Des qu'il a été réélu, ils ont commence à rependre leur haine en disant qu'il était très malade et qu'il allait mourir bientôt. Et de s'en réjouir ouvertement. Ils ne reculent devant aucune ignominie !

France Inter pris la main dans le sac aux infos de 13 h : Marie-Georges Buffet déclarerait que Chavez n'est pas un modèle. Je n'ai plus les termes exacts, mais elle est opposée à Jean-Luc qui dirait le contraire. La belle affaire. Jean-Luc n'a jamais pris Chavez pour un modèle ! Aucun modèle n'est exportable. Diviser le Front de Gauche voilà l'objectif de France Inter, modèle de la voix-de-son-maître. Hugo Chavez disait que le socialisme n'a pas de modèle, il faut l'inventer dans chaque pays, circonstances. Le Front de Gauche fait peur aux chiens de garde et à leurs patrons, ça c'est plutôt une bonne nouvelle.

Chavez : il était libre. C'est la seule belle épitaphe que j'écrirais ! C'est très émotionnel ce que je lis, et ce que je vois, ici. J'ai beaucoup aimé le texte H.Kempf (en plus j'avais lu son bouquin). Chavez était un homme, avec ses travers et ses qualités. Mais le meilleur est ce qu'il a fait pour le Venezuela.
Ici, en Europe, nous sommes étroits d'esprit, petits et stupides. Alors comment voulez vous que les gens comprennent la liberté d'esprit et de paroles qu'avait Chavez ? Nada ! Que sa belle âme repose en paix. Il doit faire rire les anges. Tant mieux pour eux!

@ 140 tybcr
" Non, Chavez n'était pas un dictateur "

Une phrase empruntée à un camarade : "celui qui donne l'argent aux banques est un démocrate, celui qui le donne au peuple est un dictateur".
La constitution Vénézuélienne sur laquelle les enfant apprennent à lire comporte 4 articles (art 71 à 74) pour défendre la démocratie. Ces 4 articles définissent comment un référendum peut être demandé et obtenu par le peuple. Chez nous et chez les donneurs de leçons, il n'existe qu'une forme de référendum. Elle est d'initiative parlementaire, le peuple n'a pas droit à demander un référendum.

@142-Emler.
Je ne veux pas défendre JC Michéa. Il se défend très bien tout seul. Mais pour avoir lu la plupart de ses bouquins, je puis vous assurer qu'il n'a pas grand-chose à voir avec Todd et qu'il est très loin d'être un suppôt du PS. Il y a des gens qui gardent l'esprit critique et il faut avoir la mémoire courte sur toutes les infâmies et les trahisons qui traversent toute l'histoire de la gauche internationale dans ses composantes social-démocrates, léninistes et staliniennes, pour faire semblant d'être encore naïfs. De ce point de vue il faut saluer le courage de Hugo Chavez qui a réalisé ce qu'il disait (même si on peut déplorer ses liens avec le pouvoir syrien ou iranien...). Je crois Jean-Luc Mélenchon animé de la même trempe, mais nous devons rester lucides et critiques. L'histoire nous l'enseigne avec violence. La phraséologie la plus radicale incite à la prudence. Les crimes du stalinisme ne sont pas une bagatelle. Ils furent la négation anticommuniste du communisme se détruisant lui-même. Mais c'est bien la rupture avec le productivisme et le modèle de civilisation fondé sur les structures fondamentales du capitalisme que sont le salariat, la marchandise, l'argent et le capital qui forment aujourd'hui le clivage décisif avec les forces de conservation de l'ordre établi. La hiérarchie des salaires de 1 à 20 dans le programme de Front de gauche pose déjà très mal le problème d'une transformation effective des rapports sociaux. D'autre part les héritiers du stalinisme sont très loin d'avoir rompu avec leurs sinécures électorales et leurs manoeuvres bureaucratiques et il est évident qu'ils se rapprochent déjà opportunément du PS, en lançant cà et là quelques peaux de bananes, que les apparatchiks du PS saisissent avec joie. D'autre part, les dirigeants confédéraux de la CGT font semblant de mobiliser sur l'accord interprofessionnel de sécurisation de l'emploi. Un prêté pour un rendu : Ils s'écraseront de même sur la nouvelle attaque en préparation contre les retraites, comme en 2003 et en 2007.

Dites-moi... Où ? Quand ? Comment ? "Communier" en France pour être solidaire du peuple vénézuélien ? Point de chapelle, point d'espace de rue, point de lieu, que la pensée, une pensée commune, de loin, partagée seulement au sein de cet espace virtuel ? Déjà çà ? Nous en satisfaire ? Sans doute, sans doute...
Merci Jean-Luc.

