16avr 10
S i vous êtes de mon point de vue à propos des retraites, ce matin vendredi, lisez « Libération » et faites connaitre mon « rebond » sur le rapport du COR. On peut aussi l’afficher dans la salle des profs, par exemple. Le papier est meilleur support pour discuter que l’écran d’ordinateur. Dans cette note je fais la voiture balai de mes dernières aventures politiques avant de monter dans l’avion (s’il part) pour le sommet des peuples à Cochabamba. Je boucle la séquence sur « l’affaire » qui m’a opposé au «malheureux» jeune étudiant en provocation médiatique. Je jubile, comme je vous l’ai dit aussitôt sur ce blog. La meute s’est tiré une belle balle dans le pied ! Une enquête d’opinion parue dans « Paris Match » et réalisé par L’IFOP montre que j’ai gagné deux points d’opinion positive ! Rigolade ! J’ai gagné le bras de fer avec les zozos ! A la prochaine les amis ! Visiblement le public ne vous suit pas. Notre peuple n’a jamais été trop ami des curés, quelque soit leur soutane. Ce matin je vais au siège de VSD soutenir des journalistes en lutte pour sauver leur journal et l’idée qu’ils se font de leur métier. La meute, elle, reste à la niche quand il s’agit de s’occuper non pas de ses privilèges symboliques mais de luttes concrètes pour l’exercice concret d’une liberté concrète. Ou est le « buzz » à ce propos ? Ou est passé « l’école de journaliste de sciences politiques » et sa horde de mendiants en information au calibre twitter ?
Pour terminer je parle aussi de la façon dont des dirigeants communistes ont décidé de me traiter pour faire passer le gout à leurs adhérents de me trouver intéressant. Cette fois ci me voila repeint en «autocrate». Ces bassesses me blessent, vous le savez et je ne cherche pas à le cacher. Mais elles ne me font pas perdre de vue mes objectifs politiques.
Dans les deux cas, je propose une trêve. Je dis halte au feu! On stoppe et on repart sur des bases plus tranquilles. Car j'ai bien d'autres sujets à traiter sur ces colonnes.
Mercredi j’ai reçu au siège du PG un groupe de blogueurs que j’apprécie. Ils sont de tous horizons de pensée. Mais nous partageons deux ou trois choses, davantage culturelles que formellement politiques. On verra bien ce qu’ils vont tirer de notre entretien. On a parlé de médias. Evidemment. Ne croyez pas que cela me lasse. Pas du tout. Il s’agit d’un front de lutte essentiel de notre société. Il y a très longtemps que je l’ai identifié comme tel avec mes amis de combat politique. Au club « pour la république sociale », François Delapierre dirigeait des stages sur le thème. Il a écrit un très bel article sur le sujet dans la revue du mouvement. Dans le même numéro de cette revue, j’avais fait un papier de doctrine sur le « monde globalitaire » de notre époque. Ensuite, en application de cette orientation de « bataille culturelle », je suis monté en ligne de très nombreuses fois. Contre une page de « Libération », contre Jean Marc Sylvestre, contre Arlette Chabot et d’autres, combien d’autres, que j’ai oublié ! Je connais donc le mécanisme de la meute, de ses déclenchements et ses principales figures de combat. D’où mon amusement de voir le nombre de ceux qui ont pensé me déstabiliser avec des méthodes aussi frustres que le bourdonnement et la répétition en boucle. En particulier ceux qui ont cru à l’idée que tout le monde s’écarterait de moi avec horreur sous l’effet du harcèlement en boucle. Quelle sottise ! C’est le contraire qui s’est produit et il ne fallait pas être très malin pour le deviner. Autre bêtise : croire que la profession allait se solidariser au carré contre l’affreux imprécateur. C’est raté. Les gens de médias comportent une proportion non négligeable d’opprimés et d’humiliés qui haïssent le système qui avilit leur métier et méprise leur personne davantage que moi qui n’ai pas en connaitre chaque jour ! La profession vit un profond malaise actuellement. Tous commencent donc par condamner mon style, ma colère, tel ou tel de mes mots pour cotiser à l’esprit de corps. Mais un grand nombre s’arrête aussitôt là et n’hésite pas à dire que je pose de « vrais problèmes » et ainsi de suite. Les meneurs de meute se trompent donc sur toute la ligne. Le public est moins bête qu’ils le croient. Leurs collègues de même.
Je ne peux oublier la tentative risible de disqualification sophiste (« pas vous pas ça » !) qui m’a été faite. Elle a pris cette fois ci les traits de la fable du grand méchant qui s’attaque au petit jeune. Ce refrain ne m’a pas fait blêmir un seul instant. Je suis trop familier du contact humain pour ne pas être capable d’apprécier au coup d’œil sur un visage bien des subtilités qui échappent à ceux pour qui ce n’est pas comme pour moi un besoin vital. Au cas particulier je n’avais pas besoin d’être très fin pour comprendre que ça sentait le coup monté. A la fin de l’algarade « le pauvre petit jeune « journaliste » me dit « pourquoi vous me parlez comme ça ? Moi je votais à gauche et bien maintenant on verra ». Ou est passé ce petit moment de la vidéo ? Il a du passer dans la même poubelle que le début de l’entretien. Tous ces montages, pourtant beaucoup signalés dans la blogosphère, n’ont pas ému les vociférateurs médiatiques. C’est un signe de plus que tout ceci n’avait rien à voir avec la bonne ou la mauvaise foi mais seulement avec la lutte. Je me suis bien moqué de ce numéro larmoyant. J’ai bien fait d’ailleurs.
Le petit jeune est un militant de longue main. Il a fait monter la sauce sur twistter pendant plusieurs jours à propos de sa vidéo. Je ne le savais pas. Ce sont les blogueurs qui me l’ont dit car eux sont familiers de ces réseaux. Cela veut dire qu’une partie de ceux qui m’ont fait la danse et qui ont joué le grand air de la surprise outrée le savaient aussi. Que cela nous aide tous à comprendre qu’il s’agit bien d’une bataille avec chausse trappe mensonges, guet-apens et ruses. J’ai cherché dans mes grimoires quelle était la recette de lutte contre cette sorte de bête qu’est la bête médiatique. Je crois que j’ai trouvé la bonne page. C’est la légende de la Gorgone. Le monstre dont le regard fige dans sa posture, transformé en statue, celui quelle regarde dans les yeux. La médiasphère est la figure actuelle de la Gorgone. Elle fige sa victime dans la posture qu’il occupe à l’instant où elle le regarde dans les yeux. L’image médiatique voulait me réduire à la posture que son regard m’avait donnée : un homme méchant avec un petit jeune, qui insulte une noble et digne profession. J’ai vaincu la Gorgone. Exactement avec les armes que la légende prête à son vainqueur. Allez chercher vous-même le récit mythologique pour vous faire une idée. Mais la première de ces armes c’est le bouclier d’une détermination sans faille. La mienne l’est.
