05jan 10
Longtemps j’ai pratiqué la résistance passive à propos des vœux, fêtes et réjouissances à mesure que leur caractère obligatoire et convenu s’imposait à mon esprit. J’avais accompli des avancées considérables dans cette voie quand mes responsabilités patriarcales se sont allégées. Pendant des années en effet, frère ainé puis (très) jeune père j’étais tenu au rôle du père noël qui dépose les cadeaux dans le silence sidéré d’excitation des (très) jeunes enfants de ma tribu. Les frères et neveux avaient pris la relève dès qu’à leur tour ils eurent assez de barbe et de sens des responsabilités pour me décharger du rôle. Comme élu local je m’en tenais au strict minimum. J’étais encouragé dans ma prise de distance par le révulsif radical que représente au sortir des repas de fêtes l’ingestion d’une dose aussi obscène de coupes et verres de l’amitié où mousseux approximatifs et pétillants divers mitraillent ce qu’il nous reste de tapis gastrique pendant que les petits fours de circonstance, auxquels on ne résiste jamais aussi bien qu’on le croyait, dévastent la vésicule biliaire. Encore ne dis-je rien des cacahouètes et chips encore plus accablantes pour la surcharge pondérale. Surtout que je connaissais bien la suite du programme !
En effet, après ces guet-apens vient aussitôt la coutume du gavage, non moins imposé, connue sous le nom de galette des rois. Il s’agit d’un usage anti républicain où la pâte d’amande livre l’offensive finale contre le foie des plus aguerris. Devenu parlementaire et trop longtemps cumulard, l’horreur de ma condition contrainte en période de voeux et galettes, me conduisit à l’établissement de parcours modestes, strictement sélectionnés et âprement limités. Ces moeurs me valurent une réputation d’asocial grognon et pisse vinaigre. Je m'en contrefichais. En Essonne : à Viry Chatillon et à Sainte Geneviève des Bois. Sans exception liée au contexte juridique ou autre. Point. Par exception ici où là, chez des amis, des vrais, dans leur mairie ou permanence. Autour de moi, pendant ce temps là, des collègues plus résistants ou mieux entrainés battaient des records. Deux ou trois séances de vœux par soirée, autant de coupes et petits fours, chaque soir de la semaine, pendant quinze jours. La plupart d’entre eux tiennent à ces occasions des discours plein de compassion pour les plus malheureux de nos compatriotes. J’atteste qu’ils sont en pleine sincérité. Par conséquent, depuis plusieurs années déjà, ils vivent de plus en plus mal ces scènes quand croupissent parfois jusque devant la porte : mendiants, sdf et affamés. Cette face apparente, luisante et essoufflée du marathon des vœux a aussi son revers caché au grand public. D’abord l’envoi de cartes de vœux. Par milliers ! Ensuite la réception de cartes de vœux. Autres milliers!
L’envoi mobilise des escouades de collaborateurs et bénévoles, après avoir nourri un intense ballet de communicants et autres conseillers spécialisés. La réception n’est pas plus simple. J’ai reçu une année un record de six milles cartes de vœux. On trie pendant plusieurs jours du matin au soir. Dans mon équipe, pour supporter une tache aussi absurde on a créé le rite du « grand concours ». Chaque année on sélectionne les cartes les plus ridicules (texte spécialement pontifiant ou photo particulièrement glauque) et on vote pour l’attribution du prix du "roi des nazes". Un second concours, plus méchant encore, permet d’élire le roi des nuls. C’est celui qui m’a envoyé le plus grand nombre de fois ses vœux parce que ses fichiers sont mal tenus. Une prime pour l’empereur des nuls : celui qui a envoyé plusieurs fois ses vœux et ajouté, à chaque fois, une mention manuscrite réelle avec….. une écriture différente! Ces plaisanteries de garçons de bain soulagent l’effort des trieurs. Ensuite on fait trois tas. Premier tas, les envois en nombre des institutionnels : poubelle directe sauf exception tragique hilarante. Deuxième tas, les envois en nombre institutionnels comportant une mention manuscrite. On passe le doigt mouillé pour vérifier ceux qui ont écrit pour de bon et ceux qui se sont contenté d’imprimer. Les imprimés ? Poubelle ! Restent les héros de la plume. Qu’ils aient écrit eux-mêmes ou que ce soit leurs assistants, je leur réponds. Ca s’appelle "le prix de l’encre" comme disait mes profs qui mettaient un ou deux aux plus mauvaises copies qu’ils avaient corrigées. Mais pour moi, finie l’époque de la super carte méditée pendant des semaines et qui doit être un évènement éventuellement repris dans la presse (consécration suprême lubrifiant l’absorption plus rapide du prix de la prestation du communicant). Une carte rustique. Avec les armes de la République ou moins encore comme création artistique. Et une phrase ostensiblement convenue. Pour les amis, quoiqu'institutionnels, un deux ou trois mots écrits de ma propre blanche main. Pendant trois semaines, donc, je hais mon bureau où sont empilés les parapheurs. Je hais ma boite mail où il m’est impossible de fuir la masse des mails de vœux. Non, décidément, je n’aime pas les vœux. Surtout depuis que j’avance en âge. Car je déteste qu’on me dise sans trêve et qu’on m’écrive sans relâche toutes ces choses à propos de l’état de ma santé l’année prochaine. C’est vrai quoi à la fin ! Qu’est ce que ça veut dire ? J’ai une drôle de tête, ou quoi ? Ce genre de vœux porte la schcoumoune, comme on dit de mon côté de la méditerranée ! Bien sûr, je comprends que c’est fait sans malice et le plus souvent du fond du cœur quand il s'agit de personnes privées qui m'écrivent. Je le sais bien. D’ailleurs je vous souhaite mes meilleurs vœux dans le même état d’esprit. Et surtout la santé! Pas vrai ? Car pour tout le reste, et surtout pour vous dire ce que je souhaite pour la grandeur de notre pays comme pour le bonheur de ceux qui font tout ce qu’ils peuvent pour y vivre dignement, j’y consacre toute mon année. Et ça ne va pas s’arrêter en 2010. Si j’ai la santé.
@Rollinat (#131)
Il est indéniable que le gouvernement dirigé par De Gaulle à la la Libération a été, d’une certaine manière plus « à gauche » que celui de Mitterrand 35 ans plus tard. (Surtout à partir de 83).
Mais tu oublies un détail. Le contexte historique et le rapport de force. De Gaulle ne gouvernait pas seul en 1945. Il n’avait même AUCUN parti propre qui le soutenait. Le parti dominant, alors, c’était le Parti Communiste ! Un parti « bien à gauche », tu en conviendras. Tu ne penses pas que l’existence de cette force-là y était pour beaucoup dans l’application de ce programmme incontestablement « de gauche » ? A l’inverse, en 1981, Mitterrand gouvernait avec un PCF affaibli, réduit à jouer les seconds rôles. Pas de rapports, selon toi, avec le virage à droite de 82-83 ?
Tout à fait. En d'autres termes, on peut parfaitement s'allier avec un parti "de droite", à condition de créer le rapport de force qui permet de faire appliquer un programme progressiste. Et à l'inverse, ça ne sert à rien de s'allier avec un parti "de gauche" si on n'a pas le rapport de force correspondant. Mais alors, à quoi sert de savoir que le parti avec lequel ont fait alliance est "de droite" ou "de gauche", puisque la seule chose qui compte, c'est le rapport de force ? Ergo, les "etiquettes" de "droite" et "gauche" ne servent à rien. CQFD ;-)
Te reconnais-tu dans ces valeurs ou non ? Si tu te reconnais dans ces valeurs, c’est que tu es de gauche !
Dans certains oui, dans d'autres non (par exemple, je ne dois pas être "assez intelligent et éduqué pour savoir qu’un foulard sur des cheveux c’est un vêtement personnel et non pas une « agression » envers l’autre"). Certains sont formulés dans des termes tellement vagues qu'il m'est difficile de dire si j'y souscris ou pas.
D'autres n'ont aucun sens. Par exemple, l'expression "l’économie est au service de l’homme et non l’inverse" n'a aucun sens, d'une part parce qu'il n'y a pas un "homme" mais des "hommes" avec des intérêts différents, et que "l'économie" étant une discipline scientifique elle n'est au service de personne (ou alors on prend "économie" au sens des activités productives, et alors elle est par définition "au service de l'homme" dans la mesure où les choses ne peuvent pas consommer).
Ce qui m’étonne c’est que tu détermines en fonction des « étiquettes » portés par les uns et les autres et non en fonction de tes propres valeurs. Ou plutôt tu ne détermines pas, sous prétexte que les « étiquette »s t’embrouillent.
Je n'ai pas très bien compris ce que tu veux dire. Justement, je ne me détermine pas par rapport aux étiquettes, parce que j'estime justement qu'elles sont périmées et qu'elles ne font que perpétuer une confusion (à savoir, que le fait que quelqu'un soit "de gauche" est une garantie). Je me détermine au contraire et toujours par rapport à mes valeurs. Et si ces "valeurs" sont mieux défendues par un type dit "de droite" que par un type dit "de gauche"... et bien, je vote pour le type de droite !
Tu as raison, Descartes. Les étiquettes sont trompeuses. Mais ce n’est pas parce que certains usurpent leur étiquette, que nous, citoyens devrions renoncer à nos valeurs politiques fondamentales et tomber dans le fatalisme désabusé du « droite-gauche », c’est pareil… Tu ne crois pas ?
