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15avr 12
Marseille, Pau, la semaine cruciale.
Rendez-vous Porte de Versailles
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Ceci est une note rapide rédigée dans la salle d’attente du retour de Pau sur Paris puis dans l’avion du retour. Je ne remets pas à demain de publier aussitôt. Il sera question de ce que j’ai compris de cette paire de jours cruciaux dans la campagne. Gloire à Marseille, bides à Paris. Puis, je dis un mot de mon passage à Pau, et des raisons qui m’empêchent d’être présent à l’hommage rendu à Raymond Aubrac, retenu que je suis par des obsèques plus intimes où le devoir d’affection m’appelle. Si besoin est et si j’en trouve le temps, j’allongerai cette note dans les prochaines heures et jours.
En illustration de ce billet des visages ensoleillés, enthousiastes, déterminés, parmi les 120 000 participants venus le 14 avril sur les plages du Prado à Marseille à l'appel du Front de Gauche. Photos : S. Burlot
De Marseille je ne dis rien car tout a été dit, filmé, écrit de tous côtés. Vous savez à quoi vous en tenir. L’onde de choc va se propager dans les couches profondes de l’opinion toute la semaine. La force ira à la force de façon moléculaire mais constante. Je guette le moment où le Front de Gauche accomplira sa mue prévisible en Front du peuple. Les urnes vont être une étape cruciale. Le bilan de cette fin d’avant-dernière semaine est excellent pour nous. Les rassemblements de notre concurrent et de notre adversaire qui devaient assécher notre performance marseillaise et relancer leur action pour les derniers jours n’ont pas fonctionné.
Si c’était un match que cette simultanéité des meetings ce samedi dimanche, alors nous aurions l’avantage. Pouvais-je imaginer que ce serait à ce point ? Notre rassemblement de la plage du Prado est une cristallisation formidable et un propulseur inouï. Les deux rassemblements du lendemain, celui du Bois de Vincennes et celui de la Concorde sont des bides déflagrateurs. Je comprends parfaitement le rôle que le mauvais temps a joué dans cette situation. Mais dans la mesure où les uns étaient mis publiquement et ostensiblement en concurrence avec les autres, l’incapacité à vaincre les hantises du mauvais temps sont un indicateur de froid qui n’a rien de
météorologique. J’en suis d’autant plus certain que, placés dans des conditions plus rudes quant au froid et à la pluie, nous avons submergé la place royale à Pau. Nous confirmons notre ancrage et nous nous donnons de l’élan. Ils peuvent au mieux stabiliser leurs positions. Les gesticulations sur la très, très, grande scène centrale du château de Vincennes annonçant cent dix mille personnes sur une place qui n’en peut contenir davantage que 70 000 bien tassés étaient si énormes que le public présent se sentait lui-même gêné. Surtout que la place était à moitié vide. Quoi qu’il ait annoncé son intention de faire un retour au festif, cette partie manquée ne change rien pour le candidat socialiste. Hollande est candidat à être président par défaut. L’enthousiasme l’encombrerait comme une promesse impossible à tenir. Il n’a donc pris aucun risque, plus plat que jamais. Des gens quittèrent donc la place alors même qu’il dévidait encore son filet d’eau tiède. Peu lui chaut ! Il n’est là pour les mobiliser à rien d'autre qu'à faire les machines à « voter-utile ». La situation de cette place glaciale et sans enthousiasme, régulièrement appelée à applaudir tel ou tel notable de Paris ou de province fonctionne comme un résumé du récit que cette nomenclature propose d’elle-même en tant qu’idéal de vie. Il n’y a pas de décalage entre ce qui est donné à voir et ce qui est proposé. Il en va tout autrement en ce qui concerne Sarkozy. L’affaire est plus grave. Les apparatchiks du parti ont déjà désenbossé les canots de sauvetage. La marée annoncée par le chef, un fondamental de la droite française, n’a pas eu lieu. Elle lui était pourtant indispensable. Une semaine avant le vote, les mouches vont donc changer d’ânes. L’éparpillement de la droite pourrait bien livrer le deuxième tour dans un fauteuil en velours à François Hollande. Mais qui sera alors le second ?
La semaine qui vient va beaucoup faire tanguer. C’est la zone des très grands rapides. L’espace-temps politique va devenir hautement communiquant. Rumeurs et bobards se déplaceront à la vitesse des virus sur la toile. Mais aussi les arguments qui touchent au but. L’espace temps subit une très grande tension en ce moment. Nicolas Sarkozy, nous dit-on, semble dévisser dans les sondages. Sa défaite paraît certaine. Dès lors l’univers politique se déforme et bien des choses peuvent se produire. Le bide des meetings de ce dimanche accentue la volatilité du champ politique, je le répète. Nous sommes donc mobilisés : 
notre rendez-vous du 19 avril Porte de Versailles prend un sens et une portée augmentée. C’est le message de force qu’il faut délivrer avant le vote pour faire le sans faute qui est nécessaire avant le verdict populaire. Nous sommes capables de recevoir un formidable coup de booster.
