01avr 10
Jeudi 1er avril Jean-Luc Mélenchon était invité par Thierry Guerrier à réagir sur la polémique organisée par les médias autour de la vidéo d'une altercation avec un étudiant en journalisme. Jean-Luc Mélenchon y a réaffirmé ses arguments critiques des médias :
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"Jean-Luc Mélenchon y a réaffirmé ses arguments critiques des médias"...Oui mais a été doucereux avec son interlocuteur qui ne vaut guère mieux que les autres : Le fait de pérorer sur France 5 ne peut être une caution suffisante pour se dédouaner d'une responsabilité collective propre à la meute médiatique. Le journalisme n'est jamais aussi transparent et indolore que le laisse supposer monsieur Guerier. Et méfiez-vous qu'à force de vous justifier quelque soient la véracité et l'honnêteté de vos propos (En jouant de surcroit les Samaritains puisqu'ils vous offrent le droit de répondre !), ils ne finissent par vous faire passer pour fou ou vous caricaturer à ce point qu'ils n'auront à peine besoin de l'affirmer pour que le téléspectateur soit suffisamment conditionné pour y penser seul !
Des choses très intéressantes dans cette interview, beaucoup de points majeurs expliqués avec pédagogie, certains déja dit dans l'article d'hier et d'autres mieux compris depuis.
Il reste deux erreurs qui ont un sens politique: vous avez raison, camarade Mélenchon, de poser le problème de la transparence généralisée. Il serait néanmoins souhaitable de ne pas le faire dans les mêmes termes qu'Henri Guaino...
Face à une suspicion généralisée à l'égard des politiciens professionnels, suspicion dont vous êtes un des rares à en comprendre vraiment le sens et l'importance politique, il va falloir argumenter nettement plus sérieusement ce qui vous paraît pouvoir relever du contrôle citoyen et ce qui serait une dérive totalitaire de ce contrôle.
En particulier, dans cette interview vous semblez vouloir que seule la parole officielle d'un homme politique compte, que s'il dit autre chose en privé que ce qu'il dit en public c'est une parole privée qui n'a pas de valeur politique.
Vous avez raison de dire que vous avez écrit beaucoup de choses sur le sujet des médias, et qu'un vrai journaliste irait lire ces pages et les confronter à votre parole face à cet étudiant, plutôt que de reprendre la "vidéo qui buzze" en ignorant entièrement vos écrits antérieurs. Mais vous ne pouvez pas demander que seuls ces écrits soient pris en compte! Vous avez une une parole énervée, vous avez été piégés, tant pis pour vous, vous avez le droit (et vous le faites avec raison ici) de relativiser et surtout contextualiser ces propos, de dire (j'ai trouvé cette phrase excellente) que vous êtes "surtout un homme", mais vous ne pouvez pas demander à ce que ces propos soient oubliés!
D'
Il faut vraiment soutenir, sans réserve, Jean Luc, car pour moi c'est un Messie de la politique. Et aussi comme il l'a dit, je ne suis pas aussi un homme, si j'ai parlé comme çà avec le journaliste, "je suis surtout un homme", avant tout.
Ne lui jetez jamais la pierre si jamais un jour il faillit, pour quoi que ce soit.
Vive Jean Luc ; oui tu défends, l'égalité, la fraternité.. et la liberté!
(permettez-moi de continuer malgré une fausse manœuvre)
D'autant que la colère fait ressortir le refoulé, donc il est loisible de se demander si la vérité n'est pas plus dans votre énervement que dans votre discours policé.
Deuxième erreur, qui rejoint le fossé générationnel qui a déjà été évoqué hier: vous semblez vraiment ne pas comprendre la démarche de ce jeune, même si vous êtes nettement plus indulgent avec lui aujourd'hui (à ce propos, j'ai apprécié le choix de refuser de proférer des excuses mais d'envisager de l'inviter à déjeuner).
Voila en tous cas comment j'interprète sa démarche, moi qui n'ai que les images et les courtes explications qu'il a données sur Rue89:
- Il démarre son interview, comme son école lui a demandé. Peut-être effectivement avec une idée sur ce qu'il veut comme "petite phrase", mais ce n'est pas évident, vous interprétez rapidement l'article de l'Express, il ne dit pas clairement si l'école a utilisée cette vidéo a posteriori comme un exemple de "petite phrase spontanée" ou si c'était un objectif a priori.
