15avr 12
Ceci est une note rapide rédigée dans la salle d’attente du retour de Pau sur Paris puis dans l’avion du retour. Je ne remets pas à demain de publier aussitôt. Il sera question de ce que j’ai compris de cette paire de jours cruciaux dans la campagne. Gloire à Marseille, bides à Paris. Puis, je dis un mot de mon passage à Pau, et des raisons qui m’empêchent d’être présent à l’hommage rendu à Raymond Aubrac, retenu que je suis par des obsèques plus intimes où le devoir d’affection m’appelle. Si besoin est et si j’en trouve le temps, j’allongerai cette note dans les prochaines heures et jours.
En illustration de ce billet des visages ensoleillés, enthousiastes, déterminés, parmi les 120 000 participants venus le 14 avril sur les plages du Prado à Marseille à l'appel du Front de Gauche. Photos : S. Burlot
De Marseille je ne dis rien car tout a été dit, filmé, écrit de tous côtés. Vous savez à quoi vous en tenir. L’onde de choc va se propager dans les couches profondes de l’opinion toute la semaine. La force ira à la force de façon moléculaire mais constante. Je guette le moment où le Front de Gauche accomplira sa mue prévisible en Front du peuple. Les urnes vont être une étape cruciale. Le bilan de cette fin d’avant-dernière semaine est excellent pour nous. Les rassemblements de notre concurrent et de notre adversaire qui devaient assécher notre performance marseillaise et relancer leur action pour les derniers jours n’ont pas fonctionné.
Si c’était un match que cette simultanéité des meetings ce samedi dimanche, alors nous aurions l’avantage. Pouvais-je imaginer que ce serait à ce point ? Notre rassemblement de la plage du Prado est une cristallisation formidable et un propulseur inouï. Les deux rassemblements du lendemain, celui du Bois de Vincennes et celui de la Concorde sont des bides déflagrateurs. Je comprends parfaitement le rôle que le mauvais temps a joué dans cette situation. Mais dans la mesure où les uns étaient mis publiquement et ostensiblement en concurrence avec les autres, l’incapacité à vaincre les hantises du mauvais temps sont un indicateur de froid qui n’a rien de météorologique. J’en suis d’autant plus certain que, placés dans des conditions plus rudes quant au froid et à la pluie, nous avons submergé la place royale à Pau. Nous confirmons notre ancrage et nous nous donnons de l’élan. Ils peuvent au mieux stabiliser leurs positions. Les gesticulations sur la très, très, grande scène centrale du château de Vincennes annonçant cent dix mille personnes sur une place qui n’en peut contenir davantage que 70 000 bien tassés étaient si énormes que le public présent se sentait lui-même gêné. Surtout que la place était à moitié vide. Quoi qu’il ait annoncé son intention de faire un retour au festif, cette partie manquée ne change rien pour le candidat socialiste. Hollande est candidat à être président par défaut. L’enthousiasme l’encombrerait comme une promesse impossible à tenir. Il n’a donc pris aucun risque, plus plat que jamais. Des gens quittèrent donc la place alors même qu’il dévidait encore son filet d’eau tiède. Peu lui chaut ! Il n’est là pour les mobiliser à rien d'autre qu'à faire les machines à « voter-utile ». La situation de cette place glaciale et sans enthousiasme, régulièrement appelée à applaudir tel ou tel notable de Paris ou de province fonctionne comme un résumé du récit que cette nomenclature propose d’elle-même en tant qu’idéal de vie. Il n’y a pas de décalage entre ce qui est donné à voir et ce qui est proposé. Il en va tout autrement en ce qui concerne Sarkozy. L’affaire est plus grave. Les apparatchiks du parti ont déjà désenbossé les canots de sauvetage. La marée annoncée par le chef, un fondamental de la droite française, n’a pas eu lieu. Elle lui était pourtant indispensable. Une semaine avant le vote, les mouches vont donc changer d’ânes. L’éparpillement de la droite pourrait bien livrer le deuxième tour dans un fauteuil en velours à François Hollande. Mais qui sera alors le second ?
La semaine qui vient va beaucoup faire tanguer. C’est la zone des très grands rapides. L’espace-temps politique va devenir hautement communiquant. Rumeurs et bobards se déplaceront à la vitesse des virus sur la toile. Mais aussi les arguments qui touchent au but. L’espace temps subit une très grande tension en ce moment. Nicolas Sarkozy, nous dit-on, semble dévisser dans les sondages. Sa défaite paraît certaine. Dès lors l’univers politique se déforme et bien des choses peuvent se produire. Le bide des meetings de ce dimanche accentue la volatilité du champ politique, je le répète. Nous sommes donc mobilisés : notre rendez-vous du 19 avril Porte de Versailles prend un sens et une portée augmentée. C’est le message de force qu’il faut délivrer avant le vote pour faire le sans faute qui est nécessaire avant le verdict populaire. Nous sommes capables de recevoir un formidable coup de booster.