Je ne dis pas que "gauche-droite c'est pareil". Ce que je dis, c'est que "gauche-droite n'a pas de sens". Ce qui n'est pas la même chose. Le problème n'est pas que certains "usurpent leur étiquette", mais que la division gauche-droite telle que nous l'avons héritée des années 1930 n'est plus pertinente pour indiquer les lignes de fracture du présent.
Oui, j’ai voté, la mort dans l’âme, pour Royal au 2e tour en 2007, tout en sachant qu’elle n’était pas de Gauche. Notre système électoral est ainsi fait que parfois on est obligé de choisir entre le « moins pire ».
Et tu crois sincèrement que Royal c'était "moins pire" que Sarkozy ?
Etre de gauche c’est la RAISON, la seule qui vaille !
Tu oublies la phrase suivante, la plus importante : « celle de L’ EGALITE DES HOMMES ! »
Or cette « raison » là, Le NPA et même LO la partagent. Pour ce qui est de la stratégie politique, c’est une autre affaire…
Et toi, Descartes ? La partages-tu, cette « raison-là » ?
Je ne sais pas. Pour te répondre, il me faudrait comprendre ce que tu mets derrière "l'égalité des hommes". Egalité de quoi ? De droits ? D'opportunités ? De résultats ? "L'égalité", c'est l'exemple de ces "valeurs" qui peuvent vouloir dire tout et son contraire. Prenons un exemple si tu le veux bien: si par "égalité" tu entends que tous doivent pouvoir se présenter à l'examen, je suis d'accord. Mais si par "égalité" tu entends que tous doivent recevoir le diplôme (même ceux qui n'ont pas bossé...), alors là je ne partage pas.
même si nombre d'entre nous partageons ton point de vue sur les voeux, il eu été plus intéressant de savoir ce que pense le PG de la dernière proposition du PCF "ultime proposition" quant aux listes aux régionales de 2010. Le PCF ne peut se targuer que d'un nombre certain de militants, mais nous les autres, nous pouvons nous targuer de notre influence. Alors, il s'agit de se battre pour que Jean-Luc Mélenchon soit la tête de liste en IDF et pour ne pas se faire préempter le PG et son réseau par le PCF. Et puis quand je lis comment le journal l'Humanité présente le meeting du 10 janvier 2010, je me demande où est le Front de gauche. Le vieux parti a du mal à se défaire de ses vieux vêtements et ne veut utiliser le PG que comme tremplin de sauvetage de ses élus et de sa "cagnotte électorale".
Donc, obligés de suivre l'actualité par le jouranl de l'Huma et non dans nos propres colonnes. Mais où va le PG
Bien d'accord avec toi Descartes (119) à propos du post de Lola (87).
Dois-je rappeler qu'est entrée en vigueur une loi contre le blasphème en Irlande ?
Ras-le-bol de ces culs bénis qu'ils soient cathos, musulmans ou autres... Ils ne doivent pas avoir plus de droits que les autres...
Profitons encore de notre liberté de pensée, pas encore restreinte par les interdits religieux !
N'en déplaise à certains le PCF n'est pas mort. La preuve il bouge encore et de belle manière.
http://www.humanite.fr/IMG/pdf/20100106_01CN375.pdf
@ Descartes
"Lorsqu’on se trouve dans une situation limite (et de ce point de vue, le parallèle avec 1940 n’est pas faux), les gens choisissent toujours celui qui paraît le mieux à même de les protéger du danger. Mais si l’on accepte cette idée, alors il faut admettre que pour l’énorme majorité des français (et donc, pour la majorité des travailleurs), le changement politique n’était pas une « aspiration », mais au contraire était vécu comme un danger…"
Tu admets donc que les masses peuvent se tromper. Ou alors tu justifies le soutien à Pétain ?
Oui, bien sûr, les masses peuvent se tromper. Parce que le danger, finalement, c'était pas de Gaulle. On connait la versatilité des foules. Une foule bien manipulée peut en arriver à (ne pas) penser comme un homme seul. Je ne crois pas en cette démocratie ou c'est celui qui a 50 % + une voix qui a raison. Je ne crois pas davantage aux avant-gardes éclairées. Tout est question de pédagogie et, comme tu l'as dit plus haut, de rapport de force.
Ça me conduit donc à répéter, pour ceux qui veulent vraiment une rupture avec la gestion libérale du PS, que ce n'est pas en annonçant qu'on va participer sous sa coupe à la gestion régionale qu'on va le créer, ce rapport de force.
Bonjour à tous, en lisant certains échanges, notemment Descartes et Rollinat, je me dis que je peux faire d'une pierre deux coups ! D'abord éclaircir (peut etre) les interrogations de Descartes et surtout, rendre hommage à un très très grand Monsieur du Socialisme....Georges Guille...dont on vient de célebrer le 100° anniversaire de sa naissance, qui fut un grand leader du parti Socialistes de son époque...la SFIO.
Habité par une éthique que l'on voudrait voir se généraliser, Georges Guille a preferé signer sa mort politique plutôt que d'adherer au PS né en 1971, refusant la mainmise de François Mitterrand, ce "nomade" politique, dont les valeurs socialistes lui paraissaient si faibles à ses yeux.
Refusant toute compromission avec ce PS qui n'avait de Socialiste que le nom, il n'a ainsi trahi personne et surtout a su rester fidèle à ses idées jusqu'a sa mort en 1985. Ce jour là, les journaux ont titré " de tels parcours, l'histoire est avare".
Mais Georges Guille a, dans un discours défini sa vision du Socialisme, qui, peut être eclairera encore aujourd'hui certains qui ne savent si leurs valeurs penchent ici ou là !
Je cite Georges Guille, et, chers camarades, il vous faut savoir que c'était d'un avis unanime le plus talentueux orateur de son époque, de la même veine d'un Jaures....donc, projetez vous quelques decennies en arrière pour entendre....tout en lisant :
"Nous savons tous le combat quotidien qu'exige l'amelioration continue des conditions d'existances de millions de nos concitoyens, ce combat, nous le menons, mais le socialisme, ce n'est pas seulement le SMIC, la grille des salaires, le pouvoir d'achat, et la plus juste répartition des richesses. C'est cela, oui, bien plus encore !
C'est la paix et la liberté conquises et garanties, c'est la dignité de l'Être assurée, c'est l'egalité des chances au départ, c'est l'élévation de l'individu sur tous les plans, la possibilité d'acceder au joie d'une culture jusqu'ici réservée au plus privilégiés.
Si le confort matériel etait notre unique but, alors, l'esclave bien nourri, bien logé, bien vétu serait l'idéal que nous pourrions proposer au peuple. Ce n'est pas l'objet de l'idéal dans la pensée socialiste. Le Socialisme, c'est les moyens de vivre dignement pour tous, mais en plus,...la joie de vivre.
Le capitalisme nous affirme que l'humain serait uniquement préoccupé de réalités matérielles. Serait-ce à dire qu'il est dépourvu de sensibilité ? Qui peut croire cela ? En réalité, la joie de vivre ne se trouve guère dans une addiction à la consommation reduisant le plus grand nombre à la servitude, servant les interets d'une poignée de capitaliste se gavant comme des oies ".
Voilà mon hommage si humble que je veux rendre à George Guille et constater avec vous, combien son combat d'alors est le notre aujourd'hui, c'en est même effrayant de voir que rien n'a changé sinon que le productivisme a déclenché en plus une catastrophe écologique.
« Ensuite on fait trois tas. Premier tas, les envois en nombre des institutionnels : poubelle directe sauf exception tragique hilarante. Deuxième tas, les envois en nombre institutionnels comportant une mention manuscrite. On passe le doigt mouillé pour vérifier ceux qui ont écrit pour de bon et ceux qui se sont contenté d’imprimer. Les imprimés ? Poubelle ! Restent les héros de la plume. Qu’ils aient écrit eux-mêmes ou que ce soit leurs assistants, je leur réponds. Ca s’appelle "le prix de l’encre" comme disait mes profs qui mettaient un ou deux aux plus mauvaises copies qu’ils avaient corrigées. Mais pour moi, finie l’époque de la super carte méditée pendant des semaines et qui doit être un évènement éventuellement repris dans la presse (consécration suprême lubrifiant l’absorption plus rapide du prix de la prestation du communicant). Une carte rustique. Avec les armes de la République ou moins encore comme création artistique. Et une phrase ostensiblement convenue. Pour les amis, quoiqu'institutionnels, un deux ou trois mots écrits de ma propre blanche main. Pendant trois semaines, donc, je hais mon bureau où sont empilés les parapheurs. Je hais ma boite mail où il m’est impossible de fuir la masse des mails de vœux. Non, décidément, je n’aime pas les vœux. Surtout depuis que j’avance en âge. Car je déteste qu’on me dise sans trêve et qu’on m’écrive sans relâche toutes ces choses à propos de l’état de ma santé l’année prochaine »(Jean-Luc Mélenchon)
Que el mundo fue y será una porquería, ya lo se...
en el quinientos seis y en el dos mil también.
Que siempre ha habido chorros, maquiavelos y estafaos,
contentos y amargaos,valores y dublés...
Pero que el siglo veinte es un despliegue
de maldad insolente ya no hay quien lo niegue.
Vivimos revolcaos en un merengue
y en un mismo lodo
todos manoseaos...
Hoy resulta que es lo mismo
ser derecho que traidor..
ignorante, sabio, chorro,
generoso o estafador
¡Todo es igual! ¡Nada es mejor!
¡Lo mismo un burro
que un gran profesor!
