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04juil 11
DSK et femme de chambre, of course ! Et le reste.
Après Stalingrad, entre Argelès et Lézan
Ce billet a été lu 23 298 fois.
N
ous avons donc passé le cap. Ce rassemblement place Stalingrad à Paris, c’était vraiment énorme ! J’ai lu ici et là : « 4 000 personnes selon la police et 6 500 selon les organisateurs ». Pas du tout ! La police n’y est pour rien.
Nous avons compté six mille personnes, au début du discours de Pierre Laurent, à partir d’un plan très précis établi par un architecte, bénévole, cela va de soi qui a dessiné notre implantation sur cette place. Mais comme nous avons annoncé d’abord un premier chiffre de 4 000 en début de soirée, ce fut celui-là qui circula, en même temps que l’autre. La surprise fut aussi pour nous. Le caractère massif de la présence ne doit rien aux méthodes de convoyage en car, utiles d’autres fois. Le Parti de gauche, dont c’était le tour d’organiser les choses, ne faisait pas ce pari. Je veux en disant cela souligner que ce rassemblement est en soi un fait politique. Il y a eu un appel et il y a eu une réponse populaire. Nous comptions qu’en fin de mois de juin, après une telle année, ma candidature étant déjà annoncée aux sept millions de téléspectateurs de TF1, l’intérêt pour ce rassemblement en plein air se concentrerait sur les réseaux militants. Nous pensions qu’avec 2 500 participants, la place serait convenablement occupée. Il en vint près du triple. De tous âges, de toutes couleurs, de tous milieux. Si bien qu’il s’agit de toute autre chose que d’un rassemblement de vieilles connaissances.
Personne d’entre nous n’avait imaginé cet entassement ni ce débordement sur les côtés et les talus qui encadrent la place. D’où quelques problèmes de sonorisation, d’ailleurs. Et comme il y a eu un problème de micro par-dessus le marché, j’y ai laissé ma voix. Je l’ai cassée dans ce discours prononcé certes lentement, mais à plein poumons. Ce qui ne fut pas sans effet non plus sur le style oratoire. On ne peut parler de toutes ses forces, en appuyant la voix autant que possible sur le ventre, sans allonger la phrase et moduler la cadence. Ceux que la chose oratoire intéresse iront trouver mon discours prononcé à Nice qui est de la même eau, pour la même raison de problème de micro. J’ai, en toute modestie, la certitude que je ne suis pas le premier à connaitre cette obligation technique. Jaurès qui parlait sans micro faisait des phrases très longues d’autant qu’elles devaient, de plus, être répétées tous les cinquante mètres par un camarade crieur !
Ce nombre et cette diversité venus place Stalingrad, me font penser aux rassemblements que j’ai observés pendant la campagne de 2005. Bon présage puisque c’est la construction politique que je vise. J’en fus impressionné, je peux bien l’avouer, au moment où l’on me demanda de monter sur la tribune. La foule, sa bigarrure et sa densité me sautèrent aux yeux et au cœur. Comme une délivrance. Politique, puisque le pari s’avérait gagné. Mais personnelle aussi. En effet j’étais auparavant consigné dans une tente à l’arrière de la scène, scrupuleusement surveillée par l’escouade numéro un, le groupe des camarades qui font de la protection rapprochée dans les foules et que dirige le philosophe Benoit Schneckenburger (vous ai-je dé
jà parlé du livre qu’il vient de publier sur Epicure ?) J’ai suivi tout le début sur un écran de contrôle. Quelle énorme frustration de ne pouvoir comme autrefois me mêler à la fête ! Mais de l’avis de tout le monde, et compte tenu de ce que nous constatons, dans ces sortes de rassemblement avec nos amis, si je me balade de cette façon, il peut se produire de terribles bousculades qui peuvent être dangereuses non seulement pour moi mais aussi pour toute les personnes qui se trouvent sur le parcours. Sur scène il y avait le groupe « la belle rouge » qui déchira le ciel et le canal qui coule à deux pas de là. Après eux, la température émotionnelle avait fait exploser le thermomètre politique. Vint « la parisienne libérée » et j’ai craint bêtement qu’elle se noyât seulette en scène devant cette foule ! Mais je vis bien que je n’y connaissais rien. Car la voila qui vous empoigne entre la cervelle et le cœur et vous bat comme un tapis les raideurs du sentiment. A l’issue des deux, tout ce talent nous fit tout déliés et fins mûrs pour les discours. J’attendais mon tour en suivant fasciné ce qui se disait. Trois femmes, trois hommes. Ce qui impressionne c’est désormais l’unité de ton et de vocabulaire. Dernière arrivée, pour l’instant, au Front de Gauche, Danielle Obono de « Convergences et alternatives », mouvement issu du NPA s’est installée en souplesse, dans son registre particulier preuve que c’est possible.
Monté sur l’estrade, dans un premier temps, j’étais surtout ému de voir réunis sur ce plateau les représentants de tous ces groupes et partis de l’autre gauche ! Nous étions presque au complet ! Quelle bêtise que le NPA n’y soit pas. Quoiqu’il en
soit, je pense que nous avons à présent un impact sans commune mesure avec l’addition même de nos influences respectives. Ce jour-là fut celui d’un déclic. Et je crois qu’il nous reste à en comprendre toute la portée. L’alchimie de l’unité fonctionne. Pour ma part j’ai ouvert encore plus grand les yeux pendant la tournée que j’ai faite à la suite, à partir du vendredi. Car j’ai voyagé entre Argelès dans les Pyrénées Orientales et Lézan dans le Gard avec une escale à Montpellier. J’intervenais dans les deux fêtes populaires des communistes dont j’avais accepté l’invitation de longue date. Affluence record dans les deux cas. Accueil extraordinairement chaleureux. J’évoque ici non seulement celui des communistes mais celui des personnes de toutes origines qui, pour la circonstance, sont venues à notre rencontre. Il y a de l’enthousiasme naissant. Un rien peu mettre le feu à la plaine. Tous les cadres politiques avec qui j’ai fait le point partagent cette impression, fugace, mais assez forte pour qu’on se la dise, même en mesurant sa fragilité.
Cela nous fait devoir. On ne fera pas campagne de la même manière si ce démarrage se confirme. Nous le saurons rapidement. Il n’y a pas d’avenir pour les traines patins dans cet environnement. Ni pour qui voudrait tout contrôler, tout régenter. Il faut être sur la 
vague et s’y maintenir en l’encourageant. Je crois que c’est une très bonne chose. Car dans mon esprit il ne s’agit pas seulement d’une campagne électorale, comme je l’ai dit à Stalingrad et répété à Argelès et Lezan. D’après moi il faut penser ce que nous faisons comme une composante du moment politique globale et notre campagne comme une contribution au processus de la révolution citoyenne que nous voulons faire naitre. J’en reste là pour cette fois-ci mais j’attire l’attention sur ce point pour pouvoir en avoir écho dans les commentaires qui se feront à la suite de ce billet et que je lis toujours comme un thermomètre. De mon côté, bientôt je dirai par un exemple concret comment cela peut se nouer. Pour cela j’évoquerai, le moment venu, ma rencontre à Montpellier, avec les initiateurs de l’appel du Front de Gauche des quartiers populaires.