Les provocations contre nous vont donc se multiplier, cela ne fait aucun doute. Il suffit de voir comment la propagande de l’extrême-droite a été relayée par le « Nouvel Observateur » et « L’Express » pour se faire une idée du niveau de violence disponible contre nous. Bien sûr nous rendrons les coups comme nous l’avons toujours fait. La pente générale des derniers convertis au prochain pouvoir et des intriguants qui en attendent des postes est de nous nier, de nier notre premier tour et donc les chances pour nous qui vont avec. Ainsi de l’épisode de ma possible candidature aux élections législatives. Autre manière de reprendre le même petit concert qui voudrait tellement faire de ma candidature un simple et inoffensif témoignage. C’est sûr : c’est déjà mieux que l’invention d’après laquelle je « prépare 2017 » inventée par mes chers « biographes ». L’un d’entre eux a jeté le masque en venant faire à Marseille un reportage sur les participants à notre meeting de la plage du Prado « tentés par le vote utile pour François Hollande ». Wee ! Une tournée de la part d’Hollande ! Il aurait plutôt dû cuver en faisant un reportage sur ceux qui croyaient aux soucoupes volantes parmi ces gens. Il aurait ainsi révélé notre conjonction secrète avec le plan de Cheminade pour « terraformer » Mars. Plus sérieusement, tenez-vous prêts à riposter dans
vos réseaux, en évitant de propager les fausses nouvelles et en assurant le calme et le sang-froid de l’argumentation en toutes circonstances.
A Pau, il pleuvait à gros seaux quand je suis arrivé sous la petite tente où j’attendais mon tour de parler en écoutant Olivier Dartigolles. Bien sûr, la pluie s’est arrêtée quand je suis monté sur cette scène plantée devant la statue d’Henri IV. Je dis : « bien sûr » car j’ai pris l’habitude de voir le temps s’accommoder à nos horaires. J’ai dit d’abord, comme pour plaisanter, que c’était les forces de l’esprit. Je finis par croire que le syndicat des nuages est de notre côté ! N’empêche que ce devait être un pique-nique mais on comprend qu’il n’en fut rien du fait des intempéries. Encore une fois une affluence historique sur cette place elle-même historique. Un beau et fort festival d’expression culturelle avait eu lieu avant nos prises de paroles selon ce qu’on m’en a dit. Moi j’arrivais directement de l’avion et de la voiture depuis Biarritz. Possible que quelqu’un ait filmé ou enregistré ce que j’ai dit là. Il y fut question d’émancipation et du goût de la liberté. De la place à l’auberge qui m’accueillait, à l’aller comme au retour, j’ai franchi tout juste dix mètres. Mais quelle incroyable ambiance de chaleur humaine, si amicale, si fraternelle ! Un nombre compact de personnes de tous âges tendait les mains et criait des mots d’amitié. De tout cela je retiens une fois de plus le sentiment de la force grandissante et surtout de la joie qui se dégage de notre 
rassemblement. Les gens arrivent et repartent avec le sourire. Et moi aussi quand bien même suis-je par moment épuisé par cette sorte d’avidité photographique dont je fais l’objet et qui me rend moins disponible pour rendre les sourires aux amis inconnus qui m’en font.
Ce lundi matin il fallait choisir où je serai. On m’attend à l’hommage pour Raymond Aubrac. Mais à la même heure se déroule la crémation d’un ami très cher. Je serai avec la famille de mon ami. Et les amis de l’ami. Dans ce moment-là nous sommes ces pauvres diables qui se serrent sous la pluie froide sous le même parapluie. Je veux y tenir ma place et y apporter ma part de chaleur. Nous autres de la région parisienne, nous avons vécu venant de tous côtés. Nos amis de longue date sont alors notre famille choisie. Ces liens là sont aussi forts que ceux de la nature. Et parfois davantage. En ce qui concerne Aubrac je crois que j’ai pris la part que je devais prendre. J’ai fait vivre son exemple et sa mémoire sur la plage du Prado. A Marseille dont il a été le préfet à la Libération. J’ai rappelé ses réquisitions d’entreprise qui ont permis au port phocéen de reprendre ses activités au moment crucial ou le pays en avait besoin. Et je suis certain qu’avec notre cri de ralliement mille fois répété au cours de cette
campagne, résistance, nous nous sommes tous montrés dignes de ce qu’il pouvait nous apprendre.
Un qui m’en aura appris, c’est celui que je pleure. C’est un cancer qui l’a emporté. Ceux qui mènent ce combat là nous en apprennent toujours. Un grand nombre en sortent victorieux, heureusement. Ils ne sont plus jamais les mêmes ensuite, j’ai eu maintes occasions de le constater. Mais lui a fait plus fort que tout ce que j’avais vécu. Je suis allé le voir il y a une quinzaine. Il a voulu faire un tour dans le parc de la clinique. Lui dans un fauteuil roulant, nous, trois de ses vieux copains. Et sa fille qui est comme la nôtre. Une jeune femme déterminée qui a les yeux humides tandis que son père décide qu’on va parler de sa mort. Je lui dis qu’on pourrait parler d’autres choses. Je donne comme argument que sa fille est là et que nous allons la faire souffrir. Elle dit qu’elle n’a pas besoin de précautions parce qu’il a déjà eu cette conversation avec elle plusieurs fois déjà. Encore une personne jeune qui en sait davantage que moi sur la vie, je le vois bien et je ne le sais que trop, connaissant sa vie. Lui prend cet air ferme qui est notre façon codée de dire sans élever la voix que c’est une décision qui ne se discute pas. Il dit : « Non, on va en parler, sinon on n'en parle jamais ». « Il faut en parler justement avec ceux pour qui ça va compter ». Je passe le reste. Il n’appartient qu’à nous. Il voulait aussi l’adresse de l’association pour le droit de mourir dans la dignité. Le lendemain je devais y aller parler. Mon discours fut comme une suite donnée à cette conversation dont je devinais 
qu’elle serait la dernière entre nous, de cette façon là. Lui nous a dit : « Je n’ai pas peur ». Cette certitude exigeante, ces mots si fermes sont à présent plantés dans mon esprit comme un dépôt pour le moment qui viendra forcément un jour. Nous, ses vieux copains, nous avons délibéré et nous concluons comme la sagesse stoïcienne et épicurienne le signale. La mort est une expérience que font les témoins et non celui qui en est le sujet. Pour celui qui va mourir la mort n’existe que comme peur de la mort. Qui a vaincu la peur de la mort a vaincu la mort elle-même. Les grandes peurs périssent d’être reconnues dit Camus. J’ai vu cette fois-ci que cela pouvait être vrai de la plus grande d’entre elle puisque c’est la dernière que l’on éprouve. Les copains y sont retournés une fois encore pour une petite cérémonie tandis que moi je courrais la campagne électorale. Lui suivait cette campagne comme jamais. Les copains ont chanté l’internationale avec lui dans la chambre de la clinique. Il est passé le poing levé.
