09avr 12
Finalement je n’ai pas eu le temps de faire l’apprentissage de la technique qui m’aurait permis de faire des petites vidéos comme je l’avais prévu. Je reviens donc à mon clavier. Il sera question de ma semaine passée, de notre rassemblement de Marseille, de la semaine où le chiffrage de notre projet a été sur la sellette, et où vous avez été décrits dans la presse quotidienne écrite comme un ramassis de groupies autour d’une rock star de la politique.
En illustration de ce billet des images prises à Toulouse la rouge le 5 avril : un film « time laps » de 13 000 photos de la place du Capitole, prises de 3h du matin à 23h le soir, puis des portraits de participants rassemblés, attentifs et heureux. Film : Eric Delion. Photos : Stéphane Burlot.
Ce que je viens de vivre, c’est sûrement le plus long tunnel d’action de toute ma vie politique. Après un mois sans pause, une semaine qui fila au rythme d’une réunion publique chaque jour du Bataclan à la place du Capitole de Toulouse. Sans oublier le vendredi tout l’après-midi où l’on enregistrait les clips pour la campagne officielle. Je ne fis juste qu’une pause cet après-midi-là pour répondre à l’invitation qui m’avait été faite d’aller saluer les sidérurgistes de Florange sur le Champ de Mars. Si rude que cela soit ce n’est peut-être rien à côté de ce qu’endurent mes proches camarades, garçons et filles de tous âges qui sont sur le pied de guerre nuits et jours. Quand je dis « mes proches », en fait je parle des deux cent personnes qui tiennent à bout de bras la campagne en première ligne, quelle que soit leur tâche. Disons aussi qu’un savoir-faire extraordinaire s’accumule dans cette circonstance. De tous âges, je veux le répéter, ceux qui m’entourent ne sont plus les mêmes qu’il y a quelques semaines. Tout comme moi. Et ce que j’en dis ignore ce que font par millier, et de leur propre initiative, tant de gens qui mènent campagne de tous côtés. Je nous évoque tous ensemble de cette façon parce que c’est selon moi une composante extrêmement significative du moment politique que nous vivons. L’impact de cette campagne sur nous tous, notre transformation comme individu et citoyen à mesure que s’approfondit l’effet que notre action provoque, fait de nous d’autres personnes. De cette mutation nous avions eu un avant-goût avec le référendum de 2005. Que de choses avaient ensuite changé dans nos manières de voir et de penser ! J’en suis une sorte d’illustration puisque ma rupture personnelle avec le PS partit de la brûlure ressentie dans une expérience qui était pour moi comme des retrouvailles avec moi-même. Mais le choc le plus important c’était d’avoir été majoritaires avec 55 % des suffrages. D’un coup, plus rien ne fut pareil. Ni pour nous, ni pour nos adversaires. Nous avons su que « nous on peut ». Et eux aussi, ils ont su que nous en étions capables. Déjà un grand effet d’homogénéisation politique s’était produit entre tous ceux qui s’étaient engagés dans la bataille. Ce que nous vivons aujourd’hui est un multiple en intensité. Cela du fait même de l’objet de l’élection. Maintenant est posée la question du pouvoir. Ceux qui s’impliquent dans la bataille sont conduits à prendre en charge ouvertement toute une vision du monde, un programme et la manière de le faire vivre. A mesure que les discussions ont lieu, que les rassemblements se font, que se diffusent nos idées et que se disent les adhésions à notre bulletin de vote, nous changeons. Un fantastique parti politique se constitue, parti sans murs, sans carte, sans consigne ou presque, infiniment plus discipliné dans l’action pourtant que bien d’autres en ce moment et avant nous. Car qu’est-ce qu’un parti sinon un programme et une action concertée pour le servir ?
Je suis très attaché à notre dispositif de rassemblements de masse sur les trois places, à la Bastille, place du Capitole et à Marseille. J’ai bien noté que les autres candidats nous imitaient. Je les vois maintenant eux aussi occuper les rues et parfois même se risquer sur des places avec des succès souvent mitigés. Dimanche prochain le PS convoque au bois de Vincennes et l’UMP place de la Concorde. Vous allez voir la différence du traitement médiatique ! Et aussi les chiffrages. On va bien rire je crois. Mais rien de tout cela ne se compare à ce que nous faisons. Car nous ne sommes pas engagés dans des opérations de communication. Nous travaillons des répétitions générales de l’insurrection citoyenne. A l’appel du comité du Front de Gauche, lucidement, à leurs frais, et sans aucun avantage à prévoir, dans un inconfort souvent notable, des dizaines de milliers de gens se mettent en mouvement. Pas un abribus de cassé, pas une poubelle renversée. Le rassemblement et la dispersion se font sans anicroche. Et pour quoi faire ? Soutenir l’idée d’un changement de régime, d’un changement de république. Ce n’est pas une petite affaire. Tant mieux, finalement, si l’adversaire en est encore à jouer au PMU politique, si tous ceux que nous affrontons dans cette partie croient à leur propre propagande à notre sujet. Plus longtemps nous avançons à couvert, plus tranquillement et plus profondément se font notre maturation politique collective et notre apprentissage organisationnel pour les tâches que nous avons à accomplir pendant et après l’élection.
Le rendez-vous de Marseille est pour nous un point d’orgue dans les rassemblements pour la sixième République. Il se pourrait que ce soit la plus importante des trois mobilisations. Elle est placée sous la protection de tous les marseillais. Quelles que soient leurs opinions ils savent que tout le pays va regarder de leur côté. Marseille, dans ces conditions, devient une sorte de phare politique. Le lendemain auront lieu les rassemblements parisiens du PS et de l’UMP. On va voir ce qu’on va voir. Sur place, s’il n’y a pas de risques liés aux lieux ou aux intempéries, je pourrai aller plus loin que la conclusion du cycle des discours sur la nouvelle république que j’ai entrepris de faire d’un rassemblement à l’autre depuis la Bastille pour définir notre projet. La forme ramassée de mes discours et les effets poétiques que je me fais un devoir d’y introduire sont destinés à faciliter le travail politique de tous nos amis quand ils doivent ensuite expliquer autour d’eux ce qu’est la sixième République. A la Bastille, j’ai évoqué les principes fondamentaux de liberté individuelle et de responsabilité écologique de notre projet de changement. A Toulouse je suis entré plus avant dans la question de la souveraineté du peuple telle qu’elle se pose aujourd’hui. A Marseille je vais sans doute passer au thème de la République sociale nouvelle que nous voulons établir. Mais le discours que je prononcerai après ceux de mes camarades, encore une fois, ne sera qu’une partie de ce que qui se jouera ce jour-là. Le premier enjeu reste notre nombre et notre capacité à nous mobiliser pour marcher ensemble. Car la démonstration de force, comme vous le savez dorénavant, renforce la force et fait partie du rapport de force. Une semaine avant le vote ce n’est pas secondaire s’il s’agit bien, comme nous le disons, de faire du vote une étape à l’intérieur d’un parcours plus long dont la révolution citoyenne est l’objet et non le changement des personnes aux mêmes fonctions. Après ce rassemblement, notre campagne de premier tour se conclura à Paris au parc des expositions de la Porte de Versailles. J’en parlerai bientôt car c’est un moment très particulier dans mon esprit et dans la stratégie de campagne
Les quinze jours qui arrivent sont la période des grands rapides. L’espace-temps politique se contracte. Bruits, rumeurs et effets de surprise ont une intensité et un impact d’une force qu’ils n’ont à aucun autre. Chaque semaine, c’est bien normal, l’angle d’attaque contre nous se déplace et varie ses arpèges. Dans la presse quotidienne écrite bien sûr, le fond d’hostilité aveuglée reste le même. Et davantage encore le mépris. Cette semaine, c’était celle du chiffrage catastrophiste contre le programme du Front de Gauche. De bonne guerre même si la charge n’est pas de bonne facture. Mais il y avait aussi plus croustillant, c’est-à-dire plus personnel. C’était la semaine « Mélenchon super rock star ». Insultant à souhait contre nous tous qui nous voyons réduits au rôle de troupeau de bétail électoral stupide. Ce n’est qu’un avant-goût peut-être. Car cette semaine j’ai noté une recrudescence des mails qui m’attribuent des revenus immenses, campagne à l’initiative de l’extrême-droite mais relayée par d’autres avec complaisance comme nous l’avions découvert quand, dans les Yvelines, fut prise la main dans le sac une élue socialiste qui édifiait ses camarades avec ! Et puis autour de chez moi et autour de l’Usine continuent à rôder les « espions » photographes et divers personnages interlopes que notre service d’ordre parvient parfois à dissuader, et la police à intercepter. Mais pas toujours. Evidemment ces voyous disposent d’une carte de presse qu’ils exhibent au moment où ils se font intercepter et, bien-sûr, ils hurlent que la liberté de la presse est menacée par les amis de Cuba et de la Chine. Donc, cette semaine c’était le chiffrage de notre programme qui occupait enfin l’espace. Huit mois après sa publication, il était temps ! Je crains bien que ce soit complètement raté, une fois de plus. Car l’angle d’attaque est donné par un fumeux « Institut de l’entreprise », bidule complètement bidon lié au Medef par une corde d’amarrage géante.
