30avr 10
C e jour premier mai je suis dans la rue comme vous. Le matin à Arras, où je vais solder mon absence à un meeting pendant la campagne dont j’avais été absent en raison de l’enterrement d’un très proche. Puis en début d’après midi, je suis sur le pavé parisien au point fixe du Front de gauche. On y sera tous ! Dommage que le PCF n’ait pas voulu qu’on fasse un tract commun ! C’est ballot ! On va se retrouver à distribuer des papiers qui disent la même chose chacun de son côté. A la fin on partira en cortège et sans doute que beaucoup de copains qui manifestent avec leur syndicat feront une deuxième fois le parcours avec nous. En tous cas on l’espère pour faire bonne figure et montrer que nous sommes tous bien sur la même longueur d’onde ! Dans cette note je reviens rapidement sur la Grèce et l’Union européenne.
On se souvient que voici deux jours nous étions rassemblés devant le siège de la ligue des banques françaises. De bons reportages sont passés sur les antennes radios sur ce sujet. Le lendemain, Europe, France info et France 3 nous donnaient encore la parole sur le thème. Seul le service politique de France 2 n’a rien dit rien vu rien fait. Ah si ! Une interview de Cohn Bendit ! Sacré Arlette ! Méchante jusqu’à être stupide ! Oublions ! Car nous avons eu un joli moment de plaisir en recevant de nos amis un journal Bolivien qui utilise une photo de notre rassemblement pour illustrer les réactions en Europe ! Nouveau moment de fierté : à Bruxelles cette fois ci ! La poignée de camarades du Parti de Gauche qui y travaille a tenu un rassemblement contre l’humiliation du peuple grec. C’est la présidente de notre commission internationale, Céline Menesses qui a pris l’initiative. Pour les camarades il fallait marquer le coup là où s’est noué le désastre, c'est-à-dire au cœur de l’union européenne ! Voici son courrier expédié sitôt l’opération achevée. « Salut et fraternité ! Ce vendredi midi, à Bruxelles, pas moins de 10 mouvements de l'autre gauche européenne (Synaspismos, KKE, Die Linke, Izquierda Unida, Bloco de Esquerda, Parti Ecolo, PCWB, UAG, SP. A Rood, PCF) avaient tenus a se déclarer solidaires de l'appel du Parti de Gauche pour manifester la solidarité avec le peuple grec contre le vampirisme banquier. Certes nous n’étions guère nombreux. Une trentaine. Et alors ? J’espère bien que partout chacun en fasse autant chaque fois que c’est possible. Il faut agir. Le pire serait de donner le sentiment de se résigner.
Donc, là, plantés devant la Fédération européenne des banques, symbole des profits indécents réalisés par les banquiers sur le dos des peuples, nous avons fait à une trentaine autant de bruit qu'à 200. "Solidarité avec le peuple grec, à bas les banquiers pourris" ou encore "banquiers profiteurs, Union européenne complice" étaient nos mots d'ordre. Pas de discours, juste quelques slogans pour "marquer le coup", et un grand sentiment de fierté et de révolte. D’abord la fierté d'être là ensemble malgré des délais d'organisation très courts. Ensuite la fierté de dire qu'il ne faut pas céder au mépris ambiant envers nos frères grecs et l’honneur d’avoir clamé que le danger pour les peuples européens ce ne sont pas les grecs mais les spéculateurs. Et aussi révolte ! D’abord révolte contre le Traité de Lisbonne qui interdit à la BCE de prêter aux Etats ! Nous dénonçons les banques qui en profitent honteusement et augmentent leurs taux d'intérêts sur les emprunts grecs ! Révolte ensuite face aux réductions de salaires et à la hausse de la TVA imposés par le FMI au peuple grec. Tout cela nous l’avons exprimé avec d’autant plus de force que la dette grecque n'a rien d'insurmontable si l'on veut s'en donner les moyens. Elle s'élève à 300 milliards. 300 milliards c'est 0,6% de la dette publique mondiale. Pour comparaison la dette de l'Allemagne dépasse les 1000 milliards tout comme celle de la France ! Quant à celle des Etats Unis elle est de 12000 milliards ! C'est moins que les 420 milliards qu'on obtiendrait en prélevant 3% de la fortune des ultras riches qui sont 1,5% de la population mondiale. C'est moins de deux pour cent des richesses produites au sein de l'Union européenne. Et on voudrait nous faire croire que la clé est dans l'appauvrissement des peuples qui produisent les richesses et pas dans leur répartition? Non décidément, on ne nous la fera pas! Et nous serons présents dans les rues, à Paris comme à Bruxelles, le 5 Mai prochain pour réclamer aux banques ce qui revient aux peuples! Céline. »
Puisque le sujet est sur la Grèce et l’Europe, comme vous le savez j’ai été invité sur plusieurs média pour en parler. Je veux souligner l’intérêt de l’entretien avec Jean-Marie Cavada sur France info. En effet quoique de bord bien opposé à moi, comme on le sait, Jean-Marie Cavada, m’a donné raison à propos de la façon d’éteindre l’incendie grec avec le gros bâton du prêt direct fait par la Banque Centrale Européenne (BCE) au pays agressé par la spéculation au taux européen de 1%. J’ai justifié cette mesure par l’état d’urgence. Pour autant vous ne devez pas croire que cela soit conforme au traité de Lisbonne. En effet l’article 123 du Traité de Fonctionnement de l’Union Européenne dispose qu’il « est interdit à
Le lecteur attentif aura repéré toutes les restrictions que le texte comporte. Faut pas rêver ! Mais le texte explique quand même le pourquoi d’un certain acharnement à dénoncer la responsabilité de tricheurs grecs qui se seraient mis eux mêmes dans la mouise du fait de leur fainéantise et trucage de compte. Il s’agit de bien souligner que dans le cas que connait la Grèce, il ne s’agit pas « d’évènements exceptionnel échappant à son contrôle » qui justifierait des mesures de solidarité autre que l’actuel proposition de prêt honteux que les Etats européens vont consentir moyennant rémunération ! La Commission européenne et les gouvernements des États membres de la zone euro considèrent aujourd’hui que
Cherchez la moindre explication à ce sujet auprès des grands esprits du Parti socialiste européen et du Parti français de martien Aubry et des autres eurolâtres ! Vous n’en trouverez pas. Au contraire ! Car ce bon à rien de Papandréou, président de l’internationale socialiste et premier ministre a lui-même dénoncé son peuple et l’a accusé de s’être enrichi dans le farniente avec les aides de l’Europe ! Vous voile prévenus ! Si la France est attaquée, les socialistes ne seront pas les derniers à enfoncer la tête du peuple dans l’eau comme le font leurs congénères dans toute l’Europe et notamment en Espagne et au Portugal ! N’ont-ils pas déjà trahis tout le monde dès qu’il est question de respecter le traité de Lisbonne, en le faisant adopter au Parlement français puis en racontant leur sornette sur « l’Europe qui protège » pendant toute la campagne électorale, puis en faisant élire Barroso ?