Mon mérite est d’avoir pu traverser toute cette fin de semaine sans être étouffé par le nouvel épisode de l’affaire Strauss Kahn. Je me suis contenté de répondre aux deux questions posées mais j’ignore où elles ont été diffusées et comment. J’en dis mon mot. Je répète ce que je vous ai toujours dit ici et mis en pratique dans mes propres déclarations. Chacun de nous n’est n
i juge ni policier. La justice n’est pas la vengeance ni l’instruction un pilori. Dans ces sortes d’affaires, la décence commande la réserve et la raison exige de s’en tenir strictement aux principes. Naturellement ce que je dis ne servira strictement à rien. La mécanique qui produit les scènes lamentables dont les médias nous rendent de gré ou de force partie prenante ne peut être enrayée. Elle est inhérente au système médiatique contemporain. Aucun sens moral, aucun respect de la loi n’entravera jamais le voyeurisme radical et obsessionnel des médias de notre temps. Tous ont violé la loi avec une bonne conscience absolue en produisant des images interdites d’un DSK enchainé. Au nom du devoir d’information qui malheureusement ne nous permet pas encore d’être régalé des scènes de pendaisons ou de lapidations qui ont pourtant lieu sans que le devoir d’informer n’en tienne compte. De féroces inquisiteurs sentant à plein nez l’obsession sexuelle sublimée se proclamèrent autorisés à enquêter sur la vie privée de toutes les personnalités politiques. Et ainsi de suite.
Plus subtil que la moyenne, Nicolas Demorrand a commencé dans « Libération » le premier jour une introspection professionnelle. Les journalistes avaient-ils abusé ? Quatre contorsions plus loin le procès était conclu immédiatement par une amnistie générale ! Ouf ! J’ai eu peur un moment que se brise la loi d’organisation du discours médiatique sur lui-même que j’ai déjà décrite à propos du premier épisode : lynchage, introspection, repentance, amnistie, rebond sur l’épisode suivant. Ici je peux annoncer la suite. Après une brève phase d’introspection, on passe de la crucifixion de DSK à celle de la femme de chambre. Notons au passage qu’il mange bon deux fois. A l’aller comme gros lourd, donc voué au viol selon la logique 
des nouveau inquisiteurs médiatiques qui sentaient déjà si bien tout le commerce qu’ils pourraient faire dorénavant de leurs obsessions voyeuristes. Puis il mange au retour comme inapte à revenir dans la politique dont il a été exclu par une affaire qui dorénavant n’existe plus parait-il. Notons au passage que la femme de chambre aussi mange bon deux fois : à l’aller où elle était l’oubliée des émotions publiques, au retour où elle figure en qualité de menteuse, tricheuse dont il est indifférent de ce fait de savoir si oui ou non elle a été violée. Et ensuite ? D’abord il y aura une brève séquence de sanctification de DSK. Puis il sera de nouveau flétri par le doute car l’avocat de la femme de chambre n’a pas l’air de lâcher l’affaire. Il y aura un rebond. Un truc bien graveleux pour accrocher le chaland. Ce sera la troisième séquence. Et ainsi de suite. Jusqu'à ce que ça ne fasse plus vendre de papier et que l’audimat décroche. Ce n’est pas demain la veille.
Doit-il revenir dans la primaire ? Hum, une case est sautée dans cette question. C’est celle du FMI. Car il n’a démissionné qu’a cause de l’affaire qui n’existe pas. Donc s’il ne va pas aux primaires il devrait être normalement réintégré dans sa fonction. Non ? Et s’il n’y retourne pas, c’est donc pour aller à la primaire. Quel est l’obstacle s’il n’est pas coupable ? Ce que nous avons appris de son train de vie ? Mais ça, ils le savaient tous avant, non ? Ça n’empêchait rien à première vue. Bon, assez musardé. Ce qui va empêcher son retour dans la primaire, c’est que les caciques du PS ne se déterminent absolument pas d’après des principes quoiqu’ils fassent tous grand bruit à leur sujet. Comptent pour eux les sondages et les analyses « qualitatives » des instituts d’opinion. C’est tout. Si entre un avis sur la forme des barquettes de poissons et un autre sur votre odeur préférée vous répondez aux sondages que vous voulez DSK, vous en aurez. Tenez-vous le pour dit et répondez jusqu'à la dernière question en ligne pour toucher la prime.
Jour de honte pour l’Internationale Socialiste que ce deuxième vote au parlement grec pour le deuxième plan d’austérité. Ce sont les socialistes grecs, et eux seuls, qui ont fait passer ce plan, tous les autres partis votant contre, droite incluse. Ce naufrage ne tire pas un commentaire aux camarades socialistes français. Il est vrai que personne ne leur demande rien, non plus. Tous les commentaires portent sur la forme de ce qui se fait. Ainsi à propos de Martine Aubry et de sa déclaration de candidature. Le ciel bleu derrière elle, son apparence présidentielle, son logo, ça oui ! Que de commentaires ! Mais le fond : pouic ! A peine si quelqu’un a noté ce qu’a relevé Roland Muzeau, le porte parole de notre groupe à l’assemblée nationale. Lequel a bien entendu le couplet d’Aubry sur « les sacrifices à répartir » qu’un discours « réaliste » ne pouvait pas manquer de comporter et qui est une signature politique. Les commentateurs ne s’y intéressèrent pas. Les socialistes peuvent donc regarder ailleurs. Le feuilleton new-yorkais arrive à point pour relancer une diversion bienfaisante.
Je ne voudrais pas que ces lignes soient interprétées comme une mise en cause particulière de Martine Aubry. Bien entourée comme elle l’est par la gauche du parti nous espérons bien qu’elle engagera l’inversion du curseur qui, jusque là, a poussé son parti sans pause vers le centre. Je ne le dis pas parce que j’aurais des accoi
ntances. Au contraire. Les proches de Martine Aubry se sont livrés à une guerre implacable contre mes amis notamment dans mon département d’origine, l’Essonne. Pour ne rien dire de leur arrogance dans le cadre des élections sénatoriales. Qui recevra sa réplique, bien sûr. Je ne dis pas cela non plus parce que j’aurais des informations. Et encore moins parce que j’aurais des illusions. Mais seulement parce que j’ai l’espoir que la gauche du parti ait au moins obtenu autre chose que des places dans cette campagne interne où elle n’aura pas de candidat du fait de son évaporation. Car je crois que même si Aubry se contente de gauchir un peu le discours, c’est toujours ça de pris pour aider à construire une conscience de résistance dans le pays et nous finirons par en bénéficier. L’inverse nous desservirait tous. Car j’observe que la presse du «cercle de la raison» est déjà en campagne pour s’assurer que les candidats de l’opposition officielle ne sortent pas du cadre sur l’essentiel. Si Aubry fait le choix de se recentrer pour doubler François Hollande sur son terrain cela constituera un renforcement du mur de la résignation dans le pays.
