurrence et la coopération en matière de régulation; 15. considère que toutes les initiatives susmentionnées devraient conduire le moment venu à la conclusion d’un traité-cadre UE/États-Unis prévoyant la mise en place d’un marché transatlantique visant à instaurer la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services et des personnes […]»
En 2006, deux rapports du Parlement européen, coup sur coup, viennent étayer et préciser le projet. En janvier 2006, la Commission des affaires étrangères adopte le rapport d’Elmar Brok. C’est un député allermand de droite, memebre de la CDU. Il se prononce pour un accord de partenariat transatlantique au périmètre élargi (à l’économie, la politique, la sécurité. En avril 2006, moins de trois mois plus tard, la Commission du commerce adopte un rapport d’Erika Mann sur le même sujet. Il s’agit d’une députée allemande de gauche, membre du parti social démocrate allemand, le SPD. Elle propose une procédure pour répondre à cet objectif. Quelle remarquable rapidité! Ici un pas est franchi avec la proposition de la mise en place d’un marché transatlantique sans entraves en 2015. Pour faire du zèle, il est aussi prévu une ouverture anticipée des services financiers et marchés de capitaux dès 2010. On cherche en vain les commentaires et déclarations politiques à ce sujet. Le silence est total. Après ces travaux en Commission, le Parlement européen lui-même vote une résolution du 1er juin 2006 en faveur d’un nouvel accord de partenariat transatlantique qui reprend la substance de ces deux rapports Brok et Mann. Le PPE, les Libéraux et le PSE votent pour. Les socialistes français en font autant et se gardent bien d’en saisir quelque instance que ce soit dans leur parti. La GUE présidée par Francis Wurtz, et les Verts s’y opposent. Cette résolution propose «en matière politique, économique et sécuritaire d’établir une "communauté d’action" UE-USA au niveau mondial et régional». Elle reprend l’objectif d’un «marché transatlantique sans entrave en 2015». Elle propose enfin de transformer le Dialogue transatlantique des législateurs (DTL) en une véritable «assemblée transatlantique».
UNE ACCELERATION FERME
Le projet de grand marché transatlantique tardant à se concrétiser, le Parlement européen vote en avril 2007 une nouvelle résolution. Elle renouvelle son soutien à un marché transatlantique sans barrières douanières, avec des règles harmonisées, pour 2015. Le Sommet UE-USA de Washington donne une impulsion décisive au projet le 30 avril 2007. Barroso, Merkel et Bush adoptent un «Programme cadre pour l’avancement de l’intégration économique transatlantique». Et le sommet met en place un «Conseil économique transatlantique» qui est coprésidé par le Vice-Président SPD de la Commission européenne Günter Verheugen et Al Hubbard le directeur du National Economic Council à la Maison banche et composé à parité de représentants de la commission européenne et de représentants de l’exécutif américain. Dans une résolution du 8 mai 2008, le Parlement européen se félicite de l’avancement du projet et notamment de la mise en place du Conseil économique transatlantique. «Le Parlement réitère son avis selon lequel un marché transatlantique efficace et compétitif forme une base propice à l’établissement ferme du partenariat transatlantique, qui permettra à l’Union et aux États Unis de relever ensemble les défis politiques et économiques mondiaux». Il «soutient résolument le processus de renforcement de l’intégration économique transatlantique». Il «se félicite de ce que la Commission ait décidé, sur recommandation du Parlement, de faire réaliser une étude, dont les résultats sont attendus en 2008, sur les obstacles à démanteler pour achever le marché transatlantique; considère que cette étude devrait faire l’objet d’une large diffusion sur les deux rives de l’Atlantique;» Les travaux du Conseil économique transatlantique (TEC en anglais) s’engagent. Ils font l’objet d’un premier bilan d’étape au Sommet UE-USA du 10 juin 2008, en Slovénie. La déclaration finale du sommet affirme notamment: «Nous saluons le travail du Conseil économique transatlantique (TEC) dont nous sommes déterminés à faire l’instance effective pour avancer vers des solutions concrètes aux obstacles au commerce et à l’investissement transatlantiques.» «Nous saluons le soutien du TEC à l’importance d’un investissement ouvert et nous résisterons au sentiment protectionniste à l’intérieur et nous opposerons au protectionnisme à l’étranger.Les modèles du libre et juste échange et de l’investissement ouvert sont les piliers de la croissance économique mondiale. » Un rapport d’étape du Conseil économique transatlantique est annexé aux conclusions du sommet. Il propose d’«accélérer la réduction et l’élimination des obstacles au commerce international et à l’investissement». Et il engage les USA et l’UE à «rationaliser, réformer et quand c’est nécessaire, réduire les réglementations pour renforcer le secteur privé», à «parvenir à une coopération réglementaire plus effective, systématique et transparente pour réduire les coûts liés à la réglementation» et à «éliminer les différences inutiles entre nos réglementations pour favoriser l’intégration économique». Suivent dans ce rapport, une liste de secteurs et de domaines ou des mesures conjointes font avancer cette déréglementation transatlantique.