1 524 commentaires à “Rendez-vous Porte de Versailles”
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@ clémence
Nicolas Sarkozy promet une autre BCE aux français, sauf qu'il évite soigneusement de le dire devant Angela Merkel
Mais le plus inquiétant est que la presse sociale-libérale, en l'occurrence Libération sous la plume de l'ineffable JQ, lui reproche de se "m é l e n c h o n i s e r". Pour les sociaux-libéraux, NS est trop proche non pas de A. Merkel mais de Jean-Luc Mélenchon.
Trouvé dans le journal Anglais le "Guardian" ce jour-ci : Un article quasi élogieux envers le Front de gauche et Jean Luc Mélenchon.
Citation (15 avril 2012)
Jean-Luc Mélenchon's policies are no far-left fantasy
No wonder the Left Front candidate is on the rise in France. He offers practical solutions where neoliberalism has failed
En clair :
Le programme de Jean Luc Mélenchon n'est pas une fantaisie d'extrème gauche.
Il n'est pas étonnant que le candidat du front de Gauche monte en France. Il propose des solutions pratiques là où le néo libéralisme a échoué.
Commentaire personnel même je jounal Libéral "Times " est d'accord (propos repris dans le Nouvel Obs 16 avril)
Continuons, continuons, le Front de Gauche n'a qu'une chose chose à faire.
Continuer de monter !
L'Humain d'abord peut prendre la main....
Et "Nous on peut", grâce aux urnes, lui donner la main.
Ce Bourdin est une vrai calamité. Il faudra corriger la trompeuse première impression qui avait été saisie dans la web-série du FdG.
Perso, j'ai toujours su qu'il ne faisait pas du journalisme ce Bourdin nombriliste Chien de Garde du capital.
Enfin une élection ou la gauche est bien représentée !
On arrive à un tournant ou il parait évident que le pragmatisme est à gauche, la planification économique et financière, qu'on le veuille ou non va s'imposer soit par la gauche si on la choisi soit par la guerre si on continue à voter à droite.
J'aimerai tant que les français soient prêt pour une vrai politique de gauche, mais la France n'a pas élu un vrai gouvernement de gauche depuis très longtemps, en 81 ils ont voté pour Mitterrand qui venait de la droite et les vrais mesures de gauche (économiques) n'ont duré que 2 ans, alors j'en doute et ne voudrais surtout pas que le gamin se repointe au château... Alors que voter ?
Jean Luc, croyez vous pouvoir battre Sarkozy au second tour dans ce pays très conservateur ?
@carlo dit: 16 avril 2012 à 15h10
On comprend bien que cette "Mélenchonisation" de NS se fait par pure démagogie électorale, que c'est du n'importe quoi de la part de NS. L'article de JQ est positif
Libération fait preuve "d'étourderie" ou de "mémoire sélective" ? Voici le bilan de la journée de dimanche 15 avril qu'elle affiche :
François Hollande au château de Vincennes à partir de 15 heures
Nicolas Sarkozy place de la Concorde à partir de 15h30
François Bayrou à Marseille à partir de 14h30
Nathalie Arthaud au Zénith de Paris à partir de 15 heures
Marine Le Pen réunion publique à Hénin-Beaumont à 16 heures
Jacques Cheminade en e-meeting à 17 heures
mais, finalement, on s'en moque !...
Bonne route M. Mélenchon,
Ce qui m'inquiète dans l'émission de Bourdin ce ne sont pas les questions de l'animateur. Il est égal à lui même. C'est l'agenda de l'émission qui pose interrogation, en effet pourquoi c'est MLP qui est invitée la dernière, vendredi à la fin de la campagne de 1er tour. Quant à P.Buisson personne ne le connait dans le grand public. Pas grave.
Il faudrait faire sauter le standard de RMC ce vendredi-là !
Pour Lean-luc, sur RMC il termine trés fort.
La stratégie de la droite est de faire remonter le FN juste avant le 22. Y.Thréard du Figaro a donné le ton et commencé hier en disant que MLP avait été la plus brillante dans l'émission DPDA, et qu'elle fait une trés bonne fin de campagne ! CQFD. Dans tous les cas le but est de dégonfler le score du FdG. Ils vont encore manipuler les sondages.
Résistons !
En tous les cas, voici la réponse de Jean-Luc Mélenchon a la "micro polémique" : "Une nouvelle campagne de rumeurs médiatiques vise à défigurer la candidature de Jean-Luc Mélenchon. Invité il y a cinq ans à la remise de légion d’honneur d’un journaliste avec lequel il polémiquait régulièrement sur la chaîne LCI, il a répondu à cette invitation comme plusieurs journalistes et sondeurs en compagnie de Jean-Christophe Cambadélis. Cela lui est reproché comme un soupçon de connivence. Moralité : ne fréquentez aucun journaliste, même par fair-play car vous risquez de le retrouver conseiller du prince ou marié à ses ministres."
Cher Monsieur Mélenchon.
Merci pour ce texte émouvant. Je vous présente mes sincères condoléances.