Ce qui est absurde dans la situation qui résulte pour toute l’Europe de ce qui se passe en Grèce c’est que les mesures ne sont pas prises pour empêcher l’effet domino. Je veux dire dans les autres pays qui se trouvent menacés du fait des causes exactement similaires qui existent partout et produiront sans aucun doute le même résultat que celui qui s’est produit en Grèce. On me dit que c’est précisément le but du plan d’austérité « euro plus ». Je crois que c’est totalement absurde. La contraction de l’économie que va provoquer ce plan est une certitude. Comment dans ce cas remplir les caisses publiques d’impôts et de taxes si le nombre des transactions diminuent et si le nombre des personnes en état de les payer diminue lui aussi ? D’une part l’Etat de plus en plus pauvre se désagrège. La société se disloque. Faute de ressources, le déficit de l’Etat s’accroit, la dette augmente et son financement coûte de plus en plus cher accroissant encore mécaniquement la dette. On connait, c’est le cas grec. Alors que le déficit du budget de ce pays a à peine augmenté cette année après les coupes claires pratiquées, la part de la dette par rapport à la richesse produite, elle, a augmenté de plus de dix points du seul fait de l’augmentation des taux d’intérêt ! D’autre part, les personnes privées, privées d’emploi, les commerçants sans activité, et tout le maillage de base de la production et de l’échange en quel que sorte, qui ne peuvent plus payer leur dette menacent le système bancaire. Après tout c’est cela qui s’est passé avec la crise des subprimes aux USA. Au bout de ce chemin c’est le système lui-même qui s’écroule. On croit gagner du temps en étranglant tout doucement la Grèce pour éviter qu’elle se mette en défaut de paiement et ne coule les cinq grosses banques européennes dont elle est la cliente. Erreur, avons-nous démontré mille fois. Les artisans de ce plan ne peuvent l’ignorer. Je me dis : ils le savent, alors pourquoi n’en tiennent-ils aucun compte ? Pourquoi ne nous donnent-ils pas raison et ne permettent-ils pas que notre plan B s’applique dans leur propre intérêt ? Racheter la dette grecque et ouvrir les vannes de l’emprunt à taux zéro pour les autres pays pris à la gorge ne coûte rien pour finir et éteint d’un coup l’incendie.
Si notre plan B était appliqué que ce se passerait-il ? De l’inflation hurle la banque centrale européenne. Nous dirions "et alors ?". Où est le problème de l’inflation? Les sommes en causes ne feraient pas exploser cette inflation. Elle produirait juste une dévaluation raisonnable de l’euro par rapport aux autres monnaies. Et alors ? Ce serait juste une prime à l’exportation des marchandises européennes, donc un effet de relance. Bien sûr il y a un aspect très ubuesque. La banque centrale rachèterait des titres de dette grecque aux banques qui les possèdent… grâce aux emprunts qu’elles ont fait elle-même à la banque centrale, et… au prix exorbitant qu’ils ont couté à la Grèce… Mais du moins ces établissements retrouveraient leur mise et il n’y aurait pas de panique ni d’effondrement. Il sera toujours temps de les taxer sur ces profits exceptionnels. L’empêchement n’est donc nullement comptable. Seulement politique. Faire cela c’est changer le statut de la BCE. L’horreur pour les libéraux. Car si on commence là, où ira-t-on ensuite ? Donc ils préfèrent s’arcbouter sur la défense de ce qui est. Même si cela doit pour finir tout faire tomber.
277 commentaires à “Après Stalingrad, entre Argelès et Lézan”
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Bonjour à toutes et à tous
Pour avoir le texte des discours de Jean-Luc Mélenchon, et d'autres, j'ai créé un réseau sur le site d'initiatives populaires et j'ai commencé à transcrire la conclusion du discours de Lézan (je n'avais pas encore de lien vers le discours complet) et le début (en gros les 10 premières minutes) du discours place Stalingrad. Tous ceux qui veulent s'y mettre sont les bienvenus.
http://reseau.dynamique-frontdegauche.fr/reseau/discours-importants
Je continuerai ce soir ou demain, car dans la journée, au boulot, je n'ai pas accès aux vidéos, je ne peux même pas afficher les liens. C'est un peu long à faire, mais ce n'est pas non plus la mer à boire. Je suis sûr qu'à plusieurs ça va être facile.
Hier soir, comme d'aucuns l'ont signalé, remarquable documentaire sur 1936. Nous y avons vu ce que pour ma part mes parents ouvriers m'ont rapporté de leurs luttes, leurs espoirs, leurs déceptions.
En même temps, l'attaque contre la durée du temps de travail.
Ce n'est pas qu'une attaque contre les 35 heures ou ce qu'il en reste, encore moins qu'une attaque ad hominem (ad feminam?) contre Martine Aubry candidate. C'est surtout une attaque contre toute détermination par la loi (qui en république est valable pour tous) d'une quelconque durée maximale du travail.
Chacun dans chaque branche, chaque entreprise va être livré au bon vouloir du patronat.
En 1936 avant le Front Popu, ma mère dans son entreprise de haute couture avait le samedi après midi de repos après le repas payé par la patronne paternaliste, avec les luttes du mois de juin les ouvrières ont obtenu la semaine anglaise et la CGT a occupé les ateliers malgré l'avantage du repas, on avait compris qu'il fallait pour tous, dans les entreprises de luxe du 8ème arrondissement, comme dans les tréfileries de l'Oise une durée maximale hebdomadaire.
Cette remise en cause est la conséquence directe des directives européennes qui vont s'appliquer ici, non seulement notre législation du travail sur une durée déterminée maximale en place depuis avant la guerre de 14-18 est liquidée, mais notre souveraineté nationale sur le droit du travail est remis en cause.
L'Europe ne protège pas, ici elle opprime.
Votons Front de Gauche, bougeons nous, n'acceptons pas.
@ Jean ClaudeVandale – 150
Doit-on considérer comme des « cousp bas » toute information dérangeante ? Le site Bellaciao, que je découvre, affirme que Leila Chaibi, venue tout droit du NPA voici quelques mois et propulsée comme Secrétaire nationale au précariat du PG serait également directrice de casting.
Quel intérêt y aurait-il à raconter une histoire fausse ? Autrement dit, il serait bon de savoir la réalité sur cette affaire.
On ne peut certes pas demander à Jean-Luc Mélenchon de vérifier le parcours de chaque membre du PG mais il n’est pas de mauvaise politique de le faire pour chaque membre du Secrétariat national du PG qui engage de fait la crédibilité du PG et au-delà, du Front de Gauche ainsi que de Jean-Luc Mélenchon lui-même dont nous avons tant besoin pour 2012.
Mélenchon à Stalingrad le 29 juin dernier : « La France n’a rien à faire en Lybie … où l’on est passé d’une zone d’exclusion de l’espace aérien à la participation à une guerre civile dans laquelle nous n’avons rien à faire parce qu’avec de telles méthodes, nous avons fini de défigurer la révolution qui avait commencé à naitre! »
Guerre en Libye : un « non » à 51 %. Exclusif. Pour la première fois, une majorité de Français désapprouve l'intervention militaire de la coalition de l’Otan !
Un certain Me Ceccaldi, l’avocat de Kadhaf, demande à la CPI de poursuivre l’OTAN pour ses "crimes de guerre" commis en Libye …
http://www.france-info.com/chroniques-un-monde-d-info-2011-07-05-la-libye-attaque-l-otan-pour-crimes-de-guerre-548435-81-190.html?var_recherche=libye crimes de guerre
Et que se passe-t-il dans landerneau ? Juppé toujours droit dans ses bottes et plus arrogant que jamais : « Kadhafi et tous ceux qui l’entourent sont extrêmement vigilants sur les dégâts collatéraux. Et je dirais même qu’ils en rajoutent. On ne sait jamais très bien si les cadavres qu’ils montrent sont tombés sous les balles de leurs propres forces, à Misrata ou ailleurs ou sous celles des dégâts collatéraux de l’OTAN ! ». Qui dit mieux ?