J’avais oublié l’ambiance d’arrogance de ce parlement européen. Mardi de cette semaine, tandis que toute l’Europe réelle vivait au rythme de la crise Grecque, la commission internationale du parlement européen, dissertait sur l’adhésion de l’Albanie et sur un texte sur l’union de la méditerranée ! On écoute donc la délégation de l’Albanie qui postule pour adhérer à l’Union Européenne. A la tribune le ministre albanais. Ce qu’est en réalité l’Albanie aujourd’hui pour les maffias de toutes sortes ne sera pas évoqué ici. Onctueux et patient le ministre reste impassible sous les coups. Car ici, ca y va. Le rapporteur « fictif » personnage improbable, typique de ce parlement lui-même également semi fictif, s’est bien lâché. Il a « fait son commentaire », « souligné les points saillants » et ainsi de suite. C'est-à-dire qu’il y a eu d’abord une série de phrases mielleuses de félicitations paternalistes à propos des « progrès réalisés » par le gouvernement albanais. Puis il y a eu pluies acides d’injonctions libérales sur le ton pédant et arrogant qui fait le charme de cet endroit. Tous les orateurs agissent de même. Compliments prétentieux et leçons de libéralisme. On invoque volontiers la Grèce, pour en menacer les autres et notamment les albanais. Le rapporteur fictif se permet même de demander si c’est raisonnable de la part du gouvernement albanais de refuser l’intervention du FMI. Tel quel !
Voila le dialogue avec un pays qui demande son adhésion. Mais peut-on attendre autre chose de ce coupe gorge nommé Union Européenne ? N’oublions pas aussi de mentionner l’habituel rappel du passé stalinien – et l’Albanie maoïste était en effet particulièrement gratinée - et ainsi de suite qui sert ensuite à justifier la dictature des marchés qui apportent démocratie, paix, développement et joie pure. Ces foutaises sonnent plus glauque que jamais dans l’ambiance de la crise grecque ! Je pourrai dire que j’ai vu cette bande d’illuminés continuer à mouliner leurs sottises criminelles comme un canard sans tête tandis que j’ai sous les yeux les manchettes de mes journaux qui clament leur trouille de la déroute grecque ! De toute façon cette matinée va être délicieuse. D’abord un rapport sur les doits de l’homme et la défense de ceux qui luttent en leur faveur. Foutaise dans l’unique parlement qui n’a pas condamné le coup d’état au Honduras ! Pantomime accomplie quand on sait que la dite union européenne invite le nouveau « président » hondurien au sommet Amérique latine Europe. Il est vrai que cette marionnette vient signer un de ses accords de libre échange bilatéral avec lesquels l’union européenne fait ce qu’elle peut pour disloquer les organisations de coopération économique de la zone latino avec plus d’efficacité que l’impérialisme étatsunien. « L’Europe qui protège » exporte son venin ultra libéral sous toutes les latitudes ! Et ce n’est pas fini.
Venait aussi en débat un rapport sur « l’union de la méditerranée », présenté par un socialiste français. Naturellement tout le monde s’en moque en France. Erreur, car il s’agit de nuire à nos voisins magrébins. La collection de vœux pieux que contient le texte est toute entière dissoute dans un amendement qui prévoit la constitution d’une zone de libre échange euro méditerranée ! Fermez le ban. Les socialistes français votent en bloc l’amendement qui institue la dite zone de libre échange ainsi que le rapport qui contient cette merveille et quelques autres du même acabit. Cela seul en dit long sur le vote unanime du conseil national de ce grand parti qui s’est prononcé pour des « écluses sociales et écologiques » aux portes de l’Europe ! Nous avons émis une petite centaine de vote en une heure. En petite foulée. A quatorze heures je remonte dans le train pour Paris. Je lis « le soir », journal belge.
Me revoici plongé dans la crise du royaume des wallons et des flamands. Les flamands sont remontés à bloc dans le communautarisme. Les wallons sont perclus d’argumentaires subtils et assez largement incompréhensibles sans une formation approfondie. J’ai déjà écrit là-dessus. Je me reproche d’avoir donné à mon rattachisme de cœur un côté inconditionnel et réjoui qui ne tient pas compte du respect du a l’intangibilité des frontières en Europe. Bref, pas touche à l’unité de la Belgique ! Mais si les flamands cassent le royaume, soit qu’ils s’en séparent, soit qu’ils augmentent les humiliations pour les wallons, il est vrai que c’est un autre jour qui commencera, qu’on le veuille ou non. Et ce jour semble s’approcher si j’en crois ce que je lis dans la presse belge.
Un certain humour de l’histoire va nous confronter aux conséquences pour tous de la crise nationale belge. En effet c’est le tour de ce pays de présider l’union pour six mois. L’union va être présidée par l’état le plus en crise d’identité des vingt sept. Et cela au moment de la pire crise économique et financière européenne ! Et voici la cerise sur le gâteau : nous aurons, en même temps, non pas un mais deux présidents belge pour l’Europe ! Le président tournant et le président fixe, ce malheureux Van Rompuy, petit génie dont le départ à ce poste est une des causes de la pagaille belge, si l’on en croit le flot de compliment dont il fut entouré pour nous le vendre à la tête de l’Union. Le néant belge sera contagieux, n’en doutons pas, si ces deux là sont responsables de tirer l’union du pétrin où les merveilles libérales et anti nationale dont ils ont été les chantres l’a plongée. Il semble bien qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion à cette heure.
Jean-Luc Mélenchon dit :
"Si la France est attaquée, les socialistes ne seront pas les derniers à enfoncer la tête du peuple dans l’eau comme le font leurs congénères dans toute l’Europe et notamment en Espagne et au Portugal ! N’ont-ils pas déjà trahis tout le monde dès qu’il est question de respecter le traité de Lisbonne, en le faisant adopter au Parlement français puis en racontant leur sornette sur « l’Europe qui protège » pendant toute la campagne électorale, puis en faisant élire Barroso ?"
Ça n'en empêche pas certains d'appeler à voter pour ces gens là. Pour battre la droite, blablablabla....
Vive le premier mai ! solidarité entre les peuples et solidarité avec le peuple grec !
Les spéculateurs banquiers nous saignent et à cela une seule réponse : union des travailleurs de toute conditions, union avec un Front de Gauche renforcé comme mouvement fédérateur de la gauche, union syndicale pour un mouvement fort capable de vaincre un patronat de plus en plus agressif. Il faut arrêter la politique à la petite semaine.
Bravo à Jean-Luc Mélenchon et au PG !
Pardon, repiquage du fil précédent.
’est dans Répubblica.it. Je vous ai traduit ça volontiers.
Lire et réagir.
L’accélération de la situation et le pressing des partenaires européens et des Usa de Barak Obama ont donc convaincu l’Allemagne, première puissance du continent, de dépasser doutes et rôle de frein. « L’UE est une communauté de destin, même dans les moments difficiles, a fait remarquer Schaeuble. Et s’il y a un accord avec le Fmi, la Bce et la Commission, je n’ai aucune raison de douter que la Grèce le mettra en œuvre. Les premières mesures d’austérité ont été approuvé par le Parlement grec en seulement deux jours. Il nous en faudra sept, apprenons à parler avec respect de nos partenaires, a-t-il ajouté, en critiquant durement les eurosceptiques du monde politique et des médias allemands qui grondent en demandant de « ne pas donner un centimes d’euro à ces gaspilleurs de Grecs. »
Le marathon des négociations sera à couper le souffle. Encouragé par les appels désespéré du Premier Ministre Grec, le leader socialiste George Papandreaou, à son pays et à l’Europe ; « Notre souveraineté nationale est en jeu. » Dimanche, si les négociations se concluent par un accord sur les aides et sur les dures mesures d’austérité en Grèce, le président de l’Eurogroupe, Jean Claude Juncker, le doyen de la politique luxembourgeoise e élève préféré de Helmut Kohl, convoquera une conférence, peut-être même une téléconférence, des ministres de l’économie et des finances. A la même heure à Berlin, Schaeuble prendra probablement contact avec l’administrateur de la Deutsche Bank, le très puissant Josef ‘Joè Ackermann, e avec les autres grands banquiers allemands. Lundi le gouvernement Merkel se réunira en séance extraordinaire pour publier le décret de loi, et la même chose se passera dans les autres capitales. « L’entente franco-allemande est total », assure de Pékin le président français, Nicolas Sarkozy.