J'ai eu deux fois dans ma vie à affronter ce genre de situations. La première fut en 1969. Par une "tromperie" des médecins, il put être acquis plus de doses de morphine que permis de plusieurs médecins s'ignorant les uns les autres. Elle hurlait de douleur depuis des semaines… que faire d'autre ?
La deuxième fois, mon père, se laissa mourir par fatigue de la vie, en arrêtant de manger, 94 ans. Je refusais, contre l'avis d'autres membres de le famille, de le faire nourrir de force. Il avait eu la volonté de s'arrêter ainsi, il fallait le respecter.
Pour ma part, si le goût de la vie, par souffrance, disparait, si j'ai le courage, je suis résolue à ce qu'on m'aide à mourir dans la dignité, par ma décision, sans doute pas par ma possibilité.
C'est ainsi que je le conçois. Pourquoi vivre sans raison ? la vie n'est valable que si nous avons nos capacités d'humains, et si la souffrance ou l'incapacité sont supportables.
Avec la France, les opprimés du monde vont concentrer leur énergie éclatante !
Fini les oligarchies financières !
Rendez-vous dans les livres d'Histoire camarades !
J'écoute les discours et interventions de Mélenchon depuis un certain temps, de sorte que j'ai pu me rendre compte de l'évolution de cette rhétorique.
Je voulais en fait te mettre en garde, moi qui ne souhaite que la victoire de ce camp, contre un certain manque de clarté lors de la dernière intervention télévisée. Ne te repose pas sur tes lauriers! Tu étais beaucoup plus clair en début de campagne, quand tu explicitait
- les besoins directs
- les idées politiques pour y remédier
- l'argumentaire économique pour les mettre en œuvre
Car ce sont les trois choses qui intéressent les français chez un politique. Je suis inquiet suite aux réels mensonges du dernier Canard Enchaîné dans l'article « Mélenchon explose la calculette », que je lis sachant précisément pourquoi ce n'est pas vrai.
Il reste au moins trois interventions télévisées, et pas des moins vues! C'est pour celles-ci que je m'empresse de me manifester ; voilà un commentaire un peu froid parmi les autres encouragements - auxquels j'adhère volontiers - mais très attentionné.
A moins que ce ne soit déjà fait, j'aimerais beaucoup que tu termines ton dernier meeting le 19 en citant quelques extraits de l'article de Patrick CHAMOISEAU rendant hommage à Edouard GLISSANT, paru dans l'Huma Dimanche du 15 Février dernier, sur ce qu'il entend par le mot "résistance"....
Merci pour l'espoir redonné aux plus démunis...et à la France qui souffre...
G.F.
tomboul dit: 16 avril 2012 à 15h16 "Jean Luc, croyez vous pouvoir battre Sarkozy au second tour dans ce pays très conservateur ?"
Est-ce que vous croyez vraiment que FH. Le candidat qui amuse la presse étrangère peut battre NS? (voir le mot en Français "/ couille molle", à trouver dans le texte d'un article du New York Times).
http://www.nytimes.com/2012/04/15/magazine/the-soft-middle-of-francois-hollande.html?_r=3
Il faut dire qu'il est bien difficile de trouver des arguments positifs en faveur de François Hollande.
Un pseudo homme de gauche, qui rend visite aux financiers de la City pour poser sa tête sur un billot et leur dire: "I'm not dangerous".
S'il n'y avait que sa tête, on pourrait rire nous aussi, mais s'il est élu, on peut s'attendre au pire:
http://www.marianne2.fr/Europe-les-traders-siffleront-bientot-la-fin-de-la-recre_a216822.html
François Hollande est de moins en moins crédible.
Un petit message en passant pour vous signaler une réponse vidéo suite aux dernières attaques de Michel Onfray.
Et sur Youtube
On lâche rien!
Réglementer la durée des questions en relation avec celle des réponses est nécessaire.
Les questions posées ne sont absolument pas pour que l'auditeur ou le téléspectateur reçoive un éclairage sur un plan politique, mais pour l'entraîner là où le questionneur veut qu'il aille. Comment est-ce que cela s'appelle?
Bonne conclusion de JL Mélenchon à l'émission de Bourdin, un peu beaucoup pris la main dans la confiture.
Le premier tour est en totale incertitude, il ne faut penser qu'au premier tour, somme de petits pas et continuer de traiter les sujets qui concernent le pays, les citoyens. Que personne dans ce flot de dérivations calculé par les semeurs d'embrouille, ne se sente oublié.
Pas besoin de dire qui "je" veux battre, cela saute aux yeux quand les explications de "l'humain d'abord" peuvent être données. Trop de gens sont en position "survie" retraite de misère, impossible de se soigner, dégradations scandaleuses des conditions de vie. Est-ce que les pensions seront revalorisées?
Et tous ces jeunes qui ne se sentent pas reconnus dans ce pays, pour plein de raisons: les secouer et les encourager à tenir un rôle.
Message de clôture jeudi, puissent tous les visages rayonner d'espoir à l'écoute de paroles exprimant une re-connaissance et re-donnant à tous l'envie de lutter tous ensemble avec le Front de Gauche.
Savoir parler sur la mort, ne pas esquiver c'est donner de la force à la vie !
tiens, un peu d'humour dans cette journée : http://blogs.mediapart.fr/blog/francois-bonnet/160412/sarkozy-la-concorde-ya-quelquun
Heuresement que son nez ne s'allonge pas avec les mensonges à celui là :)
Merci pour ce discours ô combien intéressant, Mr Mélanchon !
J'espère que vous passerez à Reims, De ce fait je pourrais vous supporter de vive voix !
Bonne continuation !