UN ORGANISME ACTIF
Depuis sa création en 2007, le Conseil économique transatlantique s’est officiellement réuni 3 fois, en novembre 2007, mai 2008 et décembre 2008. Alors que se travaux engagent officiellement l’Union européenne, que la Commission représente, aucun des travaux de ce Conseil n’est disponible en français. Le Conseil économique transatlantique est pourtant présenté par la Commission européenne comme : «un organe politique chargé de superviser et d’accélérer la coopération gouvernementale dans le but de faire avancer l’intégration économique entre l’UE et les USA.» Pour réaliser le grand marché transatlantique, une instance politique non élue et non responsable travaille donc dans le dos des citoyens. Avec l’accord actif des députés européens de la droite et du PS français. Lesquels viennent ensuite sur les estrades jetter de grosses larmes sur le manque de démocratie en Europe et le désintérèt des français pour les sujets européens…
NOCE FORCEE
L’Union européenne se prépare donc activement à une intégration économique avec les États-Unis sans qu’aucun de ses citoyens n’en soit informé et n’ait eu à en décider. Ce projet de «Grand marché transatlantique» est d’autant plus grave qu’il s’agit selon le Parlement européen de « faire en sorte que les générations présentes et futures continuent d’être engagées dans ce partenariat» (résolution du 26 mars 2009) A quand cette noce forcée? Devinez! Dès que le traité de Lisbonne sera adopté définitivement! Le parlement européen «estime qu’il est approprié que la négociation du nouvel accord débute une fois le traité de Lisbonne entré en vigueur». On y revient toujours.
Vous écrivez "En France, des élus de la gauche modérée comme Mendès France ou François Mitterrand s’étaient retrouvés avec les gaullistes et les communistes contre ce type de démarche vassalisante."
Voici un texte de cette période
"Le 28 octobre 1966, lors d’une conférence de presse à l’Elysée, De Gaulle –comme d’habitude- fut visionnaire. Il déclara : "Ainsi certains, s’exaltant au rêve de l’Internationale, voulaient-ils placer notre pays, comme eux-mêmes se plaçaient, sous l’obédience de Moscou. Ainsi d’autres, invoquant, ou bien le mythe supranational, ou bien le péril de l’Est, ou bien l’intérêt que pourrait trouver l’Occident atlantique à unifier son économie, ou bien encore l’utilité grandiose d’un arbitrage universel, prétendaient-ils que la France laissât sa politique se fondre dans une Europe fabriquée tout exprès, sa défense dans l’O.T.A.N., sa conception monétaire dans le Fonds de Washington, sa personnalité dans les Nations Unies, etc. Certes, il est bon que de telles institutions existent et nous pouvons avoir quelque intérêt à en faire partie, mais si nous avions écouté les apôtres excessifs, ces organismes où prédominent – tout le monde le sait – la protection politique, la force militaire, la puissance économique, l’aide multiforme des États-Unis, ces organismes n’auraient été pour nous qu’une couverture pour notre soumission à l’hégémonie américaine.
Ainsi la France disparaîtrait, emportée par les chimères"
Citation tirée de l'article "La création de l'union atlantique se précise" du 12 février 2009 par le comité Valmy http://www.comite-valmy.org/spip.php?article156
“En France, des élus de la gauche modérée comme Mendès France ou François Mitterrand s’étaient retrouvés avec les gaullistes et les communistes contre ce type de démarche vassalisante.”
Ca, c'était une réponse au post précédant !
Sinon, l'alliance avec les USA, ce sont les Mexicains qui en parlent le mieux: il sont passés du socialisme au trafic de drogue ! (via la dérégulation, privatisation, explosion des inégalités...et drogue pour s'en sortir !)
@JLM
"Pourquoi les français s’intéresseraient-ils à une élection dont aucun enjeu n’est évoqué?"
Quand on dit que 80% des lois viennent de Bruxelles, et que les 20% restantes doivent être conformes aux dictats de Bruxelles, les gens écoutent !
Ce soir, le JT de TF1 nous a fait l'honneur de confirmer cet état de fait. J'ai même appris qu'une banane européenne doit faire 14cm !
Eric Besson était socialiste.
En rejoignant l'UMP Sarkozyste,
Eric Besson vient de recréer en France le National Socialisme.
Iago sera toujours Iago
Otello sera toujours Otello
Et Desdémone restera Desdémone
Bonsoir, a tous.
Le comité-valmy, prône pour les élections Européennes, l'Abstention.
Pour moi je juge cet attitude absurde., et surtout venant d'un site se valorisant de Jean Moulin.le comité Valmy est peut être aussi un sou -marin de la droite ou du P.S.
Pas d'abstention, Votez le Front de Gauche.
Rosay. à +
Je remets ici mon post précédant:
"On ne s’en lasse pas. Patrick Le Hyaric devrait reprogrammer cette pub sur téèfun!
http://www.dailymotion.com/video/x1k4ot_merci-patron-publicite-de-lhumanite_ads"
Il faut maintenant travailler à relayer l'information partout où c'est possible... On va s'y employer :-) Finalement, il n'y a qu'une petite URL à faire apparaître sur de nombreux sites, en plus de toutes les réunions d'appartement que l'on organise en ce moment...
Amicalement,
Blaise;
m**** et de bordel! Vous allez le lire à la fin ce projet d'alliance transatlantique dont nous parle Jean-Luc Mélenchon. Cela fait une dizaine de fois que je le poste sur son blog et aucune réaction. Comme si l'on pissait dans un violon. Il est là. Au lien LÀ!
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=REPORT&reference=A6-2009-0114&language=FR
Essayez de le transmettre à toutes et à tous.
La désinformation systématique que la presse et la télevision en Españe font sur Cuba.
Il faut très bien noter que le psoe (PS) est au pouvoir chez nous et possède 2 televisions publiques et plusieurs canards dont El País.Et ce sont les pires contre Cuba, contre Venezuela, contre Bolivie.Ils ne sont copains copains qu´avec Lula au Brésil (et encore..) parce que c´est le seul qui n´est pas vraiment de gauche comme ne l´est pas le psoe.
http://www.cubainformacion.tv/index.php?option=com_content&task=view&id=9720&Itemid=86
Il faut ajouter que ces mensonges de la presse (des medias) contrôlés par ceux (le psoe, les PS en géneral partout où ils sont) qui ont le culot indécent de continuer à s´appeller socialistes alors que cela fait 30 ans au moins qu´ils font une politique absolumment néolobérale et de droite sans distinction réelle avec la politique qu´a fait toujours la droite post-neo-franquiste; sont systématiques et expriment la haine réelle que sentent les faux socialistes envers les processus de libération des peuples; et par contre l´amour immense que ces socialistes espagnols (et européens en général) sentent pour le fric facile et le pouvoir qu´ils essaieront de conserver à tout prix au détriment du peuple qu´ils ne défendent certainement plus depuis trop longtemps.