Les provocations contre nous vont donc se multiplier, cela ne fait aucun doute. Il suffit de voir comment la propagande de l’extrême-droite a été relayée par le « Nouvel Observateur » et « L’Express » pour se faire une idée du niveau de violence disponible contre nous. Bien sûr nous rendrons les coups comme nous l’avons toujours fait. La pente générale des derniers convertis au prochain pouvoir et des intriguants qui en attendent des postes est de nous nier, de nier notre premier tour et donc les chances pour nous qui vont avec. Ainsi de l’épisode de ma possible candidature aux élections législatives. Autre manière de reprendre le même petit concert qui voudrait tellement faire de ma candidature un simple et inoffensif témoignage. C’est sûr : c’est déjà mieux que l’invention d’après laquelle je « prépare 2017 » inventée par mes chers « biographes ». L’un d’entre eux a jeté le masque en venant faire à Marseille un reportage sur les participants à notre meeting de la plage du Prado « tentés par le vote utile pour François Hollande ». Wee ! Une tournée de la part d’Hollande ! Il aurait plutôt dû cuver en faisant un reportage sur ceux qui croyaient aux soucoupes volantes parmi ces gens. Il aurait ainsi révélé notre conjonction secrète avec le plan de Cheminade pour « terraformer » Mars. Plus sérieusement, tenez-vous prêts à riposter dans vos réseaux, en évitant de propager les fausses nouvelles et en assurant le calme et le sang-froid de l’argumentation en toutes circonstances.
A Pau, il pleuvait à gros seaux quand je suis arrivé sous la petite tente où j’attendais mon tour de parler en écoutant Olivier Dartigolles. Bien sûr, la pluie s’est arrêtée quand je suis monté sur cette scène plantée devant la statue d’Henri IV. Je dis : « bien sûr » car j’ai pris l’habitude de voir le temps s’accommoder à nos horaires. J’ai dit d’abord, comme pour plaisanter, que c’était les forces de l’esprit. Je finis par croire que le syndicat des nuages est de notre côté ! N’empêche que ce devait être un pique-nique mais on comprend qu’il n’en fut rien du fait des intempéries. Encore une fois une affluence historique sur cette place elle-même historique. Un beau et fort festival d’expression culturelle avait eu lieu avant nos prises de paroles selon ce qu’on m’en a dit. Moi j’arrivais directement de l’avion et de la voiture depuis Biarritz. Possible que quelqu’un ait filmé ou enregistré ce que j’ai dit là. Il y fut question d’émancipation et du goût de la liberté. De la place à l’auberge qui m’accueillait, à l’aller comme au retour, j’ai franchi tout juste dix mètres. Mais quelle incroyable ambiance de chaleur humaine, si amicale, si fraternelle ! Un nombre compact de personnes de tous âges tendait les mains et criait des mots d’amitié. De tout cela je retiens une fois de plus le sentiment de la force grandissante et surtout de la joie qui se dégage de notre rassemblement. Les gens arrivent et repartent avec le sourire. Et moi aussi quand bien même suis-je par moment épuisé par cette sorte d’avidité photographique dont je fais l’objet et qui me rend moins disponible pour rendre les sourires aux amis inconnus qui m’en font.
Ce lundi matin il fallait choisir où je serai. On m’attend à l’hommage pour Raymond Aubrac. Mais à la même heure se déroule la crémation d’un ami très cher. Je serai avec la famille de mon ami. Et les amis de l’ami. Dans ce moment-là nous sommes ces pauvres diables qui se serrent sous la pluie froide sous le même parapluie. Je veux y tenir ma place et y apporter ma part de chaleur. Nous autres de la région parisienne, nous avons vécu venant de tous côtés. Nos amis de longue date sont alors notre famille choisie. Ces liens là sont aussi forts que ceux de la nature. Et parfois davantage. En ce qui concerne Aubrac je crois que j’ai pris la part que je devais prendre. J’ai fait vivre son exemple et sa mémoire sur la plage du Prado. A Marseille dont il a été le préfet à la Libération. J’ai rappelé ses réquisitions d’entreprise qui ont permis au port phocéen de reprendre ses activités au moment crucial ou le pays en avait besoin. Et je suis certain qu’avec notre cri de ralliement mille fois répété au cours de cette campagne, résistance, nous nous sommes tous montrés dignes de ce qu’il pouvait nous apprendre.