Ce sera ensuite le tour des Parlements ; à Berlin, Rome et ailleurs. Dans le cas allemand, Mme Merkel et Shaeuble, une fois obtenue l’assurance du oui de ses groupes parlementaires à l’excepton de Die Linke (gauche radicale), soumettront le décret de loi au vote du Bundestag (Chambre basse, celle qui est décisionnelle). Le chef d’Etat, Hors Koehlher, pourra alors signer le décret avant les élections dans le Rhein Nord-Wetsfalie. Le 10, les élections gagnées ou perdues peut-être, Angela Merkel ira à Bruxelles au sommet des leaders de l’Eurogroupe. « Nous voulons sauver la stabilité de l’euro, e expliquer à tous, même aux Allemands, que le projet européen est dans l’intérêt de tous, et que de l’euro, de l’UE et de son intégration, l’Allemagne n’a fait que gagner » a averti le ministre des finances. (suite prochain post)
Suite de l’article de la Repubblica (30 avril 2010 – Article complet d’Andrea Tarquini.
… C’est également au nom de la monnaie unique, a-t-il expliqué, qu’on ne parle pas de restructuration ou de rééchelonnement de la dette grecque. L’objectif commun, grecque et européen, devra être l’assainissement des comptes grecques, le retour d’Athènes à la solvabilité, e d’une Grèce compétitive économiquement dans le contexte de l’UE.
Fascinant, on le savait, mais le saint Empire romain germanique et le IVe Reich flotte ûber alles.
Les banquiers allemands se réunissent, convoquent les chefs d’Etat, qui votent des décrets de lois, leurs ministres des finances préparent les dossiers, c’est voté. Et tout ira pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Les socialistes acquiescent et votent avec un grand sens des responsabilités.
Seul drapeau de la résistance : Die Linke !
E finita la commedia, tous unis très à gauche.
Sinon ce sera vol au dessus d’un nid de coucou.
Jean-Luc Mélenchon sur France Info:
http://www.france-info.com/chroniques-debats-matin-2010-04-29-l-europe-est-elle-impuissante-435696-81-189.html
A demain, tous !
Bonne nuit à tous
Mais un peu d'huile de foie de morue avant de fermer les paupières
C'est dans le Parisien...
"François Fillon a semblé préparer les esprits à une réforme douloureuse des retraites en l'érigeant au rang d'indicateur économique susceptible de donner des gages aux marchés sur sa détermination à contenir les dépenses.
En déplacement en Seine-Saint-Denis jeudi, le Premier ministre a plaidé pour une "harmonisation progressive" des politiques économiques et sociales des pays de la zone euro, afin de renforcer la monnaie unique et éviter les attaques dont elle est l'objet, comme en Grèce.
"On ne peut pas avoir la même monnaie et travailler 42 heures dans un pays et 35 ou 37 dans l'autre. On ne peut pas avoir la même monnaie et partir à la retraite à 67 ans dans un pays et à 56 ou 57 dans un autre. Ca ne tiendra pas très longtemps. Ou alors il faut accepter que notre monnaie commune soit menacée", a-t-il ajouté.
C'était la première fois que le gouvernement mettait ouvertement sur le même plan choix sociaux et dette.
Et vendredi, Alain Minc, conseiller de Nicolas Sarkozy a dit les choses encore plus clairement sur RTL: "l'affaire des retraites est plus lourde que le problème du déficit de l'Etat" car "c'est un signe envoyé aux marchés financiers".
"Aujourd'hui, la politique économique française est accrochée à un principe: ne pas perdre le triple A que nous donnent les agences de notation et, de ce point de vue, la réforme des retraites est clé, plus clé encore que les affaires budgétaires", a-t-il ajouté.
A plusieurs reprises, le président a eu l'occasion de répéter combien cette notation était importante, car elle détermine la valeur de la signature d'un pays et donc les taux auxquels ils peuvent emprunter sur le marché."
@ Jean-Luc Mélenchon
@ Tous
Maintenant, il ne faut plus tergiverser !
Qu'attendons-nous que la France soit frappée et qu'un plan d'austérité soit mis en place et mattaque nos concitoyens. Ce sera trop tard !
Il nous faut mettre en perspective la sortie de notre pays de l'Union Européenne, des traités successifs, de la BCE, du Grand Marché Transatlantique (pourquoi plus personne n'en parle du GMT ? Oui Pourquoi ?), de l'OMC et du FMI. Nous devons l'écrire noir sur blanc dans nos projets et textes. Nous devons le dire, le clamer haut et fort ! Sortons de l'Europe, que la France retrouve souveraineté et indépendance.
Il nous faut aussi mettre en perspective la réappropriation collective et sociale de l'économie et des marchés avec en priorité, la monnaie, le crédit, la banque de France, les banques, les assurances et les services publics.
Nous devons être de nouveau la nation révolutionnaire qui ouvrit comme en 1789 puis en 1792 puis de nouveau en 1793 et en 1848, l'ère nouvelle des peuples citoyens et souverains et du respect de notre pays et de l'universalité des Lumières qu'il portait. Nous devons être le pays qui renverse l'Union Européen et qui remet au centre les Etats nations et les peuples.
Continuer à dénoncer les consèquences désastreuses des mesures d'austérité, de rationnement imposées à la Grèce par le FMI et la Commission de Bruxelles et les mesures d'austérité, de rationnement imposées par le gouvernement grec à son propre peuple sans exiger le retrait de notre pays de l'Union Européenne et le retour de la souveraineté du politique, du citoyen, de la nation dans l'économie et le crédit c'est vraiement du FOUTAGE DE GUEULE ! Combien de temps pourrons nous tenir dans cette position de double langage ? Le PS ou les Ecolos libertariens sainte Eglise du dieu nature feront ce qui voudront. Mais nous PG, front de gauche pouvons nous continuer à avoir cette "double vie" à terme nous finirons pas ne plus être crédible;
En Républicain socialiste jacobin consèquent, je pointerais ce double langage et aussi je mets dès maintenant au clair les choses. Oui il faut sortir de l'union européenne, retrouver sa pleine souveraineté,réapproprier l'économie, la monnaie et les marchés et lancer un vaste programme de reindustrialisation et de "reagricolisation" de notre pays.
L'intérêt général de notre pays républicain et son devenir est à ce prix !
« L’homme est né pour le bonheur et pour la liberté et partout il est esclave et malheureux ! La
société a pour but la conservation de ses droits et la perfection de son être ; et partout la société le
dégrade et l’opprime ! Le temps est arrivé de le rappeler à ses véritables destinées ».. (Robespierre
– 10 mai 1793 à la Convention).