Et Guetta monte au front ! « Il y a au moins un dossier sur lequel la droite au pouvoir et l’opposition de gauche convergent en France. La Libye ! À propos de laquelle le PS déclarait hier qu’il était, à ce stade, nécessaire d’y poursuivre l’engagement militaire de la France dans le cadre du mandat de l’ONU… ». Comme dit Gustave Parking, je vous laisse réfléchir là-dessus !
ThierryJay 155, qui y a t il de dérageant à être directrice de casting ? c'est le mot "directrice" qui vous gène ? y a t il des métiers à bannir ? franchement je ne vois pas ou est le problème dans cette annonce que vous faites.
@ thierryjay93 et Jean ClaudeVandale
Oubliez ce site. Ils sont connus pour démonter tout ce(ux) qui ne pense pas comme eux, y compris nous. Ce sont de faux amis.
Dans l'article que vous mentionnez, Ils affirment que Mélenchon est Sénateur... Quel sérieux !
130 @ActuAlex
Ça y est, enfin, ça arrive, d’habitude quand un commentateur de ce blog donne un lien, on ne voyait pas trop les commentaires de ce lien défendrent JL.
Quand j’ai posté mon commentaire (il y en avait 3 ou 4) ce n’était pas favorable, quand je suis revenu, pour voir si mon commentaire « Et si le 21 avril pour 2012 était Mélenchon » avait été accepté, et là ! surprise les pros FdG était là et bien là, nous sommes le peuple, rien ne nous arrêtera, quand un lien nous est transmis ici, investissons le et faisons connaître notre choix, notre programme, nos idées.
Bravo à tous.
Place au peuple.
Mon commentaire vient d'être publié à propos de l'article du point.fr (suite à 130 ActuAlex), je vois que je ne suis pas seul, les camarades de ce blog et d'ailleurs ont fait de même. Les premiers commentaires ne volaient pas haut avec des critiques gratuites et malveillantes. Je vois qu'avec la participation à ce blog, il nous est plus facile de faire des commentaires de qualité ailleurs, pour ma personne c'est certain. En tout cas vigilance, l'escouade du net est bien là, et restons informé des articles sur le Front de Gauche et notre candidat.
Salut à tous !
"Votre commentaire est en attente de modération. Si vous validez votre adresse de messagerie, votre commentaire sera approuvé immédiatement. Les instructions vous ont été envoyées par mail."
J'ai dû me planter en écrivant mon adresse mail.
Je soumets un nouvelle fois mon commentaire avec une adresse mail corrigée.
@ thierryjay93 (114)
@ ddmm (116)
Merci pour les liens. Je les ai lus et relus plusieurs fois. Malheureusement, je ne trouve pas la réponse à ma question fort simple.
Je la réitère : le FdG et son candidat préconisent-t-ils 37,5 ans ou 40 ans pour la durée de cotisation retraite au régime général ?
Bonjour à tous,
Etant un fidèle de ce site et un vrai partisan du PG / FdG / Jean Luc Mélenchon, je m'interroge cependant sur la pertinence de la critique du MPEP sur le programme du front de gauche (dont ils sont proches cependant), notamment leurs remarques sur le programme économique (les critiques sur le non respect de traités européens ou de la constitution sont par contre sans fondement puisque tout cela serait "retravaillé") :
http://www.m-pep.org/spip.php?article2083
Vous trouverez par ailleurs ci dessous un excellente intervention de grands économistes, Lordon / Sapir / Todd sur l'Europe et comment en sortir :
http://www.m-pep.org/spip.php?article2081
En espérant que Jean-Luc Mélenchon me lise ou que d'autres me répondent...
bonjour,
J'invite tout les gens de gauche à boycotter la primaire Socialiste en mémoire des peuples Grec, Portugais, Espagnol.
En effet sous ses trois pays "socialistes" il y a une équipe de socialiste qui découpe, lamine, brise l'espoir de ses peuples.
En rejetant dès la Primaire le PS vous, nous œuvrerons pour une vrai gauche. Loin des compromissions et de coup bas !
le Front de gauche est un rassemblement de citoyens qui refusent la mise en coupe réglée par un socialisme sarkozien déguisé.
Si j'ai bien compris les infos, seulement 21% des gens se disent près à aller choisir un candidat PS. Ce qui voudrait dire que nombreux sont les gens de gauche à persuader qu'ils sont trompés.
cordialement
Rétablir, améliorer et pérenniser les droits des retraités
Restauration du droit pour tous à la retraite pleine et entière à 60 ans avec 37,5 annuités validées Droit au départ anticipé à partir de 55 ans pour celles et ceux ayant commencé à travailler tôt, ainsi que pour celles et ceux ayant été astreints à des travaux pénibles. Les dispositions prises dans le cadre de la loi Fillon concernant les « carrières longues » donnent la possibilité de départ anticipé, mais seulement dans des conditions très restrictives.
Ouverture du droit au départ anticipé en raison de la pénibilité du travail exercé, reconnaître le droit à réparation pour les intéressés. Les répercussions des conditions de travail sur la santé et la durée de vie sont pourtant indéniables : l'espérance de vie à 60 ans pour un ouvrier est en moyenne inférieure de 7 ans à celle d'un cadre.
Les années d'études et de formation à partir de 18 ans doivent être validées comme périodes assimilées et prises en compte pour le calcul des droits à la retraite.
La prolongation des études, la généralisation des emplois précaires, le chômage qui touche plus de 20% des jeunes, et l'accès tardif à un emploi stable qui en résulte se traduiront en fin de carrière pour nombre d'entre eux par l'impossibilité d'atteindre 150 trimestres validés à 60 ans.
En moins de 30 ans, le début de la vie professionnelle a reculé de sept ans et l'intégration dans un emploi stable de neuf ans. Le rachat de cotisations dans les conditions fixées par la loi Fillon étant strictement limité et d'un coût exorbitant, ne peut pas être considéré comme un palliatif acceptable.
Daniel du 93 (163)
"Restauration du droit pour tous à la retraite pleine et entière à 60 ans avec 37,5 annuités validées"
Pouvez-vous me fournir un lien ? J'aimerai vérifier ! Car, voyez-vous, j'ai lu le programme partagé et je me suis aussi rendu sur le site du PG, ici : "72. Garantir le droit à la retraite". Je n'ai pas lu ce que vous affirmez.
161 beber49
Le PG a déjà beaucoup travaillé sur ces questions, ne vous inquiétez pas. Les critiques du M'PEP sont largement malhonnêtes, puisqu'elles se fondent uniquement sur le résumé du programme, en ignorant toutes nos discussions et débats, même si elles sont toujours les bienvenues... Voici par exemple une vidéo de Bernard Cassen sur comment "sortir du Traité de Lisbonne".
@ Arnold et @ tou(te)s
Votre insistance sur la question des retraites et en particulier sur la durée de cotisations a du bon.
J'ai relu très attentivement le point 72 du programme partagé intitulé Garantir le droit à la retraite et effectivement, on s'aperçoit que la question de la durée de cotisation n'y figure pas.
Il est très important d'avoir un éclaircissement sur le sujet.
Pour ma part, ce doit être 37,5 annuités.
Le mode de financement doit être assuré non seulement par une politique de plein emploi (donc davantage de cotisations) mais par une contribution sur la Valeur Ajoutée des Entreprises.
@thierryjay93
Arrêtez de relayer n'importe quoi qui sort de bellaciao.
Tout d'abord, franchement, c'est quoi le problème d'être directrice de casting? Allez ditez moi. Et puis vous allez me dire que travailler chez Mc Do c'est faire le jeu du capitalisme? Et ouais parfois on est obligé de se nourrir. D'ailleurs êtes vous surs de comment ont été fabriqués les vêtements que vous portez en ce moment?