Un qui m’en aura appris, c’est celui que je pleure. C’est un cancer qui l’a emporté. Ceux qui mènent ce combat là nous en apprennent toujours. Un grand nombre en sortent victorieux, heureusement. Ils ne sont plus jamais les mêmes ensuite, j’ai eu maintes occasions de le constater. Mais lui a fait plus fort que tout ce que j’avais vécu. Je suis allé le voir il y a une quinzaine. Il a voulu faire un tour dans le parc de la clinique. Lui dans un fauteuil roulant, nous, trois de ses vieux copains. Et sa fille qui est comme la nôtre. Une jeune femme déterminée qui a les yeux humides tandis que son père décide qu’on va parler de sa mort. Je lui dis qu’on pourrait parler d’autres choses. Je donne comme argument que sa fille est là et que nous allons la faire souffrir. Elle dit qu’elle n’a pas besoin de précautions parce qu’il a déjà eu cette conversation avec elle plusieurs fois déjà. Encore une personne jeune qui en sait davantage que moi sur la vie, je le vois bien et je ne le sais que trop, connaissant sa vie. Lui prend cet air ferme qui est notre façon codée de dire sans élever la voix que c’est une décision qui ne se discute pas. Il dit : « Non, on va en parler, sinon on n'en parle jamais ». « Il faut en parler justement avec ceux pour qui ça va compter ». Je passe le reste. Il n’appartient qu’à nous. Il voulait aussi l’adresse de l’association pour le droit de mourir dans la dignité. Le lendemain je devais y aller parler. Mon discours fut comme une suite donnée à cette conversation dont je devinais qu’elle serait la dernière entre nous, de cette façon là. Lui nous a dit : « Je n’ai pas peur ». Cette certitude exigeante, ces mots si fermes sont à présent plantés dans mon esprit comme un dépôt pour le moment qui viendra forcément un jour. Nous, ses vieux copains, nous avons délibéré et nous concluons comme la sagesse stoïcienne et épicurienne le signale. La mort est une expérience que font les témoins et non celui qui en est le sujet. Pour celui qui va mourir la mort n’existe que comme peur de la mort. Qui a vaincu la peur de la mort a vaincu la mort elle-même. Les grandes peurs périssent d’être reconnues dit Camus. J’ai vu cette fois-ci que cela pouvait être vrai de la plus grande d’entre elle puisque c’est la dernière que l’on éprouve. Les copains y sont retournés une fois encore pour une petite cérémonie tandis que moi je courrais la campagne électorale. Lui suivait cette campagne comme jamais. Les copains ont chanté l’internationale avec lui dans la chambre de la clinique. Il est passé le poing levé.
La mort est notre Lien commun, légitimant notre combat pour le droit à une vie digne et apaisée.
Pour ton ami, souviens toi que seuls meurent vraiment ceux qu'on oublie. Reposent en nos mémoires et nos cœurs ceux qui ont oeuvré à rendre l'humanité plus fraternelle. Donner un sens à notre vie est la meilleure façon de la vivre et non de s'enivrer d'avoirs que l'on ne pourra emporter.
Quoi qu'il se passe maintenant, le Front de Gauche a d'ores et déjà gagné la bataille de l'intelligence populaire. Avant Jean-Luc Mélenchon, le monde marchait sur la tête mais tout le monde semblait trouver cela normal, inéluctable, fatal. Le peuple n'avait surtout pas le droit de penser autrement, sans être humilié en permanence par toutes ces belles personnes invitées sur tous les plateaux tv, et leurs relais radios. Mais voici qu'aujourd'hui, la Mélenchonisation des esprits atteint même notre Président sortant (et qui va effectivement sortir) : voici donc qu'il veut à présent revoir le fonctionnement de la BCE ! Cela devient comique... Où peut-être est-ce le signal d'une énorme surprise dimanche prochain. Et si le Front de Gauche était au 2ème tour ? Je lis ici ou là sur internet des sondages encore confidentiels faisant état d'une élimination de N.Sarkozy au premier tour au bénéfice de Jean-Luc Mélenchon qui passerait le second tour : c'est stupéfiant ! Est-ce vrai, je ne sais pas. Mais je note ce matin que le ton des journalistes a changé et surtout, qu'ils prennent soudainement beaucoup de distance avec les sondages. A suivre...
De tout mon coeur avec vous pour cette vie partie
Etre en choeur avec vous pour cette vie a venir
Je ne peux plus me passer de ce blog, me voilà devenue accroc. Que d'émotions je trouve ici. Du rire aux larmes, de l'indignation à l'espoir et l'incroyable force qui nous propulse tous dans cette dernière ligne droite.
Mais c'est bien toi Jean Luc qui donne le ton, l'écriture et les mots choisis ne trompent jamais sur la nature de l'âme. Et à lire toutes ces pages de messages nous tous ici te renvoyons ce que tu sais si bien nous transmettre.
Par contre je crois que je vais éviter un maximun les médias cette semaine sinon c'est un urticaire géant assuré. Ce matin au bureau je racontais mon périple Marseillais et une collègue dit, je cite : "il me plait bien ce Mélenchon, je vais peut être voter pour lui". En 1 minutes c'était plié, le peut être était devenu sûr !
On ne lache rien !
@278 Sophie dit: "Mais voici qu'aujourd'hui, la Mélenchonisation des esprits atteint même notre Président sortant (et qui va effectivement sortir) : voici donc qu'il veut à présent revoir le fonctionnement de la BCE ! Cela devient comique... "
Non seulement ça devient comique, mais ça jette le discrédit sur tous ses soutiens médiatiques qui ne vont plus savoir quelle posture adoptée face au programme FdG !
Quel aveu d'incompétence...
Tout d'abord mes condoléances pour votre ami. J'était à la Bastille, à Marseille au Prado. Tout ce monde pour les idées du Front de Gauche. Vos discours sont un régal pour nos oreilles, vous m'avez donné goût à la langue française perdu dans les bas-fond de la médiocrité environnante et générale aussi bien à la télévision que dans les journaux. Merçi pour votre travail, pour vos sourires, oui ils sont nombreux malgré l'image que l'on veut montrer de vous. La 6éme République approche on peut sentir son odeur, patience. Et sachez que nous serons dans la rue pour appuyer nos revendications, le programme de l'humain d'abord.
Mon cher Jean Luc,
Ma mère venue de l'autre côté de la méditerranée, il y a longtemps, était ce samedi à Marseille. Elle me dit avoir quitté le Prado grandie de ce qu'elle y avait entendu. Merci.