Lundi paraissait mon entretien avec Lilian Alemagna du journal Libération. Evidemment « Libération » m’a posé une question sur les élections présidentielles et ma candidature. De ma réponse, pourtant fort prudente, il a été tiré au Parti Communiste le prétexte à une agression contre moi. Cet entretien a en effet d’abord déclenché l’ire de Patrick Bessac porte parole du Parti communiste. Il me traite « d’autocrate » dans le même journal «Libération» Puis le même jour Pierre Laurent, me brocarde et convoque un sommet du Front de Gauche au cours d’un déjeuner de presse. Il s’agit de deux éminents membres de la direction communiste. On ne peut croire qu’ils expriment un avis personnel. Beaucoup le comprennent comme moi. Du coup on est troublé par cette hargne qui s’exprime contre moi sur un mode aussi volontairement personnel et blessant. Surtout que c’est la seconde fois après l’épisode de la candidature en Ile de France. Ce fut un précieux apprentissage pour moi. Pourtant, ici, je veux rassurer ceux qui s’inquiètent. Ces sorties sont ce que l’on appelle du « billard à deux bandes ». Avec les pierres de ma démolition se construit la route de la candidature commune du front de gauche à l’élection présidentielle. Vous allez voir que la vraie info n’est pas où le croit d’abord. En fait, on fédère contre Mélenchon, pour faire ce qu’il propose, sans le dire et …sans lui. Habile, non ? Voyons.
La question de la candidature aux présidentielles est une figure incontournable dans les entretiens de presse. On peut toujours crier et protester que ce n’est pas le moment et ainsi de suite. Notre protestation est fondée, dans l’abstrait. Mais elle ne sert à rien. Tant que dure la Cinquième République toute la vie politique est polarisée par cette élection. A mesure qu’on s’éloigne de la précédente, puis qu’on s’approche de la suivante tout le champ politique se déforme et se reforme autour de cet évènement. Dès lors que le Front de gauche a fait sa percée dans la cours des grands, il est légitime qu’on l’interroge à propos de la présidentielle. C’est un signe de bonne santé. Nous devrions en être fiers. Qui se serait soucié de savoir s’il y aura un candidat du PC ou du PG il y a seulement huit mois ? Donc, on nous demande si nous serons présents à cette élection. Ne haussons pas les épaules ! Cela ne va pas de soi. Voyez les Ecologistes ! Cohn Bendit propose de se joindre aux socialistes. Et nous ? Bien sur nous connaissons la réponse. Mais il est normal qu’un journaliste la pose. Car le grand public, lui n’est au courant de rien. Deuxième question : aurons nous un candidat commun au Front de gauche ? C’est aussi une question sérieuse ! La preuve c’est que nous en avons fait le cœur de notre proposition de «paquet». Et la preuve c’est que le Parti communiste avait prévu d’en parler en 2011. Notre préférence est qu’il en parle maintenant pour que nous sachions à quoi nous en tenir. Mais il est possible qu’il ne le fasse pas car ce n’était pas prévu quand la convocation de ce congrès d’étape s’est faite. Cependant, il est vraisemblable qu’il le fera dès juin. C’est ce qu’annonce le prétexte de l’algarade ou je figure dans le rôle de « l’autocrate ».
Certes, ces deux agressions sont une fin de non recevoir personnelle. Dès lors que je le sais, je serais bien naïf de ne pas agir en conséquence. Soit, me voila prévenu. Si j’avais besoin de l’être. Les dirigeants communistes ne veulent pas de moi comme candidat. C’est dit. Sur un plan personnel, je ne me plains de voir en face la vérité de ma situation dans l’estime des communistes. Je ne sais pas ce qui justifie cet ostracisme. Mais en toute hypothèse il reste une énigme. En fait, je n’ai jamais été candidat. On m’a posé la question des dizaines de fois déjà. Mais je ne l’ai jamais sollicitée. Et je n’y ai en fait jamais répondu. Parfois j’ai même dit que je ne voulais pas répondre…Le plus souvent, je n’ai dit ni oui, ni non. Si je dis oui, j’irrite. Je dis non, je déçois. Si je dis oui, je dérange, si je dis non, je ramène notre camp dans le néant de visage ou il est jusqu’à ce que nous ayons trouvé quelqu’un. En politique il faut incarner une ligne si on ne veut pas que la personnalisation vide la ligne. Je suppose que Pierre Laurent et Patrice Bessac ont du connaitre eux aussi cette difficulté quand on leur a posé la question. Ils m’aideraient mieux en me disant que répondre plutôt que de me sauter à la gorge.
Je suis sur qu’ils ne m’en veulent pas sérieusement de répondre que « je me sens capable de l’être ». Qu’ils me montrent l’exemple d’une plus grande modestie en déclarant, quand on leur pose la même question, que, pour leur part, ils s’en sentent incapables et je serai plus attentif à leurs critiques. Mais en quoi le fait de se dire « capable » de défendre ses idées est-il le fait d’un « autocrate », en quoi est-ce du lobbying médiatique ? Je demande d’apprécier la hauteur de la riposte en lisant la question et la réponse parue dans « Libération ». Question : « Et ce candidat vous aimeriez l'incarner? » Réponse : « Je m'en sens capable. Mais je refuse d'entrer dans les habits de l’homme providentiel, un rôle de statue de bronze. Quelle prison ! Quel poison ! Pour autant, arrêtons de flinguer une personne dès qu'elle semble se distinguer. Je suis prêt à être utile. Dans la crise, c'est l'heure des personnes qui ont du caractère, pas des « fromages pasteurisés » ou des « poissons lyophilisés ». Que fallait-il répondre pour complaire aux camarades qui n’aiment pas les autocrates ? « Non je n’aimerai pas incarner cette position car chacun voit bien que je n’en suis pas capable ».
Cette mauvaise manière s’accompagne d’un habillage que je trouve si offensant que je m’interroge sur sa violence. Ainsi quand le même Bessac dit qu’il faut renoncer à la « querelle des égos ». Quelle querelle ? Quels égos ? Ou est la compétition ? Avec qui ? Tout cela n’est fait que pour mettre en avant le fait que je serai obsédé par mon égo. Dans « l’humanité », décidément très décevante ces temps, on note entre guillemets que j’aurais dit que ma candidature « ferait peur aux communistes ». Ah bon ? Ou ça ? Lisez plutôt le passage ou il est question de peur dans «Libération» : Question (à propos des dirigeants communistes qui ne veulent pas d’une candidature hors de leurs rangs): « Ne craignent-ils pas, en cas de candidature de votre part, de ne pas être représenté à la présidentielle… » Réponse : « Pourquoi ont-ils peur de cela? Le PCF est co-fondateur du Front de gauche. Ce label le représente, tout comme nous. Quant au mythe de la personnalité consensuelle, quel aveu d’échec ce serait ! Ce n'est pas avec une personnalité associative ou syndicale sortie du chapeau qu'on va pouvoir crédibiliser une révolution citoyenne ! Le candidat doit être aguerri à la lutte politique. Le PCF et le PG doivent proposer ensemble une candidature aux militants du Front de gauche qui diront s'ils l'acceptent ou non. » On voit que pour tirer de ces phrases l’idée que je me vante de « faire peur » aux communistes, il faut beaucoup de volonté de nuire. A la fin, en réalité il s’agit de faire croire aux militants communistes que je suis un personnage imbu de lui-même, qui propose la dialectique limitée « le paquet ou le projet », comme titre l’Humanité Dimanche. Je ne crois pas que ça fonctionnera. En tous cas ça ne suffira pas pour nous faire perdre de vue l’essentiel.