« Le Figaro » a publié le 5 avril un article sur le « coût faramineux » du programme du Front de Gauche. L’argumentaire proposé par cette propagande a été repris en boucle dans maintes émissions et articles de presse sans imagination ni recul. Jean-Michel Aphatie a ouvert son interview d’Eric Coquerel sur les chiffres ainsi colportés sans aucune précaution d’usage. En fait « le Figaro » et Aphatie prolongent directement les élucubrations de « l’Institut de l’entreprise », un think-tank patronal créé en 1975 et très lié au MEDEF. Jugez plutôt. Il est constitué, et financé, par cent vingt grands groupes adhérents, parmi lesquels les piliers du CAC 40. Dominée par les grandes entreprises, cette officine poursuit ouvertement des buts de propagande patronale. Son projet est de promouvoir auprès du plus grand nombre l’idée que « l’entreprise » joue un rôle fondamentalement positif dans la société et de « porter les préoccupations des dirigeants d’entreprise dans le débat électoral ». Le Conseil d’orientation de l’Institut de l’Entreprise est dominé par des dirigeants du Medef et des grands patrons dont les payes dépassent le million d’euros annuels. Tous seraient donc touchés par le revenu maximum. Quelques clics permettent de connaître la composition de cette superbe équipe d’intellectuels. Qu’on en juge. Le président du conseil d’orientation de l’Institut de l’entreprise est Xavier Huillard, PDG de Vinci. Il est entouré d’un cénacle de philanthropes bien connus : Ernest-Antoine Seillière, ancien président du Medef, Frédéric Saint-Geours, président de l’UIMM, Henri de Castries, PDG d'Axa, Gérard Mestrallet, PDG de GDF-Suez, Henri Proglio, PDG d'EDF, Pierre Bellon, président de Sodexo, Alain Bénichou, président d'IBM France, Antoine Frérot, PDG de Veolia Environnement, Françoise Gri, présidente de ManpowerGroup France, Jacques Richier, PDG d'Allianz-France (assurances). Rien que cela aurait mérité un peu de mise à distance critique de la part des journalistes. Il n’en a rien été. On se demande pourquoi.
S’il restait un doute sur la façon de penser de ces grands esprits, il serait vite évacué par la lecture du rapport qu’ils ont déposé en janvier dernier. Le titre est tout un programme : « Pour un choc de compétitivité en France ». On devine qui doit recevoir le choc en pleine figure. L'Institut de l'entreprise proposait, dans une folle originalité, de « faire preuve d'un engagement résolu en faveur de la réduction des dépenses publiques ». Et aussi de « de transférer les cotisations sociales vers la fiscalité pesant sur les ménages. ». Enfin, sur le mode de François Hollande, il demandait de « donner force de lois aux engagements contractuels ». Que tout cela ait disparu des commentaires de ceux qui se sont appuyés sur les élucubrations de ce prétendu institut en dit long sur l’état d’abaissement de ceux qui s’y sont abandonnés.
D’autant qu’ils ne sont guère servis ensuite par la qualité scientifique du travail dont ils se font les répétiteurs. En effet le chiffrage proposé est malhonnête et absurde. Il est construit pour grossir artificiellement le coût du programme du Front de Gauche. Pour gonfler les chiffres, l’Institut de l’Entreprise fait des estimations de coût annuel supposé en 2017. Pour parvenir à cette évaluation du futur, il ajoute aux coûts annuels actuels des hypothèses arbitraires de croissance des dépenses. Et surtout il n’est tenu aucun compte de l’application du programme lui-même. Par exemple, en matière de santé, « l’Institut » projette la croissance actuelle des dépenses de santé pour arriver en 2017 à une estimation de 76 milliards pour le remboursement à 100 % par la Sécurité sociale que nous proposons. Outre la part d’affabulations des hypothèses de départ cette estimation ne tient aucun compte de nos changements de politique de santé, notamment pour réduire drastiquement les prix des soins notamment grâce à la création du pôle public du médicament.
La rigueur des estimations proposées est aussi plombée par les références et méthodes de calcul. Ainsi pour la menace bidon de 800 000 suppressions d’emplois liée au passage du SMIC à 1700 euros combiné avec la fin des allégements de cotisations sociales ! Evidemment il est fait comme si la fin des exonérations était immédiate alors qu’elle sera progressive et conditionnée aux politiques d’emploi et d’investissement des entreprises. « l’Institut » n’hésite pas à prétende que « la pertinence et l’efficacité » de ces exonérations « sont démontrées ». Il ne cite pour cela que deux études émanant du gouvernement. A l’inverse il ne mentionne même pas les rapports de la Cour des comptes qui disent exactement le contraire. Enfin, pour prétendre que le SMIC à 1700 euros supprimerait des emplois, l’Institut de l’entreprise est allé chercher une étude de l’INSEE datant de 2000 sur l’évaluation des causes du chômage. Ce n’est jamais qu’un document qui a donc déjà onze ans. Mais cette étude d’il y a onze ans s’appuyait sur des données de 1997. Au total quel peut bien être la valeur d’une évaluation sur des bases qui ont 15 ans pour calculer l’impact actuel d’une hausse du SMIC ?
Dans chaque vague d’attaques contre nous, il y a toujours une dimension personnelle offensante. La semaine passée j’étais « au bord de la crise de nerf » et menaçais de « partir en vrille ». Un quarteron de journalistes frustrés de connivences en avait décidé ainsi répandant la rumeur que l’on me tiendrait à distance de la presse pour cette raison. Que mes journées ne me permettent plus les bavardages qui les occupent et que je réponde chaque jour à plusieurs entretiens avec la presse quotidienne régionale, thématique et internationale ne leur semblait pas un motif suffisant pour ne pas répondre instantanément à leur inquisitions si souvent quasi exclusivement provocatrices. Cette semaine, le refrain, parti des mêmes prétendus observateurs bien placés pour savoir, c’était ma transformation en « super star » entouré d’un public de groupies qui s’évanouissent. Ces idioties insultantes pour les milliers de gens qui participent à nos meetings sont naturellement destinées à vider de sens ce que nous faisons. Rien de tout ceci n’a donc à voir avec de l’information. C’est une bataille politique. Les méthodes de combat à appliquer sont donc celles de la bataille politique sans aucune des exceptions et circonstances atténuantes pourtant sans cesse exigées par ce type d’adversaires.