Par référendum, le peuple a rejeté le Traité de constitution européenne. Le peuple souverain ordonne, le politique obéit. Le parlement européen est illégitime, ses paroles, ses actes sont nuls et non-avenus.
À toutes les élections, à tous les référendums, le MANDAT IMPÉRATIF !
Cambadélis et Hamon ne sont pas d'accord sur l'attitude à adopter face à la crise grecque. Hamon dénonce les déclarations de Lagarde tandis que Cambadélis manifeste son soutien à Papandréou, en affirmant que "c'est un honneur pour un socialiste de redresser son pays". On se demande alors ce que ferait vraiment le PS dans la même situation. Ah tiens, une coquille: "le Parti Français de martien Aubry".
@D&P post 8 : tu dis Continuer à dénoncer les consèquences désastreuses des mesures d’austérité, de rationnement imposées à la Grèce par le FMI et la Commission de Bruxelles et les mesures d’austérité, de rationnement imposées par le gouvernement grec à son propre peuple sans exiger le retrait de notre pays de l’Union Européenne et le retour de la souveraineté du politique, du citoyen, de la nation dans l’économie et le crédit c’est vraiement du FOUTAGE DE GUEULE ! Combien de temps pourrons nous tenir dans cette position de double langage ? Le PS ou les Ecolos libertariens sainte Eglise du dieu nature feront ce qui voudront. Mais nous PG, front de gauche pouvons nous continuer à avoir cette « double vie » à terme nous finirons pas ne plus être crédible
Personnellement, je suis plutôt sur la ligne de Sapir, à savoir sur le court terme, envisager des mesures unilatérales allant dans le sens de la reconquête de la souveraineté nationale et populaire (comme une forme de protectionnisme basé sur des taxes aux frontières sur des critères sociaux et environnementaux, dont le produit subventionnerait nos exportations, afin de rendre la monnaie de la pièce aux dirigeants allemands, et au changement du statut de la Banque de France, pour commencer) et voir déjà si ça impulserait un ébranlement au niveau continental. Il est évident que s'il n'y a pas de changement, il faut clairement annoncer la couleur : programmation de la sortie de l'euro et de l'UE.
Bien évidemment, cela ne nous décharge pas du travail sur le long terme, à savoir les perspectives industrielles pour la pérennisation dans la création de richesses, qui elles seulent peuvent permettre le financement d'une ambitieuse politique sociale, au delà de la question de la redistribution, qui si elle est essentielle, ne suffit pas dans un programme politique.
Mais il me semble évident que les déclarations de Jean-Luc Mélenchon sont trop évasives, malgré l'estime que je lui porte, les tonnitruants "A la place de Papandréou, JE laisserai pas faire !" "JE rendrai coup pour coup" et autres, même si je suis sûre qu'elles sont sincères, ne servent à rien tant qu'il ne précise pas ce qu'il compte faire concrètement (mis à part afficher son mauvais caractère derrière la porte du bureau où Mère-kel, DéèsseKa et Triche-haie conspirent). Il serait dommage pour Jean-Luc Mélenchon qu'il ne saisisse pas le "moment politique" en comprenant que la prétendue "union" européenne est morte, et qu'il faille devancer les conséquences de son démantelement.
Comme l'a dit Généreux au rassemblement pour les grecs, ce qui se passe est le fonctionnement NORMAL de l'UE, ce n'est pas une anomalie à corriger.
Etre Acteur de l'Histoire et non son Objet. Redonner à la France un rôle révolutionnaire par des manoeuvres unilatérales de retournement de l'Europe. Voilà ce qu'il faut ambitionner.
Félicitations, Jean-Luc, pour votre prestation à Arrêt sur Images face à Touati : vous avez été brillant! Les commentaires sur le forum montrent que vos arguments sont bien reçus.
Il y a quelque chose à creuser derrière la notion d'urgence.
Autrement dit derrière les difficultés ou une menace sérieuse de graves difficultés, en raison de catastrophes naturelles ou d'événements exceptionnels échappant à son contrôle,
C'est derrière la notion d'urgence que Berlusconi et sa clique de théoriciens du Choc, sont allés pécher un secrétaire d'Etat à la Sûreté civile que l'on a détaché de la démocratie parlementaire en lui confiant une Société de droit privé, chargée de voler au secours des victimes de tremblements de terre, d'éruptions volcaniques, de glissements de terrain et bien sûr des dégâts causés par une éventuelle révolution.
Semi-privatisée, cette simili SA se passe de démocratie pour intervenir. Y compris quand il s'agit de bâtir pour les Olympiades, d'organiser des symposiums avec le Vatican ou des pince-fesses princiers. Fondée en 2001, les premiers scandales ont été mis en évidence par la Répubblica et l'Espresso, deux survivants de la presse indépendante..
Où je veux en venir. L'urgence pourrait être un argument pour notre programme et nos actions.
Lorsque la terre tremble en France, lorsque Xinthia frappe en Vendée, lorsque une tempête balaie des centaines d'habitations, on applique le plan Orsec et la Sécurité civile applique des procédures locales, régionales et nationales, avant de demander de l'aide.
La piste serait de préparer un stratégie démocratique et populaire pour lutter, sans se soucier de la machinerie UE. Pour se détacher des règles de Maastricht/Lisbonne. En démontrant qu'un tiers des foyers est victime de l'éruption des subprimes, du volcan du profit et du glissement de terrain de la démocratie.
Pour cela, il faut affirmer haut et fort que l'état de "tsunami social" programmé par un véritable "Occupant" : la finance internationale et le 1,5% de milliardaires devenus fous, des apatrides parfois munis d'un passeport français. Cet Occupant est mieux organisé que les Légions romaines avec son architecture BM-OMC-FMI-UE-OTAN. Il a des informateurs partout. Un outil de propagande à la botte, les médias. Et une armée d'informateurs, de traîtres et de kapos. Son ennemi est "nous", les peuples, la populace, les populations, tout ce qui fait la statistique et les opinions. Une guerre totale à la Clausewitz, avec les ruses de Sun Tsé.
Je sais, c'est une eau forte, une fresque sans nuances.
Pourtant elle est proche de la vérité.
Appelez à l'état d'urgence populaire. Réunir un Parlement du Peuple. Editer une kyrielle de "Père Duchêne". Réunir des Etats Généraux impressionnants. Dans un lieu hautement symbolique. Pourquoi pas à Poitiers, puisque les imbéciles croient encore que c'est là que fut sauvée l'Europe il y a1400 ans. Ou place de la Bastille. Sur rives du Rhin, à égale distance de Strasbourg et de Bruxelles.
Une sorte de camp du drap rouge. En invitant toutes les...
(Suite de 13)
... En invitant toutes les gauches du monde.
Les Bolivariens en tête. Avec les syndicats. Dario Fo, Stiglietz, Vaneigem, tout ce qui pense et crée.
Un Woodstock de la dernière chance des peuples.
Un Woodstock philosophique et social.
Tout ça d'un bloc. Un cri du coeur. Sans amendements.
Et vous, qu'en pensez vous ?
@ 8 - Darthé-Payan
les Ecolos libertariens sainte Eglise du dieu nature
Allez vlan, une division artificielle de plus...