Reçois, par ailleurs tout mon soutien dans le peine qui te touche aujourd'hui plus personnellement. Transmets ce témoignage à ceux qui partagent ta douleur.
A bientôt,
Du coté de l'UMP, c'est la DE-BAN-DA-DE, allez mater les commentaires suite au revirement surprise de SARKOSY sur le role de la BCE :
http://elections.lefigaro.fr/presidentielle-2012/2012/04/15/01039-20120415ARTFIG00229-rouvrir-le-debat-sur-le-role-economique-de-la-bce.php
J'ai fait ce que j'ai pu ; j'ai servi, j'ai veillé,
Et j'ai vu bien souvent qu'on riait de ma peine.
Je me suis étonné d'être un objet de haine,
Ayant beaucoup souffert et beaucoup travaillé.
Victor Hugo Les Contemplations Veni, vidi, vixi
La haine imbécile ne date pas d'aujourd'hui, mais un bel avenir nous attend, grâce à toi !
Merci pour l'espoir que tu nous rends.
Un vote "utile" détourne ce que pense l'électeur vers une cause qui défends les seuls banquiers !
Le vote "utile" est le vote des otages soumis au syndrome de Stockholm !
Je connais un président des Français qui met à la poubelle le résultat d'un référendum avec l'accord des Verts, de l'UMP, du Modem et du PS....
Je connais un président Français, avec l'accord de Hollande et des Verts qui prend les décisions sans tenir compte de celle du peuple !
Comment nommer cela ?
Surement pas un démocrate !
C'est pourquoi il est non seulement "nécessaire" de voter Front de gauche, et comme nous le savons tous, voter pour l'Humain d'abord" est la seule voie que nous ayons pour nous dégager de ce libéralisme opprimant.
Nous voterons "Humain d'abord", nous voterons Front de gauche !
@bibi 11h55 et @Sophie 11h50
Il faut éviter cette expression "Mélenchonisation des esprits" que les médias risquent de pervertir et d'exploiter contre le FdG
1) parce qu'elle est le jumeau de "lepénisation des esprits". Pas besoin de commenter.
2) parce que justement, c'est une contre-vérité que les faits démentent : le FdG et Jean-Luc Mélenchon ont très bien évité la personnalisation du mouvement jusqu'à présent. C'est ce qui fait aussi sa force et son succès : il est collectif et s'intéresse au peuple avant tout grâce à son programme. Ce qui n'empêche pas d'apprécier les qualités humaines et intellectuelles de Jean-Luc Mélenchon. Il est remarquable que les autres mouvements, eux, pratiquent franchement cette personnalisation : "Machin, Président !" (voir par ex. le meeting de Hollande hier)
Bonjour
Les radios,Tv et journaux ne cessent de parler d'abstention.
Les électeurs qui prônent la reconnaissance du vote blanc ne veulent simplement qu'un mot d'excuse pour aller à la pêche. Alors Mrs et Mds les abstentionnistes réfléchissez bien et ne pleurez pas au lendemain du deuxiéme tour.
Les enjeux et les futures réformes que nous préparent l'umpsfn s'occuperont de nos enfants.
Alors a l'ouverture des bureaux de vote prenons le bulletin du FdG et glissons le dans l'urne.
Aprés la pêche on se retrouveras pour fêter ça.
RÉSISTANCE.......
Cet après-midi, je vais accompagner un jeune de 13 ans qui m'a été confié, aux obsèques de sa mère. Vos mots si justes et touchants m'aideront à le soutenir dans cette difficile épreuve.
Merci Monsieur Mélenchon et toutes mes condoléances à vous et aux proches de votre Ami.
Encore essuyer des larmes d'enthousiasme et d'émotion mêlés à la lecture du billet.
Certes la peur de la mort nous barre la Vie.
Mais je garde à l'esprit toujours une musique qui me dit: nous ne savons pas tout il y a de l'inconnu, il y a de l'Autre.
Et un mot trouvé récemment au hasard d'un livre qui avait été griffonné en marque page "Ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort." Antoine de Saint-Exupéry
via twitter, un camarade anglais s'est proposé spontanément pour la traduction de l'article du guardian,
j'ai voulu partager cette info avec vous
Gonflés à bloc nous sommes...Merci. Juste une suggestion, dans les prochaines interventions faites remarquer que Sarkozy dimanche, après Hollande peu de temps avant annonce devoir revoir le mode d'intervention de la BCE pour aider la croissance... Que ne l'ont ils dit plus tôt, qui avait raison, qui est le plus sérieux, le plus crédible... IL faut le marteler dans chaque intervention car pour les media là dessus comme sur le reste il n'y a que Sarkozy et Hollande.