Mais surtout, toute cette histoire relève du grand délire. Leila n'a fait que rebasculer un mail qu'elle avait elle-même reçu de cette directrice de casting. J'ai moi même reçu ce mail et l'ai rebasculé à mon tour. Suis je devenu dès lors directeur de casting moi aussi? Et comme quelqu'un l'a rebasculé sur les listes du NPA, ce membre du NPA est il aussi devenu directeur de casting de fait?
Le mec qui a posté ça sur bellaciao est un membre du NPA qui est dégouté de ce qu'est devenu le NPA et qui vomit sur tous ceux qui l'ont quitté comme Leila.
Alors avant de demander des comptes à une camarade, faisons attention !
@Tagnoli et @ d'autres
Pour moi, il n'y a pas l'ombre d'un problème de travailler comme Directrice de casting (c'est un job comme un autre qui n'est pas illicite, ni amoral) mais il est clair que ce job a la particularité, en général, de favoriser, par définition, la précarité. Les personnes recrutées dans le cadre d'un casting le sont dans le cadre d'un contrat de mission de très courtes durées éventuellement renouvelables.
En revanche, les explications que vous donnez d'une part sur le fait que Leila n'est pas davantage que vous et que moi, Directrice de casting suite à un mail, et d'autre part sur le site Bellaciao et sur les attitudes bassement vengeresses d'un membre NPA mettent un terme à cette affaire qui n'en est en définitive pas une.
Cher Jean-Luc, si non déjà fait je vous recommande la lecture de l'article de Serge Halimi dans Le Monde Diplomatique de juillet : " Ne rougissez pas de vouloir la lune".
En réponse à votre question : "... pourquoi ne permettent-ils pas que notre plan B s'applique..." il écrit : " Loin d'être folles les politiques mises en œuvre sont rationnelles. Et, pour l'essentiel, elles atteignent leur objectif. Seulement, celui-ci n'est pas de mettre un terme à la crise économique et financière, mais d'en recueillir les fruits, incroyablement juteux. Une crise qui permet de supprimer des centaines de milliers de postes de fonctionnaires (en Grèce, neuf départs à la retraite sur dix ne seront pas remplacés), d'amputer leurs traitements et la durée de leurs congés payés, de brader des pans entiers de l'économie au profit d'intérêts privés, de remettre en cause le droit du travail, d'augmenter les impôts indirects (les plus inégalitaires), de relever les tarifs des services publics, de réduire le remboursement des soins de santé, d'exaucer en somme le rêve d'une société de marché- cette crise là constitue la providence des libéraux. En temps ordinaire, la moindre des mesures les aurait contraint à un combat incertain et acharné ; ici, tout vient d'un coup..."
L'article se termine par la citation de l'exhortation que Jean-Paul Sartre prêtait à Paul Nizan : «Ne rougissez pas de vouloir la Lune : il nous la faut».
Cordialement.
@ arnold (164) et thierryjay93 (166)
La revendication, déjà très ancienne du départ à la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités a été formulée, entre autre par la CGT et le PCF lors de la bataille contre la réforme Fillon de 2003.
@ Nicolas B 159 ; vous avez raison, sur blog nous trouvons des commentaires d'excellentes qualités, mais aussi des articles a lire, a voir et à surveiller.
C'est une façon à nous de contribuer à faire avancer le FdG et son leader.
J'ai revu sur pluzz le documentaire sur le front populaire, je vous le laisse : http://www.pluzz.fr/le-front-populaire--a-nous-la-vie.html
Un petit rappel de ce qui ne faut pas refaire :-)
Jean-Luc Mélenchon titre "em>Ce qui est absurde dans la situation"
Quel meilleur titre pour parler de l'arrivée de Valls dans la primaire PS !
Il dit ceci et c'est cela que nous devons retenir pour éviter ce marécage socialiste qui s'ouvre sous nos pied avec la Grèce et le Portugal : «représenter une gauche moderne et décidée à dire la vérité», Valls veut assumer sa ligne souvent à rebrousse-poil de celle socialiste: «Ce devoir de vérité, je veux le porter et l’imposer comme un débat essentiel, posait-il ce matin sur RTL. Chaque candidat devra dire sur quelle vérité il s’engage, quelles sont les différences entre nous, pas uniquement de style, de génération ou de nuance.»
La première vérité est de savoir maintenant quel est la place du PS dans l'échiquier politique et force est de constater qu'ils sont plus proche de l'UMP que des partis de gauche.
La deuxième vérité c'est qu'il n'y a plus un seul PS, mais une multitude de chapelles dont l'électeur sera berné au final dans des promesses aussi vide de sens que la phrase du dessus de Valls.
J'appelle les électeurs socialistes à rejoindre massivement le Front de gauche s'ils considèrent que leur parti ne les représente plus comme entité de gauche.
Sur les retraites, sur la sécurité publique, sur les contrats précaires de travail, Valls n'est pas plus socialiste que l'UMP. Elle est là la vraie nuance. Le projet de Valls c'est l'UMP en light !
@rachel
Vous me semblez un peu virulente en traitant les membres du MPEP de malhonnêtes, ils est utile je pense d'écouter d'autre points de vue, surtout ceux d'éminent économiste comme eux.
D'ailleurs, ils écrivent bien "Le M’PEP est disponible pour tout contact et toute réunion de travail."
Bref des gens ouverts en somme.
A suivre. ;)
@ ThierryJay 154,
surtout que dans les métiers du ciné, de la télé, du spectacle en général, il y a énormément de précaires. Car cela ne concerne pas que les comédiens, c'est aussi vrai pour les techniciens, les administratifs (ceux chargés d'organiser), il sont généralement tous intermittents du spectacle et très souvent pour ne pas dire presque toujours, même certaines grandes réalisation, y compris pour les étranges lucarnes, ils ne sont payés que la moitié du temps, leur employeur leur disant que pour l'autre moitié, ils vont toucher les allocations chômage !
@ 37,5 comme avant
Quand je lis, au chapitre "propositions ":
« Maintien du droit au départ à 60 ans à taux plein et le rendre effectif dans les régimes complémentaires, où l’âge de départ reste fixé à 65 ans. Arrêter l’augmentation de la durée de cotisation et revenir vers une durée permettant un départ effectif à 60 ans sans pénalisation. », je me demande, s'il est si important que cela de quantifier urgemment cette durée dès lors que l'objectif est -mieux encore que symboliquement- clairement signifié.
Quantifier la période, ce doit-être aussi en qualifier les composantes : études, travail, congés enfant-éducation, chômage, formation, maladie, c'est aussi, « prendre en compte la pénibilité », « permettre des départs anticipés en retraite » à ceux qui ont connu des « conditions de travail dégradées ».
@ mongraindesel 175
"... je me demande, s'il est si important que cela de quantifier urgemment..."
Réponse : bien sur que Oui. Savez-vous ce que c'est que de bosser 2,5 ans de plus lorsque l'on est usé ?
Il y a 2 ans, j'ai eu l'occasion de lire sur le site du PG : 37,5 ans. Pourquoi faire disparaître cette référence, aujourd'hui ? Quelle en est la raison ?
@Daniel du 93 170
"La revendication, déjà très ancienne du départ à la retraite à 60 ans avec 37,5 annuités a été formulée, entre autre par la CGT et le PCF lors de la bataille contre la réforme Fillon de 2003."