Tu fais chier, ça deviens un tic chez toi.
Tu t'imagines qu'en le répétant à satiété ça va devenir une vérité ?
Bonne fête du Travail à tous ! Défilez bien !
@Webmestre (188) fil précédent. A propos de Clémentine Autain.
A vous lire ce matin je comprends que des insanités, que vous avez eu la sagesse d'effacer, ont été dites à l'encontre de Clémentine Autain.
Je suis d'autant pus choqué à l'idée qu'il y a eu des posts infamants que c'est moi qui involontairement les ai provoqués en incitant les participants de ce blog a aller faire un tour sur celui de Clémentine Autain.
Ma démarche n'avait d'autre but que de saluer une amie très activement engagée dans une politique de gauche et qui nous annonce qu'elle vient d'être maman.
J'imagine assez bien ce qu'on pu écrire quelques beaufs machistes et très peu couillus qui sévissent ici. Qu'ils soient maudits.
Enfin, les réactions sont à la mesure des enjeux, des réalités, fini l'état de dormance!
Jaillissements de propositions qu'il faut porter, diffuser sans se préoccuper d'alliés, ils viendront quand ils verront le bien fondé et l'effet boule de neige!
La Gauche, c'est le Parti de Gauche!
Mais sachons raison garder et pas de mépris pour les "moins intellos", les "plus natures", de la modestie, des convictions, des savoirs et l'alchimie en ce 01/05/10 devrait prendre!
Pour la Belgique. Le véritable enjeux (économique bien sur) est la capitale (Bruxelles) que les Flamands convoitent depuis fort longtemps. Les Wallons s'en foutaient jusqu'il y a quelques années.
Bruxelles, bilingue, est encerclée par des provinces flamandes.
Economiquement, les Flamands dominaient et les Wallons, presque en faillite, ont été obligés d'accepter des compromis. (ici, je ne vous imposerai pas un récapitulatif historique qui prendrait plusieurs pages...)
Mais aujourd'hui, la situation économique a évolué : Flamands et Wallons sont logés à la même enseigne.
Les citoyens n'en ont rien à faire de cette lutte absurde vu la situation de crise !
Sauf les Partis extrémistes "flamingants" bien sur.
Il y avait une date butoir où certaines décisions (de frontière linguistique pour faire court) devaient être prises; mais au lieux de repousser cette échéance, les Partis ont préféré plonger la Belgique dans le chaos.
Irresponsables !
Mais à la clef des élections anticipées que le Vlams Belang (Parti extrémiste "flamingant") espère remporter et mettre Bruxelles entre leurs mains.
Jean-Luc Mélenchon dit :'Et cela au moment de la pire crise économique et financière européenne !... Il semble bien qu’il n’y a plus de pilote dans l’avion à cette heure"".
Les pilotes sont là : ce sont les financiers représentés par les banques et ils demandent des garanties que les états européens vont leur fournir (emprunt auprès des banques et prêt à la Grèce)..
On ne peut parler de crise pour les plus riches; ils se portent de mieux en mieux.
Après, les gouvernements se saisirront de ce dernier prétexte pour démanteler un peu plus les retraites et les services publics..
Moi je crois qu'on est foutus.
Les intérêts financiers sont trop énormes pour qu'on nous laisse agir.
Il y a trop de moutons dans notre pays, ils suivront aveuglément les dirigeants.
L'armée sera là pour calmer les émeutes, on écartera discrètement ceux qui tentent de faire changer la situation.
Vous savez vers quoi on va?
Une DICTATURE, le retour à la féodalité.
Il y aura deux frances: une france sociale, une france profiteuse ne cherchant que le profit.
@Pierre L (#1)
Ça n’en empêche pas certains d’ appeler à voter pour ces gens là. Pour battre la droite, blablablabla….
Très bonne remarque. Il faudrait peut-être travailler sérieusement sur cette question des rapports avec le PS, en partant d’une base réaliste. Soit on décide qu’on peut faire sans, mais alors il faut expliquer clairement comment, soit on explique comment faire avec. Mais on ne peut pas continuer à expliquer que PS et droite c’est blanc bonnet et bonnet blanc les mois sans « R » pour ensuite expliquer que le PS est mieux que la droite et qu’il faut donc voter pour lui le reste du temps.
Si l’on n’arrive pas à choisir, c’est à mon avis parce qu’on se trompe dans l’analyse. Dans notre pays, la « vraie » ligne de partage en termes politiques ne passe pas entre « la gauche » et « la droite », mais entre Jacobins et Girondins. La gauche républicaine est beaucoup plus proche de la droite idem (autorité de l’Etat face aux « notables », qu’ils soient régionaux ou d’argent, défense de la souveraineté nationale, volontarisme économique, politique industrielle), et de la même manière la gauche girondine et la droite girondine convergent dans le « centrisme » (individualiste, libéral dans tous les sens du terme, localiste, communautariste et « notabiliaire », sensible à tout ce qui est « sociétal »…).
C’est le langage des uns et des autres qui occulte partiellement ces convergences. Si l’on écoute Bayrou et Besancenot, par exemple, on pourrait croire qu’ils n’ont rien en commun. Et pourtant, si on laisse de côté les langages totalement différents du MODEM et du NPA et qu’on se concentre sur leur vision de la politique, on découvre beaucoup plus de convergences qu’entre le MRC et le NPA, par exemple: la même méfiance envers l’Etat et la même confiance dans la décentralisation et l’initiative « locale », le même intérêt pour le « sociétal » par dessus les questions économiques, le même fonctionnement par « notables »…
C’est pourquoi malgré toutes les tentatives bien ou mal intentionnées, « l’unité de la gauche radicale » ne peut être autre chose qu’une position tactique. Une unité profonde est impossible parce que la « gauche radicale » est traversée elle aussi par cette ligne de division fondamentale.
La "réforme" des retraites n'est qu'un gage donné aux "marchés" ou plus exactement aux spéculateurs!
Les socialistes et notamment DSK qui a une culture économique devraient savoir comme toutes les élites néolibérales, européistes et mondialisées devraient savoir que la déflation à la façon de Laval en 1935 échoue faute d'une dévaluation de combat (30%). Ces dogmes ne font qu'aggraver la crise et conduire à la mort de l'euro faute de la lucidité nécéssaire de le transformer de monnaie unique en monnaie commune poir retrouver de la souplesse de fonctionnement à des économies toujours très divergentes malgré ce carcan nommé euro censé faire converger ces économies. L'aveuglement et l'autisme non seulement du PS mais aussi de toutes les élites de tous les pays européens (ce pauvre Papandreou en est un exemple!) va nous conduire à une crise politique majeure.
Comme l'on disait il y a plus de 40 ans : une seule solution, la révolution! La différence est que les "révolutionnaires "comme Cohn-Bendit est du côté du pouvoir et des privilègiés !
Il existe des solutions comme les propositions de Jacques Sapir les énonce régulièrement notamment sur Marianne2.fr. Il fait partie des économistes hétérodoxes qui ont appellé à voter pour le Front de Gauche voir conseillé JLM!