Une bataille politique ? Voyons. Que « Valeurs Actuelles » titre à mon sujet « L’enragé » est légitime de la part d’un journal de droite extrême. Que notre rassemblement à Toulouse soit ridiculement sous-estimé par le Figaro est dans l’ordre des choses. La rédaction de ce journal a elle-même fait des résolutions contre le grossier alignement du titre sur la propagande de l’UMP. La suite est plus affligeante. Une photo légendée dans « le Monde », en tout et pour tout. Le titre de centre droit réserve son admiration et ses enthousiasmes pour la réunion dans le bois de Vincennes du PS et la place de la Concorde de l’UMP la semaine prochaine. Là aussi c’est dans l’ordre des choses. « Libération » a une rédaction qui a regretté publiquement l’alignement sur le Parti socialiste. La preuve par Toulouse. Nous sommes relégués à la page douze sans aucune accroche à la une. Nous ne sommes pas l’événement. Nous ne le serons jamais pour ceux-là. Pour ce quotidien l’événement à annoncer en une c’est une interview de Valérie Trieweiler où elle déclare, avec beaucoup de justesse de ton… qu’elle n’a rien à déclarer. Devant ce spectacle, ma consolation intellectuelle, c’est de me souvenir comment Joffrin, alors patron de cette rédaction, titra en une à mon sujet : « L’homme qui veut faire perdre Strauss-Kahn ». Venant d’un proche de Strauss-Kahn, on devine à présent quelle part de duplicité ce titre contenait. A l’heure où j’écris, il est le patron de l’autre organe de presse des sociaux-libéraux, le prétendu « Nouvel Observateur ». Sous sa houlette et haine recuite, l’hebdomadaire se prépare à me vomir dessus. Bien-sûr tout cela est vulgaire, brutal, blessant. La cause est entendue entre nous ici. C’est également stupide de la part de gens qui se préparent à mendier nos voix entre les deux tours d’une élection qu’ils pensent avoir gagnée d’avance et dont ils ont déjà en vue les juteux dividendes de carrière. Car bien sûr Laurent Joffrin, c’est Hollande en ligne directe, tout le monde le sait. Nous savons à quoi nous en tenir ? N’empêche ! Il fait partie de l’exercice auquel nous travaillons, de le souligner, de le donner à voir et de l’enseigner autour de nous, spécialement aux nouveaux arrivants dans le combat. J’insiste pour que mes amis ne l’oublient pas dans leur activité. Faire des ateliers de lecture critique est une activité d’éducation populaire très importante. Car il est impératif de ruiner l’autorité que de tels adversaires acquièrent le reste du temps en prenant la mine d’impartialité que l’on connaît et qui fonctionne comme un appeau. Les esprits capturés par ces leurres de « gôche » forment les zones de crédulités qui permettent ensuite les manœuvres d’appareil les plus vicieuses. Il est donc très utile d’expliquer, le journal à la main, et de faire la démonstration sur pièce et sur place. C’est autant de gagné pour la suite des événements qui nous attendent. Car de tels organes seront toujours des tireurs dans le dos très actifs contre notre combat. Nous l’avons vu en 2005, quand ils se sont tous mobilisés pour le « Oui » et ont agoni le « Non » d’injures avant et après le vote. Ils recommencent à chaque grand rendez-vous. Cette élection en est un, d’envergure majeure.
Bonjour à tous et à toutes, et Salut à toi Camarade Jean Luc
C’est une bataille politique
Les méthodes de combat à appliquer sont donc celles de la bataille politique sans aucune des exceptions et circonstances atténuantes pourtant sans cesse exigées par ce type d’adversaires.
Mon Père Résistant FTP me disait toujours'On n'obtient rien sans combat"
Sinon Sur Sud Ouest de ce matin "Un Banquier accuse les agences de notation"Ici
Pour ce qui est des médiacrates qui sévissent aujourd'hui, demandons nous à qui appartiennent leurs supports; TV, Presse, Radios, qui en sont les actionnaires, les financeurs. Il n'y a rien à attendre d'eux d'objectif en ce qui nous concerne. Il ne faut pas s'étonner de leurs bassesses, il faut juste essayer de les comprendre ils jouent leurs places leurs carrières et leurs salaires.
Ne lâchons rien - l’Humain d’abord - Résistance et Vive la Sociale
J'espère que vous ne finirez pas sur les tee-shirts des ados comme Che Guevara ! Ni sur les cartes postales vietnamiennes comme Oncle Ho. Vous qui redonnez des couleurs à la gauche, la vraie pas la social-démocratie de Monsieur Blair ! Pourquoi êtes-vous resté si longtemps au PS ? Je voterai pour le Front de gauche, mais je m'interroge sur un point qui n'a rien à voir avec mon côté fan: est-il vraiment possible de revenir sur la directive Bolkestein et sur le traité de Lisbonne ? Les forces européennes de gauche sont-elles assez fortes pour contrebalancer cet ardent besoin de pouvoir (donc d'argent) des dirigeants de droite ? Autre question annexe : qu'entendez-vous par un service public de l'information ?
En marche pour Marseille
Les attaques contre le fdg et Jean-Luc Mélenchon ne m'étonnent pas.
En 1981 les chars soviétiques devaient arriver jusqu'à Paris.Les droites ont toujours peurs.Ils ont des priviléges des accointances.Ils les défendront par tous les moyens.
Méme chose pour la deuxiéme droite c'est a dire le ps.Ceux qui attendent la victoire de Hollande sont pret à tout pour discréditer, dénigrer, l'adversaire le FDg et Jean-Luc Mélenchon.L'oligarchie socialiste est dans une démarche de pouvoir pour le pouvoir et bien entendu les avantages sonnants et trébuchants qui vont avec.Pour cette oligarchie le peuple n'est plus son probléme depuis longtemps.Qu'importe pour elle les licenciements pour délocalisations, pour eux la mondialisation est heureuse.
Jean-Luc Mélenchon et le FdG font mentir les beaux plans de cette belle mécanique de ce petit,petit,monde l'UMP et le PS qui depuis quarante ans se partagent le pouvoir.
Tous les clignotants du FdG sont verts, le moral est bon.La parole, le programme du fdg ont redonné espoir au peuple de gauche.Celui ci retrouve sa dignité perdue et son honneur.
Nous sommes très nombreux à avoir choisi comme langue celle du Front de Gauche.
Tiens bon la barre Jean-Luc, le port est proche où te mettre à l'abri de la tempête.
C'est dans les milieux politiques bien-pensants et les tenants de la pensée unique que l'orage gronde, vivement que la marée rouge du Front de Gauche les emporte !
Nous sommes des têtes, des bras et des jambes qui sont autant de relais à tes meetings, quelques que soient les propos ignobles des "nouveaux chiens de garde" !
Nous sommes les ressorts de la spirale qui t'entraine, contre vents nauséabonds et marées droitières.
Le Front de Gauche a redonné des couleurs et ses lettres de noblesse à la politique et aux idéaux de gauche. Sarkozy, c'est la France Morte, le Front de Gauche avec Mélenchon, c'est une nouvelle France en construction....belle et rebelle !