Vous avez raison. Aussi celle-ci doit apparaître clairement formulée dans le programme partagé.
Certes les commentateurs de ce blog forment l'escouade du net mais on ne va bientôt plus savoir où donner de la tête et ne plus être efficaces. Un minimum d'organisation et de coordination s'impose. Pour ne parler que du Front de gauche, chaque force a son site et chaque porte-parole son blog. Bon sur certains on ne peut pas mettre de commentaire donc d'une certaine mesure ça nous facilite la tâche.
A part ce blog très fréquenté et qui est irremplaçable car en contact direct avec Jean-Luc Mélenchon qui lit nos commentaires, deux sites viennent d'être créées à vocation à s'adresser à tous les citoyens intéressés par le front de gauche :
1) le site Initiatives citoyennes géré par Frank Mouly (PCF) qui d'ailleurs (voir l'Huma d'aujourd'hui) vient d'ouvrir le site "La commune". Frank Mouly ayant à gérer deux sites ne s'occupe bien d'aucun des deux et les demandes sur le site initiatives citoyennes stagnent et seuls 161 internautes se sont inscrits (sur 1600 signataires de l'appel). Ils ne viendront sur ce site que si ça vit comme ce blog. Il y a plein de camarades disponibles pour aider, encore faut-il les solliciter.
2) le site Place au Peuple dont le directeur de publication est François Delapierre (PG). Des documents sont publiés sur ce site mais par exemple une demande plusieurs fois réitérée de traduire en texte les discours est restée lettre morte. Du coup Jacques87 s'y colle. ça ne va pas. Les versions électroniques de ces discours existent ou si elles n'existent pas il y a des logiciels qui permettent de le faire et ceci systématiquement et pas chacun pour sa pomme ou pour son organisation mais pour le mettre à disposition de tous et toutes.
Beber49, Rachel 165, j'ai également écouté les vidéos, la table ronde de M'PEP. J'ai beaucoup appris et comparé avec notre programme. Je veux retenir que pour l'essentiel, ils sont ok sur notre ligne, même si émergent ici et là des doutes dont il faudra vérifier leur fondement. Ils nous appartiendra de rester vigilants et de ne pas commettre l'erreur de rester attentistes comme en 1981. C'est comme cela que je comprends le sens de la révolution citoyenne.
Bon, les gars, on se fait piquer le fond de commerce. Fini l'UMP, maintenant, il y a la Droite Populaire et aussi la Droite Sociale.
Alors pour s'y retrouver, c'est facile: la Populaire, c'est celle qui attaque l'immigré et l'insécurité et la Sociale, c'est celle qui attaque les pauvres et les chômeurs. Vraiment populaire et sociale non ?
Et on continue, une demi-année de plus à faire, la fin du contrat de travail et des 35 heures, etc., et çà passe. On continue à chauffer la marmite et la grenouille ne dit rien.
Essayez de lui piquer Desperate Housewives ou Secret Story à la grenouille, vous allez voir comment elle se rebiffe, mais le reste ce n'est pas grave.
Jake, qui lui chauffe de plus en plus
Je n’ai peut-être pas tout compris avec le Mpep mais je croyais qu’ils étaient en pourparlers avec le front de gauche et qu’ils avaient rompu les discussions, peut être que je me trompe, mais si c’est vrai, pourquoi écrivent-ils sur leur site "Le M’PEP est disponible pour tout contact et toute réunion de travail." Alors qu’ils ont rompu les discussions ?
@gérard 178
Des sites évoluant dans le même axe que celui du blog de Jean-Luc Mélenchon il y en a plein ! Voir la partie basse du blog avec "sites et blogs d'amis"
Du moment où nous sommes un rassemblement de plusieurs entités il n'est pas obligatoire de vouloir organiser et recentrer les débats vers certains sites plutôt que d'autres. La finalité est la même. Chacun où qu'il soit peut participer (ici comme ailleurs) à ce que Jean-Luc Mélenchon est le pouls de la population de gauche.
Par exemple j'en vois qui commencent au PS à faire leur deuil de la retraite à 60 ans. Grave erreur car ce sont les électeurs qui décident ou non de revenir à 60 ans. Sarkozy, Valls ou quelques autres du PS peuvent bien causer autant qu'ils veulent, nous la retraite au Front de gauche c'est 60 ans. Sarkozy pour se faire plaisir est venu nous chatouiller pendant 1 an avec ses réformes de pacotilles, en 2012, on repose le dossier sur la table et la retraite à 60ans revient d'actualité !
L'important pour les gens est de savoir où ce trouve le camp à gauche qui changera réellement les choses. Eh bien c'est le Front de gauche !
La responsabilité de chaque personne se réclamant de gauche, de chaque précaire, des retraités, des chômeurs est de voter massivement FdG. Valls à dit ce matin que le FdG ne serait jamais au 1er tour. Ça doit lui venir de sa teinte naturelle à être proche de l'UMP. Relevez la tête et préparez vos cartes d'électeurs. Le 1er tour sera la claque qu'on doit donner aussi bien à l'UMP, qu'au PS.
Dernières nouvelles du Portugal (d'après l'AFP) : " Incompréhension et indignation après la dégradation du Portugal par l'agence Moody's. Moody's a baissé de quatre crans la note à long terme du Portugal (à Ba2)
La décision de l'agence de notation suscitait incompréhension et indignation, alors que le pays commence à peine à mettre en œuvre le programme d'aide de l'UE et du FMI."
Si tout cela n'était si affligeant, ça serait presque comique. Cette décision soulève une vague d'indignation paraît-il. Ce qui me scandalise, c'est toutes ces larmes de crocodile versées maintenant. Ça fait des années que ce système ultra libéral piétine la démocratie et les peuples en donnant tout le pouvoir à une poignée d'individus non élus constituant cette oligarchie totalitaire qui décide de tout.
Les indignés de la dernière heure, qui découvrent la lune, pleurnichent à la suite de la décision de l'agence "alors que le pays commence à peine à mettre en œuvre le programme d'aide de l'UE et du FMI." Qu'ils sont niais ! C'est précisément parce qu'ils se sont soumis à l'UE et au FMI qu'on les enfonce encore plus. Il fallait comme l'Islande les envoyer promener. Il est bien temps maintenant de découvrir l'absurdité et l'injustice de ce système. Il ne fallait tout simplement pas le mettre en place !
Comment les gouvernements des démocraties ont-ils pu concevoir et admettre, à moins d'avoir complètement perdu les pédales, que les peuples soient soumis aux diktats de quelques officines de notation, non élues, illégitimes et mêmes illégales en regard des principes juridiques les plus basiques, y compris constitutionnels, qui régissent les démocraties ?
En démocratie le peuple est souverain. C'est à lui et à lui seul de dire dans quel monde il veut vivre et d'établir les règles du jeu. Ces agences, le FMI, l'OMC, la BCE, la Commission, ras le bol ! Que se vayan todos !
@ Jean-Louis CHARPAL – 183
Sur l’indignation soulevée par la dégradation de la note du Portugal par l’agence Moody’s, ce qui est franchement scandaleux, et tragi-comique, c’est qu’elle émane du Président de la Commission de Bruxelles, Manuel Barroso, qui chacun sait, est portugais.
Il a donc fallu que son propre pays soit scandaleusement attaqué par une agence de notation pour s’en indigner.