¡No hay aplazaos ni escalafón,
los inmorales nos han igualao!
http://www.patriagrande.net/argentina/discepolo/cambalache.htm
toto dit:
6 janvier 2010 à 15h28
"N’en déplaise à certains le PCF n’est pas mort. La preuve il bouge encore et de belle manière."
j'aimerais bien débattre et parler politique avec des gens qui ont des idées à défendre...
mais pourquoi perdre mon temps avec des culs bénits et communautaristes qui ont contribué a faire du "creuset du PG" un bénitier... d'eau bénite...par tariq et benoît...
prenez mes insultes comme des blasphèmes contre tous ces communautaristes, écolos feminos, anti laïques de toute sorte, antirépublicains de tout poils, antijacobins, antisocialistes, ( tous prêts à se vautrer aux pieds d'un CON BIEN DIT) qui ont pourri le PG et trahi mes espoirs....
quant aux staliniens j'ai eu le malheur de les rencontrer au PG de chambéry
Enfin ce qui parait être une excellente nouvelle en LR:
Un accord NPA/Front de gauche pour les régionales ?
Il faut sans doute rester prudent compte tenu des épisodes précédents mais il semble bien qu’un accord ait été trouvé entre les différents acteurs de « la gauche de la gauche » : Gauche unitaire, Fase, NPA, Objecteurs de croissance, PC et PG. Une conférence de presse est prévue demain pour annoncer la nouvelle. Le thème en est : « Conférence de presse lancement de campagne des élections régionales 2010 de la liste de René Revol [Parti de gauche]. » David Hermet du NPA, sans vouloir trop s’avancer, déclare à Montpellier journal : « Si on fait une conférence de presse commune, ce n’est pas pour annoncer un divorce. »
toto 154
"N’en déplaise à certains le PCF n’est pas mort. La preuve il bouge encore et de belle manière."
Regarde les chiffres de la souscription, plus de 600 000 euros sans doute mais pour combien de souscripteurs?
5 596 ! Pour combien d'adhérents officiels au PCF? 134 000? Ça fait 4%.
Oui, il bouge encore mais de quelle manière, pas pour les adhérents du PCF qui semblent plutôt morts par rapport à la souscription, signe d'attachement à un parti.
@ Pierre L. (158)
Compliment pour ton lien. Cruel, certes, trop cruel peut-être....
Mais pas complètement faux...je le crains.
Le PCF ne mourra pas ou en tout cas pas à moyen terme. Par contre, il peut se transformer en profondeur voir changer de nom comme certains PC en Europe. Mais il peut durer encore longtemps voir connaitre un rebond, à moins que autre chose n'émerge à gauche du PS et de EE, un parti de masse crédible électoralement et pour le moment il n'y a rien de tel à l'horizon.
Par contre, à la place des adhérents du PCF, je serais inquiet aux vus de la souscription en particulier quand on sait que l'objectif était fixé à 800000 euros pour 600000 euros seulement de récolté et quand on compare à la souscription du NPA menée au pas de course en seulement 2 mois :
"Avec 230 000 euros récoltés, le NPA a largement dépassé l'objectif qu'il s'était fixé début novembre, à savoir 200 000 euros au 31 décembre 2009.
Ce succès témoigne de la sympathie qui entoure le NPA et ses militant-e-s et du soutien apporté aux anticapitalistes que nous sommes.
230 000 euros, c'est un précieuse aide pour les campagnes et les activités politiques que nous menons : soutien aux luttes en cours, élections régionales à venir, amélioration de notre presse et de nos outils de diffusion.
Que tous les souscripteurs en soient chaleureusement remerciés !
Le 6 janvier 2010."
« Que el mundo fue y será una porquería, ya lo se…
en el quinientos seis y en el dos mil también.
Que siempre ha habido chorros, maquiavelos y estafaos,
contentos y amargaos,valores y dublés…
(…)Hoy resulta que es lo mismo
ser derecho que traidor..
ignorante, sabio, chorro,
generoso o estafador”
(Discepolo)
Besson : "profond respect" pour Jospin
AFP
06/01/2010 | Mise à jour : 16:20 Le ministre de l'Immigration, Eric Besson, a déclaré sur RMC qu'il gardait "le plus profond respect" pour l'ancien Premier ministre socialiste Lionel Jospin qui publie demain un ouvrage, "Lionel raconte Jospin", dans lequel il revient sur son échec de 2002.
"C'est quelqu'un pour lequel je garde le plus profond respect", a déclaré le transfuge du PS qui voit en Lionel Jospin un "homme bien" et qu'il ne regrette pas d'avoir soutenu.
M. Besson a indiqué qu'il n'avait pas gardé de contact avec l'ex-Premier ministre, précisant: "il m'avait suggéré de ne pas démissionner du PS et je comprends qu'il n'ait pas apprécié que je le fasse malgré sa recommandation".
"Maintenant je ne sais pas ce qu'il dit de moi ou s'il parle de moi dans son livre", a encore dit M. Besson, jugeant "très bien" que Jospin s'exprime sur sa défaite de 2002.
Le ministre de l'Immigration, qui s'est présenté à plusieurs reprises ces dernières semaines comme "un orphelin du 21 avril 2002", a répété qu'il était encore "meurtri dans (sa) chair" par cette date qui a vu M. Jospin échouer au premier tour de la présidentielle, battu par Jean-Marie Le Pen.
EIN VOLK, EIN REICH, EIN BESSON !
@André Assiétoi (#155)
« Lorsqu’on se trouve dans une situation limite (et de ce point de vue, le parallèle avec 1940 n’est pas faux), les gens choisissent toujours celui qui paraît le mieux à même de les protéger du danger. Mais si l’on accepte cette idée, alors il faut admettre que pour l’énorme majorité des français (et donc, pour la majorité des travailleurs), le changement politique n’était pas une « aspiration », mais au contraire était vécu comme un danger… » Tu admets donc que les masses peuvent se tromper. Ou alors tu justifies le soutien à Pétain ?
Moi, ca m'intéresse modérément de savoir si les masses se sont trompées ou si elles avaient raison. Le fait, c'est qu'elles ne voulaient pas la "révolution", contrairement à ce que tu as affirmé plusieurs fois. Peu importe les raisons. Et donc, si une "révolution" avait eu lieu en 1968, elle se serait faite contre les masses, ce qui me semble personnellement être une sérieuse contradiction.
Parce que le danger, finalement, c’était pas de Gaulle.
Eh oui... le danger, c'étaient les libéraux qui en avaient assez du dirigisme issu de la Résistance. Mais la jeunesse est allée connement descendre de Gaulle... je vois que pour une fois, nous sommes d'accord.
Je ne crois pas en cette démocratie ou c’est celui qui a 50 % + une voix qui a raison. Je ne crois pas davantage aux avant-gardes éclairées.
La démocratie ne suppose pas que celui qui a 50% + une voix "ait raison". Simplement, que celui qui a 50% + une voix à le droit de gouverner. Ce n'est pas tout à fait la même chose. Cela étant dit, si tu ne crois pas au gouvernement de la majorité et tu ne crois pas davantage aux avant-gardes éclairés, je pense que tu vas avoir un problème...
Ça me conduit donc à répéter, pour ceux qui veulent vraiment une rupture avec la gestion libérale du PS, que ce n’est pas en annonçant qu’on va participer sous sa coupe à la gestion régionale qu’on va le créer, ce rapport de force.
Franchement, je ne crois pas que ca change grande chose. Il faut pas donner aux questions de tactique électorale plus d'importance qu'elles n'en ont. Le problème de "ceux qui veulent vraiment une rupture avec la gestion libérale", c'est de formuler un projet alternatif réaliste. Les gueguérres avec le PS...
@ Sur la question des transports ou quand tous les chemins mènent à Rome. Ou, de la Mafia. Ou, qui a été John Perkins. Ou, quand ce qui suit n’apprend rien à ceux qui savent déjà mais la pédagogie c’est répéter et varier les entrées en matière. C’est long mais j’y ai mis le contenu d’un des chapitre de Let’s make money qu’on ne peut voir en streaming. Ca se lit très bien. Et je ne fais de commentaire qu'a la fin en fait (à prendre ou à laisser). Achetez-le ! Sur un plan didactique, parfaite synthèse, pertinent, juste etc.
Les transports.
Chapitre 6 : Let’s Make Money, l’expropriation des collectivités publiques. (Je l’ai eu en cadeau pour Noël ! Je partage)
Berlin (Allemagne)
Herman Scheer, membres du Bundestag.
[plan sur le Bundestag]
« L’Etat est la communauté de tous ceux qui y vivent.
L’Etat c’est nous.
Enfin, c’est le cas en démocratie.
Et pour que la société puisse exister, l’Etat a besoin de biens publics :
des écoles, des universités, des transports publics ? etc.
Dans ces circonstances, il est intéressant de voir ce qui se passe avec la privatisation, ce que décèle. « Privatisation » vient de « privare », un mot latin qui signifie « dépouiller ». sont achetés par des investisseurs privés, voire donnés en cadeau, comme c’est souvent le cas. Et on ne fait rien d’autres que dépouiller la communauté. On peut même aller plus loin. La société est dépossédée d’un bien par un investisseur privé. Ce bien l’intéresse car il peut en retirer un profit.
Voire donné en cadeau.
Et on ne fait rien d’autre que dépouiller la communauté ».
[plans sur le tramway]
Vienne, Autriche.
Werner Rugener, Université de Cologne.
« Cet étrange système, le cross-border-leasing, est fréquemment employé, pas seulement pour les tramways de Vienne. Les chemins de fer autrichiens ont vendus leurs trains à des investisseurs américains. La ville d’Innsbruck notamment a vendu ses services publics.