En 2005 lors de la mort du chef de l'église catholique le pape JP2, la droite chiracienne, reconnaissant en lui l'un des siens, avait fait mettre le drapeau de la République en berne (peu de maires s'y étaient refusés). Toutefois un peu gênés de cette entorse à la loi de 1905 de séparation des églises et de l'Etat, il nous avait été expliqué que s'était en sa qualité de chef d'Etat (sic) du Vatican que cette mesure était prise. Aujourd'hui la "gauche" au pouvoir n'est même pas capable de rendre hommage à Hugo Chavez, pourtant lui aussi chef d'Etat, qui plus est démocratiquement élu, et faire de même ! Honte aux soit disant socialistes français ! Qui a dit que la lutte des classes n'existait pas et qu'il n'y avait jamais cru ?

Victorin Lurel présent aux côtés de 33 chefs d'états pour représenter la France aux obsèques du président Hugo Chavez. L'occasion pour beaucoup d'entre nous de découvrir son existence au sein de ce gouvernement français.

@ bernard hugo - 17h18
Je n'ai pas dit que Michéa était un suppot du PS. Seulement qu'il sembait attendre que celui-ci se "ressaisisse" et qu'il portait donc ses espoirs de ce côté-ci. Si je vous comprends bien, Michéa ignore le Front de Gauche à cause de l'héritage "stalinien" subsistant au PC ? Que ne le dis-t-il au lieu d'affirmer que "toute" la gauche est devenue libérale, ce qui est un mensonge ? Ceci dit, d'accord avec vous (et sans doute Michéa), il faut faire sauter les schémas politiques traditionnelles de la gauche, socio-démocrates, communistes, léninistes, trotskystes, pour refonder la révolution citoyenne sur des bases nouvelles. C'est la leçon que nous pouvons et devons tirer des expériences latino américaines. Le Front de Gauche ira dans le mur s'il ne parvient pas à opérer cette mutation et je crois que Mélenchon en a bien conscience.
En attendant, vos piques contre la CGT qui "ferait semblant de se mobiliser pour..." me semblent purement gratuites et un peu datées par rapport à une supposée connivence PC-CGT dans la "répartition des rôles".

@ Boris (160).
Je veux te remercier pour ton info quant au reportage "La révolution ne sera pas télévisée". Je viens de le visionner. Exceptionnel. Et je ne peux qu'inciter chacun à prendre une heure et de regarder en direct, avec des images absolument saisissantes, le réel d'un coup d'Etat fromenté par la CIA contre Chavès et la révolution bolivarienne du Vénézuela. Faites la démarche. Un week end pluvieux s'annonce!

"Nous sommes en dictature médiatique" dit naif à 20h34. A rapprocher du reportage à voir absolument "La révolution ne sera pas télévisée" (roussel n°170) où à un moment donné on voit les grands éditocrates ou patrons de medias vénézuéliens se congratuler d'avoir fait des medias le fer de lance du golpe contre Chavez (avril 2002) ça fait froid dans le dos. Si Chavez peut être un inspirateur des actions à mener, ce qu'a vécu le Vénézuela comme laboratoire de la contre-révolution médiatique et du pouvoir de nuisance des médias est à connaître absolument pour se créer les moyens d'y résister.

Privé de la retransmission des obsèques de Hugo Chavez à la télévision française. Juste des extraits ciblés, des commentaires adaptés j'ai préféré regarder teleSUR. J'ai eu la chance de vivre l'émotion réelle de la cérémonie, j'ai vu un pays, un continent uni, des hommes et des femmes prêts à relever les défis à venir. J'ai entendu (ce qui a horrifié la presse française) un discours historique et politique (Quel gros mot!). J'ai été fier de mes origines et de ce qu'était devenu cette ancienne chasse gardée des EU, j'ai aimé cette main tendue vers la Colombie, j'ai adoré entendre si souvent ce mot de "paz", j'ai vu l'avenir se poursuivre surtout pour les plus modestes, j'ai souri devant ces écclésiastiques, ces militaires et ces serviteurs de l'Etat partageant la même peine et regardant dans la même direction. Et puis, et puis, écoutant les réactions des chefs d'Etat présents, je me suis rappelé que la France avait oublié qui elle était, son histoire, ses valeurs. Et je me suis douloureusement rappelé qu'à sa tête un socialiste avait préféré ne déléguer qu'un représentant de son gouvernement, pas un ministre (pas pour un despote populiste), pas un président (non surtout pas. Honorer la mémoire d'un vrai socialiste et d'un homme qui croyait en l'avenir de l'Homme et de la Femme, trop vulgaire). J'ai douloureusement compris que l'Europe était devenue l'arrière cours des EU, une région inféodée qui s'achetait. Alors j'ai fermé les yeux, j'ai mis la musique plus fort et j'ai rêvé. J'étais là-bas avec eux, avec ces gens modestes et je construisais avec eux, ces gens qui ne comptaient pas, un monde nouveau plus juste et plus beau. J'ai rouvert les yeux et j'ai compris, Chavez est mort, la révolution continue pour toujours. Hasta siempre!