- Vous faites une affirmation, sur le titre du Parisien comme pratique médiatique indigne. Il la trouve discutable (vous remarquerez qu'il ne nie pas en bloc, il cherche à nuancer votre discours et à vous confronter à une réalité moins simple que vous ne l'affirmez, comme d'ailleurs le fait ici Thierry Guerrier en vous demandant si réellement le fait d'avoir un statut précaire entraînait automatiquement - votre affirmation étant particulièrement insultante d'ailleurs pour les intellectuels précaires qui cherchent à faire honnêtement leur métier, même si vous avez évidemment raison de poser la question des conditions matérielles de production) et va donc la discuter.
- Il ne change donc absolument pas de sujet, vous faites erreur sur ce point. Vous refusez de répondre réellement, vous contentant de réaffirmer votre position (en y ajoutant des arguments forts intéressants certes, mais sans prendre en compte sa question). Il insiste, exerçant ainsi le "droit de suite" qui fait si cruellement défaut aux journalistes français ordinaires et marque justement la rupture avec le "journalisme de révérence" que vous critiquez.
- Vous ne le comprenez pas du tout, vous vous énervez, il réagit courtoisement, vous pas vraiment (sans toutefois rien dire d'irréparable, certes), il refuse de se soumettre et ça finit en belle engueulade.
- Considérant que vous avez accepté d'être filmé et que le fait qu'un homme politique de gauche pique une crise d'autorité est une information politique, il met la vidéo en ligne, tout en ayant la loyauté et la maturité politique d'attendre la fin de la période électorale.
- Ensuite, la vidéo est reprise par un phénomène moutonnier comme vous le dites, mais ce n'est plus sa responsabilité, ça devient celle du système médiatique que vous dénoncez.
En clair, fondamentalement il vous pose une question politique, la même que celle qui conclut le texte de Daniel Schneidermann: quel est votre rapport à l'autorité quand c'est la vôtre qui est en jeu et pas celle d'un adversaire que vous contestez? C'est une question tout ce qu'il y a de plus légitime, il faudra un jour que vous y répondiez.
Par ailleurs, quand vous demandez "qu'est-ce que (vous avez) à voir avec un homme politique de droite", vous posez une question intéressante, mais dont la réponse est moins évidente que vous ne le pensez.
Certes, d'un côté évidemment la culture et la pratique politique d'un Xavier Darcos n'a rien à voir avec celle que vous avez démontrée au quotidien, et il est honteux de la part d'un journaliste de faire passer cela au second plan par rapport à votre statut commun d'homme politique. Au sens strict, cette confusion est la négation même de la politique, et donc de la République et de la Démocratie: il n'y a pas de vraie divergence entre les deux faces de la même médaille, il n'y a pas deux camps politiques, juste deux partis qui veulent le pouvoir pour eux-mêmes.
D'un autre côté puisque vous êtes bien conscient que le "que sé vayan todos" s'adresserait aussi à vous, vous ne pouvez nier que pour le peuple abstentionniste auquel vous accordez légitimement tant d'importance, la différence entre vous et Darcos est moins importante que celle entre vous (pris collectivement) et le peuple.
Il me paraît effectivement indéniable qu'il existe un certain phénomène d'autonomisation de la classe politique en tant que telle par rapport aux différentes classes d'où elle provient...
Il serait donc intéressant que vous expliquiez mieux un jour dans quelle mesure le statut social d'un élu, en tant qu'élu et indépendamment de son origine de classe, prime sur son camp politique, et dans quelle mesure au contraire sa loyauté à l'égard des classes sociales qu'il défend peut continuer à primer sur sa nature de classe acquise par l'élection et commune à tous les "hommes politiques".
Pour finir plus anecdotiquement j'ai été surpris de vous entendre répéter régulièrement le nom de votre interlocuteur ("Thierry Guerrier"), comme si vous suiviez les conseils d'un conseiller en communication à la Sarkozy. J'espère que vous n'allez pas vous mettre à la musculature du périnée...