Et comme nous vivons dans l’ère de la mondialisation, l’Autriche n’est pas le seul pays concerné. L’Allemagne, les Pays-Bas, toute l’Europe est concernée ».
Retour à Herman Scheer au cœur du Bundestag.
« Si les politiciens acceptent le cross-border-leasing, c’est bien souvent par ignorance des personnes impliquées. Et celles qui connaissent ce système ne s’intéressent qu’au court laps de temps que dure leur carrière. Cette vision à très court terme, ce refus de prendre des responsabilités sur le long terme car d’autres résoudront les problèmes plus tard, caractérisent bien notre ère néo-libérale. Dans cette ère néo-libérale, tout est réduit, absolument tout, notre façon de penser, d’agir, à l’obtention et l’accroissement immédiats d’un profit maximal. »
Titre: Au nom de la liberté.
Washington DC, USA.
[plan sur un boulevard, de nuit, sous la pluie, une personne allongée sur un banc, sous un abri-bus. Plan sur l’intérieur d’une voiture, dans la nuit, la pluie, les rues, les lumières de la ville]
Le chauffeur, personnel d’un foyer d’aide aux démunis :
« En général, quand on parle de SDF, on imagine quelqu’un de vieux, alcoolique. C’est pas vrai du tout. Certains viennent au foyer pour échapper à la violence conjugale, parce que leur maison a brûlé, ou à cause de d’une catastrophe naturelle comme Katrina. Ils n’ont plus de foyer. Certains sont très diplômés, ils ont des doctorats des maîtrises. Ce sont d’anciens avocats ou médecins. Un jou,r leur vie a basculé et ils sont devenus SDF. Mais en général nos clients viennent des environs de Washington.
[Intérieur du foyer, un couloir, des chambres, un corps sur un lit, une salle de sport]
Appel.
« Votre attention s’il vous plaît.
Ladies on the floor, ladies on the floor.
Il y a des femmes à l’étage. Des femmes à l’étage, messieurs habillez-vous convenablement.
[salle de musculation. Des hommes]
« Les hommes sont souvent âgés, à la retraite. Parfois leur pension ne suffit pas pour vivre décemment. Le coût de la vie est si élevé dans le district que certains n’ont pas les moyens de payer leur logement. Notre association vit grâce au don de citoyens ordinaires. Nous n’avons jamais reçu de chèques de la Banque mondiale.
[retour à la voiture dans les rues de Washington]
« On qu’on peut apercevoir une partie de la Maison Blanche, qui est protégée par son système de sécurité. Un peu plus loin en remontant, se trouve la Banque mondiale.
C’est là j’imagine que l’on traite avec les pays étrangers et qu’on échange des devises. Mais j’ignore totalement ce qui s’y trame.
C’est la Banque mondiale [montrant le bâtiment] »
John Perkins
« Il est important de comprendre que la Banque mondiale est la banque des Etats-Unis. Beaucoup de pays cotisent auprès de cette banque, l’Allemagne, l’Autriche, plusieurs pays européens sont des actionnaires de la banque. En théorie ils en sont propriétaires, mais en réalité ce sont les Etats-Unis qui la contrôlent. »
[plan sur l’esplanade devant la Banque mondiale, un groupe d’hommes en bonnets et blouson. Hiver. Une distribution de repas]
[plan sur une plage déserte, un hélicoptère traverse le ciel, Palm Beach, Floride. Plan sur John Perkins dans une sorte de jardin tropical, puis sur le ponton d’un port de plaisance, puis dans une véranda. Ambiance lumineuse]
Chapitre 7 : pas de titre.
John Perkins.
« Je m’appelle John Perkins, citoyen américain, né et élevé aux Etats-Unis. Je suis un ancien « assassin financier ». Notre tâche s’apparente à celle d’un tueur de la mafia, car notre principe d’un prêté pour un rendu, la mafia et les gangsters l’appliquent depuis des siècles.
Mais nous agissons à très grande échelle., avec des gouvernements, des pays et nous sommes plus professionnels. Nous opérons de différentes manières. Le plus souvent l’assassin financier repère un pays qui possède des ressources que veulent nos entreprises et nous lui préparons un énorme prêt auprès de la Banque mondiale ou d’une organisation sœur. Mais l’argent ne part jamais vers ce pays. Il revient à nos propres sociétés, qui lancent des projets d’infrastructures dans ce pays. Cela profite à quelques gens très riches vivant dans ce pays ainsi qu’à nos sociétés, mais ne favorise pas la moitié des habitants, trop pauvres. Or, c’est eux qui héritent de ces dettes colossales, si élevées qu’ils ne peuvent rembourser. Tant qu’ils s’échinent à rembourser, ils ne peuvent s’offrir un bon système médical ou éducatif. Et les assassins économiques leur disent : « vous nous devez beaucoup d’argent, vous ne pouvez payer vos dettes, donnez-nous une livre de votre chair. Vendez-nous votre pétrole au rabais ou envoyez vos troupes en renfort, en Irak par exemple. Soutenez-nous lors du prochain vote crucial à l’ONU». C’est ainsi que nous avons réussi à créer cet empire. Car le fait est que nous faisons les lois. Nous contrôlons la Banque mondiale, Nous contrôlons le FMI. Nous contrôlons même les Nations unies. Et ce que font les assassins économiques n’est pas illégal.
Ca ne l’est pas. Pousser des pays à s’endetter et ensuite exiger des faveurs ça devrait être illégal, ça ne l’est pas.
[Plan sur Palm Beach, vue sur l'Atlantique]
« L’une des caractéristiques d’un empire est d’imposer sa monnaie au reste du monde.
C’est ce qu’on a fait avec le dollar. En 1971, les Etats-Unis étaient très endettés, principalement à cause de la guerre du Vietnam. Le système de l’étalon-or était en vigueur. Un jour, des pays décidèrent de rembourser leurs dettes en or et non plus en dollars, devenus peu sûrs. Nixon refusa de payer en or malgré l’étalon en vigueur car les Etats-Unis n’avaient plus de stock. Très rapidement le pétrole est devenu la nouvelle référence. J’ai joué un grand rôle dans les négociations avec l’Arabie saoudite en insistant pour que l’OPEP ne vende le pétrole qu’en dollar car le pétrole a beaucoup plus de valeur que l’or, de nos jours
Depuis le monde achète du pétrole uniquement en dollars, une devise très puissante. Aujourd’hui les Etats-Unis sont à nouveau en faillite. On a des dettes colossales plus qu’aucun pays n’en a jamais eu. Si un pays décidait de payer ses dettes avec une autre monnaie que le dollar, nous serions sérieusement embarrassés. Actuellement, les pays paient en dollars car le pétrole est une matière première indispensable. Que l’on ne peut acheter qu’en dollars. Saddam Hussein a menacé de vendre le pétrole autrement qu’en dollars.
[Plan sur les tombes d'un cimetière militaire américain. Fronton. « Freedom is not free »]
« Parfois, il arrive qu’on échoue à convaincre des leaders comme j’ai échoué avec Omar Torrijos au Panama et Jaime Roldos en Equateur. Cela n’arrive pas souvent, mais dans ce cas les chacals sont lâchés. Ce sont eux qui renversent les gouvernements ou assassinent leurs dirigeants. Après mon échec avec Jaime Roldos en Equateur et Omar Torrijos au Panama, on a envoyé des chacals pour les assassiner. Dans les rares cas ou les assassins économiques et les chacals échouent, alors, et seulement alors, on envoie l’armée. C’est exactement ce qui s’est produit en Irak. les assassins n’ont pu réussir à corrompre Saddam Hussein, les chacals n’ont pu le tuer, alors on a envoyé l’armée. La 1ère fois que les militaires ont envahit l’Irak, en 1991, l’armée de Saddam Hussein a été détruite. On a cru qu’il était suffisamment puni et qu’il changerait d’avis. Dans les années 90, les assassins sont revenus et ont tenté de le convaincre. S’il avait cédé il dirigerait encore son armée et on lui vendrait des jets, des tanks, tout ce qu’il voulait. Mais il n’a pas cédé, les chacals ne l’ont pas tué. Il était très bien protégé, ils avait plusieurs sosies même ses hommes ignoraient si c’était bien lui qu’ils escortaient. Ni les assassins économiques, ni les chacals ne réussirent une seconde fois. Nous avons donc envoyé l’armée. Le reste appartient à l’histoire.
[Pan sur le bâtiment de la Banque mondiale où il est inscrit : « WORLD BANK GROUP »]
[…] »
Ou l’amnésie capitaliste.
L’endettement américain.(cf. Emmanuel Todd sur le sujet de l’endettement et l’effondrement possible de l’empire américain, il en parlait déjà il y a cinq ans du moins).
Hasard ? Fatalité ?
Le capitalisme qui a formé son capital grâce à la colonisation. Ah bah, intéressez-vous aux entreprises nantaises ou bordelaises par exemple…et qui continue par le biais des structures de la banque mondiale.
Le capitalisme qui a produit...le néolibéralisme...Non? Grâce à la mondialisation, non?
Le capitalisme qui promeut les dictatures pour sauver sa peau. (Amérique du Sud, Afrique du Sud, Moyen-Orient…) non exhaustif.
Le capitalisme qui promeut des guerres. (Irak, Afghanistan...) non exhaustif.
Le capitalisme comme le canon d'une arme sur la tempe. Ni moral ni amoral. Objet. Qu'on préférerait ne pas avoir chez soi...
Le capitalisme qui nie nos réalités têtues.
On part de nos réalités et puis on comprend tout.