"Du Royaume-Uni à l'Italie en passant par la Pologne ou l'Espagne : les grandes lignes de partage pour le scrutin de juin. "
http://www.rue89.com/europeennes/2009/05/10/en-images-ces-debats-qui-agitent-leurope-en-campagne-13
"l’UMP et le PS, rivalisent d’audace dans leurs revendications à l’égard de l’Europe. Mais les deux se gardent bien de dire ce qu’ils y font réellement. Ça intéresserait pourtant bigrement le débat. Par exemple le vote des députés UMP et socialistes français sur les directives électricité le 21 avril dernier? Rien pas un mot. Nulle part."(Jean-Luc Mélenchon)
heu? et dans l'Huma? ils pourraient y consacrer quelques pages parce qu'1 sujet comme ça mérite d'être expliqué
ce qui ne veut pas dire qu'il ne l'ait pas déjà évoqué, je lis ts les j l'Huma (dispo gratos au boulot) mais en général assez rapidement
Excellent article sur l'Union Transatlantique, Sénateur!
Tiens justement, hier j'ai trouvé d'occase à 4 euros le petit bouquin de D.Lormier sur "Mers el-kébir"; on voit comment nous traitent nos "amis" anlgo-saxons!
(ce qui ne veut pas dire qu'aujourd'hui, en 2009, il ne faille pas faire de blocs sur des points précis avec les vrais gaullistes)
etb pour ceux/celles qui ne se laissent pas envahir par l'hyperactivisme politique ou autre, un soutien au cinéma argentin n'est pas inutile:
http://www.lasudestadaparis.com/
“l’UMP et le PS, rivalisent d’audace dans leurs revendications à l’égard de l’Europe. Mais les deux se gardent bien de dire ce qu’ils y font réellement. Ça intéresserait pourtant bigrement le débat. Par exemple le vote des députés UMP et socialistes français sur les directives électricité le 21 avril dernier? Rien pas un mot. Nulle part.”(Jean-Luc Mélenchon)
Ce serait bien de faire des affiches du style "ce qu'ils disent/ce qu'ils font"
Hier j'ai discuté avec une militante PS au marché. Elle n'était pas au courant pour le 3ème paquet énergie. Ni de qui est à la commission européenne, ni... Enfin bref, avec son slogan "stop ou encore", on a bien rigolé ! (Elle, elle a rit jaune)
Sur l'UT, les infos à la source, la voix du maître:
http://www.diploweb.com/L-Union-transatlantique.html
Ouf ça me rassure. Moi à mon très modeste niveau, et nos chiffres aux réunions sont vraiment loin de celles de Jean-Luc Mélenchon, j'ai de gros trous de mémoire. Aucune notion de quelle semaine nous sommes, et si le premier mai c'était il y a longtemps ou non et quand on a tenu notre dernière réunion... C'est à un niveau très local mais on fait beaucoup quand même et à mon travail ça se ressent. Ils commencent à grogner...
mercredi a 20h meeting du front de gauche à saintes "17"
venez nombreux
Par contre (pour poursuivre mon post ci-dessus), tout ce travail épuisant de tractage et de répétition des mêmes mots, des mêmes phrases commence à donner. Quand on dit maintenant que le tract c'est à propos des européennes, des personnes s'intéressent plus. Quand on rajoute qu'il faut une vraie gauche, contre Sarko et qu'il ne faut pas s'abstenir, alors là elles acquiescent.
J'ai même convaincu des désabusés d'aller voter. Des gens qui disaient que de toute façon, Sarkozy avait le pouvoir et qu'il n'en ferait qu'à sa guise, qu'il se fichait des manif etc... Et puis après ils disent: OK j'irais voter!
C'est très encourageant. je pense que sans doute c'est dû au fait que maintenant le mot "européennes" résonne partout dans les medias et que pour beaucoup c'est le moment où ils vont devenir acteurs, en mettant leur bulletin de vote. Il y a une écoute qualitativement et quantitantivement différente depuis que la campagne électorale est officiellement ouverte. Heureusement qu'on était là avant car tout notre dispositif est déjà en place, nos habitudes prises (tractage, collage, écriture de tracts locaux etc...).
Donc oui toutes ces soi-disant analyses dans les medias sur l'abstention sont en fait de la propagande, des appels à s'abstenir mais dans la rue on rencontre au contraire des gens qui se sentent plus concernés que désabusés par le fait d'aller voter.
C'est ce qui s'appelle renvoyer dans les cordes.
.......................Tant pis pour moi. Comme avait dit Clémentine Autain après avoir renvoyé si injustement tout le monde dos à dos à propos de l’échec d’un front de toute l’autre gauche: «c’est déliraaaant!».....................
C'est aussi ce qu'on dit quand on est tant soit peu gêné aux entournures. Mon dieu, gardez-moi de mes amis. Quant à mes ennemis, je m'en charge !"
Je ne suis pas sur que ce soit juste dans ce cas précis mais il est certain que c'est contreproductif
Bonjour à tous,
à Nipontchik
Les eurodéputés pour la libéralisation de l’énergie
Strasbourg. Le Parlement européen a adopté hier le troisième paquet énergie, qui incite à la concurrence sous couvert de « favoriser les consommateurs ».