Oui, en démocratie, le peuple souverain, et ces indignations par ces importants sont abjectes car déplacées. Au final, qu’ils s’en aillent tous !
Vu hier le docu du Front Popu (front…aussi) à pleurer de joie. Puis d'épouvantes pour la suite et fin. Je regardais les orateurs (Blum) qu'on voyait en pied à l'époque (sans tribune) très différent de voir le corps bouger de l'orateur (il sautillait c'était inattendu) et je pensais à vous. Les sujets qu'on nous montra qu'il abordait était très concrets de la vie des gens. Quelle fête ce fut, mais si courte en fait. On en rêve tellement qu'on l'amplifie. Merci de Gaulle d'avoir tout remis en ordre (grâce au CNR évidemment).
Alors est-ce qu'on peut le reproduire. On en rêva avec Mitterrand, on y crut. Et maintenant ? On le peut. Mais encore ? Ils (les PS) veulent nous faire tellement peur avec Le Pen qu'ils peuvent y réussir. Et Montebourg qu'attend-il pour être cohérent, et ça depuis 2005. Et Filoche ? de même. Quant au NPA, sur le net, tout le monde les critique. Eh voui sur le net vous avez la majorité de la gauche (pas l'autre évidemment qui a prit le même nom que nous).
DSK je dis/écris de même que vous depuis le début. Et je suis femme, et je fus choquée de la position des féministes (et pourtant je le suis depuis années 60) qui marchèrent dans le train sans prendre de recul aucun.
Maintenant c'est du sérieux vous parlez pour nous publiquement, vous nous représentez, faites-nous honneur et on vous renverra la pareille.
182 @redline69
Ce qu’ils n’ont pas encore compris, c’est qu’en 2012 il va y avoir un autre 21 avril, mais c’est JL Mélenchon qui sera la surprise pour le 2ième tour. Et les Valls iront voir si il reste encore des « blacks » dans leur circonscription.
@ 178 Gerard Blanchet
Juste, je ne le fais pas pour ma chapelle, je suis du PG et c'est bien sur le site du PCF que j'ai mis le réseau pour ceux qui voudraient m'aider à transcrire, j'ai copié ici ton lien : http://reseau.dynamique-frontdegauche.fr/ - ouf c'est bien le même site.
Et dès qu'une transcription sera réalisée et si possible relue, c'est pour la mettre à la disposition de tous.
D'abord l'une de mes filles est mal-entendante, mais elle veut, elle aussi, faire partie de la révolution citoyenne, alors elle met son casque, et quand l'orateur est de face, elle lit sur ses lèvres, mais quand il se tourne, ou que le cadreur prend un autre plan, pour peu qu'il y ait un peu de bruit - vent, applaudissement, elle ne capte plus.
Alors c'est sûr, si il y a des logiciels qui le font, ça ira plus vite. Sinon à plusieurs on peut le faire, c'est pour tout le monde, et ça vaut le coup.
La situation politique de la France à l'époque n'était finalement pas si différente d'aujourd'hui : un PCF faible électoralement mais fort en militants, une gauche républicaine appelant au rassemblement mais pestiférée par les «purs» et un centre gauche ayant beaucoup d'élus mais peu enclin à changer l'ordre des choses. Et un contexte de défiance générale envers les hommes politiques dont l'extrême droite cherche à profiter. Mais dans l'ensemble les gens continuaient à voter à droite, préférant le statut quo à un changement qui risquerait de ne pas se faire dans le bon sens.
Le documentaire met en exergue trois erreurs fatales du Front Populaire : avoir cherché le pouvoir par le biais d'une alliance avec le centre gauche qui n'a pas tardé à mettre de l'eau dans le vin du programme et à phagocyter le Front à la première occasion, avoir eu la naïveté d'ignorer la capacité des marchés à mettre une économie à genoux si ils n'étaient pas tenus en laisse (même à l'époque !), et le fait de s'être trop centré sur les ouvriers, oubliant les autres classes. Le parcours du Front Populaire est plein de leçons à retenir finalement, c'est un bon indicateur de certaines erreurs à ne pas reproduire. Et même avec toutes ces erreurs et compromissions, des réformes ont survécu jusqu'à aujourd'hui… qu'est-ce que ça serait si elles étaient évitées !
J'ai eu une idée, peut être extravagante, mais je vous la livre : La 2 est aussi l'oreille du pouvoir, alors peut être que ce documentaire (excellent) était un message subliminal. En fait il faisait passer : regardez quand la gauche
la vraie, la bonne, se réunit, regardez le résultat. Car ils ont insisté sur la fin, et non sur la forme.
C'est une drôle d'idée, n'est-il pas ?
@150 et 153
Leila Chaibi serait directrice de casting ! et secrétaire national au précariat...
Et alors ?
Mon oncle et parrain, fils de biffin, taulier chez Simca, puis chaudronnier, compagnon et enfin chef de l'atelier chaudronnerie, a travaillé trente ans chez Dassault, l'aviation, le sommet du panier pour un chaudronnier (il s'agit de faire les maquettes d'après les projets des ingénieurs, maquettes qui seront les matrices des pièces de l'avion à venir). Désavantagé par sa naissance, par son enfance, par la misère, par le STO, il collaborait donc à enrichir un capitaliste de droite par ailleurs dans l'industrie de la mort.
Toute sa vie, il a voté à gauche...
Il fallait le pendre ? Il n'aurait pas pu devenir Secrétaire national au PG ?
a génialle
Tout a fait d'accord avec vous et je pense qu'il y aura encore des émissions comme celles ci et j'espère que Jean-Luc Mélenchon nous donnera son sentiment sur cette dérive subliminale.
Les sondages sont vraiment du pipi de chat et compagnie
Mais certains, faits en dépit du bon sens, finissent par amuser, et même par faire rêver... Sur 3000 participants, un échantillon comme un autre, tout dépend de la question qu'on pose
Là, c'est : et si vous aviez à choisir entre Sarkozy et Mélenchon ?
Elle me plaît bien, moi, la question. Chiche, Ipsos, CSA, etc, vous la tentez ?
http://www.presidentielle-2007.net/sondage-sarkozy-vs-melenchon-33.php
Lionel Jospin a dit un jour : "Mon programme n'est pas socialiste". Valls qui multiplie actuellement les déclarations réactionnaires pourrait dire : "Je ne suis pas socialiste". Personne ici ne le contredira. Alors que Valls adhère à l'UMP, que Montebourg rejoigne le Front de Gauche et que le PS se saborde. On y verra plus clair.
Bonsoir à tous,
Un petit mot pour rejoindre le fait que le PS en Europe n’est plus en phase avec son passé. Une note publiée par Mr Di Rupo, président du parti socialiste de Belgique nous offre un large éventail des mesures spectaculaires qui seront proposées aux autres partis en vue de former un gouvernement. Les compromis qui s’y trouvent sont comme des coups de poignards dans le dos des travailleurs ; rien sur la grande fraude fiscale, rien sur les types d’emplois qui seront créés à l’avenir (remplacés), et bien entendu rien sur l’avenir de la Belgique face aux idées nationalistes du parti flamand NVA.
Ne vous trompez pas, la vraie, la seule gauche est celle qui ne baisse pas les bras face aux excès du capitalisme fou.
@ arnold 6 juillet 2011 à 14h51
« ….Il y a 2 ans, j'ai eu l'occasion de lire sur le site du PG : 37,5 ans. Pourquoi faire disparaître cette référence, aujourd'hui ? Quelle en est la raison ? »
Je crois comprendre, à la lecture complète du texte du PG, que le problème est, outre le temps de carrière, de quoi celle-ci est-elle faite, sachant que toutes les générations n'ont pas connu le même contexte socio-économique.