Ce matin un régal, Jean-Luc Mélenchon sur BFM, avec des arguments de plus en plus affutés. Très beau meeting à Marseilles, paroles pleines d'humanité, mot qui semble avoir disparu dans le sarkoland. Nos arguments font petit à petit leur chemin, le dernier en date, le prêt de la BCE directement au états, argument repris à son compte par le souverain sans aucune pudeur. Ce personnage doit penser que tous les français sont frappés d'amnésie, ou candidats à l'halzeimer...Lelouch," l'ami américain", chantre de l'ultra libéralisme et de l'OTAN, adorateur du "veau d'or", emploi une sans papier, une clandestine, on aura tout vu. Hier sur LCP, "La City, la finance en eau trouble" ou l'on apprend que les anglais ont été roulés par leurs élites politiques ; La City soustrait à l'impôt, chaque année, 150 milliards ! La question qui se pose, c'est pourquoi on investigue pas en France ? Pourquoi ne parle-ton pas de ce livre ; "Les 600 milliards qui manquent à la France" ? l'argent de la fraude-évasion fiscale planqué en Suisse et dans les offshore ? On ne lâche rien !
Ce matin, 16 avril après une distribution de tracts entre vent glacé et soleil clignotant, devant une moderne entreprise style élevage de poulets en batterie, retour au logis.
Obsèques de Raymond Aubrac retransmises :
intensité émotionnelle dépassant le lieu, le temps, le vent glacé avait fait entrer dans la Cour d'Honneur des Invalides l'Histoire des Hommes. Paroles vibrantes des textes écrits lus.
J'espère que dans toutes les écoles, une journée pourra être consacrée à cette sobre cérémonie et que l'intégralité des textes lus pourra être entendue, commentée.
Les lignes immenses de ce billet, lien profond, universel entre ce qu'est véritablement l'Humain de chair, de coeur, d'action, de réflexion pourraient être envoyées à chaque Français et habitants du territoire.
Les larmes qui serrent la poitrine rejoignent le sel des mers.
Imprimons ce billet....lignes de force de grande fraternité.
Oui le meilleur hommage à rendre aux chers disparus est de véritablement poursuivre leur chemin de battant sincère.
Je voulais évoquer Marseille et la joie que nous ressentions tous, heureux d'être réunis, ensemble dans un même élan.
Mais pour l'heure, je vais me contenter d'un :
Sincères condoléances à vous et à la famille de votre copain
Mr. Mélenchon,
Vous êtes le seul type bien de cette campagne. J'espère que le plus grand nombre s'en rendra compte. Vite.
Continuez!
Vincent Kopp
la vie est ainsi et il y a des choix à faire! le droit de mourir sans acharnement médical devrait étre une possibilté, pourquoi la droite et des lobyes s'y opposent !
comme le dit une amie de 74 ans raliée au vote pour jl melenchon(elle vient de loin) si c'est le seul qui propose cette loi,alors je vote pour lui !
il faut le faire savoir!
Bonjour Jean Luc!
Je suis à fond derrière vous, ainsi que mes collègues de bureau que j'ai converti, ma famille et mes amis, ainsi de suite à leur tour feront de même, et je crois en vous, je crois à la victoire, c'est la première fois que je vote (car les autre élections était sans intérêt).
Jean Luc, bravo bravo vous êtes vraiment le numéro 1; le seul qui tient un discours cohérent.
Résistance.Prenons le pouvoir.
Je me déplacerai à Paris dimanche exprès pour vous soutenir.
Ce billet me donne l'envie de partager une conviction forte.
Vaincre la peur de la mort, c'est aussi vaincre la peur d'ouvrir son cœur.
Continue ce courage Jean Luc. Continue ce courage d'ouvrir ton cœur. Cette semaine et tous les jours qui suivront.
Continuons de faire cela ensemble. Nous tous.
Laissons notre "tête" de côté. Laissons notre raison, nos arguments et nos contre-arguments, notre rejet des pratiques de ceux à qui l'ouverture de nos cœurs justes fait si peur. Au delà d'un programme,
A la porte de Versailles, laissons le mot "résistance" nous rassembler pour passer à ceux de la clairvoyance "L'HUMAIN D'ABORD".
Ma conviction : c'est dans cette région du cœur "vrai, authentique" que se trouve la force, la puissance de transformation dont nous avons besoin. L'humilité d'apprendre la vie de plus jeune que soi. Bel exemple.
Au delà d'un scrutin, d'une "victoire" sur "d'autres, il y a encore beaucoup de route à faire pour concrétiser un éveil collectif possible.
Je vais enfin depuis si longtemps que je ne l'avais fais voter avec joie et conviction pour le candidat de mon choix et non par défaut pour le moins pire !
Mon fils - 25 ans - qui ne s'intéressait que de loin à la politique est transformé par vos arguments qui lui vont droit au cœur tout en activant ses neurones...
Merci d'être où vous êtes, d'avoir fait ce choix et de répandre les valeurs de le république sociale. Nous en avons tant besoin.
On vous aime, on vous soutient, je vais voter pour ce que vous défendez car il n'y a presque rien à enlever ou a rajouter de ce que j'espère.
Je ne serai pas à Paris : trop loin, trop cher, mais on en perdra pas une miette avec Internet.
Quoiqu'il arrive, les graines germeront, maintenant ou plus tard, semons, semons...tout en étant à l'endroit où notre for intérieur nous appelle à être...
Fraternellement,
Danielle-Tarn-
Excellent passage chez Bourdin, ce matin! Un petit mot au sujet de ce dernier.. Je le trouve incomparablement meilleur que les Barbier,Aphatie etco. qui sont réellement pitoyables et peu fortunés coté matière grise, ce qui n'est absolument pas le cas du Bourdin...