Visitez le site du nouveau candidat qui va tout faire péter : http://www.facebook.com/MonCulPresident
Encore bravo pour le discours de Marseille, magnifique.
Désormais c'est la dernière ligne droite avant le 1er tour. Face au barrage médiatique, tous, autour de nous, essayons de convaincre de nouveaux électeurs, personne ne peut rien contre ça. Et surtout, tous à Paris porte de Versailles jeudi à 19 heures !
En repensant au discours de Jean Luc à Marseille, je me dis que personne n'avait vu venir la révolution Tunisienne. Et la révolution citoyenne ?
tomboul à 15h16
Bonjour,c'est simple, Front de Gauche,élections présidentielle et législatives.
Pour ta dernière question cette problématique est impossible,réponse en vraie grandeur le 22 patience et d'ici là actions avec arguments PPP, le monarque qui veut en remettre une couche est HS, il faut voir les commentaires du Fig. ils ont le tournis très grave maladie atteignant l'entendement,ils ne savent plus où donner de la tête, il faut bien dire que leurs sécurités de raison en prennent un sacré coup, une barre très très à droite, puis on pompe sur le PPP, on parle du Peuple à Neuilly-sur-seine qui n'a de cesse de le rejeter.
A tous, 15 h pile le meeting de L.O. au Zénith,hier,avec de la joie et des analyses très pointues de Camarades sur les Antilles, la santé, la SNCF,et l'automobile PSA, très vraies et concrêtes elles sont très proches de notre diagnostic et des actions à entreprendre.
Dans le Zénith plein de drapeaux Rouges,très conscients Nathalie a indiqué avec justesse que les Luttes se feront ensemble et sur du concret à savoir: la visée des conquêtes des travailleuses et travailleurs jusqu'à la prise de contrôle des conseils d'administration des grands groupes,elle a précisé avec une analyse remarquable les dérives des finances spéculatives,qualifiés de parasites les 1%,que pour arriver à changer radicalement les actions de grêves générales seront nécessaires. 100% d'accord.
Un bémol 2 attaques faiblardes contre Nous.
Ah ! Mes aïeux ! Bourdin 2012 n’a pas été très classe ce matin ! Le torchon brûle ; il faut croire que tout ne va pas pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles pour que Bourdin soit devenu subitement aussi empreint de mauvaise foi. Soit ! Je m’étais toujours un peu étonné que Jean-Luc Mélenchon se soit posément félicité de la manière d’être du quidam. C’était à la suite de la matinale sur BFMTV de janvier 2011, une déclaration reproduite dans « La mécanique Mélenchon » (DOCS AD HOC sur LCP): « Il est vraiment sympa ce Bourdin. Il te détend, il t’agresse pas. Tu fais une réponse, il s’inscrit dans la logique de la réponse, il essaie de t’en faire dire plus.. ». CQFD. Bref ! Ce matin, selon moi, Bourdin s’est haussé au niveau d’Aphatie, lequel, on s’en souvient, l’avait eu bien dans l’os (RTL.21/02/2011). Reste que j’ai été ravi par la narration, par Jean-Luc Mélenchon, de la vie et de l’œuvre de Santerre, brasseur de la rue du Faubourg saint Honoré ! J’étais au Prado. Inoubliable !
http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2012/04/16/i-have-a-dream-melenchon-president/
un petit délire, mais le rêve est créateur.... non?
CourrierLecteur
On comprend bien que cette "Mélenchonisation" de NS se fait par pure démagogie électorale, que c'est du n'importe quoi de la part de NS.
Bien sûr. Aussitôt réélu, NS retournerait se prosterner devant A. Merkel.
L'article de JQ est positif
Pas du tout: il ne reproche nullement à NS de ne pas avoir réellement l'intention de faire ce qu'il affirme vouloir faire. Il lui reproche d'oser prétendre vouloir modifier les traités, comme Jean-Luc Mélenchon se propose de le faire, et donc de vouloir remettre en cause les fondements de l'Europe libérale qui est la grande oeuvre de J. Delors, le mentor de FH.
Le principal adversaire de JQ n'est pas NS qu'il a défendu avec la plus extrême énergie lors de la ratification du Traité de Lisbonne mais Jean-Luc Mélenchon qui a été le principal artisan de la victoire du non en 2005,
Bourdin ce matin à fait son boulot de journaliste. Jean-Luc Mélenchon lui reconnais son état d'esprit de "Journaliste libre " et la question des amitiés était il faut le dire mal placé car justement relevant de la sphère privé. après tout Jean-Luc Mélenchon peut aller à une légion d'honneur du moment où la personne en question n'intervient pas sur notre campagne du FdG.
personnellement, Buisson ou Dassault son des relations privées de Jean-Luc Mélenchon et on n'a nous même nos relations privées.
où le problème apparait, c'est quand des journalistes comme ce matin (Bourdin) utilisent des aspects de vie privée n'ayant rien à voir avec notre campagne pour faire du tort, non pardon, du Buzz.
finalement et curieusement cet incident va créer plus de tort à Bourdin qu'a Jean-Luc Mélenchon.
il serait d'ailleurs curieux de savoir en quel honneur mr Bourdin à reçu la Légion d'honneur !
un sapeur pompiers je comprendrais ! un journaliste moins.
d'un autre coté, il semble que mr Buisson soit lui même Journaliste ! est-il permis à un journaliste (mr Bourdin) de parler de sa relation personnelle avec un autre (mr Buisson) sans que le premier n'enfreigne la règle déontologique des journalistes.
Bourdin à été très léger et son Buzz va lui revenir dans la figure rapido !