Oups, encore une erreur, désolé:
lire:
comme d’ailleurs le fait ici Thierry Guerrier en vous demandant si réellement le fait d’avoir un statut précaire entraînait automatiquement la recherche du spectaculaire
Bien. Donc, beaucoup de bruit pour pas grand chose. Cela aura permis de (re)dire que la presse en général démérite assez souvent. Jean-Luc Mélenchon est un homme comme les autres, certe. Mais à la tribune d'un meeting à Clermont-Ferrand, ou dans une petite mairie du Puy de Dôme, il n'est plus comme les autres. Il est Mélenchon. Et cet homme là, franchement, on a envie de le suivre pour construire avec lui.
Fini la récré, au boulot !
Jean-Luc Mélenchon exprime la colère d'être traité comme quantité négligeable par les médias principaux, alors qu'il représente un
mécontentement grandissant. La vache sacrée du paf, dame Chabot, lui a fait quelques traitrises à l'occasion des
Régionales.L'apprenti journaliste a fait les frais de ce ras le bol. Comme,de plus le coup paraissait monté,personne n'a envie de plaindre l'imprudent, ni de critiquer un coup de colère.
Ouai, pas trés convaincantes les explications et la posture communicationnelle de Jean-Luc Mélenchon (sourire forcé et je t'appelle le journaliste par ses prénom et nom comme Xavier Bertrand avec Nicolas Demorrand par exemple !), même si effectivement il dit des choses justes. Ca ne rattrape pas l'impression d'agressivité assez désastreuse je trouve vis-à-vis de cet étudiant. Il y avait déjà eu l'épisode vaccination : "en santé publique on agit d'abord, et on discute après !". Ca met pas vraiment en confiance ces épisodes troublants à propos de la vista de Jean-Luc Mélenchon.
Nous sommes tous des Humains; on est d'accord. le problème, c'est qu'on attend des gens qui aspirent à être un peu plus leader que les autres qu'ils soient des Hommes un peu moins défaillant que les autres, qu'ils aient un peu plus de maîtrise, notamment face à un étudiant en école de journalisme, qu'il soit de gauche ou de droite. Non, là on ne peut pas dire que ça vole bien haut.
Je suis déçu, car je veux croire en quelqu'un comme Mélenchon. Mais pas aveuglément ! L'honnêteté à ces exigences qui rendent parfois la tâche ingrate ! L'analyse de LR est plutôt bonne je trouve ! Bon ceci étant dit, la bataille pour un monde meilleur suit son cours inexorable... semé d'embûches. Je suis naturellement ouvert à tout échange sur le sujet... comme sur tout autre ! Car faire vivre la démocratie c'est d'abord débattre ! Mais au fait, qd Jean-Luc Mélenchon rentre dans le chou de cet étudiant, il n'ignore pas qu'une vidéo ça peut piéger car ça peut buzzer sur Internet...
Une des tactiques du pouvoir et des vaches sacrées médiatiques,c'est-à- dire les journalistes (ou journaleux...) qui lui est soumis: épuiser les opposants et dégoûter les citoyens par des chiffons rouges anecdotiques dont l'agitation
répétitive masque les graves dégâts de la politique actuelle. Démolition systématique des services publics,de la retraite par répartition,de la laïcité.Or il sont le socle de la liberté et du bonheur des gens de ce pays et de la République(qui en ce moment n'est plus qu'un nom).Tout le reste est bla-bla.
Vive la République sociale et... J.L.Mélenchon qui a l'audace et le courage de la défendre encore.
Toujours des réponses pertinentes de Mr Mélenchon. C'est pour cela que nous l'apprécions. Il a tenté de remettre les choses à leur place dans le métier de journaliste. On ne le destabilise pas aussi facilement. C'est un homme de convictions et qui sait les défendre. Souhaitons lui du courage pour continuer ainsi dans ce monde de brutes qui ne sait que parler d'argent.
Merci d'être toujours à la hauteur pour dire ce que le peuple dont je fais parti pense! Et encore merci pour redonner au mot peuple un sens non péjoratif: continuer!
@Pascal Busnot
Il est de toute façons hors de question de le suivre aveuglément, même lui ne le veut pas, comme d'ailleurs il le soulignait dans certains de ses meetings, en disputant (gentiment) le public qui l'applaudissait avant qu'il ait parlé : on applaudit le discours, son contenu, et pas forcément l'homme derrière, ce qui n'empêche pas d'avoir du respect pour lui.