Je suis belge ; j'ai été militant écologiste pendant plusieurs années, et la cause écologique est toujours une de mes plus grandes préoccupations politiques. Ça fait pourtant une dizaine d'années que je me considère comme communiste et que je vote pour le PTB (Parti du Travail). Pourquoi ? Parce qu'au fur et-à-mesure que j'assistais à la dégénérescence du Parti écolo (compromis toujours plus grands à une politique anti-écologique et anti-sociale), ce constat devenait de plus en plus évident pour moi : il absolument impossible de mener une politique radicalement écologique dans une société au modèle productiviste, parce que le gaspillage est un facteur -essentiel- de la stabilité sociale du système capitaliste.
Et donc, la non remise en cause des fondements mêmes du modèle capitaliste condamne le Parti écolo de Belgique : on fait des campagnes pour l'utilisation du vélo mais les avions hyper-polluants continuent d'exporter notre viande en Nouvelle-Zélande et d'importer de la viande de... Nouvelle-Zélande (véridique). On fait de la publicité pour des voitures électriques que personne ne saurait acheter, mais les transports en commun sont de plus en plus cher. Le pire c'est quand même ceci : les "droits de polluer" que les les industriels les plus riches achètent aux autres, donc non seulement on pollue toujours autant au final, mais en attendant, on a créé une nouvelle bulle spéculative en bourse autour de ces droits ! Bref, de l'"écologie" de droite au...
Républicain gascon 16 h 51, il y a une "composante nationale" essentielle que tu oublies : ce sont les milliers de militants qui ne font partie d'aucun des partis en question et qui se sont joints d'eux-mêmes au Front de Gauche. C'est la première fois qu'une structure politique permet ce genre de démarche, permet les initiatives de la base suivant le principe "la consigne c'est qu'il n'y a pas de consigne". Et ce ne sont pas les moins efficaces sur le terrain...
Dernière ligne droite. Faut tenir bon, pas s'enflammer, et essayer de convaincre d'autres personnes...
Par contre si Jean Luc n'es pas au deuxième tour, pour ma part il est hors de question de faire un chèque en blanc à Hollande. Je n'irai donc pas voter pour des girouettes qui hésitent encore à ouvrir leur porte et surtout à tenir compte d'un projet de vie d'une gauche anticapitaliste ou de celui d'un Bayrou de droite. A 12 jours du scrutins ils ne s assument pas... Mais bon, je pense qu on peut créer une belle surprise. Vamooooooooooos
@ 339 generationsfutures
" Ainsi, pas besoin d'augmenter le SMIC.On pourrait même réduire le temps de travail pour justement réduire le SMIC. Je sais que Jean Luc veut nous mettre au travail. "
Tu crois que l'on peux faire du "système à la carte " pour chaque citoyen ?
Il est vrai que le coût du loyer ampute sérieusement les salaires du ménages. donc augmenter le smic ventile différemment les dépenses des ménages.
Il y a ceux qui payent leur logement à crédit, dont l'augmentation du smic permet de les soulager.
Jean-Luc ne veux pas nous mettre au travail, il veut que tout le monde puise avoir un travail pour pouvoir vivre dignement Nuance de taille.
Si tu préfères construire ta maison, faire ton pain, fabriquer tes vêtements au lieu d'aller bosser c'est ton droit, seulement lorsque tu vas être malade, as tu ton hôpital, ton médecin ? Qui va payer pour toi ?
La solidarité a ses codes et ses limites.
C dans l'air - Calvi - sujet "la lutte finale" J - 12....
Je sens que le FdG va encore trinquer. Restons calmes.
Nos adversaires font donner la grosse artillerie. C'était attendu. Tellement attendu que nous sommes depuis des mois, voire des années une "armée" de partisans qui est partout y compris où on l'attend le moins. Les armes des conservateurs de l'ordre établi, ce sont les mensonges. Nos "armes" ce sont nos idées. Chaque jour, des femmes et des hommes de tous âges et de toutes conditions rejoingnent avec leur expérience, leur volonté, leur engagement, le peuple actif et novateur. C'est pour ces raisons que les conservateurs se déchaînent.
Oui, bien sûr il est bon de se faire porter par la vague ! moi le premier. Cependant le camp d'en face, ne ménage pas ses forces pour perturber la dynamique du Front de gauche. Tout le "paquet" si j'ose dire sera de freiner sa marche en avant, et pour cela le chiffon "brun" va être agité encore et encore ! On nous parle de la vague "bleu marine", en réponse à la vague "rouge"! Ne pas croire que c'est gagné, ne pas se laisser griser par les SONDAGES. D'ailleurs je le, dis fraternellement à l'Huma, éviter de ne pas tomber dans l'excès de sondages qui servent trop souvent à tirer des analyses, car selon que l'on distille des chiffres, on peut leur faire dire des choses qu'ils ne sont pas toujours conforme à la réalité. Continuer, tel un boxeur, qui à donné des coups dans les premiers rounds et gérer la fin du match !
pour finir en beauté les 4 derniers jours. un aspect important cependant, depuis des mois nos affiches sont présentes, attention de ne plus les voir quand les autres organisations vont commencer le "sprint" final !
Les mauvais joueurs risquent de s'énerver et envahir nos mûrs, attention donc à ne pas laisser les indécis se laisser attraper par la démagogie "affichée" !
Enfin, continuer notre visibilité partout ou nous le pouvons ! je ne découvre pas comme les socialistes le porte à porte, par contre discuter sur les marchés, devant les gares, devant les postes, bref dans les rues, les gens se sentent moins agressés et donc plus réceptifs...
L'ai-je rêvé ou est-ce dans une autre vie, ou sur une autre planète ?
Personne ne parle de l'emprunt exceptionnel de 35 milliards et des 6,5 milliards de la guerre libyenne...
Qui donc d'autre que nous devons payer pour la gloriole de la maladie qui nous préside (encore !).
On vient nous parler des 110 miliards du programme du fdg, mais ces 2 petites choses sarko-sarkosienne en représente presque la moitié...
Alors oui nous sommes un pays riche qui pouvons nous offrir l'humain d'abord !
"comment font les PME avec le SMIC à 1700 euros" comme on me pose tous les jours cette question, petit témoignage perso. voilà moi je bosse dans une toute petite entreprise justement, on est 4, conseil en environnement. je peux parler au nom d'une armée d'ingénieurs, d'archis, de consultants etc. que je connais et qui bossent comme ça. comme nos clients sont en général des particuliers, des petites assos, des petites mairies, je n'ai qu'une hâte, c'est que les petites paies de tous ces gens qui ont envie de bien faire mais n'ont pas de moyens aient de meilleures petites paies comme ça on serait nous mêmes mieux payés, vu? idem pour des clients associatifs qui sont financées par les cotises des gens normaux, ou les petites collectivités financées par les impôts des gens normaux. c'est simple comme bonjour. parole de petit patron qui n'a qu'une hâte c'est qu'on augmente les salaires pour pouvoir lui-même casser la croûte et payer son loyer.
et avec la planification écologique on aurait même l'impression d'être un peu utiles et soyons fous, avec un pôle public financier, peut-être que dans ma vie un jour je pourrais faire un emprunt? investir dans une imprimante plus chère car pas fabriquée par des enfants, et combien de petites boites écolos qui pourraient se fournir en papier recyclé evergreen fabriqué en france plutôt que du vilain papier industriel bourré de produits chimiques qui arrive par avion?
Vers la République sociale !
"Sans la République, le Socialisme est impuissant, sans le Socialisme, la République est vide." Jaurès Jean
Résistance ! Résistance ! :)
Merci pour ce billet écrit. Merci de continuer et de prendre le temps. Prends soin de toi, candidat commun du front du peuple ! Le mouvement est enclenché... il vaincra !