à part cet incident, pour moi, il reste un bon journaliste ! il vient juste de faire une grosse tâche de gras sur son costard.
il faudrait que Jean-Luc Mélenchon fasse un communiqué au plus vite pour contrer la torpille de Bourdin de ce matin, si JC Cambadélis était à cette remise de médaille, il faut qu'on se serve de ce proche de Hollande, ainsi le ps viendra vite museler les intrigants du nouvel obs...
MERCI
Adieu Camarade Albert Lagree
La mort est toujours injuste. Elle l’est encore plus quand elle frappe un camarade à l’âge de la maturité. Albert Lagree ta mort prématurée nous prive d’un citoyen révolté, d'un insurgé sans repos, d’un homme, « partie de ce tout qui fait l’humanité ».
Albert était un homme de convictions solidement ancrées à Gauche, qui avait le sens de l’humain, du partage, de l’amitié et de la Fraternité. Je l'ai connu à la Section Socialiste de Massy où nous avons mené autour de Jean-Luc Mélenchon tant de combats contre la droite et son projet d'injustice sociale durant les années Giscard, contre Poniatowski et ses méthodes policières, contre Le Pen et ses idées haineuses, pour l'union de la gauche et sa victoire en 1981, pour la création de la Gauche Socialiste.
Albert, au delà de ton souvenir, de ton chapeau noir, de ton sourire éternel, de ta grande fraternité, c’est le sens du combat mené ensemble que nous garderons! Par respect à toi Albert,nous continuons sans relâche et sans concession ton combat notre combat.
CherJean-Luc, je suis triste en lisant vos dernières lignes, car on se sent toujours désemparé face à la mort. C'est l'évènement définitif auquel on ne peut rien, et on perçoit subitement la morsure du temps qui nous entraîne vers l'avenir incertain... Mais certains morts survivent dans notre mémoire et deviennent une petite partie de nous-mêmes.
Je voulais vous remercier pour vos magnifiques discours de ces dernières semaines: tout à coup le niveau culturel de cette campagne électorale est monté de plusieurs crans. En comparaison, les paroles des deux favoris paraissent mornes et empruntées. Oui, il faut clamer haut et fort la fraternité qui nous lie aux peuples voisins, oui, il faut dénoncer cette fausse religion de l'argent dont le funeste aboutissement est une totale déhumanisation de la société. Et rendre ses lettres de noblesse à la politique qui a été tant avilie par une petite caste de politiciens hors-sol et corrompus.
Tenez bon ! nous sommes derrière vous ! Quel que soit l'issue de ce scrutin, l'immense espoir que vous avez su insuffler à la société française portera ses fruits un jour ou l'autre.
Je n'ose poster ces quelques mots qu'avec la certitude de l'indulgence que vous aurez en les lisant.
Soyez persuadé que je partage et comprend votre douleur; au moment même ou, paradoxalement, vous donnez joie et espoir à chacun d'entre nous!
En toutes occasions, nous nous permettons de partager le trac que vous devez avoir à chacune de vos apparitions, et sommes toujours soulagés de votre capacité à éviter les embuches.
Cette complicité, est aussi un peu notre fierté...
Voici la dernière ligne droite avant le premier tour; et elle sera aussi déterminante et porteuse d'espoir que les précédentes ! Nos médias serviles ont déjà tout organisé dans leur précipitation cupide; faites, faisons que leur projets soient dérangés, au point que le candidat de leurs patrons soit exclu du "grand débat salvateur" qu'ils appelaient de leurs voeux.
Quant à nous, qui ne sommes plus à convaincre, nous serons toujours derrière vous et les valeurs humaines que vous portez, dans un grand défi lancé à l'égoïsme de notre civilisation actuelle, et ne pouvons nous empêcher de poser cette question : qui pourrait vous (nous) résister au 2° tour ?
Bon courage à vous qui ne cessez de nous étonner. Demain plus que jamais, nous ne lâcherons plus rien !
Toujours à la recherche du discours de Jean-Luc Mélenchon à Pau ce dimanche 15 avril devant 6000-8000 personnes... Aucun camarade de la région qui aurait capté ça de sa petite caméra ou un enregistreur mp3 ?
Dans l'attente d'un lien...
Hauts les coeurs ! Prenons le pouvoir ! C'est la dernière ligne... gauche !
Merci de m'éclairer. (L'économie n'est pas mon domaine) J'ai fait une première lecture rapide de cet article cette nuit. Là, à l'instant, je viens de voir une chose curieuse, fausse, attribuée à Jean-Luc Mélenchon :"quitter la zone euro" qui m'alerte sur la fiabilité de cet article:
"L’évolution est intéressante. Comment compte-t-il (NS) obtenir une révision des traités européens qui nécessite l’accord unanime des Vingt-sept ? Va-t-il, comme Mélenchon le propose, donner ce pouvoir à la Banque de France sans attendre l’accord de ses partenaires, c’est-à-dire quitter la zone euro ?"
403hollagaffe dit:16 avril 2012 à 16h12il faudrait que Jean-Luc Mélenchon fasse un communiqué au plus vite pour contrer la torpille de Bourdin de ce matin
C'est déjà fait ici même ! voir plus haut !
Même si ce bourdin reste un bon journaliste, assurément ce commentaire sur buisson ne le rehausse pas !