Actualités afghanes
Désolée, mais la crise grecque ne doit pas masquer les réalités d’une guerre impitoyable menée par l’OTAN.
a) Reconnaissance officielle d’une bavure française commise il y a trois semaines : 4 adolescents tués, un grièvement blessé par le tir d’un missile Milan. Il s’agit d’un fâcheux concours de circonstances, paraît-il.
http://www.metrofrance.com/info/bavure-francaise-en-afghanistan-4-civils-tues-et-quelques-regrets/mjdD!e629yaXRIFECQ/
b) Rebelote vendredi dernier: des soldats de l’OTAN ont tiré sur une voiture, tuant deux femmes et une jeune fille, et blessant une autre femme.
Nombre de civils tués en 2009 : 2412, en hausse de 14% par rapport à 2008 (pas nécessairement par l’OTAN)
Voir le Parisien du 30 avril.
Soldats de l’OTAN tués en Afghanistan : nouveau tué jeudi, le 172e depuis le début de l’année. (Figaro de vendredi).
Pas d’issue à cette guerre, déclare le NPA dans le JDD.
Rappelons que depuis le début de la guerre, 1738 soldats de l’OTAN ont perdu la vie, selon Information Clearing House
La Grèce pourrait rester pendant 10 ans sous contrôle du FMI.
La Grèce, qui devrait accepter dès dimanche un accord sur un plan de sauvetage international pour sortir de sa crise financière, pourrait rester pendant 10 ans sous contrôle du Fonds monétaire international (FMI), selon le magazine allemand Spiegel.
Le FMI, qui négocie actuellement aux côtés des Européens les conditions d'austérité imposées à Athènes en échange d'une aide massive, "se prépare à rester 10 ans dans le pays, jusqu'à ce que les réformes économiques soient réalisées et portent leurs fruits", selon le magazine à paraître lundi 3 mai, qui ne cite pas ses sources.
L'accord en vue prévoit des prêts de la zone euro et du FMI atteignant jusqu'à 45 milliards d'euros la première année, dont 30 milliards pour les pays ayant adopté la monnaie unique.
Pour les trois premières années du plan de sauvetage, le FMI consentirait 27 milliards d'euros à la Grèce.
Des parlementaires allemands ont évoqué une aide globale allant jusqu'à 120 milliards d'euros sur trois ans, qui permettrait selon plusieurs économistes d'écarter le spectre d'un défaut de paiement de la Grèce sur le moyen terme.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gmZCeJA6u38j7HJNCsaEwzBY8NNQ
Monsieur Mélenchon
J'ai admiré votre aise, votre franc parlé sur certains médias...
Mais... je tombe ici sur ce Blog... et suis noyé dans la masse par des paroles souvent pas à la hauteur du pauvre peuple... s'il vous plait, essayez tous de parler normalement de vous exprimer clairement et non pas par balbutiement ! Moi, pauvre vieux, j'en ai vite la nausée... j'aimerai contribué à une victoire en 2012, à une victoire de la gauche avec de vrais idées de gauche, la population souffre (enfin pas tous) mais les moins favorisés en pâtissent... les plus aisées se frottent les mains... un raz le bol, une explosion générale est suspendu au dessus de nos têtes, sans vouloir être alarmiste, je vous dis parlons sérieusement et simplement ! Merci !
J'ai contribué en 1981 à la victoire de la gauche, sans doute modestement, mais fermement... demain, je voudrais encore une dernière fois pouvoir pleurer de joie lors de cette présidentielle tant attendue de 2012... mais il faut un programme, un homme (Mr Mélenchon par exemple) ... Mme Aubry, Monsieur DSK.... pour ma part, je verrai mieux un candidat tourné plus vers la gauche que vers la droite et le centre.... Le parti communiste à fait tellement de chose extra.... et pourquoi plus jamais ? Allez, réveillez vous les gars...
Ce n'est pas en faisant la fête que le vent tourne... il faut de la conviction, du sérieux et beaucoup d'huile de coude.... merci camarades
Bonne fêtes du travail
L'instaisfait..
@ Descartes (19)
Nan, la droite et la gauche (molle) c'est pas bonnet blanc et blanc bonnet....c'est bonnet blanc et...bonnet d'ANE !
@4Août,
Merci à toi 4Août pour le lien, Jean-Luc Mélenchon sur France Info.
A +
maxou
Des incidents ont éclaté samedi en Grèce lors des manifestations du 1er mai, qui ont mobilisé des milliers de personnes lors d'une journée sous haute tension, à la veille de l'annonce d'un plan de sauvetage financier imposant à ce pays une cure d'austérité sans précédent.
L'accord négocié par l'Union européenne, le Fonds monétaire international et la Grèce, permettant le déblocage de 100 à 120 milliards d'euros sur trois ans pour aider le pays à faire face à une dette colossale, doit être annoncé dimanche à Athènes.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-monde/grece-1er-mai-emaille-d-incidents-dans-l-attente-du-plan-de-sauvetage-01-05-2010-905881.php
"Le pire serait la résignation" écrit Jean-Luc Mélenchon dans ce texte...
Nous avons, à Bordeaux, comme de nombreuses autres fois, par tradition sociale, syndicale et républicaine, participé à la manifestation du 1° mai.
Toutes les conditions étaient réunies pour que ce défilé soit massif et exemplaire. Nous avions "titillé" les indécis et les endormis, pour les sensibiliser avec force arguments réfléchis, qu'il importait d'être présents, de montrer que nous, le Peuple, ne pouvions plus être la seule "variable d'ajustement" d'un système à bout de souffle, que nos acquis (droit à l'éducation publique pour tous, droit de se soigner, droit de se loger correctement, droit à une retraite juste après 37,5 ans de durs et loyaux services, droit à des salaires décents...) faisaient l'objet de contre-réformes abjectes et que nous avions le devoir de manifester notre désapprobation. Nous avions tenté de démontrer que la crise grecque était la nôtre ou le serait prochainement...
Malgré tout cela, à Bordeaux, il y avait moins de monde que l'an passé et beaucoup moins qu'il y a deux ans... encore moins de monde qu'il y a trois ans...
Pour avoir discuté largement durant les mois précédents avec les gens de la rue, les non politisés ou les déçus de la politique, une chose est certaine et qui revient de façon récurrente : nos concitoyens sont désespérés, désorientés, ne croient plus en rien et surtout pas à "la Gauche", hélas !... ils sont dans cette situation du pire, celle de la résignation. C'est un constat difficile, mais il serait mal venu de l'occulter.
Je n'ai aucune envie de jouer les Cassandre, mais je veux simplement attirer l'attention de tous ceux qui sont engagés au PG, à la FASE, au PC, à la GU, au NPA..., en bref, de tous ceux qui militent pour un véritable front et pour une véritable gauche alternative, qu'il ne faut pas s'endormir et rêver : demain sera un autre jour quand nous aurons réussi à réanchanter le monde ! Et la tâche qui nous attend n'est pas facile !
Le constat d'aujourd'hui m'a tout bonnement désespérée... Par contre, il faut savoir aussi que les grosses entreprises exercent un chantage énorme anti-manifs, anti-syndicats et signifient à leurs employés que leur emploi tient à leur silence et à leur non engagement. Ceci explique peut-être cela... Les gens tiennent au peu qu'ils ont et ont une telle angoisse du lendemain qu'ils n'osent plus user de leurs droits élémentaires, comme le syndicalisme, les manifestations, la grève...