Finalement je vais rien dire.. il y a un "problème" sur ce blog, Je le reconnais pas, aussi je ne vais pas ajouter a la cacophonie ambiante..
Juste un truc, je ne crois pas que ce soit dans les "livres" qu'on puisse se rendre compte de la nécessité de relever le smic.. ni de la réalité du seuil de pauvreté... Suffit de sortir le nez de chez "soi" au propre comme au figuré pour le voir..
Je vais attendre le retour du WM...
On lâche rien !
Moi, un peu perdu dans mon trou de campagne à soixante kilomètres de Toulouse, j'ai pleuré lorsque j'ai vu la place du Capitole... j'ai pleuré de joie et d'émotion, je voyais tous ces gens qui portaient dans leur coeur les mêmes aspirations, le même sens du partage et de la révolte aussi contre tous ces voyous de la finance qui voudraient nous paupériser financièrement, mais aussi et surtout intellectuellement.
La sens tu bien Nicolas, la résistance ? Quand aux chiens et chiennes de gardes je répondrai seulement par une phrase de Goethe " Les hommes déprécient ce qu'ils ne peuvent comprendre ". Je m'évertue pour ma part à convaincre autour de moi et je tente d'apprendre à résister. Résister aux idées toutes faites, qu'on vous livre en kit ou bien paquet de douze, résister à la tentation de la colère quand j'entend parfois tant de véhémence et d’imbécillités. Continuons à résister contre leurs armées de la finance et de l'intox car Victor Hugo disait « On résiste à l’invasion des armées, on ne résiste pas à l’invasion des idées. ».
Merci à toi Jean Luc d'être ce porte paroles et ce rassembleur que toute la gauche, la vraie, attendait depuis la fin des années 80, et rendez vous le 22 au soir pour la surprise du chef !
Je ne cesse de faire la promotion autour de moi de l'excellente association ACRIMED qui possède un site internet et qui fait un boulot formidable de déconstruction de la propagande des nouveaux chiens de garde et de leurs affidés.
Pour le reste, Jean-Luc a parfaitement résumé les choses dans un de ses meetings : "plus ils m'attaquent, plus les miens ont les boules, ça les surmotive". C'est tout a fait ça !
Que Le Monde, Libé, Marianne, L'Obs'continuent leur grossier travail de sape, parfait, les citoyens n'en seront que mieux éclairés sur les intérêts qu'ils défendent et au nom de qui ils travaillent en service commandé.
Leurs injures, leurs articles biaisés sont un indicateur de trouille qu'ils ont très utile ! C'est un encouragement à poursuivre le boulot...
Encore une petite pour la route :
J'ai un oncle de droite voir très de droite mais gentil tout de même,
et bien vous savez quoi il va voter Mélenchon au 1er tour, une fois revenue de ma surprise
j'écoute l'explication de son choix et là re-surprise, c'est pour que Hollande ne soit pas au
second tour, le seul moyen pour lui que Sarko repasse. Il a du choper cette idée formidable sur
un forum de droite disont extrème.
Etonnant non
Courage! Courage à toutes et à tous! Le travail que vous faites, entrepris dès 2005, porte ses fruits, je le constate tous les jours un peu plus! Je ne peux m'investir autant que vous, mais je porte vos idées avec conviction et je crois avoir déjà convaincu quelques personnes de mon entourage. Jean-Luc Mélenchon a raison de dire (à Vierzon) que ce qu'il se passera en France à l'occasion de cette élection aura un impact partout en Europe. Et au delà de l'élection, un mouvement de fond est né pour une révolution citoyenne de toute façon inéluctable. Dites aux indécis que soit ils attendent qu'on se prenne le mur violemment en pleine face, soit on prend nos responsabilités maintenant et ce mur, c'est ensemble qu'on l'évitera!
Cette campagne du Front de gauche redonne espoir à beaucoup de salariés. C'est bien cela qui enquiquine tous ces sociaux libéraux, ces journalistes à la solde du pouvoir.... Toute cette clique roule pour le capitalisme. Elle s'en met plein les poches pendant que ceux qui créent les richesses n'arrivent pas à finir les fins de mois. Elle n'a que faire des femmes et des hommes. Elle n'a que faire des générations futures pourvu qu'elle soit devant les projecteurs, pourvu que l'argent coule à flot. Elle ne veut pas voir qu'il se prépare une grande révolution citoyenne. Tant pis pour elle. Un jour viendra, nous prendrons le pouvoir, ce jour là, toute cette clique devra rendre des comptes...
@generationfutures:
Tout d'abord, le seuil de pauvreté est fixé par l'INSEE à 954 € par mois (60% du revenu median).
Ensuite, Jean-Luc ne veut pas nous mettre au travail, il veut d'abord en donner à celles et ceux qui n'en ont pas et améliorer la paie et les conditions de travail de celles et ceux qui en souffrent. Ensuite, le programme partagé (que je t'invite à lire ou à re-lire), installé sur le socle de la planification écologique, propose justement d'aller vers la sobriété en transformant petit à petit l'actuelle "économie de l'inutile", économie du gaspillage produisant à tour de bras des biens, des produits qui nous nuisent, à l'Homme et à son environnement, en une "économie de l'utile" produisant des produits et biens dont nous avons réellement besoin et qui nuisent ni à l'Homme ni à son environnement.
Amicalement.
1 fois, 100 fois, 1000 fois merci pour ce texte de Victor Hugo que vous avez superbement prononcer à limoge
la semaine passée, il n'y avait pas UN message qui ne parlât point de Toulouse. Là c'est (presque) le calme plat concernant le Prado ? c'est moi ou c'est vrai ?
La grosse artillerie de la droite vient d'exposer sa stratégie: Dans C dans l'air sur la 5, Calvi pose une question d'un ton faussement bonhomme :"Alors, rien ne peut changer ? C'est Hollande qui sera président avec 6 à 8 points d'écart avec Sarkozy?"
Réponse d'un des think-tankers présents : "Oui, à moins que, ce qui est possible (!), la bulle Mélenchon ne s'écroule (sic) à 11 % et que MLP fasse environ 19 %, car ainsi Sarkozy pourrait se repositionner, et avoir une nouvelle stature."
Voilà tout est dit...Ils nous ont expliqué leur stratégie actuelle tous ces médias: gonfler par tous les moyens le vote fasciste (prétendument celui de "jeunes dont on ne parle pas (resic),dans les zones péri-urbaines (reresic!)) et réduire Mélenchon à une "bulle" et nous à des groupies excités par le lyrisme, et de toute façon captifs au deuxième tour pour le vote Hollande.Tout cela pour faire gagner Sarkozy.
Oui, Mélenchon a raison, pour gagner il faut reléguer de toutes nos forces la semi-démente dans ses retranchements, c'est la tâche urgente, elle n'est pas terminée.
Vont-ils comprendre enfin qu'on est en route vers la Révolution c'est à dire vers un changement complet, une sortie du capitalisme, une planification écologique, sans retour en arrière possible.
Ce n'est pas une bulle, c'est un bélier qui va vous enfoncer, que notre fdg.
Elisa : ça c'est tout de même inquiétant parce que ton oncle il à tout de même raison sur 1 point : Si Jean-luc Mélenchon remplace Hollande et qu'il se retrouve face à Sarkozy au second tour, Sarkozy passera, déjà rien que parce beaucoup trop de monde considère le front de gauche comme un parti extrémiste, ce qu'il n'est pas. Je pense que l'objectif le plus intelligent que peut se fixer le front de gauche, c'est de passer devant Le Pen et ainsi assurer Hollande comme président car malgré la grand avancée du front de gauche dans les sondages, je pense qu'il est encore beaucoup trop tôt pour remporter l'adhésion de la majorité. Après le rêve se serait un 2éme tour à l'instar de 2002, mais dans le sens inverse, Hollande face à Mélenchon.