Le capitalisme qui nie nos réalités…Ca vous rappelle rien ?
Moi ça me rappelle les grèvistes de la faim.
Car quand on vous prive de vos droits, et en particulier de tous les espaces de contestation, quel espace vous reste-t-il pour contester ?
Votre propre corps.
Pervers n’est-il pas ?
Et je comprends le syndicaliste Xavier Matthieu qui préfère s’en prendre à des meubles plutôt qu’à lui-même.
Mais, non moins pervers…
Car si les bourreaux n’ont pas de morale, tout d’un coup, les mêmes qui vous acculent à ces extrémités, vous disent que c’est pas bien, non non non. Et il se trouve toujours des victimes consentantes pour dire que non non non c’est pas bien. Les mêmes qui se mettent la tête dans le sable et ne la ressortent que….roulement de tambour….pour Xavier Matthieu !
C’est vrai quoi, tous ces "bolchéviks" au couteau entre les dents, qui exagèrent. Quand ils ne font pas des fautes d’orthographe !
C’est vrai quoi "chacals", "assassins financiers", quel vocabulaire !
Hein quoi ? Ah, c’est pas les "Bolchéviks" qui les utilisent ? C’est un ancien assassin financier repenti ? Ah bon. Vous êtes sûrs ?
…
Et Clinton qui s’est repenti d’une gâterie extraconjugale…On croit rêver ! Ou comment détourner l’attention de l’essentiel. Sur l’Axe du Mal aussi par exemple ! Ouh les vilains "zislamistes" ! Nos nouveaux "bolchéviks" ! Ouh les "zactivistes" ! Ouh les "ssssyndicalistes", les "kkommunistes" ! Ouh les "grrrrévistes" ! Ouh les vilaines "ssssorrrcières" ! Ouh les "méchants" nous les "gentils".
Danse des images, amalgames et caricatures comme arme de destruction massive de la pensée. Sidération, coca cola, cocaïne et addictions. Viens prendre ta Ritaline mon chou. Ou la compassion du bourreau…Ou quand la consommation est l’opium du peuple (c’est joli comme slogan non ?) Z’avez qu’à me demander ! J’avais aussi : Carglass te casse, Carglass t’remplace !
« Les faits sont têtus » Lénine.
Et cet anonyme allongé sur le banc d’un abribus sait. Il ne sait pas qu’il sait, mais son corps allongé dehors en hiver la nuit dans la rue contient en son état même, toute cette vérité.
Il est un fait têtu. Et celui qui saute sur une bombe en Irak, Irakien ou Américain.
Il sont une réalité têtue. Les leurs et les nôtres.
Le totalitarisme, on l’a sous les yeux.
Le totalitarisme c’est simple, c’est quand on est niés dans nos réalités. C’est ma définition, peu académique, mais pour moi, terriblement efficace.
La bonne nouvelle ? Un Homme averti en vaut deux et rien n’est écrit d’avance. On va droit dans le mur mais il est toujours temps de changer de cap. Et les jours rallongent.
Souvent, la minorité devient la majorité parce qu'elle sort et va voter. (L.J. Peter)
La liberté, c'est le droit d'avoir tort, pas le droit de faire du tort. (John Diefenbaker)
@
pardon, c'est mon post du 28 décembre et pas septembre. Mille excuses.
@langue rouge (#163)
Le PCF ne mourra pas ou en tout cas pas à moyen terme. Par contre, il peut se transformer en profondeur voir changer de nom comme certains PC en Europe. Mais il peut durer encore longtemps
Oui. Le PCF a pris le même chemin que le Parti Radical de naguère, qui est devenue une confédération de "notables", élus locaux faisant chacun la pluie et le beau temps dans son fief, avec une direction nationale faible gérant des "grands principes"... Avec une telle structure, le PCF peut durer très, très longtemps...
Par contre, à la place des adhérents du PCF, je serais inquiet aux vus de la souscription en particulier quand on sait que l’objectif était fixé à 800000 euros pour 600000 euros seulement de récolté et quand on compare à la souscription du NPA menée au pas de course en seulement 2 mois : « Avec 230 000 euros récoltés, le NPA a largement dépassé l’objectif qu’il s’était fixé début novembre, à savoir 200 000 euros au 31 décembre 2009...."
Oh... rien d'étonnant à cela. On sait bien que les adhérents du NPA ont des situations qui leur permettent de faire des dons bien plus importants que ceux du PCF...
La ligue à Léon
Sur l'air de "la digue du cul"
La ligue à Léon, Je milite à Nanterre,
La ligue à Léon, Je milite à Nanterre,,
Mais j'habite à Neuilly, la Ligue, la Ligue
Mais j'habite à Neuilly, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, j'ai déclenché une grève,
La ligue à Léon, j'ai déclenché une grève
Dans l'usine de mon père, la Ligue, la Ligue
Dans l'usine de mon père, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, mon père a trois usines,
La ligue à Léon, mon pères a trois usines.
Ca m'aide à militer, la Ligue, la Ligue
Ca m'aide à milier, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, j'aime bien la couleur rouge,
La ligue à Léon, j'aime bien la couleur rouge
Celle de ma Ferrari, la Ligue, la Ligue
Celle de ma Ferrari, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, j'aime pas les communistes,
La ligue à Léon, j'aime pas les communistes
Car y'a trop d'ouvriers, la Ligue, la Ligue
Car y'a trop d'ouvriers, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, À deux c'est une tendance,
La ligue à Léon, à deux c'est une tendance
À trois c'est la scission, la Ligue, la Ligue
À trois c'est la scission, la Ligue à Léon Trotsky !
La ligue à Léon, j'ai lu le Capital,
La ligue à Léon, j'ai lu le Capital
En bandes déssinées, la Ligue, la Ligue
En bandes déssinées, a Ligue à Léon Trotsky !
Et pour ceux que le (faux) facteur agace, un site marrant ici
@ Demetrio
Salut à toi Frère républicain
Quoique qu'on dise quoi qu'on face, certains et certains dénaturent, extrapolent, excommunient, de traite de commissaire politique et je t'en passe et des meilleures !
Le Front de gauche est en pleine déconfiture, il est entrain d'imploser. Vu les propos de JL Mélenchon, les articles de l'Huma et de Lib, est ce que le PG va boire le calice jusqu'à la lie ?
Qu'est ce que j'ai pris par la figure en septembre et octobre à ce sujet...
Je vois (et malheureusement les faits me donnent raison) que le pire est encore à venir.
Prochaine étape, après la séduction sous le balcon de la déesse Duflot et le retour en estime du PS ?
Demetrio, mon frère républicain, restons homme debout et libre, libre de conscience et à la conscience libre.
Salut et fratenité
Gilles
@Jean-Luc Mélenchon
bcp de courage au camarade Jean-Luc mais pourquoi avoir choisie cette pente et pourquoi n'avoir pas voulu écouter les centairnes de camarades qui t'allertaient de ce qui allait se passé ?
Maintenant faisons l'impasse sur les régionales. Rien de bon à en attendre !
Salut et fraternité
Gilles
Et pour ceux que le (faux) Descartes agacent, un site marrant ici
@
A un de ces jours peut-être...
Le silence des chefs et leur incapacité à nous dire "ça y est on s'est mis d'accord" deviennent très inquiétants. A trois jours du lancement officiel, à quoi joue-t-on ? Avoir demandé avec force la tête en Ile de France va aboutir à ce que l'un apparaisse comme vainqueur et l'autre comme vaincu. Et ça c'est mauvais pour les deux.
A côté de ce silence, j'ai appris que par chez moi, vendredi soir, les communistes de la section de Manosque allaient voter pour la liste régionale avant qu'une conférence régionale du PCF la semaine prochaine ne vote à son tour. Est-ce que ça veut dire qu'en Provence c'est bouclé ?
@ Descartes
Parce que le danger, finalement, c’était pas de Gaulle.
Eh oui… le danger, c’étaient les libéraux qui en avaient assez du dirigisme issu de la Résistance. Mais la jeunesse est allée connement descendre de Gaulle… je vois que pour une fois, nous sommes d’accord.
Tu fais semblant de pas comprendre ou quoi ?
Quand je dis le danger c'était pas de Gaulle, je parlais de la période de la Libération, pas de 68. Comme je crois que tu es plutôt intelligent et que le contexte de ma phrase était évident, j'ai plutôt le sentiment que tu te fous du monde.
Au vu de tout ce que je peux lire de toi, je ne suis pas sûr que tu aies quelque conviction politique que ce soit. Je renifle plutôt l'opportunisme...
Je me suis trompé !
A propos du (faux) Descartes le site marrant c'est ici !
Malgré tout, bonne année à toi, et continue à nous rendre intelligents.
Fraternités
ps: attention aux erreurs orthographiques des bloggeures
@Descartes post 170
Tu as des infos sur la composition sociale du NPA ? Et tu en avais sur la composition sociale de la LCR à part celles que tu tiens des staliniens qui 60 ans avant nous considéraient comme des hitléro-trotskystes ?
Ni de droite, ni de gauche, fossoyeur de Mai 68, haineux envers le NPA...
J'espère que tu chantes juste au moins.
Par contre, un bon point pour le facteur. S'il t'agace c'est qu'il doit être dans le vrai.
@André assétoi
Tu fais semblant de pas comprendre ou quoi ?
Quand je dis le danger c’était pas de Gaulle, je parlais de la période de la Libération, pas de 68. Comme je crois que tu es plutôt intelligent et que le contexte de ma phrase était évident, j’ai plutôt le sentiment que tu te fous du monde.
Quoi, on n'a plus le droit de rigoler ?