En effet Le discours creux sur la « construction du projet le plus large possible » et ainsi de suite, nous le connaissons. Dans ce registre, on se souvient des ateliers déjà organisé à l’automne dernier par les dirigeants communistes sans demander l’avis de personne, ni sur l’idée, ni sur les dates, ni sur les thèmes, ce qui en dit long sur les postures actuelles selon lesquelles le Front de gauche « ne consiste pas à suivre tel ou tel ». Le but de ces initiatives est toujours le même : explorer des convergences avec les socialistes. Nous avons déjà, dit sur tous les tons que c’était non. Notre intention est que le Front de gauche ait sa propre personnalité, son propre programme, « partagé » ou « commun » peu importe l’adjectif. D’abord le programme du Front de Gauche ensuite la discussion avec les socialistes et seulement en vue du deuxième tour. Nous sommes très sensibles sur ce point. On ne nous rassurera pas avec des promesses orales de coulisse comme la dernière fois. Car nous nous souvenons comment les mêmes dirigeants communistes avaient déjà annulé le « forum » prévu pour février dernier, au cours duquel nous devions mettre au point une plate forme partagée du Front de Gauche sur les institutions (tiens, tiens !) et installer une assemblée du Front de Gauche. Pour nous donc c’est maintenant un préalable. On rédige le programme d’abord, puis on discute, si les communistes y tiennent, avec qui ils veulent. On s’accorde pour commencer ce travail et on annonce en même temps quel est le niveau de notre ambition en affirmant que nous aurons des candidats communs à toutes les élections. Sinon tout ce qu’on écrira ne serait qu’un imprimé sans adresse, disponible pour n’importe quelle boite aux lettres ! C’est en ce sens que le paquet précède le projet, oui ! Cela signifie que l’objectif précède le moyen. Inutile de ruser. C’est exactement ce que nous avons fait pour les régionales ! On a d’abord conclu l’alliance après les cinq mois de débats des communistes sur le sujet puis on a écrit le programme en même temps qu’on faisait les listes. Personne n’a demandé qu’on fasse autrement à l’époque.
Il est très contre-productif de marcher d’une élection à l’autre en faisant semblant de ne pas savoir à quoi on aboutira. C’est une perte de temps, d’abord, qui nuit à la maitrise des compte de campagne qui on commencé à courir pour les cantonales par exemple et qui doivent être impérativement synchronisés avec ceux des législatives et même ceux de la présidentielles pour que le rendement maximum soit assurés à nos candidats. Trainer et tergiverser c’est s’interdire de construire une base de masse consciente et éduquée sur les objectifs communs. C’est surtout organiser une perte de confiance dans l’opinion. Nous ne sommes pas le PS. Notre lutte nécessite de rassurer les gens sur notre compte : ils ont besoin de savoir que nous sommes vraiment unis dans la durée pour se mettre dans nos pas. Sinon ils sentent bien que nous ne serions capables que de faire de la figuration. Ils ont besoin de voir les visages de ceux qui emmènent le mouvement parce qu’ils savent que c’est l’heure des caractères, pas du témoignage. Tout ceci posé j’en reviens à moi et à mon « ambition présidentielle » comme disent les bonnes âmes, qui me font ainsi, sans s’en rendre compte, l’amitié de penser que je serai capable de gagner cette élection !
Quoiqu’en disent Pierre Laurent et Patrice Bessac, je n’ai jamais déclaré que je serai candidat. Ces dirigeants communistes le savent bien. Ils savent lire. Donc, quel est le sens de s’opposer à quelque chose qui n’est pas ? La réponse est dans le reste de leur discours. Les décibels à mon sujet sont en réalité un biais pour dire autre chose. La nouveauté est là. Les deux dirigeants s’expriment clairement tous deux en faveur d’un candidat commun du front de gauche. C’est un fait absolument nouveau. Jusque là on avait eu une déclaration de Roland Muzeau, député communiste et président du groupe à l’assemblée sur ce point, commentée par Marie George Buffet à qui une réaction avait été demandée sur I Télé. Là, le premier dirigeant du PC et le porte parole parlent comme si la candidature commune allait de soi et formulent même des hypothèses. L’un évoque une personnalité syndicale ou associative, l’autre « plusieurs candidat possibles ». Mais le fait nouveau c’est que les deux disent la même chose sur une question essentielle : il y aura un candidat commun du Front de Gauche. C’est pourquoi, par delà les questions que posent les attaques personnelles contre moi, j’estime avoir obtenu ce que nous sommes si nombreux à vouloir : l’émergence d’une nouvelle force politique unie à gauche qui présente des candidats à toutes les élections et affirme son ambition de gouverner le pays. Comme moi de milliers de gens, organisés ou pas, au PS, hors du PS, sont épuisés de faire de la figuration dans la vitrine des sociaux libéraux. C’est pourquoi la charge lourde de Patrick Bessac et Pierre Laurent contre moi est quand même un grand jour pour moi puisque j’enregistre que j’ai atteins mon but: avoir convaincu les dirigeants communistes de prolonger la présence électorale du Front de gauche aux présidentielles et du coup, parce que c’est la logique de situation, dans toutes les élections d’ici aux législatives. Le reste est détail sans importance, les bruits de la circulation pendant qu’on écrit un poème.
J’ajoute ici le repiquage de mon interview dans « Direct Matin » quasiment sur les mêmes sujets quoique cette note soit déjà bien longue. Certes elle est déjà classée dans la rubrique ad hoc de ce blog. Mais je vous évite trois clics en la redonnant ici.
"Pourquoi ne pas créer un parti pour pérenniser le Front de gauche (alliance PG-PCF-Gauche unitaire) ?"
Les dirigeants communistes ne veulent pas d’un parti commun et leur décision doit être respectée. J’ai proposé une autre formule pour montrer que le Front de gauche s’inscrit dans la durée. Ce serait d’installer une assemblée permanente du Front et d’instaurer l’adhésion directe. Chacun pourrait ainsi participer au Front de gauche sans adhérer à l’un des partis. De plus nous aurions des candidatures communes à toutes les élections des cantonales aux législatives.
"Que pensez-vous de la “gauche solidaire” souhaitée par Martine Aubry ?"
C’est pour l’instant une expression, rien de plus. Si ça signifie être solidaire au deuxième tour pour battre la droite, nous sommes d’accord. Si ça veut dire faire l’ornement de gauche pour la vitrine socialiste, c’est non. Quant aux primaires, on voit bien que la scène est déjà saturée par le pullulement des candidats socialistes.
"Il faut donc un candidat du Front de gauche en 2012. Serez-vous celui-ci ?"
Nous sommes clairement partisans d’un candidat commun au Front de gauche. Mais je n’ai jamais fait acte de candidature ; je constate que mon nom est avancé. Curieusement, cette idée a seulement été relayée par ceux qui s’y opposent. Je suis confiant : il y a peut-être une force d’évidence qui va s’imposer.
@ 202 Dudu 87, @ 203 Zemir et tous ceux qui nous lisent,
Actions catégorielles,
" On" a l'habitude de mettre derrière le mot syndicat: le rassemblement des ouvriers, c'est savamment entretenu, à tel point qu'en 1970 environ sous l'action de Lecanuet, un syndicat catégoriel est né.