Séparer mais non pas céder. Fin mars lors de la procédure de conciliation, les délégations du Parlement européen et du Conseil européen (qui représente les gouvernements) étaient parvenues à un compromis. Les entreprises du secteur de l’énergie qui comme EDF ou GDF à la fois produisent et distribuent l’énergie au consommateur devront séparer leurs activités, dans le but de favoriser la concurrence. Le Parlement européen a hier voté en ce sens, par plus de 580 voix sur environ 680 votants (plusieurs textes étaient mis au vote), seul le groupe GUE votant contre. Les rapporteurs socialistes (PSE), de droite (PPE) et souverainiste (UEN) se sont réjouis de ce compromis, mais ne l’ont accepté qu’« à contrecoeur » selon les propos de la travailliste britannique Morgan Eluned.
Ces groupes optaient pour une option plus radicalement libérale, à savoir la séparation patrimoniale. Ainsi, la Verte allemande Rebecca Harms a rappelé que « le point de départ » de la directive était une « proposition de Neelie Kros », commissaire à la concurrence, et que « l’instrument le plus efficace » pour satisfaire le consommateur était « la séparation de la production et du réseau ». Dans ce cas, les opérateurs historiques du secteur auraient dû céder l’activité de transport ou de distribution à leurs concurrents.
Si les groupes acquis à l’option libérale, y compris les souverainistes, ne sont pas parvenus à imposer la séparation patrimoniale, cela est dû à la résistance de huit États. La France, l’Allemagne, l’Autriche, la Bulgarie, la Grèce, le Luxembourg, la Lettonie et la Slovaquie étaient hostiles au démantèlement de leurs champions nationaux. Une position que certains de ces États avaient rappelée lors du Conseil européen des chefs d’État et de gouvernement, les 19 et 20 mars derniers. La question de la sécurité énergétique étant stratégique, les États ne peuvent se permettre de pulvériser des outils performants. Et ce d’autant plus que le but de l’opération est d’ouvrir le marché européen, afin que les opérateurs puissent conquérir des marchés en dehors du continent. Par ailleurs, dans certains pays, une telle décision entraînerait de fortes résistances de la part des salariés du secteur.
http://www.humanite.fr/2009-04-23_Politique_Les-eurodeputes-pour-la-liberalisation-de-l-energie
Que l'Huma continue de taper sur le même clou!
Et qu'elle mette en face de ses lecteurs les dangers de l'Union Transatlantique, en expliquant les réels enjeux de Lisbonne et du scrutin du 7 juin!
En +, elle pourrait réaliser 1 excellente opération en termes de vente.
À Nipontchik, toute mes excuses, je pensais que vous cherchiez un article de l'huma traitant d'une directive sur l'électricité,
donc toutes mes excuses de vous avoir blesser.
Mr Mélanchon
Vous avez des trous de mémoire, ce n'est pas grave, l'essentiel c'est que vous et vos colistiers gardiez le cap. Nous, nous n'en avons pas (des trous de mémoire) et votre meeting à Carcassonne a été pour mes enfants et moi un moment fort que nous n'oublierons pas de sitôt. Ils étaient trés fiers d'avoir pu vous serrer la main, merci de leur avoir consacré quelques unes de vos minutes, c'est important pour leur consience politique.
Merci pour votre travail et votre courage Cécile
Bonjour,
Pourquoi Jean-Luc Mélenchon ne dénonce t-il pas les réunions obscures et anti-démocratiques du club de réflexion "le Siècle"?
Les leadeurs du PG devraient hurler au scandale!
Une vidéo pour comprendre :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/club+le+Si%C3%A8cle/video/x4xoa2_hhx01le-siecle_news
A faire circuler
Bravo JLM!
Je soutiens le Front de gauche !
Vive la révolution
Tous derrière l’Oncle Sam
Alignement. Mise en place d’un conseil économique UE - États-Unis, projet de zone de libre-échange, de structures politiques communes, d’aucuns font le forcing pour une intégration transatlantique.
G20, OTAN, sommet UE - États-Unis, la « relation transatlantique » a été au coeur de l’actualité la semaine dernière. Si l’Alliance atlantique est avant tout une organisation militaire, certains aimeraient la voir doublée d’une organisation politique et économique. Le projet n’est pour l’heure qu’à l’état d’idée, mais certains milieux poussent en ce sens, et certaines politiques déjà à l’oeuvre pourraient permettre d’aller vite vers cet objectif. Il s’agirait de voir l’Union européenne intégrée dans le sillage du leadership des États-Unis. Au nom d’une vision commune et libérale de l’économie, et d’une vision géopolitique qui n’est pas sans rappeler celle de George W. Bush : le choc des civilisations.
En avril 2007, lors d’un précédent sommet, les deux « partenaires » avaient fondé un Conseil économique transatlantique (CET). « Il s’agit de parvenir, en ce qui concerne les normes réglementaires, à une plus grande harmonisation entre l’Union européenne et les États-Unis », avait commenté la chancelière Angela Merkel, alors présidente allemande du Conseil européen. Et de dévoiler l’arrière-pensée : « Compte tenu de la concurrence avec la Chine et l’Inde, (…) c’est une nécessité urgente. » Avec un produit intérieur brut (PIB) correspondant à 57 % de celui de la planète, les deux ensembles veulent maintenir ainsi leur domination économique
http://www.humanite.fr/2009-04-10_International_Tous-derriere-l-Oncle-Sam
Merci Jean-Luc pour toutes ces informations !
La création d'un marché transatlantique dans le dos du peuple me révolte.
Pourquoi ne pas mettre en place une réunion publique sur cette thématique avant les élections européennes ?
Tous ensemble dans les urnes le 7 juin.