Oui, j'avais bien compris, mais le comique du rapprochement était irrésistible.
Et maintenant, pour répondre à ton point, il est évident que les masses peuvent se tromper. Mais cela ne signifie pas qu'elles se trompent tout le temps. Qu'elles se soient trompées en 1940 en suivant Pétain plutôt que de Gaulle ne signifie pas qu'elles aient eu tort de préférer de Gaulle à Mitterrand/Mendes en 1968. En 1968, elles avaient à mon avis parfaitement raison de ne pas vouloir le retour des morts-vivants de la IVème république du bras des "enragés" du quartier latin.
Au vu de tout ce que je peux lire de toi, je ne suis pas sûr que tu aies quelque conviction politique que ce soit. Je renifle plutôt l’opportunisme…
Oh là là, tous ces gens qui sont convaincus de pouvoir lire dans mes pensées... ça devient lassant...
@ Lola
Je t'ai bien entendu. OK. merci de ta réponse. Je te trouve cependant quelque peu implacable (sorry). Nous sommes sur un blog pas dans une arène universitaire où la pensée se devrait d'être effilée à juste titre sans compassion ni compromis de quelque sorte que ce soit. J'ai compris aussi ce que tu dis à demi -mot. Il y a visiblement une approche personnelle sur la question pour chacun de nous. Pour ma part je n'ai jamais compris pourquoi en France on ne fêtait pas nous aussi le 27 Nissan - (29 avril) pourquoi tout ne s’arrêtait pas ici aussi, oui pourquoi tous on ne s’arrêtait pas pendant deux minutes de silence, ici oui en France. Deux minutes où tout s'arrêterait. Ou pourquoi ne pas faire de ce jour un jour férié. Je trouve assez fou que cela ne soit pas. Pas par "morbidité" comme tu dis mais bien pour se souvenir de la Shoah, reprendre gain de vie pour garder le cap humain, combattre tout ce qui s'en détache, dans la société, dans nos lois, allumer nos consciences. Dans une VI ° république le 27 avril (27 avril 1848) serait aussi un jour férié, date de l'abolition de l'esclavage. Tous les esclavages. Ce serait ça aussi l'éducation populaire...On peut rêver.
A props des régionales, comme il faut bien trouver des infos ailleurs.....,un très petit extrait de la présentation des voeux à la presse de Marie George Buffet ce jour (06 01 2010) que j'ai trouvé sur le site du PCF http://www.pcf.fr/spip.php?article4359:
"....Mesdames, messieurs, tous ces grands enjeux,nous allons les porter au cœur des élections régionales.
D’abord, je vous donne rendez-vous dimanche au Palais des Congrès à 14h00 pour le grand meeting de lancement des listes du « Front de gauche » et au-delà, intitulées « Ensemble pour des régions citoyennes, sociales, écologiques et solidaires ».
Avec le « Front de gauche », mes amis Jean Luc Mélenchon et Christian Picquet, avec l’ensemble de nos partenaires je dois vous confier que nous sommes dans les « starting-block ». Dimanche, lors du meeting national nous lancerons la dynamique militante et citoyenne. Dans les Régions, ce sont des équipes solides qui se forment et qui partent en campagne autour de leurs têtes de listes comme Elisa Martin en Rhône Alpes, Marie France Beaufils dans le Centre ou le Président de l’ANECR, André Chassaigne, qui pourrait bien devenir le Président de l’Auvergne, et bien d’autres, je ne cite pas toutes le régions. Et bien sûr Pierre Laurent qui va conduire notre liste ici en Ile de France dans la région capitale.
Je veux souligner que nos listes seront marquées par l’engagement de celles et ceux qui résistent et qui luttent. Ce sont des listes d’union de la gauche sociale, syndicale et politique. Dans chaque région, nous enregistrons un fort soutien des hommes et des femmes debout face à la droite. Vous verrez des acteurs et actrices de la défense des services publics, de l’hôpital ou de l’université vous entendrez des syndicalistes qui se battent pour l’emploi et les salaires. Je veux d’ailleurs saluer l’engagement en Ile-de-France de Didier Dreyfus, l’un des animateurs de l’Appel des appels ou de Bernard Defaix, animateur de l’action pour les services publics en Rhone Alpes. Je n’en dis pas plus et je vous donne rendez-vous dimanche pour la suite. Et après dimanche, dés le 26 janvier je vous donne aussi rendez-vous à Toulouse, le 29 janvier à Montpellier, le 2 février à Brive-la-Gaillarde. Je m’arrête là, la liste serait trop longue
@ Gilles
Je n'ai pas tout suivi de vos différents.
Mais depuis que je lis tes posts, depuis ton opération,
(et je te souhaite de t'en sortir et te soutiens) j'entends une énorme colère.
Bien compréhensible. La réalité économique et sociale, le climat politique la maladie
et la déportation de tes grands-parents, autres choses plus personnelles liées ou pas.
J'ai fait l'expérience d'une colère particulière il y a quelques années.
Ma colère. Une colère qui m'envahissait totalement. Et bien légitime elle aussi.
Ce que je sais de la colère c'est qu'elle est une émotion.
On a bien droit à ses émotions. Et elle me déborde encore souvent.
Ce que je sais aussi c'est que la colère, qui nous fait devenir tout rouge, en plus d'exprimer un
ressenti, est une façon d'attirer l'attention. Pas forcément sur un ego, non, sur quelque chose qui doit être entendu.
Qui a à voir avec la réalité économique et sociale, le climat politique, la maladie, autres choses personnelles liées ou pas.
Ces choses, cette chose doit être entendue.
Mais j'ai découvert que pour qu'elle soit entendue, pour être entendu en fait, il faut que cette chose puisse être pensée/pansée.
Donc je me dis, en pensant à un camarade qui te salue comme étant un pilier, une nuque raide, et qui a bien raison, que si tu veux être entendu, sans trahir ce que tu veux faire entendre, peut-être serait-il pertinent d'assouplir la manière de communiquer? Car ainsi, les autres se sentiraient moins "saisis", ce qui favoriserait la communication donc la pensée, pensée qui permet à ces choses d'être entendues. Continuons à communiquer car ainsi nous continuons à penser. Ainsi Lola et Jennifer ou d'autres ont-ils toutes leur place ici. Même s'ils ne détiennent pas La Vérité. Ce qu'elles ne prétendent pas détenir je crois.
Par ailleurs, parfois c'est nous-même qui ne nous entendons pas car nous sommes saisis dans quelque chose que nous ne pouvons penser. Et il y a des choses à ce point impensables qu'elles nous saisissent jusque dans nos chairs.
Pensons, pansons.
Je te souhaite le meilleur Gilles, très sincèrement.
Et je te lis autant que je peux, mais ma foi tous ces posts, quel tourni!
Amitiés fraternelles.
@langue rouge (#177)
Tu as des infos sur la composition sociale du NPA ?
Oui. J'ai même quelques informations sur la composition sociale des conjoints des membres du NPA, si cela t'intéresse. Par exemple, savais-tu que le modeste facteur vit dans un splendide appartement dans un arrondissement chic de Paris ? Et qu'il le doit à ce que sa conjointe a l'un des plus beaux salaires de l'édition parisienne ? Mais chut, c'est confidentiel-polichinelle...
Et tu en avais sur la composition sociale de la LCR à part celles que tu tiens des staliniens qui 60 ans avant nous considéraient comme des hitléro-trotskystes ?
Et ils avaient bien raison... mais bon, on va pas s'attarder sur ces vieilles querelles de famille. Oui, j'en ai aussi.
Ni de droite, ni de gauche,
Jamais dit ça... mais bon, que peut-on attendre d'un hitléro-trotskyste...
fossoyeur de Mai 68,
Faut bien que quelqu'un l'enterre, ce pauvre cadavre pourri...
haineux envers le NPA…
Franchement, il est difficile de haïr le NPA. Ils inspirent plutôt une certaine tendresse... mêlé d'un certain agacement de les voir refaire les mêmes conneries encore et encore. "Ils n'ont rien oublié, et rien appris".
Par contre, un bon point pour le facteur. S’il t’agace c’est qu’il doit être dans le vrai.
L'ennui, c'est que Ségolène Royal m'agace aussi... elle doit donc être dans le vrai aussi...
hold-up dit:
6 janvier 2010 à 17h40
"Pour ma part je n’ai jamais compris pourquoi en France on ne fêtait pas nous aussi le 27 Nissan – (29 avril) pourquoi tout ne s’arrêtait pas ici aussi, oui pourquoi tous on ne s’arrêtait pas pendant deux minutes de silence, ici oui en France."
D'accord, mais les deux minutes seront retirées des payes.
lemarteau 181
Donc, c'est confirmé, les "négos-ultimatum-chantage" sont terminées : " Et bien sûr Pierre Laurent qui va conduire notre liste ici en Ile de France dans la région capitale" (MGB).
Communiqué
hold-up dit:
6 janvier 2010 à 17h40
Pour ma part je n’ai jamais compris pourquoi en France on ne fêtait pas nous aussi le 27 Nissan – (29 avril) pourquoi tout ne s’arrêtait pas ici aussi, oui pourquoi tous on ne s’arrêtait pas pendant deux minutes de silence, ici oui en France. Deux minutes où tout s’arrêterait. Ou pourquoi ne pas faire de ce jour un jour férié.
Le Medef ne permettra une telle attaque contre la compétitivité de nos entreprises.
Les deux minutes seront donc retirées de la paie et le jour férié sera sans solde.
Pour le Medef,
Laurence Parisot.