La propagande a été de dire aux Cadres, " Mais enfin, vous n'y pensez pas, vous faire défendre par des ouvriers,...et puis vous avez des revendications spécifiques ! "
La Cgt a réagi en mettant en place des un accueil pour cette catégorie. Plus tard, dans les années 90, lorsque le dans le privé le patronat a développé le salaire au mérite, nous avons eu droit à la même chanson, en y rajoutant un couplet en plus " Votre travail est différent, vous n'êtes pas payé à l'heure,mais au volume des tâches que vous accomplissez. Les négociations salariales discutées au sein de la profession ne vous concernent que très peu. " La prime sur le salaire au mérite a marché.
Aujourd'hui sur les retraites, je pense que les cadres ont compris. Mais dans la conversation de couloir, après les briefing, après les réunions de travail, la conversation porte naturellement sur les retraites et les arguments libéraux sont avancés. " Les cadres, types intelligents, comprennent mieux que quiconque l'intérêt général, les règles économiques, et vous pouvez faire passer le message."
Voila à quoi les cadres sont confrontés aujourd'hui.
Mais qu'on ne s'y trompe pas, l'argumentaire de diviser pour régner est usé.
Si les syndicats catégoriels prennent des positions différentes des autres syndicats, il est à parier qu'ils le regretterons car ils seront démentis par leur base.
Bonjour à tous,
pour clarifier le potentiel de l'UNION de LA VRAIE Gauche :
http://www.interieur.gouv.fr
Cela permet de remettre en toute "modestie" le potentiel des forces de chacun.
Moi je me bats pour gagner et éradiquer définitivement le système capitaliste, libéraliste et délivrer LE PEUPLE DE FRANCE de la souffrance qu'ils nous ont imposé ! Je suis pour NOTRE UNION et Jean-Luc Mélenchon m'apparait de toute évidence comme le plus qualifié pour porter nos espoirs, mais aussi pour permettre au PEUPLE de gouverner POUR LE PEUPLE et PAR LE PEUPLE!
N'oubliez pas, que dès demain, Lundi 19 avril, un combat s'engage par la rue et je le souhaite, par la grève générale sans limite de durée pour notre avenir à TOUS!
L'heure n'est plus aux querelles partisanes mais à L'UNION TOUT AZIMUTE des forces de LA VRAIE Gauche!
@ 249 Annie
Tu as raison, j'ai lu trop vite. Désolé.
Un "appel" de plus à l'unité des forces de gauches radicales.
http://clementineautain.fr/
Une douzaine de signataires dont Autain, Braouzec, Chochin, Zarka.(Personne du PG).
Ca doit bien être le 150 ème appel du même tonneau que je lis.
Pas un mot sur la création d'un véritable mouvement unifié avec adhésion directe.
Pas un mot sur l'élaboration d'un véritable programme de gouvernement de rupture pour 2012.
On tourne en rond.
@ descartes (17.04. 01h30)
Descartes, le monde a bougé depuis les années 70 Tu parles comme si le PCF représentait encore 20% de l’électorat ! Qu’est ce que ça peut bien nous foutre, le « poids » de Mélenchon par rapport au PCF ?
le PCF ne pèse plus que par ses alliances avec le PS. Politiquement et électoralement, il ne pèse plus RIEN !
Alors, franchement nous jouer le remake de …1965, avec Mélenchon dans le rôle de Mitterrand bouffant la laine sur le dos du PC, ça n’a vraiment aucun sens !
Le PCF va disparaître et la seule mission que l’Histoire lui impose c’est de se dissoudre pour se reconstruire dans un nouveau mouvement élargi à toutes la gauche anti-libérale (déjà « encartée » ou non).
J’espère que les militants de ce parti finiront par le comprendre et qu’ils feront sauter le verrou de » l’esprit de boutique » qui, s’il perdure, sera à coup sûr, le fossoyeur de l’espoir que le Front de Gauche a fait naître.
L’heure est au rassemblement unifié. Au Front de gauche (« unitaire » ou tout ce qu’on voudra) seule force représentative de l’espoir d’une politique de rupture avec la logique libérale.
A quand l'ouverture du FdG aux adhérents directs ?
A quand l'annonce de la mise ne chantier d'un véritable programme de gouvernement de rupture ?
Dans mon post précédent, je faisais bien sûr référence à l'appel "Faire front pour ouvrir l'espoir à gauche" (et non pas à l'appel sur les retraites).
http://clementineautain.fr/
Marre du Front qui veut être tout sauf un "vrai" front, une "vraie" alliance, avec des intérêts communs, une vision commune du bien être des citoyens!
Il nous faut un porte parole (notez : pas un CHEF...quoique) qui représente le travail d'un ou de quelques partis de militants actifs !
Pour le reste, c'est du pipo.
Mon choix du porte parole-candidat ? Jean-Luc Mélenchon, il exprime ce qu'on veut dire, il le dit bien, il n'a pas de casseroles au derrière, un petit parti de militants, une grosse reconnaissance dans le peuple.
Attention, Jean-Luc Mélenchon, ce n'est pas un blanc seing pour des alliances de la carpe et du lapin, au contraire, c'est pen ser que nous pouvons gagner, car nous avons des arguments.
Je suis ravi de ce qui se passe en Angleterre auijourd'hui : ! il a suffit, outre un timide début depuis des années, à un parti, d'avaoir un porte parole à la hauteur, pour devenir, DU JOUR AU LENDEMAIN, le 1er ministre d'un pays à la dérive.
Aucun jugement sur son programme que je ne connais pas, mais il convient de nous rappeler qu'il faut avoir uhn bon porte parole et un bon programme de justice sociale.
Nous avons cela, alors, au boulot, Jean-Luc Mélenchon, tu n'es pas seul !
En réponse à Descartes (74),
je parlais évidemment des militants de gauche de gauche!
Quelle décision prendre? Nous sommes dans ce blog partagés entre coeur et raison.
De toute évidence il y a une majorité de coeurs, dont je fais partie, qui voient en Jean-Luc Mélenchon le chevalier blanc qui allait par le monde se présenter aux tournois, jouter contre tout venant, et ainsi acquérir gloire et renom. Dans les joutes oratoires notre chevalier des temps modernes acquiert gloire et renom et nous sommes prêts a lui confier notre destin. Mais est-ce bien raisonnable?
Quelques esprits chagrins, avec raison, nous font le reproche d'avoir les yeux de Chimène pour un personnage haut en couleurs et pugnace mais qui n'est rien sans les alliances autour d'un programme. Ces esprits chagrins ne veulent rien précipiter, ils veulent prendre tout leur temps au risque de louper, rien moins, que le train de l'Histoire!
J'ai du mal à me faire une raison et je n'ai pas le coeur à attendre, il faut que Jean-Luc Mélenchon soit sans équivoque notre figure de proue contre les liquidateurs de la France! Ca urge.
@Jean-Luc Mélenchon
@ tous
2012 c'est dans deux ans !
Profitons de ce temps qui courre jusqu'en 2012 pour bâtir notre corpus idéologique, une école de formation et un projet politique que pour ma part je conçois républicain socialiste (permettant la réfondation républicaine et laïque de notre pays, la rupture avec le capitalisme (programmes de transition), la transformation des rapports sociaux et la transformation des rapports de production, le plein retour à notre souverainneté. Ce projet se fixe l'objectif de la pleine émancipation humaine par la citoyenneté et la souveraineté.