Il est coriace, il est dur, il est pénible, il ne lâche pas facilement et tape là où il pense que ça peut faire mal. C'est là sa méthode, il aime bien secouer le cocotier un bon coup, voire deux ou trois fois si ça ne marche pas, c'est son coté retors, oui. (cf. face à Copé, quand il lui demande "que faisiez-vous hier à 11h23?" pour lui reprocher d'avoir "abandonné" la trêve du deuil de Toulouse, il lui a mis la misère!)
Mais en revanche, il continue ensuite sur les points véritablement importants où il laisse la parole s'exprimer et généralement cet espace laisse à voir ce qu'il y a au cœur du discours de son interlocuteur.
Jean-Luc et lui se ressemblent beaucoup sur ce point, bien que de bords différents...Ils se sont donnés à une belle joute ce matin et j'ai l'impression que tous deux y ont pris bien plaisir quelque part! (J'ai adoré le coup de "ne me chipez pas mes notes s'il vous plait!" Excellentissime! Deux bretteurs de première qui s'affrontent, c'est un régal!)
En tout cas, cela a permis à Jean-Luc de battre en brèche pas mal de bêtises énoncées contre lui et de manière très claire! Donc très positif, de mon point de vue!
Notons que l'union des forces de gauche permet enfin d'apporter une réponse à ce problème constant qu'est la dignité devant la mort et la possibilité qui doit nous être donné de choisir sa fin quand elle devient inéluctable.
Je tiens toutefois à témoigner d'un autre problème qui est celui de mon quotidien. Les budgets de recherche sur les pathologies lourdes (CANCER, Alzheimer, Parkinson, Scléroses en plaque...) sont devenus ridicules et de plus manquent aujourd'hui totalement de coordination. Pour information dans la comparaison des échelles de valeur, le budget de la recherche contre le CANCER est inférieur à celui du budget du Paris Saint Germain. Mais, il ne s'agirait là que d'un problème mineur si l'argent était correctement dirigé vers les actions à forte valeur ajoutée, non pas financières, mais en termes de prises en charges des pathologies. Aujourd'hui 3 essais cliniques sur 4 sur le CANCER sont des échecs en termes car on n'arrive pas à sélectionner des cohortes de patients suffisamment homogènes pour tirer des conclusions sur l'efficacité de tel ou tel médicament. Le gaspillage est gigantesque. La raison principale est le manque de données de qualité concernant les patients atteints de ce type de pathologie qui nous permettraient de mieux les comprendre avant d'envisager des méthodes de traitements efficaces.
Les coûts pour obtenir ce type d'informations sont ridicules alors une questions se pose. Pourquoi refuse t'on de mener des actions efficaces...
Dernière brève :
Mélanchon, le it-candidat du "Guardian"
Dans le quotidien britannique, le professeur de sciences politiques à Londres Philippe Marlière dresse un tableau très élogieux du programme de Jean-Luc Mélenchon, qui apporterait des solutions "crédibles" à la crise économique actuelle : "Il explique que les mesures d’austérités prises partout en Europe ne sont pas seulement injustes mais aussi contreproductives (même le'Financial Time'est d'accord)". Il souligne également l'engouement des médias français pour cette "nouvelle tendance du moment dans la campagne présidentielle"
Une petite pensée pour vous et vos amis en ce jour de deuil (j'ai connu cela aussi de très près)
Le mensonge continue, si beaucoup dans la presse mentionne que le nombre de participants au meeting de Hollande et Sarkozy est largement surfait, ils n'en continent pas moins à mentionner au fils des propos les chiffres rêvés de 100 000.
La propagande continue,
et ce journaliste allemand qui explique la présence de la foule dans les meetings par l'existence chez nous des 35 heures et RTT, ce qui fait rire l'ensemble des contempteurs, pauvre d'eux!
Quand on lit de telles lignes... Et en particulier: "Qui a vaincu la peur de la mort a vaincu la mort elle-même. Les grandes peurs périssent d’être reconnues dit Camus." La mort et la peur, la première la seule certitude qui nous fait tous frères, et la deuxième, l'inéluctable compagne qu'il faut reconnaître sous peine d'être son jouet...
Quoiqu'il arrive, d'avoir vécu une telle expérience commune à laquelle tant de gens se résignait de ne plus vivre, est une source de profonde joie et sérénité.
Merci à toutes celles et ceux qui ont rendu le Front de Gauche possible!
Et ce sont des..?..?... qui sont avec vous pour ce dernier hommage à votre ami et ce partage avec ses proches.
Cher Jean-Luc. Votre chagrin, nous le partageons. Les silences valent parfois mieux que des mots car dans notre misérable vie, le plus intolérable c'est effectivement la perte d'un être cher. Ce matin, j'ai été sur BVM.TV vous écouter. Le journaliste Bourdin a été odieux, détestable, ignoble.... Comment peut-on croire qu'il n'est qu'un "journaliste" de droite ? J'ai admiré votre sang froid, alors que sur ma chaise, je me suis levée plus d'une fois tant j'étais scandalisée par son comportement. Des journalistes de la télé en général, je dirai que nous sommes habitués de leur haine du "rouge". Mais il y a des bornes à ne pas dépasser ! Monsieur Bourdin, je n'ai que mépris à votre égard, et ce mépris est à la hauteur de votre basse besogne d'en découdre de ces "rouges" qui vous encombrent.