Je sais bien que nous sommes sur son blog, et que nous avons tous ou presque un certain respect voire une certaine admiration pour Jean-Luc, pour ses prises de positions, son travail, mais je vous rappelle à tous qu'il n'est pas le messie ("il n'est pas de sauveur suprême", je vous rappelle, chose que les communistes (ou se définissant comme tels) au pouvoir ailleurs ou par le passé, ont souvent semble-t-il oublié).
Et à tous ceux qui se servent de cet accrochage, ou d'autres, en se permettant d'affirmer que c'est bien la preuve que Jean-Luc Mélenchon ne serait pas capable de diriger un état:
1) en supposant que l'autre gauche ait un candidat unique (ça risque encore d'être difficile, non seulement du point de vue du NPA mais aussi des communistes - en particulier pour les plus orthodoxes -, surtout si le candidat n'est pas communiste)
2) en supposant que ce soit Jean-Luc (déjà une grande parti des communistes ne le veut pas, donc ça va être dur, et je vois mal l'autre gauche organiser une primaire, quand on raille celle des socialistes)
3) en supposant que Jean-Luc Mélenchon passe en tête à gauche au second tour (c'est tout sauf gagné) et qu'il est qualifié pour le second tour (déjà ça fait beaucoup de si)
4) et si on suppose qu'il gagne l'élection (je me demande si la gauche bobo-caviar, libérale-libertaire voterait dans cette situation pour Mélenchon qu'elle abhorre ou méprise, puisqu'elle le considère comme un populiste sinon un démagogue, et pour prendre une comparaison non flatteuse de leur point de vue, un genre de Chavez local, ou un nouveau Marchais - c'est en tout cas ce qu'on voit le plus sur des sites comme l'obs ou libé)
il l'a dit et répété, ce n'est pas pour organiser un pouvoir personnel, mais bien pour arriver à une sixième république à tendance parlementaire, donc un pouvoir collectif, avec un démocratie participative.
La levée de boucliers médiatiques qu'a soulevée une simple discussion animée, sur l'adéquation de la prostitution comme sujet en période d'élection, est bien indicative du biais constant dans les dits medias, à l'encontre de celui qu'ils jugent être l'empêcheur de tourner en rond numéro un.
Pourquoi n'a-t-on pas vu cette levée de boucliers lorsque le député Pierre Lelouche a littéralement menacé de mort Jean-Luc Mélenchon en direct, au cours de l'émission télévisée Ripostes dans l'un de ses derniers numéros?
L'agression verbale était, de mémoire: "si nous n'étions pas à la télé, je vous provoquerais en duel et je vous buterais (sic) !"
Je pense que Jean-Luc, si d'autres invitations audiovisuelles lui sont adressées pour commenter le même sujet, devrait exiger que l'on repasse ce passage de l'émission Ripostes.
Bravo Monsieur Mélenchon !
Je comprends votre emportement et partage votre exaspération. Il serait temps que ces messieurs dames les journalistes (sauf quelques exceptions) fassent leur mea-culpa.
Qu’ils acceptent enfin la critique. Qu’ils reconnaissent leurs erreurs et leur influence parfois néfaste.
Un exemple : Ne sommes-nous pas depuis mai 2007 sous le joug du Sarkozysme en partie à cause de certains journalistes et des plus influents ?
Que les journalistes traitent avec honnêteté les problèmes sociétaux qui concernent le peuple et non pas des anecdotes pour « se faire mousser ».
Leur devoir est d’informer avec le plus d’objectivité possible.
Dommage pourtant que ce jeune apprenti journaliste (victime lui aussi) ait essuyé votre courroux à la place de Ma’am Chabot (comme dirait l’autre…) mais je vous soutiens dans votre saut d’humeur.
Courage Monsieur Mélenchon, le peuple est derrière vous.
@ Pascal Busnot
Défois des propos franc et direct clarifient les choses. Je soutiens ici JL Mélenchon. Il a eu raison de ruer dans les brancarts. Le poltiquement correct actuel de la bien pensance médiatique ou merdiatique comme politique (partagée par la gauche et la droite et que j'appelle "gaucharde ou libertarienne " devient étouffante. JL Mélenchon ne veut s'y résoudre à cette dominante politicomédiaticocultrurelle fortement hypocrite.