Je connais, comme vous, des anciens qui ont leur retraite à taux plein depuis quelques années déjà, je doute, et vous invite à douter avec moi, que leur petits enfants, voués au précariat après de plus longues études (fut-elles brèves), aient loisirs d'y accéder dès 60 printemps s'il leur faut justifier des mêmes 150 trimestres.
On ne va pas ici comparer, de trimer ou de galérer, ce qui use le plus.
Que l'on convienne de ce qu'il faut pour que la règle générale soit un bon départ à 60 ans.
Ceci dit, je partage avec vous l'idée qu'il est dégueulasse de modifier les termes du contrat pour ceux qui ont vécu et travaillé depuis de nombreuses années avec l'idée de leur retraite à 60 ans.
Mais pas seulement, car si inscrire « 37,5 » suffirait à faire le bonheur des uns, d'autres, du fait qu'ils comptent leurs périodes d'activité en heures plus souvent qu'en trimestres, peuvent se dire que l'important c'est que le calcul soit adapté, pour l'avenir, à leur réalité, et il ne saurait trouver avantage ni à 41, ni à 37,5, ni même à moins, si pour valider ils rencontrent l'obstacle de quelques conditions subsidiaires.
Et la Syrie dans tout cela ? Il faut s'étonner du mutisme général et de l'inaction de l'ensemble de la gauche par rapport à l'effroyable répression que subit le peuple en révolte dans ce pays. Que le PS et ses alliés soient muets, on ne s'en étonnera guère.. Mais que fait le Parti de Gauche ? Au lieu de s'appesantir sur les bassesses médiatiques ou sur le cas DSK, le problème syrien me semble mériter au moins autant d'attention que la Tunisie, l’Égypte ou la Libye. Qu'attendons nous pour interpeller la gauche et mobiliser ? Faut-il attendre de découvrir les charniers de la répression pour agir ? Faut-il attendre les élections de 2012 et l'avènement du front de Gauche, c'est à dire peut-être la saint-glinglin ? Avez vous interpellé le parlement européen pour lui demander de prendre position en faveur d'un soutien appuyé aux mouvements des travailleurs syriens ?
Bonjour à toutes et à tous.
j'ai mis la transcription du discours de Jean-Luc place Stalingrad sur le site d'initiatives citoyennes :
http://reseau.dynamique-frontdegauche.fr/article/discours-de-jean-luc-mélanchon-le-29-juin-2011-place-stalingrad
quand le texte aura été relu (merci aux volontaires) et corrigé, j'en ferai un.pdf
amitiés militantes.
@ redline69 [162]
Boycotter ou pas les primaires socialistes ne se pose pas pour moi. En effet, pourquoi irai-je voter pour élire un(e) candidat(e) d'un parti de droite (oui, le PS est bel et bien un parti de droite, et nous, nous ne sommes pas l'extrême gauche mais la gauche, tout simplement) ?
Quant on y réfléchi un peu, le PS est un mélange improbable d'idées et de personnalités : un Valls dont on se demande le pourquoi du comment de sa présence au PS alors qu'il serait si bien à l'UMP, un DSK millionnaire bien placé pour comprendre ce que ressent un smicard, une Royal qui n'est pas contre un drapeau français dans chaque foyer français (ça ne vous rappelle rien ? pourquoi pas le port du béret avec la petite moustache obligatoires), un Kouchner qui se dit socialo et qui devient ministre dans un gouvernement d'extrême droite, et j'en passe des moins connus, étiquetés socialistes tout en faisant partie de la grande bourgeoisie.
Nous savons pertinemment que si le PS passe au pouvoir, sa politique ne sera que la continuité de la politique actuelle et que les grandes fortunes de ce pays pourront continuer à dormir sur leurs deux oreilles.
Ces gens-là sont persuadés, avec un train de retard, que les électeurs voteront utile au 2nd tour. Pour ma part, même si c'est le PS contre le FN, je ne me déplacerai même pas pour aller voter : je ne souhaite pas participer à une parodie de démocratie d'opérette. Maintenant, ça suffit.
Nicolas VDR (197)
Tout à fait d'accord avec vous sur le vote utile ! Je ne m'investirai électoralement qu'en direction du Front de gauche en espérant très fort qu'on sera au deuxième tour ; sinon en mauvais élève, si consignes au deuxième, je ne les respecterai pas et je m'abstiendrai. Mélenchon au deuxième tour face à Le Pen, ce serait un sacré challenge. La claque et au PS et à l'UMP d'être ratatinés dès le premier tour, ce serait une bonne punition pour eux. face à Marine Le Pen au deuxième tour, Jean-Luc aurait toutes ses chances. Je n'ose quand même pas imaginer que l'extrême droite pourrait l'emporter face à la vraie gauche. Même les déçus du Sarkozisme qui seront tentés de voter Le Pen ne seront pas aussi nombreux que les déçus du socialisme qui auront choisi de voter pour le front de gauche !
@Génialle
Tout à fait d'accord avec toi, j'ai aussi été gêné par cette fin qui semblait siffler la fin de la récré et nous montrer des ouvriers battus, résignés, comme pour nous préparer à ne pas nous laisser aller à voter pour la vraie gauche car "rappelez-vous comment tout ça a fini en eau de boudin".
Comme s'il n'y avait plus eu de lutte, plus eu de victoire sociale, plus eu d'espoir, plus eu de mieux après (eh, 68, 81, ça a existé, et d'autres 68, d'autres 81 peuvent et vont encore exister !).
Ne nous laissons pas endormir, stériliser, anesthésier, et de toutes façons, il y a plein de gens qui ne l'ont pas vu ce documentaire sur 36, et qui n'en n'ont pas besoin pour avoir le courage et la rage de lutter.
Bises à tous !
Mélenchon Présidons !
196 @Jacques87
Très bonne initiative, mais avant il faudrait aérer le texte, ne pas hésiter à aller à la ligne et faire des sauts de lignes toutes les 8 à 10 lignes ou sinon c’est trop confus.
Excuses-moi pour cette remarque
Bon courage Louis
@ 200 Louis st O (PG31)
Merci pour tes encouragements, pour ta remarque tout à fait justifiée, pour le moment ce n'est que la première étape, voir et écouter la vidéo sur mon ordinateur de bureau, par petit bouts, faire pause, recopier les paroles sur mon ordinateur portable, et ainsi de suite, (ça prends plusieurs heures (et là plusieurs, c'est pas une ou deux) pour 40 minutes de discours) objectif : capter tout le texte.
Ensuite, et je redis les volontaires sont les bienvenus, ré-écouter la vidéo avec le texte sous les yeux, pour vérifier que ceux qui ont transcrit (j'espère ne pas rester le seul) n'ont rien oublié, et éventuellement regardent aussi la ponctuation.
Ensuite que quelques uns relisent pour l'orthographe.
Le top du top ensuite serait que l'orateur relise le texte pour y mettre sa ponctuation, ou qu'il indique ce qu'il faudrait mettre en gras, en italique, etc...
Et ensuite il faudra, comme tu le dis, mettre en page, aérer, soigner la finition,
Puis en faire un fichier pdf, et si ce site veut bien, ce serait probablement le meilleur endroit pour le mettre à disposition de tous.
salut et fraternité