29mar 12
J'apprends avec stupeur que la notion de droit à l'eau pourrait disparaître du texte de base de la prochaine conférence des Nations Unies pour le développement durable, Rio + 20.
Ce droit a pourtant été reconnu inaliénable par l'assemblée générale de l'ONU le 28 juillet 2010.
Les arguments avancés pour justifier ce retrait sont d'un cynisme confondant. La conférence de Rio vise à développer « l'économie verte » et ne se préoccupe pas de droit, mais d'opportunités économiques !
Une nouvelle fois, nous assistons à la cruelle démonstration qu'il ne peut y avoir de capitalisme vert.