Remarquable prestation de Mélenchon. Il a su éviter les pièges tendus par le journaliste et a carrément renversé la situation, sortant de l'anecdote pour donner une analyse percutante (et cruelle) des problèmes actuels du journalisme.
Dans les annales de la politique française, c'est rare de trouver un homme qui soit à la fois bon orateur (Jean-Luc Mélenchon est une véritable bête de scène) ET bon débatteur.
J'espère bien, malgré les médias qui ont décidé de le marginaliser, qu'on entendra de plus en plus sa voix dans le paysage politique français. Ça fait un bien fou d'entendre cet homme-là.
Rue 89 en remet une couche.....et donne par contre exemple mille fois raison à l'argumentation de Jean-Luc Mélenchon......belle démonstration de la façon dont on manipule une opinion......tenez bon Mr Mélenchon.....et qu'ils s'aillent au diable.....sans vous paraphraser. Fraternité et amitiés
il a raison sur le font, et de loin. homme de conviction,il a le courage de ces idées,donc act-up.
journalistes 2010 = cafards !
tous des cafards au crochet de cette tête de hibou de Sarkozy ou avides de buzz et de polémiques.
le pire, c'est qu'entre la télévision, internet et la radio c'est toujours les mêmes "informations" en boucle sans apports culturels pour compléter un sujet de façon impartiale et malheureusement les infos sont quasiment tout le temps orientées par le "journaliste" soit pour donner son avis personnel (sic!), soit pour générer des polémiques qui ameutent les imbéciles ! quant à l'information sur internet, c'est la pire; elle ne sert qu'à engranger des tonnes et des tonnes de post qui (en plus d'être censurés de façon injustifiées souvent), ne nous leurrons pas, servent surtout à faire des "clic-clic" qui font "gling-gling" dans les caisses de ces faux journalistes qui adorent décorer leurs sites/poubelles de jolies banderoles publicitaires (et là je pense à rue89 ou lepost par exemple).
bref quand en France on se sera sortit les doigts du cul, il faudra réformer la politique (enfin ramasser le verre cassé de la politique de Sarkozy), le journalisme, les banques, la religion et le sport (enfin je pense surtout à ce misérable sport qu'est devenu le foot !).
pour le reste, ne vous gênez pas à mettre des claques à ces écervelés qui ne font partis que d'une meute et n'en ont rien à foutre des lecteurs !
sur ce, bonne journée.
Merci d'être "avant tout un homme"cela permet de faire de la politique autrement et de s'occuper enfin des êtres humains! le système actuel les presse comme des citrons avant de les jeter.. en leur enlevant le respect de soi-même et la dignité de vivre décemment..Soutien à Jean-Luc !
C'est vrai que beaucoup de journalistes ont perdu l'esprit critique du fond politique pour ne s'attacher qu'à certaines formes qui restent des Non Evènements!et contribuent à l"enfumage"voulu par le pouvoir actuel...Les étudiants ou stagiaires devraient revenir à l'éthique et oublier la commercialisation de l'info..(avec des CDD payés au lance-pierres...je conçois la difficulté!)
Monsieur Mélenchon, Bravo, j'ai bien ri en vous lisant car ce soir (mercredi) sur FR3 F.Taddeï recevait des journaleux et lesquels ! pour bavasser et faire un débat sur la presse et le peu de confiance qu'accorde les français aux journalistes...Et biensur qui étaient là, entre autre, L. Joffrin et R.Menard. et qui critiquaient-il ? JL Mélenchon.
Quelle rigolade ! Le ridicule ne tue pas mais cette fois je le regrette.
Amitiés.
Mr Mélanchon,
Merci de remettre en cause la presse(et l'information en général) qui ne fait pas son travail qui survalorise ce qu'on lui demande de mettre en avant : exemple : la pédophilie resservie plusieurs fois le week-end de Pâques..!.(tout comme la prostitution utilisée pour faire écran, qui devrait être traitée de manière sérieuse au cours de vrais débats de société...)
Bref, à quand une télé libre, non gouvernementale qui traite vraiment des problèmes...!
Mes salutation
Une militante PG
Le commentaire en anglais n'est pas de moi...La position de Mr Mélanchon face à la presse est à soutenir
C.Robillard