6 mars à 18h30 : Hommage à Hugo Chavez devant la Statue Simon Bolivar à Paris. Jean Luc prend la parole.

Juanito, n°175
Bien vu l'idée d'Europe désormais "arrière-cour" des USA (voir le futur Grand Marché Transatlantique); pour moi c'est aussi le concept de "Nouveau Monde" appliqué à l'Amérique latine qui prend une toute autre dimension, en ce sens qu'il est désormais celui de la Lumière et de l'Espoir, contrairement à notre Vieux monde, qui se recroqueville sur ses peurs, met les oeillères de l'indifférence, en croyant protéger ainsi des acquis qui fuient comme le sable entre les doigts...
Vu la cérémonie sur TeleSur: émouvant de bout en bout. Un Nicolas Maduro combatif porté par l'émotion...
Sur les réseaux sociaux la sale guerre a débuté à son encontre, pour la réaction c'est désormais l'homme à abattre et les manipulateurs sont déjà à l'oeuvre...

Michel Matain@145
"Le 5 mars s'est ouvert à Buenos-Aires le plus grand procès collectif des victimes de la dictature argentine".
Je dois rectifier cette information que vous avez donnée, parce qu'elle est inexacte.
En effet, il ne s'agit pas du procès des victimes de la dictature argentine (même si de nombreux acteurs de cette dictature figurent parmi les accusés) mais de celui relatif aux victimes du Plan Condor, pacte international de coopération répressive, conclu dans les années 70 entre divers pays du cône sud du continent (alors dirigés par des dictatures) pour éliminer, où qu'ils se trouvent, les opposants à ces régimes de diverses nationalités du continent sud-américains. Ce pacte, aidé et appuyé par la CIA, réunissait l'Argentine, l'Uruguay, le Chili, le Paraguay et le Brésil. Etaient pour l'essentiel visés par le Plan Condor, les exilés et réfugiés politiques des pays concernés, dont plusieurs centaines furent assassinés, principalement en Amérique du sud, mais également en Europe, au Mexique et aux Etats Unis. 106 victimes se sont constituées parties civiles à ce procès ouvert le 5 mars dernier sur plaintes déposées par celles-ci, en majorité de nationalités uruguayenne, argentine et chilienne, au nombre desquelles figurent également des boliviens, des paraguayens et un péruvien. Les accusés sont au nombre de 25, tous argentins à l'exception d'un uruguayen. Parmi ceux-ci, on y retrouve le général Jorge Rafael Videla (1er chef de la junte militaire argentine, entre 1976 et 1978) déjà condamné par ailleurs, et encore poursuivi, pour enlèvements et soustractions d'enfants et crimes contre l'humanité. Dans cette procédure, les juges d'instruction avaient convoqué Henry Kisinger, pour l'entendre sur la base de documents américains "déclassifiés" voici quelques années. Inutile de dire qu'il n'a jamais répondu aux convocations! C'est le tout premier procès visant des participants au Plan Condor de sinistre mémoire, les débats sont prévus pour se poursuivre durant environ deux ans.
Nos médiacrates habituels ont évidemment la mémoire sélective et feraient bien, puisqu'ils déblatèrent sur le Vénézuela, de se souvenir également d'un président du Vénézuela, alors vice-président par ailleurs de l'Internationale Socialiste, Carlos Andrés Perez qui, en 1989, fit tirer sur le peuple vénézuelien révolté par sa politique néolibérale et antisociale et dont la répression fit alors 3.000 morts à Caracas.

Pour la défense de tout les damnés de la terre, merci camarade. Tu vas retrouver Eugène Potier. Vive l'esprit de la commune.