Bravo encore Jean-Luc, vous avez su RESISTER. Fraternellement
La vidéo du passage de Jean-Luc Mélenchon ce matin sur BFM TV est publiée sur le blog :
http://www.jean-luc-melenchon.fr/2012/04/16/invite-de-bfm-tv-et-rmc/
Hauts les coeurs ! Ardents à la lutte ! C'est la dernière ligne... gauche !
Toute la partie frontalière de Suisse ne parle que de vous, là où pas plus qu'en France il n'y a de socialisme. J'espère faire deux fois le trajet pour rejoindre ma famille et formuler, en ainée, que " le Père " aurait voté pour Jean-Luc Mélenchon. Et qu'on y pense et ne laisse pas passer cette providentielle chance.
A titre d'information, hier soir sur Z et N, les deux invités qui m'avaient fait veiller, ont déploré " qu'aucun des candidats n'ait proposé la réforme de la JUSTICE ". Selon Monsieur Bilger.
Des millions de Français ont en effet soif d'une vraie justice, sous l'arbre plutôt qu'en cassation pour un oui ou un non.
Le courage tu l'as eu, la sincérité se lit dans ton regard, on sais que l'avenir ne sera pas facile mais nous à Marseille nous étions tous la vague rouge de l'espoir pour nous pour nos enfants l'avenir de la France est entre nos mains à tous et le 22 avril nous seront tous derriere toi sans jamais baisser les bras chassons le pouvoir actuel fais de mensonges et de mépris des ouvriers la lutte ne fait que commencer !
@ viviane (12h28)
"via twitter, un camarade anglais s'est proposé spontanément pour la traduction de l'article du guardian, j'ai voulu partager cette info avec vous"
Euh je croyais que tu nous envoyais la traduction puisque traduit. Dommage, je vais aller voir mais en anglais je ne suis pas suffisamment à l'aise pour en comprendre toutes les subtilités.
Bourdin a fait son show ce matin avec "Buisson". Il fait donc le buzz sur twitter. Préparons-nous car Jean-Luc a raison : le fiel va se répandre violemment. Alors diffusons déjà très largement cette vidéo très bien faite sur les mensonges d'Onfray (et il y a presque tout le paquet d'injures) et les réactions de Jean-Luc. Très pratique, très éducatif. Poursuivons le combat ! http://www.youtube.com/watch?v=oGCUmTAdYRw
Dernière ligne droite : les coups-tordus sortent du Buisson. Camarade Jean-Luc Mélenchon, on te sais, on lâche rien. Confiance, amitié et courage !
Moi, si par malheur c'est pas Jean-Luc au Second Tour, ça me ferait mal au bide de voter sans plus pour Hollande.
Alors je me suis dit :
Ce qui est bien, avec une politique du "prendre ou laisser", c'est que les "85% de report" peuvent se payer le luxe d'hésiter jusqu'à 18 heures, d'aller voir un site suisse ou belge, de voir si Hollande est mort de trouille, et puis décider selon.
Imaginez si son score ne se joue qu'entre 18 heures et 20 heures, imaginez combien il sera reconnaissant au Front de Gauche et combien il comprendra qu'il faut tenir compte de cette force à sa Gauche.
Chiche, tout le monde ?
RDV TOUS le 6 mai, entre 18 et 20 heures dans vos bureaux de vote ?
;-)
@michèle
dès que je l'ai je diffuse
autre chose
http://www.tv5.org/cms/chaine-francophone/info/France-2012/Les-articles/Participatif/p-20343-Emission-France-2012-Posez-vos-questions-aux-invites.htm
je vais faire circuler dans le milieu universitaire qq étudiants de ma connaissance sont intéressés par le programme mais septiques
A JLM
On vous connait, un peu, vos valeurs, votre respect, votre amour pour les êtres et les choses qui vous tiennent à coeur, lorsque je lis vos mots aujourd'hui, ces quelques mots consacrés à votre ami aujourd'hui disparu, quelle pudeur, quel amour l'on devine, quel respect enfin.
Lorsque je lis ces lignes, j'ai l'impression de lire un roman, et je n'ai pas envie qu'il se termine, quand je lis vos lignes je me sens bien malgré le chagrin que vous transmettez, parce qu'être votre ami(e) doit être un cadeau magnifique.
Merci d'être tout cela Monsieur, sincèrement merci.
J'ai vu l’interview de Marie-George Buffet et de Clémentine Autain au grand journal. J'ai été très impressionné par les têtes d'enterrements de toute la bande de journalistes. Ça sent la fin de règne. Je ne parle pas des questions qui n'en étaient pas mais plutôt un réquisitoire de la corporation des journalistes contre les coups de gueule de Jean-Luc.
http://www.dailymotion.com/video/xq3zh7_marie-george-buffet-et-clementine-autain-invitees-du-grand-journal-sur-canal_news?search_algo=1
Bonjour
Conformément aux souhaits de la famille ns n'a pas prononcer de discours!
France 2 12h00 ce jour
RÉSISTANCE...