Cela est le travail du PG et au dellà des composants de l'actuel front de gauche.
J'ai proposé que l'autre gauche s'immerge dans le peuple citoyen, devienne des instituteurs de ce peuple citoyen et souverain. Pour cela, j'ai mis sur le "tapis" le Front d'unité populaire. Faisons converger, unir, dynamiser, mobiliser, la gauche politique radicale, les mouvements sociaux, les syndicats, les associatifs, les intellectuels, le peuple citoyen vers ce projet politique défini et vers ces objectifs d'émancipation. C'est une oeuvre politique quie l'on fonder,construire, porter et remettre sur le métier si nécessaire.
Nous les militants soyons à la fois les instituteurs du peuple et les artisans de la réalisation d'une nouvelle construction politique et humaine que sera la République sociale.
Nous sommes dans les institutions de la Vème république et donc en l'état nous ne pouvons éviter le travers de la personnalisation des candidatures et l'effacement du projet et du collectif. Faisons en sorte, que le collectif, ce front d'unité populaire immergé dans le peuple citoyen et souverain mobilisé soit le facteur dynamique et unitaire déclencheur, le porteur du projet et d'espèrances et que le ou la candidat(e) de ce FUP soit le porte parole émergé de ce front d'unité populaire immergé dans le peuple citoyen. Il nous faut faire "société" !
Je reésume :
1 Définir le corpus idéologique
2 Créer une école de formation
3 Définir les objectifs d'un projet politique
4 Bâtir le projet politique et les programmes de transition
5 Faire converger (en s'immergeant) poltiques, syndicats, mouvements sociaux, associatifs,intellectuels, citoyens vers ce projet en éduquant et en batissant.
6 Unir le processus par un Front d'Unité populaire
7 Faire émmerger le porte parole qui deviendra le candidat
Voilà pour ma part ce que je pense vital pour avoir des chances d'espèrance.
"instituteur du peuple": ça fait pas un peu donneur de leçon?
@ Jennifer
Le tournant du PCF vers le PS...
Tu le découvres qu'aujourd'hui ?
Il n'a jamais cessé d'exister !
Je te rappellle qu'en septembre et octobre, Gilles, Demetrio, Curtillat, et puis d'autres encore, moi-même par la suite avaient prévenu ici à propos du PCF. L'histoire des Ateliers était annonciateur de ce que l'on voit aujourd'hui.
Le PCF préfèrera une alliance avec le PS aux législatives qui suivront immédiatement la présidentielle qu'à une alliance Front de gauche surtout si il y a plusieurs candidatures. Au jour d'aujourd'hui c'est bien parti pour qu'il ait une multitude de candidature dans l'autre gauche comme en 2007. Le PS et Sarko seront les seules gagnants.
Je propose de dépasser les histoires d'appareils, de négociations, de réunionites aigües, (va t-on engager une énième guerre "punique" entre mouvements du Front de gauche et de l'ensemble de la gauche radicale comme l'on fait en leur temps - aux temps antiques - Rome et Carthage ?) qui épuisent et stérilisent tout en chacun et proposer la rencontre du PG, du FdG avec les politiques de l'autre gauche, des syndicats,des associatifs, des intellectuels, des citoyens le tout convergeant, uni et réuni dans des cercles civiques. Nous devons nous immerger au sen du peuple, éduquer, instruire, bâtir, porter projet et espérance. De cela sortira le Front d'Unité Populaire (fait pour le peuple et par le peuple) et émergera le porte parole de ce FUP qui sera le candidat. Je te renvoie aussi à mon post précédent.
Pour ma part évitons de faire du personnalisme ou de promouvoir tel ou tel candidat fut-il JL Mélenchon. D'abord, le corpus idéologique, la formation, les objectifs, le projet et les programmes de transition, le travail d'éducation et d'immersion, la constitution du FUP, l'émersion du porte parole candidat. La République sociale pour l'émancipation de la personne humaine ne rencontrera et convaincra les têtes et les coeurs de nos concitoyens que si nous allons au terme de ce long et dur processus politique. Une oeuvre à faire !
"nous immerger au sein du peuple"... comme si nous n'en faisions pas déjà partie, du peuple!
@ nicolas PG03 (258 et 260)
+1
@ Darthé Payan
"Le PCF préfèrera une alliance avec le PS aux législatives qui suivront immédiatement la présidentielle qu’à une alliance Front de gauche surtout si il y a plusieurs candidatures"
Je ne comprends pas ce que tu veux dire.
Au premier tour des législatives, tous les partis de gauche présentent leur candidat. C'est comme ça depuis des décennies. Au second, il y a désistement en faveur de celui arrivé en tête. Pourquoi en 2012 ça serait différent ? S'il y a des candidats étiquettés Front de Gauche, ils se désisteront au second tour pour le candidat de gauche (PS ou Vert) qui serait en tête et réciproquement. Tous les députés communistes et PG élus en 2007 ont du affronté un candidat socialiste au premier tour. Le PS ne fera pas de cadeau. Tu souhaites que les candidats Front de Gauche se maintiennent au second tour contre les socialistes si les socialistes sont en tête ?
@ nicolas PG03 et Thaumasios
Oui nous faisons partie du peuple. Je parle ici de ce militantisme politique de l'autre gauche. Aller auprès de la classe ouvrière est abandonnée ou ignorée par la gauche et qui rencontre que le FN. Aller dans les campagnes là où ces dernières sont ignorées par la gauche depuis des lustrs et trahies par la droite et qui rencontre que le FN.
Ne faites pas semblant de ne rien comprendre !
Thaumasios non ce n'est pas donné des leçons que de vouloir instruire, éduquer le peuple. L'éducation populaire cela te dit quelque chose. Dans la présente de principes du PG (cf la page 7 du guide de l'adhérent) où notre parti ce déclare un mouvement d'éducation populaire.
C'est vous préférez parler des variantes sur le nom du front de gauche machin ou sur la plus belle candidature personnelle, sans projet, sans base sociale et citoyenne cela vous regarde. Je me contrefiche de vos +1 ou -1 ou +2 machin bidule qui montrent votre suffisance de la situation actuelle et votre jeu stérile et comportement puérile. Aller jouer au morpion +1 -1 et si vous voulez à la bataille navale etc... Ca pas avec ce vous me répondez que la réflexion et le débat avancent. Chacun son passe temps !
A ceux qui trouvent que le PCF ne fait plus "bander" et qui souhaiteraient se passer d'une alliance avec lui, je conseille de relire les résultats des élections régionales dans les régions où malheureusement la majorité des communistes s'étaient prononcé pour l'alliance avec le PS au premier tour. Dans ces régions, il y a eu des listes PG-NPA-FASE- et aussi communistes dissidents. Mais le PCF en tant que tel n'y était pas. Les résultats sont catastrophiques. Ces listes ne font ni le pourcentage du Front de Gauche aux élections précédentes ni le pourcentage du NPA seul. Autrement dit, si le PCF ne fait plus bander, sans lui c'est l'impuissance totale. Sans compter que dans ces régions les négociations PG/NPA ont souvent été excessivement rudes. L'absence du PCF ne rendait pas d'un coup de baguette magique les choses faciles entre les partenaires PG/NPA.