@ carlo dit: 16 avril 2012 à 15h57 le message de Courrierlecteur 16 avril 2012 à 16h25
(Il est temps pour moi d'aller prendre l'air, je ne suis plus concentré)
Les chiens de gardes sont des morts-vivants. Eh oui ils sont de droite. C'est à dire qu'ils confondent leur mode de vie petit bourgeois avec leur vie propre... comme s'ils s'usaient le dos à gagner leur vie en s'asseyant dans un fauteuil moelleux. Ils ont le rôle social des actionnaires ou des tortureurs. Ils ont beau sentir l'iniquité d'un système qui leur assure leur petit confort relatif, l'odeur ne les dérange pas.C'est pourtant l'odeur du jus sanglant des coudes qui s'usent à la tache qu'ils ont sous le pif. il n'empêche, les gens de droite refuse de renifler le grand stupre de notre société capitaliste : lequel stupre sent pourtant à plein nez l'odeur de l'Homme qui travaille vraiment.
Autrement dit, être de droite est incompatible avec la valeur travail. elle n'est compatible qu'avec celle de la valeur de "faire travailler les autres" de petits chefs en petits chefs...
Il est urgent de faire crever cette mentalité du partage sans retour et sans miette pour les chiens enragés que nous sommes. Le parti de solférino est un garde-chiourme parmi d'autre de ce système inique. Cela méritera, avant le plat de résistances, d'être mis sur la table en guise d'entrée au moment de régler les comptes avec les autres réactionnaires et conservateurs de tout acabit.
Demain ; nous sommes les chiens qui montent sur la table et réclament les intérêts du gros lot capitaliste...
C'est ça hollagaffe, on va se montrer aussi con, que les "chiens de garde".. Le communiqué est déjà sorti, et il est sobre.. Les les messages au dessus !
Klai : des fois, s'abstenir est une excellente chose..
Interview de J.L.Mélenchon ce matin sur RMC.
Curieusement RMC a repris le thème usagé de " l'amitié de droite " utilisé déjà par Médiapart et repris évidemment par l'express ect……
Votre fréquentation de P. Buisson et M.Dassault semble déranger les journalistes . Moi, cela ne me dérange pas ; c'est juste une question de confiance ; je juge quelqu'un à ses actes.
Le but de ce cirque est de vous mettre face à vos propres contradictions (tout le monde en a, y compris J.J.Bourdin et Edwy Plenel) et bien entendu de vous décrédibiliser auprès des auditeurs / électeurs.
Dans les deux interview, je vous ai senti gêné. Ne vous excusez pas d'avoir des " amis" hors des eaux territoriales où les médias veulent vous assigner. La largesse d'esprit est une qualité nécessaire à un homme public.C'est une force que d'avoir la capacité à remettre en cause ses croyances à la lumière d'un ensemble de faits convergents. Cela fait appel à la tolérence et à l'intelligence.
C'est sur ces bases que vous avez quitté le parti socialiste et que vous avez rassemblé une partie de la gauche.
Dans son livre " les mécanismes de la crédulité ", Fabrice Clément explique qu'il est toujours possible, pour se protéger, d'ignorer purement et simplement les arguments adverses, au lieu de les étudier. L'esprit se ferme à tout élément contraire à sa position.
C'est sur ces bases que F.Hollande n'a jamais remis en cause le fonctionnement néo libéral et impopulaire de...
Sincère condoléance pour votre ami qui est mort d'un cancer le jour même ou l'ancien "Préfet" et "Grand" Résistant qu'était Raymond Aubrac eu droit aux "Invalides".
On lâche rien.
Résistance.
je viens de prendre connaissance du deuil qui frappe notre candidat. j'adresse mes condoleances rspectueuses à tous les proches du défunt, sa famille, ses amis et ses camarades, car j'ai cru comprendre que c'était un des notres.
Concernant l'épisode Bourdin, il faut que nous cessions nous même d'alimenter ce buzz absurde. Nous sommes en république, il est permis à chacun de se rendre à une remise de médaille, même d'un adversaire politique, sans devenir un traitre à la cause. un de mes meilleurs ami est à l'UMP,et flic, il cumule, donc, et notre amitié ne pâtit pas de nos divergences politiques profondes.
Par ailleurs, Bourdin a dérapé, mais reste à mes yeux un des rare journaliste intègre sur le PAF. Je ne connais pas ses idées, il est peut-être de droite, mais ne fais de concession à personne. Il fais son metier. Il vaut mieux s'attaquer aux torchons comme le nouvel obs ou l'express qui alimentent cette nouvelle caballe contre notre candidat, ce qui est risible quand on connait les amitiés particulières d'un joffrin avec le monde de la finance et de la politique.
Lisez-moi cet article comme il file la pêche et même sans preuve, il faut bien une explication tangible (on n'est pas des moutons sans cervelle) à leurs comportements déjantés à Hollande et Sarko ! deux meetings le même jour, en plein air, par grand froid, le lendemain de celui de notre candidat à Marseille, alors qu'ils ont les moyens financiers d'organiser cela dans des salles et de ne pas laisser leurs futurs électeurs à se les geler ! et pour les vrais chiffres, ce serait 25 000 personnes pour l'un (le sortant) et 50 000 personnes pour l'autre (celui qu'est pas encore entré et qui s'y voit déjà) !
Forcément, ils savent des choses que nous on ne sait pas et que notre candidat soit à plus de 20 % là maintenant, hum ça aurait de quoi leur mettre le trouillomètre à zéro d'où ce déferlement de haine et de sales coups bas de la presse ! c'est clair comme de l'eau de roche ! http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/l-appel-du-grand-air-114746
Merci Jean-Luc pour ton courage, ton humanisme et ton humanité. Bon courage pour la semaine qui vient. Prends soin de toi. Nous sommes des milliers, des centaines de milliers à penser à toi.
Suite
C'est sur ces bases que F.Hollande n'a jamais remis en cause le fonctionnement néo libéral et impopulaire de l'Europe .C'est sur ces bases qu'il refuse de parler au FdG.
C'est sur ces bases que N.Sarkozy n'a jamais remis en cause son impopulaire politique, malgré la crise.