Bien vu, Fennec ironique et citoyen 93. Autre idée: pourquoi se priver d'un audit citoyen de la dette publique, qui ferait la part entre les dettes légitimes et les dettes illégitimes. Or, les extravagances, en matière de dettes illégitimes, qu'il s'agirait de ne pas payer, sont légion. Elles ne peuvent que révulser les esprits épris de morale et d'éthique. Si cela touchait la matière pénale, les imputations de vol et d'escroquerie pourraient, dans bien des cas, être requises. L'argent est trop souvent bien mal acquis et son accumulation, un fléau humanitaire.Permettez-moi de rappeler ce mot de Saint-Augustin, je crois: "Le superflu, c'est le vol" .
Sur le plan macroéconomique, il n'y a pas photo entre les programmes. Celui du FG est limpide et cohérent, mais incompatible avec le système libéral. Rien n'est laissé dans l'ombre. Chaque point abordé est complètement traité. N'en déplaise à la "médiacratie" et à la plupart des observateurs et des politiques.
Au fait, quelqu'un peut-il m'expliquer ce que veut dire François Hollande quand il affirme vouloir "donner du sens à la rigueur". Comme en Grèce, au Portugal, en Espagne ? Où est, pour le Peuple de Gauche, la part d'humain dans cette formulation absconse ?
La Gauche UTILE et REALISTE, face au nécessaire et urgent changement de régime que nous impose le néo-libéralisme mortifère actuel, est bien le Front de Gauche, si bien incarné par Jean-Luc Mélenchon et toute son équipe.
Andamos señores, amigos mios, hasta la...
Tenez bon Jean Luc! Vous réussissez à maîtriser de manière admirable et marquante un argumentaire qui se doit d'être intelligible sans verser vdans le simplisme.Sur FI ce matin, voici les points qui m'ont semblé particulièrement judicieux:
-bien insister sur la planification écologique que vos contempteurs cherchent à réduire à l'état de gadget (en vous méfiant de ceux qui chercheront à vous piéger sur le nucléaire)
-reconsidérer la légitimité des expertises de l'officine citée par B Coen
-rappeler les choix de F Hollande en matière de stabilité
-jouer tous les acteurs de la vie économique possibles y compris les plus inattendus (les amteurs de manichéisme seront déçus par votre analyse de la représentativité patronale) contre la marche que nous impose une vision de l'économie
Un frémissement inédit pour ma génération (j'ai 41 ans...disons que j'en ai senti une esquisse en 2005!) survient et n'est pas près de cesser. Il faut travailler encore et tjs à l'unité du Front de Gauche, travailler à l'entrée de ceux qui au NPA ou à europe Ecologie rêvent d'inverser la tendance funeste de l'émiettement de la gauche, et même peremttre à ceux
du PS qui en se résolvent pas à le voir se dissoudre dans le centrisme à réagir de manière enfin cohérente.
La vague n'a pas fini de croître!"La révolution consiste à aimer un homme qui n'existe pas encore" (Camus)
Bonjour
Il faut tenir. Nous sommes de tout coeur avec toi
On ne ce fait plus d'illusions à propos des "journalistes"
Résistance
J'ai manqué de clarté sur le mail précédent concernant le nucléaire: c'est un sujet CAPITAL!
Il ne faut pas qu'on vous prenne en flagrant délit de vouloir en défendre le principe comme le font tous les autres sauf Europe Ecologie: je connais vos positions personnelles en la matière et il ne faut pas que la promesse d'un référendum puisse devenir prétexte à repousser sine die la sortie du nucléaire. De là dépendra en grande partie la crédilité de la Planification écologique avec toutes les solutions énergétiques qu'elle propose.
Les camarades du PC évoluent peu à peu (parfois bien lentement c'et vrai!) mais j'ai la conviction que cette solution nécessaire trouvera sa voie si elle entre vite en ligne de compte.
Signé: un nouveau militant qui n'a jamais hierarchisé combats sociaux et environnementaux, les considérant tous comme indispensables et intrinsèquement liés!
cher jean luc
le repas pasquale fut l occasion de parler de la campagne et de retour sur nos lieux de travail.Nous avons échangés nos impressions sur nos dicussions de famille.
Beaucoup de personnes ne sont pas fermer à votre discours.
Des parents ayant voter Sarkozy sont pret a faire le pas vers vous c est incroyable.
Seule remarque,des personnes ne comprennent pas pourquoi vos discours de la Bastille et Toulouse ont été aussi courts.
je pense que les personnes aiment vous attendre et que vous les convaincraient par vos paroles
tous au prado
Quelle semaine en effet pour notre candidat et pour nous tous. La mode dans les médias au coût "faramineux". Et bien cette semaine la contre offensive a commencé. L'humanité titre pleine page "le SMIC à 1700 € c'est possible, la preuve ! S'ensuit un dossier argumenté sur deux page et un sondage exclusif qui montre que 65 % des sympathisants de gauche sont pour.
Autre argument en direction des artisans et petites entreprise. Je suis élu dans une commune de 2000 habitants. On veut agrandir le restaurant scolaire : problème les banques ne veulent pas prêter, alors on va être obligé de repousser fin 2012 début 2013 sur 2 exercices. Sachant que 70 % des investissements publics sont réalisés par les collectivités locales. Ce sont les artisans du bâtiment et des travaux publics qui vont en souffrir. D'où l'écho que rencontre notre proposition de création d'un pôle bancaire public qui mettrait des fonds à disposition des collectivités.Autre argument pour faire la différence avec FH. Il dit je remettrai la retraite à 60 ans. Mais si on regarde de près ça concerne ceux qui ont commencé à 18 ans et cotisé 41 annuités. Cotisées et pas seulement validées (par exemple les périodes de chômage valident des annuités mais ne sont pas considérées comme cotisées) De plus sa mesure exclut les retraites complémentaire et si syndicats et patronat ne sont pas d'accord il faudra attendre 62 ans. Quelle différence avec l'humain d'abord. Alors on ne lâche rien
Je suis engagée,depuis plus d'un an avec des centaines d'autres, pour la sauvegarde du réseau de santé mutualiste des BDR (Grand Conseil de la Mutualité:11 centres de santé, clinique de Bonneveine, SSIAD, centres optiques et dentaires : 200.000 personnes soignées, 1200 salariés dont 450 praticiens, actuellement en cessation de paiement).Les centres de santé: accessibles à tous, sans dépassements d'honoraires, prise en charge du tiers payant, proximité, pluridisciplinarité, mixité sociale et médecins payés à la fonction, garantie d'une médecine sociale de qualité.
Une mobilisation citoyenne rassemble,aux côtés des salariés et des médecins du GCM et leurs syndicats mutualistes, syndicalistes, professionnels de santé,citoyens... élus du front de gauche pour exiger des financements:publics de l'Etat et une Table Ronde pour des solutions perennes. des dizaines de milliers de pétitions ont été signées, des comités de soutien autour de chaque centre multiplient les actions depuis un an.
Les grands absents de cette mobilisation: la direction du Grand Conseil de la Mutualité, les responsables mutualistes des fédérations FNMF et FMF qui préférent brader un patrimoine issu des conquêtes sociales,
et offrir sur un plateau les œuvres sociales du GCM au privé, à ceux qui détruisent nos centres de santé, nos mutuelles,notre sécu, laisser la place à la médecine libérale, aux dépassements d’honoraires, aux assurances privées.
Alors oui, marchons pour l'humain...