De même avant le premier tour, on ne parlait que du Languedoc qui montrait la voie, et vu les résultats, du jour au lendemain, c'est le Limousin qui a eu cet honneur. Il y a quelques mois, d'autres encore ne juraient que par la Guadeloupe. Vu les résultats du premier et unique tour (seule région à avoir donné une majorité dès le premier tour au PS accompagné d'un bide des deux dirigeants syndicaux du LKP qui présentaient des listes) on en n'entend plus parler. Les quatre régions où le Front de Gauche fait un résultat supérieur à 10% avaient des têtes de listes communistes. Apparemment ils ont plus fait bander que Revol en Languedoc.
@ Darthé-Payan (263)
Eh, woh, mollo Paulo !
"Éducation populaire", ça me va parfaitement. C'est un des concepts qui m'a fait adhérer au PG, tout comme la nécessaire formation des militants, et tout le toutim. Par contre, je me méfie simplement de l'expression "instituteur du Peuple" en raison de son caractère un tantinet condescendant (et vieillot). "Le Peuple" n'a pas besoin d'instituteurs, tout simplement parce que "le Peuple" n'est pas un enfant. On ne va quand même pas se mettre au niveau de la droite qui parle de "pédagogie", quand il s'agit de "vaseline".
Les conditions pour être citoyen, c'est d'être majeur (et même pas forcément vacciné, n'est-ce pas m'âme Bachelot ! ;-)). Or, majeur, ça veut bien dire qui n'est plus mineur et qui n'a pas besoin de tuteur. Donc, il n'est pas question de se poser en instituteur ou en docteur ou en je ne sais quoi d'autre : "le Peuple" n'a pas besoin qu'on lui dise ni quoi penser, ni comment réfléchir, sinon, c'est le moyen le plus sûr et le plus rapide vers le fait de se mettre à voter pour lui.
Il me semble que les citoyens (dont nous faisons partie, soit dit en passant…) ont besoin d'une stratégie raisonnée de la prise de conscience : c'est toute l'idée, me semble-t-il, de l'éducation populaire. On ne vient pas, drapé dans sa majesté, instruire le Peuple ignorant. On tente plutôt de se former au contact des autres, en partageant des armes intellectuelles et des outils idéologiques. La relation d'éducation est nécessairement réciproque.
Quant à mon +1, ce n'est qu'une façon rapide de marquer mon accord sur telle ou telle intervention, parce qu'en ce moment, je n'ai pas vraiment le temps de tartiner des romans, vois-tu…
bonjour
attention pour 2012, de ne pas s'éparpiller...
vaut mieux un accord d'unité pour les sympathisants du FdG...avant de partir à l'attaque des droites...
qu'un émiettement des voix sur une foule de groupuscules...(dispensés de fait d'un 2 ième tour.)
ne soyons pas nombrilistes, faisons fi des escarmouches !
les "j'en ai une plus grosse", laissons ça au gamins de l'UMP.
A Darthé Payant,
C'est juste que ton discours sent bon la déclaration de bonnes intentions, de belles phrases... mais un peu de simplicité dans le discours ne t'offenserait pas.
Je note qu'il ne faut surtout pas s'aviser de te taquiner... sinon gare à la volée de bois vert!
Moi je veux argumenter et convaincre ce qui signifie effectivement tout simplement militer. Dans "instituteur du peuple", ça fait un peu "on va éduquer les gueux, se mélanger à eux".
Je pense que telle n'est pas ton intention. Mais détends-toi, prends-toi un peu moins la tête et ça se passera bien!
Mais je suis assez bien placé pour savoir que oui, il faut aller à la rencontre des autres, ne pas s'enfermer dans nos cercles de militants convaincus, et aller vers nos concitoyens pas uniquement en période d'élections.
Tu vois, on est d'accord! pas la peine de s'énerver!
Quand je dis "vers le fait de se mettre à voter pour lui", je veux bien évidemment dire "vers le fait de décider à sa place" ! Sinon, évidemment qu'il faut voter dans l'intérêt du plus grand nombre, c'est le principe même de la République, hein ! :-)
@ 246 Carol DEBY
Vous êtes content de voir qu'il y a des gens à Bruxelles, je suis content de voir qu'il y a des gens à Liège qui soutiennent Mélenchon :-)) Il faut dire que la presse en Belgique ignore royalement (sic!) Mélenchon et le PG. C'est en parlant autour qu'on fera publicité...
Je suis Mélenchon de très près depuis la campagne du NON lors du référendum sur le TCE en 2005 et depuis lors je ne l'ai plus quitté de vue. Je partage entièrement ce que vous dites sur Mélenchon et encore plus sur la dimension européenne de sa victoire.
Quant à la nomination de Van Rompuy, il n'y a plus aucun doute sur l'approbation préalable du groupe Bilderberg. Son rôle est clair et sa position l'est encore plus. Rien de plus normal dans la suite du Grand Marché Intégré Transatlantique.
Je reviendrai en début de soirée sur le sujet, je vais profiter d'un ciel dégagé de toute trace d'avions :-)))
de l'affolement du déficit...
Acte sur la position de JL Mélenchon.
Sur la réforme des retraites, nous étions déjà en déficit avant la crise financière et les moyens ont été trouvés pour refinancer les banques aux bord du gouffre.
Le déficit des retraites peut être comblé et ceci d'autant que cette réforme des retraites n'apporte pas de réponse à l'emploi ni à celui de la précarité et qu'elle sera sans nul doute problématique pour ceux qui ont de faibles revenus où ceux qui subissent des parcours professionnels chaotiques.
Comme le note très à propos B Thibaut aucune contrepartie n'est donnée pour résoudre le grave problème du chômage de masse.
Aucune autre voie n'est envisageable à part l'augmentation du recul de l'âge et des cotisations.
On pourrait en lever un autre de tabou et quel tabou, celui qui touche à la taxation des transactions financières ?
VIVE J L MELENCHON le peuple est avec toi.
@ Michel Matain
Et pourquoi pas s'ils font le % nécessaire qui permettent leur maintien au second tour ?
Dis moi quelle est la chance d'avoir un élu FdG avec un PS fort ?
5 à 10 députés maxi et combien pour le PG dans 5 à 10 députés ?
Donc le PCF préféra être investi "canididature unique" avec le soutien du PS dès le premier dans un nombre non négligeable de circonscriptions. Que ferons nous nous PG ?
C'est pour cela que je parle d'aller nous immerger dans le peuple et faire converger politique de la gauche radicale, mouvement social et syndical, associatifs, intellectuels, citoyens. Il ne peut qu'en sortir que du bon ! C'est notre seule chance ! Sinon le Front de Gauche élargi, uni ou unitaire machin bidule n'existera plus et le PG avec !