Bonjour,
Honteux interview de M. Bourdin sur cette radio inféodée à la droite la plus extrême(suffit de lire les réactions sur les blogs de ce journaliste qui n'a pas fait honneur à la profession ce matin): quand on reçoit un futur candidat, que devons-nous penser d'un questionnaire inquisitorial fait plus d'affirmations que d'interrogations, de réponses constamment oblitérées par d'autre questions qui arrivent en rafale pour empêcher tout début de réponses, de questions complètement en dehors des enjeux du moment, enfin donc une vrai et honteuse farce qui nous a fait perdre beaucoup de temps comme à J-L Mélenchon qui, nous le savons, est pris dans un "triste" calendrier qui le touche de très prés et auquel nous nous associons. Je n'ose évoquer les gorges profondes qui vont, à cette occasion, s'égosiller dans les GG de cette radio !
Il me semble qu'il faudrait réagir au traitement que le journal de France Culture ce midi a fait des propos de JL Mélenchon sur BFM ce matin : il y devient l'auteur du "c'est plié" à propos de Sarkozy, quand il a bien spécifié ("je ne suis pas devin") que c'était là l'avis des militants UMP présents à la Concorde, selon ses "émissaires".
De la désinformation, en bref.
Pour ma part, j'écris à France Culture.
Pour ma part, je ne range pas Bourdin dans le clan des médiacrates (Aphatie, Barbier, Atalli -même s'il n'est pas journaliste- et consorts...) omniscients et portant partout la même parole. Je trouve au contraire que ce journaliste est un des rares à faire son travail : il ne se couche pas devant les "importants" (qu'il a affirmé ne jamais rencontrer dans des repas mondains, ou certaines réunions du mercredi) et n'hésite pas à appuyer là où ça fait mal. Laissons-le faire son travail et tant pis si parfois il nous agace.
Bonjour,
juste une réaction à chaud sur une phrase ajustable "Bien sûr nous rendrons les coups comme nous l’avons toujours fait", phrase à mon humble avis beaucoup trop violence et donc sujette à polémiques.
Non, nous devons esquiver les coups de façon à faire basculer les adversaires cela dans la philosophie des arts martiaux.
En effet, on n'arrête pas un conflit en continuant celui-ci quand on a pris le dessus.
Jean-luc, je vous scrute depuis assez longtemps pour avoir repéré en vous un homme de paix, mais par des phrases comme celles-ci vous prêtez le flan aux inutiles polémiques.
Merci pour tout
Oratory is politically useless if one does not have an important message to deliver. Mélenchon has one: neoliberalism has failed, so it would be suicidal to persist with its inadequate policies The Guardian
Les qualités oratoires sont vaines si elles ne reposent pas sur un important message à délivrer. Mélenchon en a un: le néolibéralisme a échoué, il serait donc suicidaire de persister avec sa politique inadéquate.
Le message du FdG atteint toute l'Europe ! RÉSISTANCE !
S"il vous plait, Monsieur Mélenchon ne prenez pas de gant avec les dirigeants du PS, qui ne sont plus et ne sont pas de Gauche, ils sont la droite libérale molle, adeptes de la finance fascisante qui nous entrainent tous vers un chaos, soutenus par des médias serviles et menteurs qui les favorisent, sont une insulte aux personnes et à la démocratie. Si les militants et sympathisants du PS ont une conscience et un cerveau, ils ne peuvent pas accepter celà et voteront Front de Gauche. Le capitaine et son pédalo tourne en rond dans la cuvette de ses WC, avec au bout de la chaîne de son ancre Sarko et Bayrou. TIRONS LA CHASSE au premier tour et JAVELLISONS au deuxième tour.
Ce matin sur BFM / RMC........ce monsieur Bourdin, il faut,s'il est aussi bien qu'il le prétend, qu'il vive famille comprise, la vraie vie d'une famille d'ouvriers, pendant 6 MOIS dans un appartement d'une cité HLM de banlieue, au SMIG, à accomplir un métier pénible, usant mais combien utile, suivi de 3 MOIS de RSA, toujours avec sa famille, ça devrait lui mettre un peu de plomb dans la cervelle.Ce "stage", il faut le rendre obligatoire à tous ces fumistes qui se disent l'élite.
Fraternité
Notre coeur déborde d'amour et de compassion, c'est ce lien profond qui nous unit et nous relie et créé un torrent émotionnel et révolutionnaire en ces temps de disette morale et ce n'est pas un hasard si la République Espagnole a été célébrée à Marseille et si notre porte parole ainsi parlé de la Méditerranée Machado Ce poème de Machado va pour l'immensité des émotions que nous a données Jean-Luc Mélenchon dans cette odyssée. Pour Jean -Luc et son ami et pour nos proches Miguel Hernandez
"Llegó con tres heridas:la del amor, la de la vida, la de muerte" Mince j'ai la boule...dans la gorge.
Mélenchon-Buisson, ça me fait repenser à l'histoire par rapport à Hortefeux au Parlement européen. Perso, je prends ça avec des pincettes, tout en sachant que les médias sont très médisants envers le FdG depuis un bon bout de temps... De toute façon, je pense que Jean-Luc Mélenchon s'expliquera à ce propos dans un prochain article sur ce blog.
Toutes nos condoléances à la famille de ton ami.
Je relaie l'article paru sur Agoravox et signalé par Irma sur ce blog, qui ne fait que confirmer que nous sommes
bien sur le seul chemin possible : la VI° république...