Le peuple français en marche est déterminé, derrière son porte drapeau, à lutter contre le dogme néo-libéral! Pour nous et pour nos enfants nous voulons une autre vie! Aujourd'hui et demain un seul mot: RESISTANCE!
bravo et quel courage face a cette bande de barges qui nous entoure....
nous serons a marseille pour vous soutenir...
on continue le combat et la lutte...
"haut et fort"
merci pour l'espoir et l'esperance que vous nous redonnez!
Signe que le front de gauche monte de plus en plus en puissance, certains commencent à se poser des questions sur l'issue d'un 2ème tour Mélenchon/Sarko.
Moi, je suis convaincue qu'en cas d'un deuxième tour Mélenchon/Sarko, Mélenchon sera élu haut la main. Voici mon analyse.
Tout d'abord, il y a un fort rejet de Sarko, même chez les électeurs de droite.
Ensuite, entre les 2 tours, il y a un débat télévisé entre les deux candidats issus du premier tour. Et on connait l'importance et l'impact de ce débat. Mélenchon sortira vainqueur de ce débat, et ce pour (au moins!) trois raisons. Première raison, c'est un excellent débatteur. Deuxième raison, il obligera Sarko à revenir sur son bilan (et là, pas difficile de gagner des points!). Troisième raison, lui peut s'appuyer sur un programme qui est complètement ficelé, qu'il connaît parfaitement et dont il sait défendre chaque point. Et ce sera le moment où nombre d'abstentionnistes, d'hésitants, de gens qui ne connaissent pas encore le programme du front de gauche basculeront.
Enfin, et c'est sûrement le plus important, il faut prendre en compte la dynamique.
Arriver à 15% des intentions de vote, sans l'aide des médias, et avec, depuis quelque temps, les attaques qui fusent de partout, montre que la dynamique du front de gauche est énorme. Si Mélenchon passe au second tour, alors c'est que cette dynamique aura atteint un niveau où les traditionnels calculs de reports de voix voleront en éclat.
On va essayer de se rendre utile, les attaques sont nombreuses autant dans la presse que sur le web, il me semble que la tension est a son "comble" et que cela a tendance a partir en "sucette", la moindre phrase de Jean-Luc Mélenchon prend une ampleur inattendue que, je suppose, il n'a pas le temps de mesurer..L'enthousiasme est partout mais on "sent" que les tenants du FdG, sont extrêmement tendus.. Une petite pause pour faire le point serait la bienvenue..
Pour ceux qui croisent le mail sur les revenus de Jean-Luc Mélenchon : voici une vidéo qui peut aider a répondre :
- "Je ne m'enrichis pas par mon message politique" : http://www.youtube.com/watch?v=OFMSWxGiIJ8&feature=share
Ensuite, Corine Morel darleux a publié sur son blog un article qui peut se résumer par ce schéma et qui explique les "dépenses/recettes" du programme du front de gauche :
- http://nsa21.casimages.com/img/2012/04/10/120410072720706592.jpg
Enfin pour le SMIC a 1700 euros, Jacques Généreux devellope son raisonnement dans cette vidéo :
- "le Smic à 1700 euros ne coûtera rien aux petites entreprises" = http://www.youtube.com/watch?v=Nw2agzsgx_4
J'espère que cela vous sera "utile" en ces moments ou les gros partis sentent que nous les rejoignons.. Et les autres voient bien que c'est "plié" pour eux.. Nous sommes aux centre de toutes les attaques !
J'ai entendu à plusieurs reprises la nouvelle : Marine Le Pen préférée des jeunes 18-24ans CAR c'est une femme moderne ; c'est à désespérer ; mais il y a tout un travail, encore, à faire ; la vacuité totale du programme de M.Lp n'apparaît pas encore assez ; si france2 organise bien 2 soirées consécutives de débat entre les candidats,il y a une vraie occasion pour JL.M. : démonter, démontrer,prouver, ce qu'il sait très bien faire ; la réponse à Cohn-bendit est bonne ; il faut laisser EELV à leurs problèmes ; il faut espérer que Pujadas sera à la hauteur (il n'est hélas,ni michèle Cotta,ni Anne Sinclair)
Très en forme monsieur Mélenchon, ce matin, sur inter. Bonne continuation à vous, et à certaines personnes sur ce blog ! Courage à tous, et merci pour vos liens.
Un grand merci à Jean-Luc pour son travail de forçat et nous arracher à notre douce torpeur !
Une petite parenthèse en ce qui concerne la "lettre" de Sarko : Il ne faut pas l'ouvrir et la remettre dans une boite aux lettres ou à la Poste avec la mention "retour à l'envoyeur" !
Et en attendant, tous à Marseille le 14. Vive la Révoultion Citoyenne. Mettons tous les clowns de l'UMP (et du Ps) à la porte !
@Mercure 40 - 352 - 17h22.
"C'est une bataille politique".Eh oui,vous avez mille fois raison.
Au fur et à mesure que notre influence grandit et que s'affirment les chances de victoire du Front de Gauche, l'adversaire et l'ennemi sont acculés à la défensive qui consiste à fuir le débat et à mentir, insulter,falsifier. On doit s'attendre à tout.Il y aura de la provocation, des tentatives de démobilisation par des annonces triomphalistes, des tentatives de découragement par des annonces catastrophiques.Et, pourquoi pas,du fric et du sexe.Ils savent faire.
"Ces idioties insultantes [...] sont naturellement destinées à vider de son sens ce que nous faisons. C'est une bataille politique.Les méthodes de combat à appliquer sont donc celles de la bataille politique." C'est clair.Cette analyse de Jean-Luc Mélenchon est magistrale.
Notre conduite doit etre celle des victorieux: Sereine,concentrée,lucide. Sans perte de temps.Sans invectives ni états d'ame. Efficace :convaincre. Convaincre avec audace.et sagesse. Avec enthousiasme.
Marchons, Marchons, à Marseille la Marseillaise jaillira de cent mille poitrines, et l'Internationale dira au Monde entier qu'il n'est point de sauveur supreme, ni dieu,ni césar, ni tribun.On lache rien.Vive la République Sociale.
Aujourd’hui, j’ai rencontré 3 votes F-utiles, j’ai réussi à en faire basculer 1, bon, il faut dire que ceux là n’ont pas trop d’argumentation : ici, nous sommes bcp de militants, des personnes averties mais la plupart des gens n’est que peu informée car tout est fait pr qu’il n’y ait pas de débats (Sarkozy et Hollande st les premiers à s’opposer à tout débat)
Donc voici quelques arguments qui marchent :
1/ Nous ne sommes pas en 2002 : Jospin 1er ministre avait déçu et une semaine avt le vote, il était à 16/17 % d’intentions de vote, JM Le Pen à 14%
2/ Si JLMélenchon est devant MLPen plus de danger.
3/F Hollande c’est la droite du PS, celui qui était 1er secrétaire du PS en 2005 et avait appelé au OUI au traité Européen.
4/Son programme : pas très ambitieux : 60000 créations de postes dans l’éducation (redéployés et pas crées) tandis que Sarkozy en a détruit 80000(source syndicale)
5/L’arnaque de la retraite (perso moi avec Hollande pas avant mes 67 ans)
6/Pas d’augmentation des salaires
7/La finance peut dormir tranquille, il l’a rassuré à Londres
8/ Conclusion, on est sûr qu’il va décevoir et on va finir à la sauce Grecque, Espagnole, Italienne etc (retour de la droite et/ou attaque de la finance)
Sinon, à part ça, ne lâchons rien et pr les quelques jours qui restent,il faut surtout et d’urgence aller dans les quartiers populaires et les campagnes abandonnées , informer et lutter contre l’abstention .