Il ya quelques temps JL Mélenchon avait dit de parler de 2012 c'était signer "son arrêt de mort". Il en parle est-ce judicieux ? est-ce utile 2 ans à l'avance alors que le projet du PG est au point mort, le congrès sans cesse reporté à l'automne maintenant, le corpus idéologique toujours pas posé, le front politique branlebalant de toute part, les querelles de personnes et d'égos, les guerres'puniques" d'appareils qui reprennent et pendant ce temps la classe ouvrière abandonnée et trahie, la classe paysanne ignorée et méprisée, les idéaux de la république qui sont foulés aux pieds. L'urgence poltique est là criante et nous on parle du énième nom du Front de gauche élargi (plutôt rabougris !) et rien sur la rencontre avec le peuple et la résolution des questions sociales, de sécurité, de devenir !
@ darthé payan
"Donc le PCF préféra être investi « canididature unique » avec le soutien du PS dès le premier dans un nombre non négligeable de circonscriptions."
Pourquoi le PS en 2012 ferait cadeau au PCF et au PG de circonscriptions, chose qu'il n'a jamais fait ? Rappel des faits : les députés communistes et PG élus en 2007 ont affronté au premier tour un socialiste et l'ont battu. Au second tour, ils ont été élus grace au désistement socialiste. De même la plupart des députés socialistes ont pu être élus grace au désistement en leur faveur des autres forces de gauche.
Prétendre se maintenir au second tour des législatives contre des socialistes arrivés en tête, ça voudra dire aussi la réciprocité : les socialistes se maintiendraient contre les Fronts de Gauche arrivés en tête. Résultat des courses : la droite repasse même si la gauche est majoritaire ; pour le coup il n'y aura plus de députés Front de Gauche, ni PCF ni PG. Si c'est ton but, ça n'est pas le mien, nous ne jouons pas dans la même équipe.
"Donc le PCF préféra être investi « canididature unique » avec le soutien du PS dès le premier dans un nombre non négligeable de circonscriptions"Darthé-Payant
ça n'est jamais arrivé ! et ça n'arrivera jamais.
Le PS (et avant la FGDS et la SFIO) ont toujours présenté des candidats et les communistes aussi dans toutes les circonscriptions.
Et ça me semble logique.
Cessez un peu de fantasmer sur ce parti.
Les divergences, rivalités et désaccords sont nombreux entre ces deux partis- voir la Seine-Saint-Denis par exemple - mais il n'empêche que la clé du début du changement c'est l'accord à gauche et donc avec le PS.
Non pas parce que c'est le désir inconscient ou non des communistes, mais parce que les électeurs et les milieux populaires mettent ce parti en tête de la gauche. Et qu'il faut que la gauche de transformation pèse le plus lourd possible.
Le Front de Gauche est un outil pour ce faire.
@Darthé-Payan 271
Mon point de vue.
Quand il y a des enjeux sociaux majeurs et qu'on rate l'occasion.
On peut dire bye bye à 2012.
@ Les retraites
Le gouvernement demeure dans une logique de gestion des emplois et non d'une véritable reconnaissance du droit à la retraite à 60 ans.
La déclaration du ministre du travail ce dimanche commence à préciser la volonté du Gouvernement.
Syndicats irresponsables, par ce qu'ils ne marchent pas dans la combine.!
Quelle est la projection du nombre d'emplois qui vont être perdus ?
Arrêter de supprimer des emplois, ça permettra de garder les cotisations à niveau constant.
J'aimerais beaucoup que nos couleurs soient défendues par Jean-Luc en 2012, mais cela n'a strictement rien à voir avec de l'idolâtrie : je pense qu'il serait le mieux placé pour représenter la gauche, c'est ma conviction personnelle. Cela dit, je n'ai aucune envie que nous partions divisés aux prochaines élections. Surtout pour une question aussi futile. Les camarades qui placent le programme avant le choix du candidat ont mille fois raison. Faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour rassembler la gauche et élaborons un programme tous ensemble. Le choix du candidat, c'est la dernière étape du processus. Commençons d'abord par nous rassembler, nous aviserons ensuite.
Darthé-Payan 271
"Aller nous immerger dans le peuple et faire converger politique de la gauche radicale, mouvement social et syndical, associatifs, intellectuels, citoyens. Il ne peut qu’en sortir que du bon ! C’est notre seule chance ! Sinon le Front de Gauche élargi, uni ou unitaire machin bidule n’existera plus et le PG avec ! "
100% d'accord le travail est sur le terrain une mobilisation forte avec création de réseaux et de centrales FG fortes être lisible et visibles le plus possible pour cela il faut vraiment s'organiser en masse.
@ ermler (#82)
"Et pourquoi ne serait-il » pas possible » de supprimer l’élection présidentielle ?"
Parce que le français y sont très attachés (c'est le scrutin pour lequel le taux de participation est le plus élevé) et la supprimer serait perçu comme une attaque contre la démocratie (c'est d'ailleurs au nom de la démocratie que le mandat du PR a été ramené à 5 ans, justement pour que l'élection présidentielle ait lieu plus souvent).
Mais, comme vous, je préfère un régime parlementaire strict et je regrette que le PR soit élu soit élu au suffrage universel. Je suis également hostile au quinquennat (mais je ne crois pas qu'il soit possible de proposer de rétablir le septennat).
@276
carlo
Le mieux serait le décanat au moins peinard pour dix piges non ?
@ michel matain et Dorant
n'y a t-il pas eu dans le passé des circonscriptions que le PS réservées dès le 1er tour à ses alliés ou futurs alliés (en vue de facilité des seconds tours ailleurs) notamment à des Verts, des communises, à des radicaux de gauche, à des amis de Chevènement, à des partisans de l'autonomie régionale dans les Dom et Tom, à certains d'europe écologie, à ceux qui avaient des étiquettes France unie (Borlo, Tapiie, Vigouroux etc...), à des gens issus de la "société civile", à des gens de droite (soisson en 1993, Stoléru etc...) regardez 1986-1988-1993-1997-2002-2007. Vous en verrez pas mal et pas des moindres !
@ zimir
Vous me donnez raison.
@ Michel Matain
Quel est le rapport de force actuel à gauche ?
Entre le PS et le FdG ?
Entre EE et le FdG ?
Combien pensons-nous avoir d'élus vu l'actuel rapport de force ?
C'est pour cela que je parle d'aller s'immerser dans le peuple et faire converger les mouvements sociaux et politiques et les aspirations du peuple. Au final l'unité populaire et un porte parole candidat. Mais allons faire de l'éducation populaire, de l'instruction et mettons en perspectives les attentes citoyennes et le projet de république sociale.
Nous n'avons plus que cela. Là,il nous faut plus rêver. Le PS imposera sa loi gagnant ou perdant aux présidentielles il nous imposera sa loi. Alors pour être moins vassalisé alons vers le peuple, dans le peuple. Educaton populaire toute et avanti !
@Zimir
Tu as tout fait raison.
Il faut être visible, lisible, écouté, entendu et organisé en masse. Vaste boulot ! Mais la possibilité d'espérance et d'alternative sera à ce prix.
@ tous,
Arrêtez de vous prendre la tête avec les présidentielles.
8 %..non, 10 % 10 élus non 12 etc...
SVP ne rentrez pas dans ces prévisions à la Nostradamus, stoppez ces élucubrations.
La presse people ferait elle des émules ? Elle sait faire diversion.
D'ailleurs : Qui est candidat dans la vraie Gauche ? Personne
Quel est le programme intuitivement saisissable par tous ? pas encore éccrit.
D'autres sujets peuvent nous mobiliser.