Kathia
Le Front de gauche appelle les jeunes à s'emparer du 7 juin
Européennes. À l'initiative du Parti de la gauche européenne (PGE), deux cent jeunes ont assisté, samedi, à Paris, à une rencontre internationale pour changer de cap en Europe.
« Ne les laissons pas faire ! » Samedi après midi, à l'Européen, à Paris, Patrick Le Hyaric a ainsi ponctué son appel à battre les politiques libérales en Europe en votant pour les listes du Front de gauche le 7 juin. Dans la salle, un public inhabituel pour un meeting politique, la moyenne d'âge ne dépassait pas vingt ans. La tête de liste du Front de gauche en Île-de-France s'adressait, en cette journée de l'Europe, à plus de deux cents animateurs du Mouvement jeunes communistes de France (MJCF), réunis à Paris pour une assemblée nationale. Ce fut l'occasion de donner un coup de fouet à leur campagne des européennes, lors d'une rencontre internationale avec les animateurs du Parti de la gauche européenne (PGE), qui organisait la manifestation.
Au côté de Patrick Le Hyaric et de Francis Wurtz, président pour quelques semaines encore du groupe de la Gauche unitaire européenne (GUE) au Parlement européen, avaient pris place plusieurs invités : Lothar Bisky, coprésident de Die Linke (Allemagne) et président du PGE, Miroslav Ransdorf, eurodéputé du Parti communiste de Boème-Moravie (République tchèque), Maria Vamvoureli, des jeunes de Synaspismos ( Grèce), Sean Olivier, de Sinn Féin (Irlande), animateur de la campagne du « non » irlandais au traité de Lisbonne, Pierre Laurent, coordinateur national du PCF, et Yann Leroy, du MJCF.
UNE OFFRE INÉDITE A Gauche
Citant Saint-Just qui proclamait, en 1974,que « le bonheur est toujours une idée neuve en Europe », Patrick Le Hyaric a appelé à « ne pas rater la marche du 7 juin » pour combattre le « capitalisme qui pervertit la belle idée de l'Europe ». « La précarité et l'insécurité sociale imposée aux jeunes sont la marque d'une société qui prépare la barbarie, ne les laissons pas faire », a-t-il lancé, sous les applaudissements, avant de défendre l'idée d'« un bouclier social pour l'emploi et les salaires », à l'inverse du bouclier fiscal pour les riches. Il a avancé la proposition d'un « système européen de sécurité d'emploi et de formation », adossé à un service public européen de l'emploi, incluant le CDI comme norme dans toute l'Europe, la mise en place d'un SMIC européen, et un contrat d'autonomie pour les jeunes associant un revenu garanti et des droits nouveaux d'accès au logement, la santé, la culture, l'éducation et l'emploi. « Nous proposons un Front de gauche unitaire inédit à votre génération. Notre volonté n'est pas de "jouer perso" mais de transformer les luttes en une unité de type nouveau, comme ont su le faire nos aînés avec le Front populaire ou Conseil national de la résistance », a-t-il poursuivi à l'adresse d'une classe d'âge souvent méfiante envers les politiques.
CONTESTATION EUROPÉENNE
Yann Leroy, pour le MJCF, a rappelé le désenchantement des jeunes pour l'Europe. « On nous parle d'Europe de l'éducation avec Erasmus, mais le chômage des jeunes est en hausse, la contestation grandit dans les universités de toute l'Europe. Partout on nous impose le même sas de précarité, conséquence des politiques de la stratégie de Lisbonne. » Les invités européens ont présenté leurs campagnes, qui adoptent des démarches souvent comparables au Front de gauche en France. Ainsi de la jeune Maria Vamvoureli, s'appuyant sur le récent mouvement de contestation de la jeunesse grecque : « Partout les politiques européennes de droite ont échoué, générant la précarité des jeunes, la dévalorisation des diplômes, la marchandisation de l'éducation. La social-démocratie ne présente pas d'alternative. Nous avons la responsabilité de faire renaître l'espoir le 7 juin, qui s'exprime en Grèce par l'alliance des mouvements de la gauche radicale. Cette élection est déterminante pour l'avenir, elle est l'occasion de transformer nos colères en acte politique
conscient. »
Sébastien Crépel
oui, il ;arrive à l'Huma de taper sur l'UMP et le PS (comme la semaione dernière sur les SSIG)
continuer à taper sur le même clou!
J'avais pas compris que vous vous en preniez à l'intégrité de l'humanité.
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas et qu'on ne connait pas le danger que représentent les Frères Musulmans, organisation ultraréactionnaire dirigée depuis l'Egypte et qui possède des branches dans divers pays d'Europe, avec hélas une vraie influence de masse.
"L'OTSC élargit sa liste des organisations terroristes
16:13 | 07/ 05/ 2009
MOSCOU, 7 mai - RIA Novosti. La liste des organisations considérées comme terroristes et extrémistes par l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) a été élargie à 31 formations, a annoncé jeudi à la presse le porte-parole de l'OTSC Vitali Strogovets.
"Au cours d'une réunion, nous avons aujourd'hui coordonné le projet de liste des organisations considérées comme terroristes et extrémistes dans les pays membres de l'OTSC", a fait savoir M.Strogovets à l'issue d'une réunion des vice-ministres des Affaires étrangères de l'OTSC.
Selon lui, la première liste des organisations terroristes, qui comptait 22 mouvements, a été établie par les pays de l'OTSC en 2004.
"Depuis cette date, nous avons élaboré une liste comportant de nouvelles organisations: 31 figurent dans la liste", a ajouté le représentant de l'OTSC.
L'organisation radicale azerbaïdjanaise Boz gourd (Loups gris), le mouvement taliban, les Frères musulmans, Al-Qaïda, la secte islamiste turque Nourdjoular, le Jamaat Mojahed d'Asie centrale figurent parmi les nouvelles organisations récemment inclues dans la liste.