Il y a une chose qu'il faudrait peut être aussi revoir, ce sont les inscriptions sur les listes électorales. J'ai pas mal de connaissances qui sont à fond dans ce mouvement, souvent des jeunes et qui regrettent de ne s'être pas inscrits car ils ne connaissaient par le front de gauche et qu'avant ils ne croyaient en rien. Maintenant, ils voudraient voter mais quand je leur dis que c'est trop tard, ils sont dégoûtés et désemparés. Ils me disent "ce n'est pas de ma faute, si avant il n'y avait aucune perpective politique". Peut être qu'on devrait pouvoir voter tant qu'on a un domicile dans une commune ou des fiches de paye et pouvoir voter avec une carte d'identité valide. A réfléchir peut être lors de la constituante ?
c'est toujours édifiant et formateur de lire le blog de Jean-Luc Mélenchon,je viens d'achever la lecture de celui du 09 avril !
Après avoir entendu ce matin Jean-Luc Mélenchon sur France inter,un peu par hasard, j'évite ce ramassis de journaleux à la botte !
Ils avaient essayés,tous ces vautours réunis, de tendre un traquenard pour faire perdre patience à notre candidat.
Peine perdue,ils ont echoué,l'argumentaire de Jean-Luc Mélenchon était digne, argumenté, brillant et toujours plein d'humour.Tant pis pour les dossiers qui datent de l'an 2000 ou les plats réchauffés de Mme Clark,franchement,à eux tous ils ne lui arrivent pas à la cheville tous ces vendus de l'audimat et du pouvoir !
Bravo mais prenez soin de vous !
Vous êtes un tres grand Monsieur du débat politique et ils sont rares !
356 rienamoi
ne faites pas circuler ce lien, cela ne nous ressemble pas, je pense que cela nous nuit et que c'est fait dans ce but, nous sommes justement à l'opposé de ces horreurs fétides
@ aidez-nous! tous arrétez d'alimenter un troll, on s'en fiche, notre combat est ailleurs. Dès que le Wm arrive il le supprime et basta ne vous en faites pas on ne va pas le convaincre ne bous rabaissons jamais ! notre exigence est plus haute nos arguments plus forts. p Extrait de l'aricle du Guardian : JL Mélenchon, soutenu par le F D G. Il semble bien être le seul, dans cette course, qui comprenne les vrais choix économiques posés à la France et à la Zone Euro.La France n'a pas besoin de l'austérité. Qui serait en fait sa meilleure chance de finir vraiment comme la Grèce. Mélenchon propose à la place que la Banque Centrale Européenne fasse son travail et prête à la France et d'autres gouvernements européens au taux de 1%, comme elle le fait pour les banques. La charge des intérêts de sa dette est déjà tout à fait raisonnable, à environ 2,4% de son PIB, donc si la France peut continuer à emprunter à bas coût, elle pourra également se sortir de ses problèmes actuels, tout en créant des emplois et accroissant les revenus. Voilà une politique macroéconomique raisonnable.
Jean-Luc Mélenchon veut aussi réduire le temps de travail, augmenter le SMIC, et les impôts des riches. Il rejette cette idée stupide qu'est l'équilibre budgétaire, chose que, même les économistes américains...
Le lien a peut-être déjà été donné, mais ce soutien de Jacques Cotta me semble avoir un certain poids.
C'est d'autant plus problématique, ces dates restrictives d'inscription sur les listes, qu'en ce moment, les précaires (jeunes ou moins jeunes) sont nombreux, déménagent beaucoup, et leur premier souci n'est pas souvent de se réinscrire sur les listes. Et en effet, ils peuvent se remotiver en cours de campagne. Il serait normal de leur permettre l'inscription de façon beaucoup plus large.
J'ignore comment ceux qui sont sans domicile peuvent avoir accès à l'inscription. Ce sont des citoyens comme les autres, et ils ont plus que les autres besoin qu'on respecte leurs droits. Peu de candidats s'intéressent à eux. DAL et Jeudi Noir ont occupé quelques heures, vite expulsés par la police, un local désaffecté de 25 chambres pour rappeler leur existence, mais on en a très peu parlé.
Une des revendications de Jean-Luc Mélenchon pourrait être ça: inscription facilitée de tous sur les listes.
les puissants nous menent par le bout du nez, mais la ils ont peur alors ils donnent les consignes a tous pour éviter de parler du fdg,moi j'espere bien que l'on va gagné ça leurs en boucheraient un coin a tous ses voyous. résistance
Il se passe un truc pas banal avec Mélenchon, depuis un ou deux jours ! c'est une véritable "Mélenchon-mania" qui s'est déclenchée !.. Les Médias semblent pris a leurs propre jeu, a force de le comparer a une rock star et de nous cantonner aux rôles de groupies ou autres.. Hé bien.. ça a provoqué un tsunami qui me rappelle la "Obama - Mania" ! Nous sommes sur le bon chemin, gardons notre sang froid et surtout notre humour ! On va en avoir besoin..
Nous sommes pour l'humain d'abord, hé bien il semble que les humains nous aient a la bonne ! Il va falloir manier ça avec précautions...
Je suis désolé webmestre de balancer un tel message, mais depuis nos "fauteuils" ici, on voit bien que la "mayonnaise" a pris bien au delà de ce que nous espérions, et qu'elle a tendance a déborder du bol ! Si certains rêvaient d'un petit 15 %.. J'ai bien l'impression qu'il va nous falloir gérer bien plus.. (et patati et patata).. Nous nous plaignions que les Médias faisaient l'impasse sur le front de Gauche, visiblement ça ne va plus être le cas, la "connexion" s'est faite, avec tout ce qu'elle peut comporter de nauséabond, mais contrairement a Sarkozy ou a Hollande, ils ne pourront pas nous cantonner aux "petites phrases" nous avons un programme ! Encore un ou deux jours et nous serons sur le créneau de TF1 ou BFM.. (prend le pouvoir), ça va être raide mais bon, ils vont parler de nous a outrance ! (et avec outrances)..
@Hold-up (439)
Vous avez parfaitement résumé la situation. Personnellement, je tremblerai plus au moment des résultats du premier tour que lors d'un éventuel second tour. Si Jean-Luc Mélenchon passe, je suis convaincu qu'il gagnera sans trop de problème contre un candidat de droite.
Voila mon argumentaire que j'utilise pour remuer la moitié de la france qui ne vote pas, et donc pas pour NS, eux ils votent:
"Ne pas voter, c’est voter pour le gagnant"
Soit parce que vous imaginez que votre abstention protestataire sera remarquée ou comptabilisée par le système,
Soit parce que vous ne vous sentez pas concernés par la politique,
Soit pour certains d’entre vous par résignation faute de candidat idéal, par désintérêt ou par dégoût de la politique.
Le résultat sera le suivant :
Une fois de plus, on va se retrouver avec un président qui finalement aura été élu par le quart des français, puisque vous, la moitié silencieuse, vous ne vous êtes pas exprimés.
Puis pendant 5 ans, les trois quarts des français vont clamer leur mécontentement : Le quart perdant, et vous, la moitié silencieuse, puisque par construction l’élu n’était pas votre candidat
Ceci pour le plus grand bonheur du gagnant qui aura pris le pouvoir grâce à 25% de la population (c.f. cote de popularité de NS).
Quelque soit votre position politique, je vous demande à vous, les passifs, les indécis, les spectateurs, de réfléchir à cette phrase :
Ne pas voter, c’est voter pour le gagnant
Et c’est aussi laisser aux autres le soin de décider pour vous.
Alors remuez vous le jour du vote.