Fin du communiqué.
@Holdup
Tu pointe l'arridité de mon propos contre Gilles mais il faut voir que je n'avais rien demandé jamais à ce forumeur sauf sur son "argument déloyal" dans sa réponse à Jennifer, pas plus.
Sa réponse se passe d'autres commentaires:
"Maintenant Jennifer, Lola (et toi tu en remis une couche aujourd’hui, le dieuxième post dégoulinant… Beurk envie de vomir !), prolo du biolo, Emler et tout les gentils camarades insulteurs (dont celui qui me traite de commissaire politique), FINI, BASTA, RIEN A VOIR, RIEN A FAIRE AVEC VOUS ! COMPRIS ?"
Pour le reste je ne pense pas que nous ayons besoin de minutes de silence tant pour le génocide juif que pour l'abolition de l'esclavage. le silence obligatoire décrété d'en haut n'est pas exactement ce que je nomme faire de l'histoire.
Education populaire oui, mais avec des éducateurs et pas des "gardiens du silence".
XD
Gilles
tu remets le post que j'avais écrit et qui t'a fait monter au plafond. Par contre tu ne mets pas les posts où tu m'as insultée sans aucune retenue, dont je ne me souviens que du mot de "dégueulis" pour qualifier mes propos, où tu as aussi suggéré au webmestre de me censurer, ni non plus les posts de tes petits petits copains qui m'ont gratifiée de mille noms d'oiseaux. Ce serait juste de tout citer pour que le lecteur se fasse une vraie idée de ce qui s'est passé. On ne comprend donc pas pourquoi Lola et d'autres ont pris ma défense. Comme on ne comprend pas d'ailleurs la violence de ta réaction à mon post. Si mon post était véhément c'est parce que le sujet l'est.
Lola
Merci de m'avoir soutenue et ne te formalise pas des attaques contre toi. Tu as dit ce que tu pensais, comme moi. Et tu as bien eu raison. Ne te laisse pas intimider. Tu n'as pas aimé qu'il utilise comme un argument de choc la référence à son passé. Je respecte tout à fait son passé, mais comme toi, je n'ai pas compris pourquoi il y avait fait référence, sauf que j'ai compris qu'il était vraiment vexé pour en arriver là. Mais je dois dire que j'ai trouvé cela plutôt irrationnel car hors sujet. Mais bien sûr que je respecte son passé et je suis aussi inquiète comme nous le sommes tous ici sur sa santé. Mais est-ce une raison pour se laisser insulter? Voilà il a piqué une grosse colère et pourtant c'est quelqu'un que j'aime bien, même si je ne partage pas toutes ses idées.
Mais quand même, ce n'est pas un hasard que ce soit arrivé parce que je disais: écoutons au moins ce que dit Ramadan au lieu de sauter au plafond dès qu'on prononce son nom. Et bien, ni une ni deux: non seulement on ne l'a pas plus écouté mais en plus on nous a traités de tous les vices. Car Ramadan c'est le diable, c'est celui qu'on doit censurer avant même de savoir ce qu'il dit. Ceux qui nous aggressent, en décrétant certains sujets tabous, ne se donnent pas les moyens de se battre face à l'offensive idéologique autour de l'identité nationale, la burqâ etc...
J'assume ce que j'ai dit et je m'attends à des insultes encore pour longtemps et autres régals de la censure et de la stigmatisation.
@Gilles de nouveau: par ailleurs la façon dont tu utilises le blog pour régler des débats internes au PG me semble bizarre. Si tu veux changer les choses pour le PG c'est pas sur le blog de Jean-Luc Mélenchon que tu le feras. Il y a plein de lieux au PG pour mener ce genre de débat. Ce serait mille fois plus efficace de convaincre tes camarades pour que cela remonte au sommet. Je ne comprends pas ta méthode. Que veux-tu faire: convaincre JLM? Changer la ligne du PG en influant sur JLM? On dirait que tu n'as pas confiance dans la force du débat collectif et de l'organisation. Fais en l'expérience: non seulement c'est plus constructif comme démarche mais en plus c'est plus efficace.
Descartes
Je parie que tu es avec Dupont d'Aignan? J'ai touché juste? En tout cas tu t'amuses beaucoup de ne pas dire où tu es. Pourquoi? Ne peux-tu pas être honnête comme la majorité des gens ici? Le pseudo ok pour protéger ton boulot as-tu dit. Moi je pense que tu es peut être haut fonctionnaire ou cadre et que tu as fait une grande école ou sciences po minimum+ d'autres études, ce qui explique tes connaissances.
"Oui. J’ai même quelques informations sur la composition sociale des conjoints des membres du NPA, si cela t’intéresse. Par exemple, savais-tu que le modeste facteur vit dans un splendide appartement dans un arrondissement chic de Paris ? Et qu’il le doit à ce que sa conjointe a l’un des plus beaux salaires de l’édition parisienne ? Mais chut, c’est confidentiel-polichinelle…"
Tiens, tiens, Descartes se découvre. Quelqu'un avait déjà répercuté ici cette campagne lancée par l'extrême-droite, le bloc identitaire pour être plus précis...
Campagne approximative en plus. Il se trouve que j'habite pas loin de Besancenot (qui n'est pas vraiment un ami) et que son appartement (55 m2 pour un couple, tu parles d'un palais !) est plutôt proche de Château-Rouge que de la Butte Montmartre.
@ 121 Descartes,
Monsieur le professeur, j'ai utilisé le mot connivence,qui signifie: " complicité par complaisance, accord tacite " en synonyme de " volonté partagée " que vous avez employé.
Je souhaiterais, sans vous offenser, que vous disiez ce que vous entendez par : volonté partagée
et qu'elle preuve avez vous pour affirmer que De Gaulle et le PC : avaient une volonté partagée ?
Ne croyez vous pas que chacun avait sa propre volonté ?
Un basique pour votre savoir : Lorsqu'il y a grève, tous les négociateurs veulent en sortir avec les honneurs. C'est le compromis (pas l'accord) et tous ceux qui sont autour de la table, font preuve de volonté partagée.
C'est cela qu'il s'agit ?
Le vecu et la violence :Monsieur le professeur, mon vécu vaut autant que le ressenti de Mr le Préfet de Paris, dont vous me recommandez la saine lecture. Si il n'y a pas eu de casse, c'est grâce aux syndicats, aux militants, à tous les travailleurs grévistes responsables, qui ont su ne pas répondre aux provocations. Je vais vous faire une confidence, savez vous que des groupuscules venaient devant les grilles des usines pour faire la causette ?
Comment pourriez vous le savoir ? Vous aviez l'oreille collée au transistor, à lire et à écouter une presse pas encore libérée.
Le vécu c'est du témoignage.
Les charges des CRS il faut les vivre, les grenades faut en recevoir pour en parler. Etre à la Sorbonne, voir des ouvriers de toutes nationalités parler avec les étudiants, c'est du vécu, du témoignage.
Si je peux me permettre, je vous dirais que la grève n'était pas de la rebellion (c'est votre mot) puisque c'est un droit, et le gouvernement ne pouvait pas la matter. C'est pourquoi, Pompidou, s'est activé à débloquer les conflits du mvt. ouvrier, et ensuite son objectif était de matter les étudiants. Le fait que les ouvriers aient rejeté la première mouture des accords, a donné du temps et le mouvement étudiant s'est dégonflé.
Ce qui m'amène, si vous le permettez à vous poser une question : Comment pouvez vous ne pas vous interdire de commenter ce que vous n'avez pas vu et me dire que mon vécu n'est pas représentatif ?
Lorsqu'on interroge les appelés de la guerre d'Algérie sur leur vécu, c'est pour commenter ?
J'assume de dire : Il y a violence par ce qu'elle était provoquée par les forces de l'ordre " L'encerclement de la Sorbonne, et du quartier latin, par un nombre impressionnant de CRS était de la provoc. Et c'est toujours comme ça.
Monsieur, votre couplet sur Grimaud, tendre matraque, c'est dur à passer.
" NOUS "aspirions à des changements.
Le " nous" c'est le responsable d'un engagement syndical responsable qui a qualité de parler au nom de ses camarades. Rassurez vous ce n'est pas le pluriel de votre majesté.
J'ai la conviction à force de vous lire, que vous n'étiez pas en France, pendant ces jours qui marqueront le mouvement ouvrier. et vous ne pouvez pas comprendre à quoi les citoyens aspiraient ?
A plus de reconnaissance dans leur travail, ne pas être obligé d'obéir à de petits chefs, avoir plus de responsabilités, plus de droits, plus de formation, à être écouté dans la vie de la cité etc..
Je mesure votre méconnaissance du mouvement ouvrier de mai 68 à votre phrase : Comment expliquer que la grève se soit arrêtés lorsque des revendications purement syndicales ont été satisfaites ?"
Merci de m'avoir lu, et
Excusez le bonhomme qui ne sait pas lire (vous lire)
Excusez le pauvre type qui a pris tant de coups de matraque.
Excusez l'homme de Gauche qui pense qu'un programme intuitivement compréhensible et saisissable par tous, peux être fédérateur et rassembleur.
Excusez le naif citoyen de Gauche, qui croit que le pg qui sera présenté sera économiquement vérifiable et crédible.
Monsieur le professeur, je vous demande d'être courtois et de plus employer de gros mots,
et sans vous offenser, pouvez vous me dire les raisons qui vous amènent à ne pas répondre à certaines questions que les gens du peuple vous posent? et pourquoi vous vous efforcez sans cesse de démonter les dires des uns et des autres, sans rien proposer.?