C'est une action de masse qu'il faudrait... mais, comment ? Quand comprendront-ils que nous sommes tous des grecs en puissance, que ce qui se produit à côté n'a rien d'anecdotique ?
Nous avons le devoir d'informer et de former, de démolir les discours lénifiants des médias sur ces sujets précis, si nous espérons, un jour, changer la donne !
ça promet quand on entend ça : "« Aujourd’hui, la politique économique française est accrochée à un principe: ne pas perdre le triple A que nous donnent les agences de notation et, de ce point de vue, la réforme des retraites est clé, plus clé encore que les affaires budgétaires »"
c'est encore le peuple qui va trinquer et le pire dans tout ce bordel, c'est d'entendre les bobos du PS, genre Cambadélis et bien d'autres qui ne l'avouent pas au grand jour, dirent que le 1er ministre Grec a choisi la bonne voie..................... taper, taper sur les plus démunis, leur en faire baver un peu plus, les presser jusqu'à la dernière goutte.................................pendant que les GROS continueront à s'engraisser
Il faut que cela cesse !
L'Europe est morte à Athènes, enfin une certaine Europe ! car il reste l'Europe des peuples qui ont des combats communs à mener. Actuellement nous sommes tous des grecs, ce mois de mai en France sera crucial pour la mobilisation contre la réforme des retraites, pour faire valoir des propositions alternatives, mais sans la mobilisation et la résistance nous serons vaincus car ne nous leurrons pas Sarkozy est loin d'être foutu (pour reprendre le titre de Marianne) et 2012 encore loin !
C'est pourquoi je trouve désolantes les bisbilles syndicales et politiques : FO qui défile à part, le PC qui distribue ses tracts, le PS incapable de faire des choix !
Sans le Front de Gauche, le PC pèse 1%, le NPA ne mène pas bien loin. Le PS est toujours entre 2 eaux incapable par exemple d'être clairement contre le port de la burqa, je ne parle même pas des écolos bobos...j'en passe et des meilleures !
Alors bravo Jean-Luc Mélenchon pour ton combat, le FdG est l'avenir de la gauche et cet avenir passe par la mise en avant des valeurs de la République et les évènements vont nous donner raison, mais saurons-nous être au rendez-vous de l'Histoire ?
Manifestation contre wall street au US.
http://www.youtube.com/watch?v=rk37plzE1wA&feature=player_embedded
@ Anny Paule
@ Autres...
....[Pour avoir discuté largement durant les mois précédents avec les gens de la rue, les non politisés ou les déçus de la politique, une chose est certaine et qui revient de façon récurrente : nos concitoyens sont désespérés, désorientés, ne croient plus en rien et surtout pas à « la Gauche », hélas !… ils sont dans cette situation du pire, celle de la résignation. C’est un constat difficile, mais il serait mal venu de l’occulter.[...]..Par contre, il faut savoir aussi que les grosses entreprises exercent un chantage énorme anti-manifs, anti-syndicats et signifient à leurs employés que leur emploi tient à leur silence et à leur non engagement. Ceci explique peut-être cela… Les gens tiennent au peu qu’ils ont et ont une telle angoisse du lendemain qu’ils n’osent plus user de leurs droits élémentaires, comme le syndicalisme, les manifestations, la grève…]...
ça c'est "criant" de vérité ! Hurlant même !
29 @ Jean Jacques
Tu as juste oublié le PG : sans le Front de Gauche, qu'en resterait-il ? Un Club républicain de plus...
27 @ Anny Paule
à Manosque (Alpes de Haute Provence) idem qu'à Bordeaux, la manif n'est pas à la hauteur des enjeux et de la gravité de la situation, je partage ton analyse. Est-ce le résultat de la stratégie du choc : le poids de la crise, le découragement et l'absence de perspectives politiques globales, après la désertion des urnes conduisent à la désertion des manifs ? 2012 c'est pas gagné pour un vrai changement.
Quel pauvre 1er mai..? L'un de ceux qui se justifiait le plus du fait du contexte social et de l'offensive militaire des bataillons médiatiques (Retraite et Grèce) qui pour donner le change donnent la parole à Jean-Luc Mélenchon et quelques autres dans le but de mieux cerner les fronts sur lesquels il faut porter l'effort afin de mieux enfoncer en particulier le front de ceux qui considèrent l'avenir du monde autrement, et pof ! Bobo est en vacances et Thibaut offre l'analyse syndicale la plus anesque de l'histoire de la CGT... A ce niveau, La Réforme, elle va passer sans que partisans aient trop se creuser le ciboulot...
Il y a de la désespérance dans l'air.. Mais ? hier ou avant hier ? avez vous vu un seul homme politique de "poids" appeler a manifester pour ce 1er Mai ? Quelqu'un a t'il "marteler" pour des manifs avec une immense participation plusieurs jours d'affilés avant cette date ? Un seul tribun qui ait prit la parole sur une chaine de TV pour encourager les gens a faire valoir leur droit en allant défiler pour cette fête du travail ? Bien sur je ne parle pas des UMP...
Alors quoi de plus naturel.. Les "gens" ils ne sont pas seulement résignés : ils sont SEULS ! Alors ils pensent a eux et pas a autre chose.. c'est a méditer je pense... Les politiques ont abandonnés pour la plupart... Ils ne sont d'ailleurs même pas les bienvenus dans beaucoup de cortèges syndicaux.. Mais ils ne font même pas l'effort d'encourager le peuple a faire entendre sa voix !
Vous savez, 2012 c'est loin pour Sarkozy... Mais pour la gauche c'est a des années lumières !
#
16
toto dit:
1 mai 2010 à 9h33
"@Webmestre (188) fil précédent. A propos de Clémentine Autain.
A vous lire ce matin je comprends que des insanités, que vous avez eu la sagesse d’effacer, ont été dites à l’encontre de Clémentine Autain.
Je suis d’autant pus choqué à l’idée qu’il y a eu des posts infamants que c’est moi qui involontairement les ai provoqués en incitant les participants de ce blog a aller faire un tour sur celui de Clémentine Autain.
Ma démarche n’avait d’autre but que de saluer une amie très activement engagée dans une politique de gauche et qui nous annonce qu’elle vient d’être maman.
J’imagine assez bien ce qu’on pu écrire quelques beaufs machistes et très peu couillus qui sévissent ici. Qu’ils soient maudits."
Je me demande qui aurait bien pu écrire des insanités sur Clémentine Autain. Si c'est le cas, je condamne, moi aussi. Mais est-ce bien le cas ? Qu'est-ce qui te fait imaginer des choses, Toto ? Tu dis que tu imagines, c'est donc que tu ne sais pas. Et quand on ne sait pas, qu'est-ce qu'on fait, Toto ?
@ Jean-Luc Mélenchon
@ Tous
Force est de constater que la mobilisation n'était pas au rendez-vous en ce 1er Mai. 4 fois moins de monde que l'an dernier selon les dires de la CGT c'est encore un énième échec du mouvement social, du mouvement des travailleurs avec les grèves de 2009 et du début de 2010 qui n'ont débouchées sur que chique. C'est flagrant qu'il y a non mobilisation sociale et citoyenne c'est très inquiétant dans la phase de la crise du capitalisme transnational et de l'endettement des Etats commme des agents économiques. Les salariés là aussi s'abstiennent massivement et ne répondent pas à l'appel des organisations syndicales.