L'OTSC regroupe l'Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l'Ouzbékistan, la Russie et le Tadjikistan. "
Et bien pour alléger l'atmosphère, je trouve les photos sur ce commentaire superbes....
Comme dirait l'autre : "Que tout est beau vu de là-haut!"
Bien sûr, que tout est fait pour que l'abstention GAGNE.....
Courage quand même.
CJura
C'est quoi ce machin, l'OTSC ? Qui met cinq ans pour mettre à jour ses listes et qui vient d'inclure Al-Qaîda comme "nouvelle" organisation terroriste. Quelle réactivité !
Cher Nipontchik, n'as-tu rien d'autre à nous faire parvenir que ce genre d'infos bidon, émanant de je ne sais quelle officine moscovite, pour nous faire peur avec les horribles terroristes islamistes qui nous cernent de tous côtés ?
(Je vais sûrement me faire bien voir de Jennifer après ce post...)
Je comprends mieux maintenant le 6ème chapitre du Manifesto qui évoque un partenariat futur avec les Etats-Unis, sans donner la moindre précision...
j'avais bien remarqué quelques trucs bizarroïdes, que je comptais porter sur la toile comme pour les précédents chapitres, mais pas ça...
Je crois que ça éclaire d'un jour nouveau la construction de l'Union... On espérait que l'UE créerait un modèle éco et social original, distinct du modèle néo-libéral étasunien, et au final on veut nous imposer une sorte de fusion avec ledit modèle !
On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas...L'OTSC met en garde le mo,nde contre les Frères Musulmans, principale variété d'islamofascistes présente par ici, et en matière de sécurité et de lutte contre le terrorisme ils ont une certaine expérience.
Je rappelle simplement le MIO, mouvement islamique d'Ouzbékistan.
A mon avis les gens d'Asie centrale ont plus de crédibilité que les USA dans la lutte contre l'islamoterrorisme (quand on connaît les liens entre Arabie Saoudite, CIA, Pakistan et "combattants de la liberté" afghans à 1 certaine période).
"L’OTSC regroupe l’Arménie, la Biélorussie, le Kazakhstan, le Kirghizstan, l’Ouzbékistan, la Russie et le Tadjikistan. “
Les Tadjiks, Ouzbeks, Arméniens et Biélorusses remercient pour l'"officine moscovite" et tes connaissances en géographie.
Dont acte !
Nous voilà informés sur l'hyper-réactive OTSC !
Et merci pour la leçon de géographie. (J'avoue que j'avais oublié de lire les deux dernières lignes du post 28).
Et les Turkmènes, pourquoi n'y sont-ils pas, les Turkmènes ?
@maxou
On peut lire sur ton post cet extrait:
Ainsi de la jeune Maria Vamvoureli, s’appuyant sur le récent mouvement de contestation de la jeunesse grecque : « Partout les politiques européennes de droite ont échoué, générant la précarité des jeunes, la dévalorisation des diplômes, la marchandisation de l’éducation. La social-démocratie ne présente pas d’alternative.
Désolé mais les politiques européennes de droite n'ont pas échoué, puisque le but recherché et peut-être inavoué, c'est de générer entre autres, la précarité des jeunes, la dévalorisation des diplômes, la marchandisation de l'éducation, mais aussi l'augmentation des travailleurs pauvres, la montée du chômage, l'insécurité sociale des plus démunis au travers du dumping, des délocalisations, la fin des services publics, etc...
Non les politiques de droite n'ont pas échoués puisque conformément à leur carnet de route édité par Bilderberg, La Trilatérale et le CFR, elles s'évertuent depuis la chute de mur de Berlin, de programmer la mort de l'Europe comme vitrine sociale du modèle occidental.
Une sorte de CNR mais à l'envers.
Par contre ce qui a échoué, c'est la volonté du peuple de gauche de défendre ses intérêts face à la diaspora sociale libérale qui domine l'Europe depuis trop longtemps. C'est pourquoi il faut faire front avec le front de gauche pour leur reprendre les rêves qu'ils nous ont volé et enfin les réaliser.
De plus tu nous envoies un lien vers un article de l'huma qui concerne le projet d'une alliance de UE avec les USA.
C'est bien mais l'original valant toujours mieux que la copie je post pour une énième fois le site du parlement européen où figure la proposition de résolution transatlantique, citée par Jean-Luc Mélenchon dans son billet.
Tout y figure.
http://www.europarl.europa.eu/sides/getDoc.do?type=REPORT&reference=A6-2009-0114&language=FR
Ce lien pourra intéresser pas perdus
ermler demande à M.Bryza!
" International
Gaz: le Turkménistan souhaite adhérer au projet Nabucco, mais redoute la Russie (Bryza)
15:09 | 11/ 05/ 2009
MOSCOU, 11 mai - RIA Novosti. Le Turkménistan souhaite adhérer au projet de gazoduc Nabucco, mais il redoute la Russie, a déclaré lundi le sous-secrétaire d'État américain pour l'Europe et l'Eurasie Matthew Bryza sur les ondes de la radio russe Écho de Moscou.
"Je sens que le Turkménistan voudrait bien y participer, mais qu'il a des doutes. C'est bien compréhensible: le Turkménistan souhaite avoir de bonnes relations avec la Russie", a indiqué M.Bryza commentant la réalisation du projet de gazoduc Nabucco, soutenu par les États-Unis et l'UE et dont le tracé est censé contourner la Russie.