Est ce votre culture jésuite qui vous oblige.
Bien à vous.
Pierre L
C'est horrible ton post 158! et le pire c'est que la femme et l'enfant en rient!
Aussi j'oubliais: très bonne année à toi!
@ Pierre L. (172)
J'ai voté poilant ; manque un approfondissement démontrant que le cartésianisme est un agent ralentisseur de progrès de la pensée créatrice et n'est plus utilisable de notre temps.
Mais c'est incontestablement une avancée.
Complément à 194 : c'est cettte mise au point sur Descartes qui constitue une avancée. Ne pas se méprendre.
@Gilles : j'ai oublié un organisme supranational duquel la France doit s'émanciper : l'OMC (parait-il dirigée par un socialiste).
@Descartes post 125 : tu dis Ainsi, je suis persuadé que beaucoup de participants à ce forum ont voté pour Ségolène au deuxième tour en 2007 sans avoir conscience du fait qu’ils étaient en train de voter « à droite ».
Je me suis abstenue, car de toute façon, je pressentais que la peur de son incompétence supposée prendrait le pas sur l'autoritarisme de Sarkozy (pourtant clairement affiché lorsqu'il était ministre). Sinon, j'avais voté Besancenot au 1er tour. Et en 2002 : Chevènement au 1er tour, et abstention au 2ème (avec la campagne "Shame on France" titrait le Times, j'étais sûre que Chirac allait passer).
@Mazan posts 138+185 et @Raphael Q. post 160 : quand je lis le 1er et le post du 2ème qui me ravit, et que le PG confirme pour le meeting de lancement du dimanche, je me dis que, comme nous ne connaissons pas la teneur réelle des discussions en cours avec le PCF, il se peut que des éléments de pression provenant du PG aient un rapport avec les éventuelles unités (comme en LR).
@ Pierre L
Oui, on imagine exactement ça. La vie est précaire - comme dit Madame Parisot - alors pourquoi pas le travail ?
(Citation de la dame qui prépare une loi pour que l'on crève directement à 95 ans à l'intérieur de l'entreprise, la nouvelle église et non plus à l'extérieur. Un camion viendra directement nous chercher " en grande pompe " pour nous jeter le plus rapidement possible dans une fosse commune. Progrès médéfiste oblige ! Et celle qui s'honore de faire partie de l'Aleps, un cercle d'ultralibéraux cofondé par Guy Lemonnier (alias Claude Harmel) ancien vychiste et collaborateur notoire a de qui tenir.
En fait figurez -vous qu'au moment où j'écrivais cette brève, j'entends à la radio que Sarkozy vient de faire un discours dans la journée où il a évoqué " Travail Famille Effort " -trop drôle. Quel hasard. Vous aurez remarqué la nuance...
Et là en ce moment M.Copé, la pie de l'UMP est en train de se chauffer grave sur "la burka" et racole sur France Inter - Je veux dire qu'il ne le fait pas de façon modéré et républicaine, il le fait très excité, la salive au coin des lèvres et crie au " Grand Danger " au cas où la burka devienne une........MODE, Un truc Tendance...Et il se pose la question de savoir si demain il y aura une " France Rassemblée "... vous voyez le truc, " Une France Rassemblée". A votre avis ? Vous y croyez vous à la France Rassemblée ?
La " rupture UMPiste " nous casse les reins, nous casse la tête, elle bêtifie le débat, mais M.Copé, le roquet du Sarkozysme après le n°1 en chef, en appelle à une " France Rassemblée". Pardonnez-moi amis et amies Républicains, et même si je ne goute guère personnellement la burka, pourquoi me dis-je que les personnes de
l'UMP sont plus dangereux pour moi et pour la plupart, qu'une poignée d'ombres de femmes patriarcalement aliénées ou maladroitement frondeuses ?
Quand les soins, la retraite, l'éducation, les droits sociaux, " les restes" de service publics seront abolis, est-ce que ça sera la faute à "la burka " ? Elle a bon dos "la burka", vous ne croyez pas un peu M.COPÉ ? Et vous en "sauvez" combien de femmes en Afghanistan à coup de bombes dans la gueule M.Copé ? Un certain nombre ?
Je l'écoute encore le M.Copé, il vient d'en appeler à l'instant à la création d'un " gouvernement mondial " (on imagine lequel)...et je viens de tomber là dessus par hasard :
" L’origine vichyste du “bouclier fiscal” - (tout un parfum antique).
http://www.altermonde-sans-frontiere.com/spip.php?article11792
ha, oui j'oubliais. Une prose de l'Aleps LE cercle idéologique patronal en France :
" Les syndicats aboutissent à être les serviteurs de l’État totalitaire (…). La seule façon de sauver la démocratie n’est pas d’inventer la démocratisation de la politique, mais de réduire le champ d’action de la politique. Alors, et alors seulement, les travailleurs et les citoyens pourront librement participer à cette démocratie du quotidien que l’on appelle la concurrence et le marché, sans plus subir l’arbitraire et les illusions de l’État providence. Moins d’État, c’est plus de vraie démocratie à tous les niveaux."
Mais oui c'est ça ! Quelle sacré bande d'enflures et de renfloués ! La liberté et la démocratie pour toutes et tous à 400 euros par mois ! Les syndicats sont interdits dans les États Totalitaires, il faudra leur rappeler à ces gens là. En amalgamant et en confondant un État Démocratique avec un État Totalitaire, Le but est bien d'en finir avec les syndicats et de faire advenir précisément le renouveau Totalitaire. Alambiqué "l'Aleps", il faut savoir décrypter !
Non, Jennifer tu ne mérites pas ça !
Stop aussi avec les hitléro-trotskystes !
Et les allusions sur les revenus des conjoints : Olivier Besancenot a des convictions propres, ce que gagne sa femme n'a rien à voir !
Et je ne suis pas d'accord sur les biographies : je ne vous dirai pas si je suis juif et s'il y a eu des déportés dans ma famille. Ca n'a aucun rapport avec les points de vue que je défends. Ou si ça en a, c'est une affaire strictement personnelle.
Puisqu'il se fait jour un vrai besoin d'insulte sur ce blog, je propose qu'on en utilise plus qu'une qui avait fait ses preuves : "vipère lubrique". Une véritable insulte homologuée stalienne pur jus. D'autres suggestions peuvent être faites. On pourrait même organiser un référendum sur la meilleure insulte. Je suggère que ne soit utilisé que des insultes historiques. La règle du jeu serait de n'utiliser que celle là et pas une autre.
Merde !
Langue Rouge post 143
Ton post est vraiment très intéressant.
Sur les grèves de l'an dernier, comme tout un chacun j'ai beaucoup réfléchi à cela. Oui c'était génial d'avoir l'unité de toutes les organisations syndicales mais ce qui a manqué c'était des mots d'ordre. C'était: on défilait et on montrait ainsi qu'on n'était pas content et aucun mot d'ordre unificateur. En fait il y en avait des mots d'ordre, mais trop, trop divers, une pléthore! donc c'était comme si il n'y en avait aucun. Comme si on ne demandait rien de précis à Sarkozy, ce qui l'arrangeait bien, en fait. Tout était dans le "mouvement" et rien dans le but, pour le coup, pour paraphraser le réformisme ! Car aucun objectif concret n'était défini.
Je ne pense pas que les partis politiques doivent s'occuper exclusivement des élections et les syndicats des luttes. Cette division du travail entre les deux ne va pas. Si un parti s'occupe de politique,alors la politique c'est aussi le rapport de forces dans la rue pour virer Sarkozy. En tant que parti politique on se doit de participer au mouvement des gens dans la rue. Les gens ont besoin d'une direction politique. Mais cela ne veut pas dire obligatoirement qu'on donne des mots d'ordre politiques immédiatement à toute lutte syndicale. Ce serait une caricature. Un parti devrait aussi avoir des idées sur comment mener une lutte, proposer le prochain maillon qui permettrait de faire avancer les choses. J'ai pensé que ce maillon aurait pu être l'an dernier: avoir une plateforme nationale sur des revendications clefs autour de quoi unir tous les syndicats mais aussi les partis.
Avec le recul on voit que la plateforme qui s'impose c'est: pour l'emploi et pour la défense des services publics. Pourquoi? c'est très simple: les capitalistes ont trouvé la solution à leur crise. Faire payer le peuple: casser les services publics, et augmenter le chômage. Plus la demande de quelques nationalisations évidentes. La plateforme est vite trouvée.
Tu vois j'ai été très influencée par la lutte du LKP: un chapeau commun sous lequel toutes les organisations s'unissent. Je crois qu'on devrait faire quelque chose de pareil et que les partis devraient avoir un rôle moteur pour promouvoir ce type d'alliances larges autour d'un noyau de revendications simples et évidentes pour tout un chacun.
@ lola
" le silence obligatoire décrété d’en haut..." Je crois que ces histoires de " haut " et " de bas " (attention fragile), il faudra un jour qu'on en finisse. Ce qui est décidé démocratiquement n'est ni haut ni bas, cela EST. Point barre. Nul "pape intérieur " là mais bien une décision affirmée après délibération consciente. En démocratie, il n'y a pas non plus d'éternité absolue, les lois peuvent être revisitées, abolies, transformées.
Bon, mais après, au regard de ce que j'avançais, je peux comprendre ton point de vue. Je n'avais pas oublié que le mien était tout personnel. Je réfléchirais sur la problématique " des gardiens du silence ". Je crois voir.
@ Pierre L
Sacrée vipère lubrique ! Tu n'as pas le droit de dire "Merde", c'est pas du jeu. Tête raide va !