Il est clair qu'il n'y avait pas l'unité cette année mais à qui la faute ?
Il n'y a aucune convergeance sur le débouché du dossier des retraites où certains syndicats sont prêts à accepter un allongement de la durée des cotisations. C'est clair que ce n'est pas motivant ni mobilisable. Que fera la CGT, la FSU et FO ? La CFDT on a compris elle est prêt à la compromission mais bon cele ne nous change pas beaucoup. Mais la CGT et la FSU vont -ils être du côté de la CFDT comme c'est le cas depuis quelques années ou bien vont ils clairement proposer un refus et mettre en perspective la perennisation de la retraite à 60 ans avec une durée de cotisation de 37,5 années et demi ou 40 ans mais avec les années d'études post bac, les années d'apprentissage et d'alternance, les années de chômage ? Bien que la Centrale dit cela, je ne la sens pas inflexible ni capable de s'opposer à l'augmentation de la durée de cotisations. La très faible mobilisation sociale de ce premier mai va pousser la CGT dans l'orientation de négociation et de modération.
FO a fait bande à part et souhaite la clarification sur le dossier des retraites mais FO d'aujourd'hui n'est plus la FO de Blondel et de 1995 qui faisant alliance avec la CGT de Viannet mettait en échec Juppé et déclenchait le plus vaste mouvement social depuis 1968.
Il est clair qu'aujoud'hui qu'il y a aucun débouché social réel au mouvement social.
Les partis politiques de gauche sont confus et ambigüs et ne sont pas clairs et pas clairs du tout sur la crise grecque et sur la question de l'union Europeéenne. Le PS, les verts et autres sainte église écolo sauce libertarienne et europe écologie sont englués dans leur vote en faveur des traités européens successifs et sont pieds et poings liés sans défense dans le signature du Grand Marché Transatlantique.
Darthé-Payan dit:
1 mai 2010 à 19h33
" Il est clair qu’aujoud’hui qu’il y a aucun débouché social réel au mouvement social."
Forcément, puisqu'il n'y a pas de "mouvement social".
Vous ne liez pas le cas Grec à la marée noire en Louisiane. Ce sont pourtant les résultats des prédations du libéralisme économique.
L'inconscience de laisser le "marché" se réguler par lui-même. Dans les deux cas, ce sont les libéraux (ou les charognards selon le registre de langue employé) qui vont empocher les profits tandis que les peuples vont payer la note (ainsi que la nature dans le golfe du Mexique !). Un vrai scandale !
@ Tous
(suite et fin)
L'autre gauche, la gauche radicale est empêtrée dans des énièmes querelles d'appareils et d'égos persos ou d'ambitions. Elle aussi n'est pas clair sur la question européenne. Que ce soit le PCF qui n'a toujours pas défini quoique se soit sur l'Europe de très clair, de très intéressant et très convainquant. Le PG, qui est lui aussi pas très clair, ambigü, double langage anti commission de Bruxelles et traité de Lisbonne mais refuse d'en tirer les conséquences en l'occurrence le retrait de notre pays de l'Union Européenne, de la BCE, de l'Otan, du GMT et des organismes fossoyeurs des droits sociaux et des services publics que sont le FMI et l'OMC. On crie contre la crise grecque et la dure austérité qui frappent tout le peuple grec mais on ne veut surtout pas quitter ni l'UE ni le FMI alors que l'Union Européenne et la BCE sont des facteurs de destabilisation des Etats nations et des politiques économiques et de crédit. Pourquoi ce double langage ? ce foutage de gueule? JL Mélenchon, cher camarade, il est temps de franchir le Rubicon et mettre en perspective la rupture avec l'union européenne et la BCE. L'acter politiquement et le diffuser !
Le mouvement politique et citoyen, en France, est quasiment inaudible dans cette affaire de crise et sur cette question des retraites. Il n'y a pas plus de débouché politique au mouvement social. Il n'y aura pas dans l'immédiat de débouché politique au mouvement politique et citoyen vu qu'il n'y en a pas !
Nous devons en tirer les leçons et lancer sans délai un travail d'éducation et de mobilisation.
- Etats généraux
- Cercles civiques où citoyens, syndicalistes, travailleurs, politiques, associatifs, intellectuels se rencontrent et échangent.
- Dresser des cahiers de doléances et les décrets en conséquences.
- Faire converger le mouvement politique, social et citoyen vers la même exigence de salut public et constituer un Front d'Unité Populaire.
Voilà pour ces prémices du processus d'immersion, d'éducation et de coordination en vue de la mobilisation et servir l'action. Les républicains jacobins seront à l'initiative dans les prochains semaines en constituant des cercles civiques.
@ Pierre L
Le mouvement social est là mais atomisé. Les salariés luttent pour conserver leurs emplois, leurs outils de production, leur entreprise. Ils se revendiquent pour leurs salaires et Ils se battent pour maintenir une parcelle de droits dans la jungle du capitalisme de la concurence libre et non faussée. Tu sais l'alpha et l'oméga de l'Union Européenne des traités de Rome au Traité de Lisbonne en passant par celui de Maastricht que fort peu de leaders politiques de la gauche radicale (y compris le PG et JL Mélenchon) n'envisagent de remettre en cause en rompant avec l'union Européenne, la BCE et les dits traités. Les salariés et les citoyens, l'outil industriel et agricole, l'école républicaine, l'outil collectif des services publics et la souveraineté de la France attendront quelques années de plus(qu'ils se décident s'ils se décident un jour) un peu plus ou un peu moins Hein ?
J'en fais le constat. Toi, tu fais dans l'ironique à propos de mon commentaire. Grand bien te fasses !
Jean-Luc Mélenchon a dit « Papandréou est un dégonflé « , et que penser de DSK socialiste, français, présidentiable et patron du FMI ?
Dans leur document de travail qui va être le socle du programme de gouvernement on peut y lire « c'est à nous d'inventer dès aujourd'hui un nouveau modèle économique, social, écologique « il n'est pas d'avenir hors de la coopération européenne « comment les socialistes peuvent ils l'interpréter face à la crise grecque ?
Le communiqué du PS sur la crise Grèce mis en ligne jeudi déplore : « l'inertie de la commission européenne, le taux d'intérêt trop élevé, l'extension de l'article 122 du Traité de Lisbonne «
Pas un mot sur les mesures d'austérité violentes qui vont être exposé aux grecs,
Ce peuple va être éssoré : n'oublions pas que que la Grèce a un taux de pauvreté de 20 % de la population comme l'Italie et l'Espagne, le Portugal et l'Irlande 18 % et la France 12 %,
(% de personnes dont le revenu équivalent se situe en dessous du seuil du risque de pauvreté fixé à 60 % du revenu disponible équivalent médain national – Source Eurostat,)
Qu'a fait l'internationale Socialiste contre la spéculation ? Rien et les spéculateurs seront encore une fois épargnés,
Face au plan du FMI, les Grecs n'ont même pas le droit à des contre -partie,pas d'aménagement, l'Euro les étrangle,
DSK aux manettes, que fait il ?
Qu'en pensent les socialistes français, sont ils avec DSK ou avec le peuple Grec ?
à Darthé-Payan (1 mai 2010 à 20h20).
Les luttes éparses, même nombreuses, ne constituent pas un mouvement social.
Et il n'y avait aucune ironie, seulement une constatation.
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