Vendredi, l'Ouzbékistan, le Kazakhstan et le Turkménistan ont refusé de signer une déclaration politique rédigée pour le sommet "Corridor Sud, nouvelle Route de la Soie" tenu à Prague le 8 mai. Selon la présidence tchèque de l'UE, la déclaration sur la création du Corridor Sud dont Nabucco constitue le pilier, a été adoptée par l'Azerbaïdjan, la Géorgie, la Turquie, l'UE et l'Égypte qui s'engagent à conclure un accord intergouvernemental sur Nabucco "avant juin 2009".
D'un coût de 7,3 milliards de dollars, le gazoduc Nabucco est destiné à transporter de 20 à 30 milliards de mètres cubes de gaz naturel d'Asie Centrale et de l'Azerbaïdjan vers la Turquie, la Bulgarie, la Roumanie, la Hongrie et l'Autriche en contournant la Russie. Les travaux de construction doivent se terminer avant 2013 et la mise en service du pipeline est programmée pour 2014.
Les négociations sur Nabucco, qui butent sur les risques du manque de réserves dans les pays producteurs, se sont intensifiées début 2009 sur fond de conflit russo-ukrainien. "
L'UMP et le PS, on va la n....!
"Amiens, le 6 Mai 2009 Communiqué de presse
Monsieur Claude GEWERC, Président du Conseil Régional de Picardie, a été condamné par la Cour d’Appel d’Amiens pour avoir diffamé Monsieur Maxime GREMETZ.
La Cour d’Appel a estimé que le communiqué de presse, diffusé par Claude GEWERC qui rendait responsable Maxime GREMETZ de violence au sein du Conseil Régional à l’égard de l’élu socialiste Monsieur Gilles SEGUIN, était constitutif du délit de diffamation publique envers un citoyen chargé d’un mandat public.
La bande vidéo des faits, visionnée par un grand nombre de français, à démontrer que le Député Maxime GREMETZ, n’était en rien responsable de ce dont on l’accusait."
Grand marché transatlantique
L'Union Européenne se prépare à imposer, à l'insu des peuples européens, un « Grand marché transatlantique » pour 2015, avec une recommandation d'exécution anticipée à 2010 pour les services financiers et les marchés de capitaux.
En effet, le 26 mars 2009, le Parlement Européen a signé une résolution visant à « Faire en sorte que les générations présentes et futures continuent d'être engagées dans ce partenariat » avec les Etats-unis. (Partenariat qui n'est autre que le « Grand marché transatlantique »).
Ce partenariat doit toucher des domaines tels que: « les services financiers, les marchés des capitaux, l'aéronautique, l'économie digitale (vie privée, sécurité, droits de propriété intellectuelle), la politique de concurrence et la coopération en matière de régulation ».
Il vise à « instaurer la libre circulation des marchandises, des capitaux, des services et des personnes ».
Il doit prendre effet dès que le « traité de Lisbonne sera définitivement adopté ».
Les signataires de cette résolution sont le PPE (Parti Populaire Européen, regroupant les Droites européennes, et dont l'UMP de Nicolas Sarkozy fait partie), l'ELDR (Libéraux démocrates européens, c'est-à-dire, les différents partis centristes européens, dont le Modem de François Bayrou), le PSE (Parti Socialistes Européens, dont les Socialistes français sont membres). Seuls les députés de la GUE (Gauche Unie Européenne, dont les députés communistes français sont membres), et les Verts s'y sont opposés. (Mais GUE et Verts sont très minoritaires au Parlement Européen).
C'est dire l'importance de l'élection européenne du 7 juin prochain!
Si nous laissons le champ libre à tous partis les signataires de ce grand projet de « marché transatlantique », c'est-à-dire à tous les partisans de la « concurrence libre et non faussée », (PPE,
donc UMP, PSE, donc PS, ELDR, donc Modem), notre NON à l'Europe libérale de mai 2005 n'a plus aucun sens.
Si nous les laissons faire, nous serons, de plus, totalement soumis à l'hégémonie américaine... d'autant que l'entrée de la France dans l'OTAN (faite dans notre dos, sans notre accord par Nicolas Sakozy) ajoute une dimension militaire et stratégique à la dimension économique de ce « grand marché transatlantique ».
L'histoire de cette coopération (US/UE) n'est pas nouvelle. Dans le passé, les tentatives américaines n'avaient pas manqué, et ce, dès le début de la « guerre froide », mais le Général De Gaulle, ou Mendès France, tout comme François Mitterrand ou le groupe communiste s'y étaient, à l'époque, opposés.
Ainsi, en octobre 1966, De Gaulle avait déclaré : « Certains, s'exaltant au rêve de l'Internationale, voulaient-ils placer notre pays, comme eux-mêmes se plaçaient, sous l'obédience de Moscou. D'autres, invoquant, ou bien le mythe supranational, ou bien le péril de l'Est, ou bien l'intérêt que pourrait trouver l'Occident atlantique à unifier son économie, ou bien encore l'utilité grandiose d'un arbitrage universel, prétendaient-ils que la France laissât sa politique se fondre dans une Europe fabriquée tout exprès, sa défense dans l'OTAN, sa conception monétaire dans le Fonds de Washington, sa personnalité dans les Nations Unies, etc. Certes, il est bon que de telles institutions existent et nous pouvons avoir quelque intérêt à en faire partie, mais si nous avions écouté les apôtres excessifs, ces organismes où prédominent _tout le monde le sait _ la protection politique, la force militaire, la puissance économique, l'aide multiforme des Etats-Unis, ces organismes n'auraient été pour nous qu'une couverture pour notre soumission à l'hégémonie américaine.
Ainsi, la France disparaîtrait, emportée par les chimères ». (Conférence de Presse à l'Elysée, du 28 octobre 1966).
Si les responsables politiques, de gauche comme de droite, avaient su, durant plusieurs décennies, conserver l'indépendance vis à vis des Etats-Unis, les événements se sont accélérés depuis 1995 pour aboutir à ce projet finalisé de « grand marché transatlantique ».