@ Darthe Payan
De mémoire, il ya toujours eu compétition au premier tour entre socialistes et communistes aux législatives sauf en 2002 (je crois) dans certaines circoncriptions où pour empécher qu'au second tour on n'assiste à un duel droite-extreme-droite, l'ensemble des forces de gauche n'avait présenté qu'un candidat au premier tour.
Si tu as un seul exemple d'un député PG ou PCF élu en 2007 parce que le PS n'avait pas présenté de candidats contre lui au premier tour, n'hésite surtout pas à le donner. Des faits s'il te plait, retour au réel !
Ta position est visiblement de rompre avec le désistement au second tour en faveur du candidat de gauche le mieux placé. Si tu es au PG je pense que cette opinion n'est que personnelle et ne reflète pas les choix du PG en général et de Mélenchon en particulier qui lui a déjà appelé à voter DSK en 2012 s'il arrivait en tête de la gauche. Je suis pour le désistement à gauche mais pour le Directeur du FMI je n'en serai pas.
Darthé-Payant
Il est vrai qu'en 1967, dans quelques circonscriptions, le PC arrivé devant les socialistes au premier tour s'est désisté pour eux, notamment dans le Rhône en faveur d'Hernu...
C'était exceptionnel. Dans ta liste, je suis d'accord avec les "cadeaux" de ce type faits aux autres courants, mais à ma connaissance aucun n'a jamais été fait au PC.
Et même pour les municipales de 2008, les socialistes ont soutenu des "dissidents" face à des maires sortants PC ou proches, contrairement à ce qui était entendu au niveau national: exemple Montreuil, où Dominique Voynet a bénéficié de complicités au sein du PS pour faire écherc au maire sortant apparenté PC, Brard. D'ailleurs pour faire une politique tellement antisociale que sa majorité municipale est en cours d'implosion.
STOP !
Sans programme ==> Pas d'élections !
Inutile de parler de 2012, c'est d'aujourd'hui qu'il faut parler, c'est aujourd'hui qu'il faut "semer" ! C'est aujourd'hui que l'UMP nous étrangle !
@ydaho
Tu as raison.
Sans projet, sans programme pas d'élections ni avenir !
@Jennifer, à tous,
Quelle violence... j'ai cessé d'écrire sur ce blog il y a quelque mois... Du moins je crois ; mais quelle violence, quelle hargne, en effet, quand j'ai quitté ce blog; j'étais légèrement fâché, car je voyais bien l'animosité envers les communistes, je croyais que la fête de l'humanité était terminée, je vois qu'il n'en est rien, même jennifer, que j'ai connue bien plus pédagogues, là je me répète, qu'elle hargne..., je continuerais de vous lire régulièrement, mais bien heureusement je n'écris plus!
Bien à vous.
maxou
@274
jean ai marre
A propos des retraites Si les syndicats vont aux réunions du ministre ministre du Travail à titre consultatif et que le ministre reste campé sur ses positions à quoi sert aux syndicats de participer à cette mascarade, puisque ce que propose les syndicats ça reste tabou pour le ministre ?
Mieux vaut se retirer et descendre dans la rue car sinon pour le commun ça voudra dire qu'après participation et consultation des partenaires sociaux on reste dans le droit fil de ce qui est souhaité par l'UMP et donc ça équivaut à un camouflet pour la gauche !
D'autres part pour en revenir aux luttes dans l'état actuel de la gauche malgré la volonté des militants de changer de ligne et les supputations de telles où telle alliances on ne peut pas se dispenser d'une personnalité forte à gauche et selon mon point de vue plus et JL Mélenchon est bien parti encore un effort et le résultat est au bout.
Vive JL M le peuple est avec toi
Un pueblo unido jamás será vencidoUn peuple uni jamais sera vaincu !
Face à l'enfumage permanent des médias, une riposte s'impose et on en a quelque peu débattu ici. Blogueurs du PG et d'ailleurs, la chaîne visant à diffuser des infos que nos meRdias occultent est lancée :
Ces temps-ci, un méchant climat d'incertitude et de chaos permet aux petits soldats de la mondialisation libérale de réaliser de nouvelles réformes de régressions économiques, sociales et écologiques.
Les raisons de s'indigner sont forts nombreuses, trop d'ailleurs pour un seul blogueur. Heureusement, chaque jour des sites alternatifs et des blogs publient des informations qui "échappent" aux médias dominants comme les cinq extraits, ci-dessous :
la chaine des raisins de la colère
Et mon écho, puisque j'ai été sollicité :
Suite à une amicale sollicitation de Des Pas Perdus, blogueur comme on aimerait en voir plus, je me lance dans mon petit lot de cinq informations passées inaperçues.
Raisins de la colère : une chaîne à suivre
285
ydaho
100% d'accord et dont acte pour madame Royal qui a fait la campagne des législatives sur le thème plus de députés à gauche plus d'opposition je demande à voir...
Bonsoir à toutes et tous, post 288, à 20 h 41, je m'excuse mais la formule de politesse n'a pas fonctionné, donc bonsoir à toutes, tous,
et toutes mes excuses.
maxou
Quand l'Union Européenne s'effondre,
Quand le Titanic européen prend l'eau de toutes parts,
Le capitaine du bateau "Union Européenne" affronte le naufrage.
Le capitaine du bateau "Union Européenne" s'occupe de l'essentiel : publier un livre de poèmes japonais.
Le président permanent de l'Union européenne, le Belge Herman Van Rompuy a présenté jeudi 15 avril à Bruxelles son premier recueil de haïkus, "une forme de poésie légère" à la mode du Japon.
"La concision du haïku m'offre l'opportunité d'en revenir à l'essentiel de la parole en disant bien des choses en si peu d'espace et dans un langage non sophistiqué", a expliqué M. Van Rompuy devant un aréopage réuni dans un salon de la chambre belge des députés et où se remarquait l'ambassadeur du Japon auprès de l'Union Européenne, M. Nobutake Odano.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jw9EgVFUOBzVBBFSxZbnLvnrqwgQ
Cette photo me fait trop rire ! C'est une photo historique, dans un moment historique :
http://www.google.com/hostednews/afp/slideshow/ALeqM5jw9EgVFUOBzVBBFSxZbnLvnrqwgQ?index=0&ned=fr
Comme quoi, ils n'ont pas trop de boulot...
@ zimir ? Royal rassemble un "vaste éventail" qui va de la droite a la gauche... sociaux démocrates.. Il faut rassembler ce qui est a gauche.. C'est pour cela que Mélenchon a créé le P.G. il me semble ?...
http://www.urgence-gaza.com/
Maxou
Vraiment contente de te lire. Oui j'ai de la colère contre le PCF. J'ai l'impression vraiment qu'ils nous maltraitent sans cesse et se fichent de nous. Je n'y peux rien, c'est ce que je ressens. Désolée. Enfin je veux dire les directions et ceux qui suivent de toute façon la direction. Bien sûr à la base, tout le monde n'est pas comme cela, heureusement. J'aimerais bien savoir ce que tu en penses.
En tout cas, j'espère que tu vas bien, et je suis vraiment navrée de ne plus te lire. Pourquoi tu n'écris plus. Tu t'occupais d'un blog local, as tu dit?
Allez, grosses bises et portes toi bien
Jennifer