Je suggère de rendre publique la liste de toute vos connaissances, y compris étrangères. Cela fera gagner du temps à tout le monde et nous pourrons ainsi aborder les vraies préoccupations des Français ………
Courage. Des millions de citoyens sont avec vous. Moi, j'ai pris un grand bain d'optimisme samedi dernier à Marseille et je suis prête pour le second tour.
J'apprécie notre candidat, j'apprécie sa qualité d'écriture, son humanisme et surtout la dynamique populaire qui l'accompagne; sauf que je voudrais que certains se calme; le FdG ne deviendra pas la religion d'un homme, si vertueux soit-il..
@ ydaho 411 : c'est vrai excusez moi sur le coup, je ne m'étais pas rendu compte de cela, mais à mon avis, JC Cambadelis, si les propos sont avérés, a déjà dû faire chauffer son portable auprès de son chef, ce sera vite enterré par les trois médias d'ici demain, en attendant la prochaine offensive...amitiés
Les temps sont dures et les idées faibles.
Notez bien la dialectique sectaire qui oeuvre depuis des années, et qui va jusqu'à changer le sens des mots eux meme.
Voici l'etat de l'inconscient collectif:
Libéralisme =Liberté
Communisme =Plus rien n'appartient à personne (ils vont me prendre ma maison oh my god !)
Le NON en 2005=Les français sont contre l’Europe.
Les sacrifices sont nécessaires.
Et la liste est longue de ces mots qui n'en sont plus, de ces idées remplacées par d'autres, toujours dans le meme but: l’avènement de la pensée unique.
Cette pensé unique consiste belle et bien à ne pas penser.
Jean Luc Mélenchon navigue avec une grande finesse au milieu de ce chaos d'idées mortes.
Il repend la connaissance, la logique, le raisonnement, l'humain.
Un peu de psychologie de comptoir !
J'ai décidé que sur ce blog, je ne respecterai plus les noms propres des gens qui ne méritent pas d'être considérés comme propres à mes yeux, ça sera donc mon signe de mécontentement, et pour celui pour lequel je suis un peu plus en colère, je me fendrai même d'un raccourci genre sarko, mon éducation de jésuite ne s'en fâchera pas !
Pas facile d'être mal poli quand vous avez plus de 70 ans de politesse forcée et contrainte derrière vous ! mouche ton nez et dis bonjour à la dame, tiens la porte pour la personne qui te suit, etc etc..
Donc c'est décidé ici pour Jean-Luc Mélenchon et le FdG j'appuie sur la touche des majuscules, pour les autres vous verrez bien si ils me sont sympathiques ou pas !
Résistons, Résistons hé bien là je résiste et je mets une petite roteuse au frais pour dimanche !
Consternant Bourdin ce matin ! Très peu de questions sur notre programme ! Pourquoi d'après vous ? Et bien tout simplement parce que non seulement c'est réalisable mais qu'en plus on ouvre un autre paradigme. Complètement différent ! On va partager plus équitablement les richesses ! Non mais des fois, vous n'y pensez pas ? La meute des chiens de garde s'affole, voilà le problème ! Il ne faut pas que le peuple s'en aperçoive! Il pourrait voter en masse pour nous et dès le premier tour !
Quant aux sceptiques qui se demandent comment que l'on va faire pour que la BCE prête directement à la France sans passer par les banques et sans l'accord, non pas des 26 autres pays, mais de ceux membres de l'Euro, à l'unanimité et bien figurez-vous que l'on peut tout simplement contourner cela et en toute légalité ! Soit on crée un pôle public bancaire par lequel on passe, soit on développe un peu la Banque Postale et on s'appuie dessus pour emprunter!
On ne lâche rien, surtout si près du but et bon courage tout à l'heure Jean-Luc sur I Télé même si je sais qu'entre la douleur de la perte d'un être cher et le rythme infernal de cette fin de campagne cela doit-être pour toi plus que difficile.
Et un peu de baume au coeur, et nous rassurer sur l'avenir du FdG.
En référence à ce que Jean-luc mentionne dans son papier sur les "meetings" de nos adversaires.
A lire, car je me suis délecté de cette analyse subtile de Schneiderman.
http://www.rue89.com/rue89-presidentielle/2012/04/16/hollande-vincennes-sarkozy-concorde-oeilleres-obligatoires-231222
Nous sommes dans le vrai, dans l'espoir et la lutte continue, bien que nous ayons gagné.
@klai 404 16h22
Je ne suis pas certain que nous qui avons pleurer notre camarade et ami ce matin se réjouissent de voir son identité balancée sur ce blog. La réserve due à sa famille (tu leur a demandé?)aurait du t’empêcher de le faire.
webmestre, s'il te plait, vires son post et le mien.
Bonjour à tous,
Pour notre cause, pour celle de toutes et tous qui voulons un monde plus juste, l’interprétation des faits graves et des erreurs du passé, est toujours bien ancrée dans nos mémoires, nonobstant les brumes laissées se répandre sur l’instruction de base de chaque citoyen.
L’interprétation avantageuse ou la pure confiscation de la vérité historique, ne font que nous éclairer chaque jour davantage sur les aboutissants inéluctables qui se produiront d’ici peu. Nous ne pourrons continuer à vivre de cette façon odieuse, ou la soumission par la peur et la passivité par l’abandon nous conduisent vers un Tsarisme européen.
La transformation sociale est un objectif à atteindre en commençant par la fin de cette autocratie nauséabonde.
Si à la chute d’un système un autre ne fait que prendre le relais, nos enfants auront à en payer les conséquences, car un sort injuste nous a été attribué, celui de l’asservissement à la finance !