Dans la situation présente, nous serons, grâce à (ou plutôt, à cause de) l'impéritie de certains de nos élus, dans la situation que redoutait le Général De Gaulle, soumis à plus ou moins brève échéance, à l'hégémonie américaine, esclaves de l'Amérique. (L'exemple des totalitarismes imposés aux pays d'Amérique du Sud durant la période 1960-1970-1980 ne doit jamais être occulté, ni la difficile émancipation que leurs peuples sont en train de mener).
S'il nous reste encore une solution, c'est celle de ne pas permettre à l'UMP, au Modem, au PS, d'être majoritaires, une fois encore, une fois de trop, lors de ces prochaines élections européennes. C'est aussi, par un vote massif contre tous ceux qui sont responsables de la situation de crise actuelle, montrer que nous existons en tant que Peuple citoyen et responsable, c'est enfin, désavouer massivement la politique (tant intérieure qu'extérieure) de Nicolas Sarkozy.
Si nous voulons que le traité de Lisbonne soit de nouveau soumis à un référendum populaire, il nous faut choisir nos députés européens parmi ceux qui se revendiquent du Front du NON de 2005. Ceci permettra que ce fameux traité ne puisse être appliqué, que le « grand marché transatlantique » qui lui est corrélé devienne caduc, ceci permettra de ménager notre indépendance nécessaire vis à vis des Etats-Unis.
Actuellement, le seul mouvement en construction qui offre cette possibilité, c'est le Front de Gauche (Parti de Gauche mené par Jean Luc Mélenchon, Parti Communiste français mené par Marie George Buffet, Gauche Unitaire menée par Christian Piquet, certains Comités départementaux du Mouvement Pour la République de Jean Pierre Chevènement, certains militants Alternatifs, certains militants des Comités anti libéraux, et nombre de mouvements syndicaux).
Voter pour le Front de Gauche, c'est permettre de créer une Europe saine, indépendante, solidaire, soucieuse des peuples et de leur avenir, une Europe soucieuse de l'environnement... une Europe en harmonie avec nos principes humanistes et l'héritage des Lumières.
A partir de ce que Jean Luc a écrit et du premier commentaire, j'ai construit le texte précédent... Peut-être peut-il, avec certaines corrections éventuelles, servir dans notre campagne?
Encore des méthodes sarkosiennes dignes du "trou de mémoire" d'Orwell...
"Quand le ministère de l'Intérieur efface Rue89 de Wikipedia"
http://www.rue89.com/2009/05/11/quand-le-ministere-de-linterieur-efface-rue89-de-wikipedia
Sarko, Pécresse, Bachelot et Morano à Nancy demain pour présenter la mirifique réforme des hôpitaux.
Les habitants des maisons jouxtant l'hôpital central ont été avisés le 9 mai par la police qu'il leur serait interdit de sortir de chez eux (ou d'y rentrer) entre 8h 30 et 13 h30!
La dictature est en marche! Et quant ce sont des grévistes, on parle de prise d'otages!
je suppose, que, comme à Strasbourg, on va fermer les écoles! Rossinot gardera les enfants!
C'est fou ce qu'il aime le peuple et en est aimé, notre chef!
Le Front de gauche et le NPA appellent à manifester, je doute qu'ils y parviennent! Et je suppose que les visites aux malades seront suspendues!
Excellente initiative que celle d'Anny Paule!
On peut aussi se servir de ce résumé pour en informer certains sites. Les électeurs UMP/PS n'ont pas l'air au courant...
@Christian C,
Pourquoi le post 33,
il faut relire l'ensemble,
je répondais au post 13 de Nipontchik si desous,
“l’UMP et le PS, rivalisent d’audace dans leurs revendications à l’égard de l’Europe. Mais les deux se gardent bien de dire ce qu’ils y font réellement. Ça intéresserait pourtant bigrement le débat. Par exemple le vote des députés UMP et socialistes français sur les directives électricité le 21 avril dernier? Rien pas un mot. Nulle part.”(Jean-Luc Mélenchon)
heu? et dans l’Huma? ils pourraient y consacrer quelques pages parce qu’1 sujet comme ça mérite d’être expliqué
ce qui ne veut pas dire qu’il ne l’ait pas déjà évoqué, je lis ts les j l’Huma (dispo gratos au boulot) mais en général assez rapidement
Excellent article sur l’Union Transatlantique, Sénateur!
Tiens justement, hier j’ai trouvé d’occase à 4 euros le petit bouquin de D.Lormier sur “Mers el-kébir”; on voit comment nous traitent nos “amis” anlgo-saxons!
(ce qui ne veut pas dire qu’aujourd’hui, en 2009, il ne faille pas faire de blocs sur des points précis avec les vrais gaullistes)
Et la Révolution aux USA c'est pour quand ?
Article à lire au titre explicite :
"De plus en plus de femmes et d'enfants dans les rues " -
bref, tout un poème néolibéral, " précaire comme la vie " comme l'a si bien dit madame L.Parizot- mou -de- veau.
More Women and Children on the Streets
by Kathy Sanborn
http://mwcnews.net/content/view/29970
Texte en anglais, mais avec l'outil traduction directe on doit pouvoir saisir l'essentiel
@Christian C,
donc, si j'ai bien compris il faut que je ferme ma gue....!
Vous voulez peut-être que je vous dise encore une fois que j'ai arrêté l'école à 14 ans en 1964 sans aucun diplôme, pas même un simple certificat d'étude primaire ?
« entre parenthèse pour ce qui est de l'accueil » si vous militez de cette façon, notre front de gauche est mal parti!
@maxou
Qu'est-ce qui te heurte dans mon post exactement?
@Christian C,
C’est bien mais l’original valant toujours mieux que la copie