Bonjour Amis, Entendu hier soir sur Arte : "les journalistes ne savent plus que penser de Chavez alors ils le qualifient de dictateur démocrate". Voilà ! c'est d'une puissance intellectuelle à toute épreuve. Sinon, rien ne change. Sur les plateaux télés et studios radios tournent, retournent et virevoltent tous les éditocrates qui nous haïssent. Les prestations de Corbière, Coquerel, Delapierre sont excellentes. Ils ont toujours fort à faire car souvent seuls à défendre nos thèses. Félicitations à eux car cela relève d'une performance sportive. Prenez tous soin de vous car les bulldozers ne sont pas décidés à nous laisser courir ! Une pensée colérique pour Valls qui fait donner la charge sur les ouvriers en lutte et entamera des poursuites judiciaires contre eux. J'ai rêvé que les CRS avaient décidé de protéger les ouvriers et les manifestants et non les patrons. Ce n'était qu'un rêve !

@ 186 Denis F
Mépriser n'engage à rien, et on ne perd jamais son temps à combattre.

J'ai visionné moi aussi cet exceptionnel documentaire "La révolution etc..." et l'émotion m'a submergé bien des fois.
Je comprends mieux l'émotion de JL Mélenchon et sa colère contre les médias et la classe politique, le chemin sera dur, mais l'espoir est intact.

Oui, les amis, c'est ce que je me dis aussi. Les médias défendent leur caste et c'est normal, c'est leur gagne-pain. Dans le fond, et je sais que je vais me faire haïr, c'est logique! Maintenant, suivez bien les circonvolutions des journalistes, des économistes, des historiens, des sociologues et tous les grands professionels invités sur les plateaux de télévision pour discuter entre eux de leur grandeur de point de vue et observez comment en quelques secondes tous ces guignols sont balayés par les faits. Un exemple. Ces 20 dernières années, qu'ont obtenu comme avancées sociales significatives, les Français? Sous Chirac, rien ou pas grand chose qui ne leur ait été enlevé après. Sous Sarkozy, rien. Sous Hollande, rien pour le moment. Observez maintenant, les pertes que nous avons tous dû subir...Elles sont énormes! Ce mardi, Chavez meurt. Les cloportes sortent de leurs caves pour venir se montrer à la lumière du show télévisé afin de nous rappeler que nos sommes des amateurs de salsa(ceci-dit, la salsa pourrait faire du bien à Alexandre Adler!) importée d'Amérique Latine qui ne serait pas le cinquième du quart de ce que nous pensons qu'elle est! Alors petit retour au questionnement. Sous Chavez, quelles ont été les avancées sociales effectives enregistrées. Elles sont gigantesques.
Et en Equateur? Pareil! Et partout ailleurs où la Révolution Citoyenne a pris le pouvoir? Pareil !
Vous voyez, c'est simple, clair et précis! Alors après, c'est sûr, les guignols blablatent, la haine dégoulinante aux lèvres, spéculent, thésaurisent aussi un peu parce qu'il y a toujours moyen de "se procurer" leur dernier bouquin d'érudits savants" mais à la fin, seuls les faits restent établis et leurs paroles s'envolent. Pour ce qui est de leurs écrits, ça fait 50 ans que tous ces clowns inscrivent dans le marbre qu'ils sont des imbéciles et ça fait 50 ans qu'on les appelle pour se répandre en prévisions jamais vérifiées ou totalement erronées. C'est pas grave, c'est le propre de l'axiome: ne jamais pouvoir le vérifier. C'est d'ailleurs aussi le propre du discours politique: ne jamais dire la vérité de ce que l'on fait subir au peuple!

jeannine dit à 12h19
"Ce n'est jamais une perte de temps pour moi, la lecture de la presse en opposition avec mes idées, ni de visualiser différentes émissions que je sais téléguidées.Bien au contraire cela me permets d'affuter mon cerveau et d'argumenter.Je n'aime pas lire systématiquement, une presse unique j'ai l'impression de lire mon bréviaire."

Pas de problème d'affûtage de cerveau en France, nous sommes effectivement bien servis en terme de presse en opposition avec nos idées. Environ 98% de pensée unique et 2% d'écrits intimistes proches de nos idées. Votre cerveau doit être sévèrement tranchant. A 100% de pensée unique vous devriez atteindre les nuances ! (plaisanterie)

@naif 13H12
Bien d'accord avec vous pour les 98% de pensée unique et 2% d'écrits intimistes proches de nos idées. En effet mon cerveau est particulièrement tranchant. Il bouillonne même en permanence. Mais voyez vous, et je prétend que c'est ce qui fait notre richesse, nous sommes en partageant cet espoir que sait si bien nous inspirer notre hôte, tous étrangement différents. Nous avons chacun nos repères et nos faiblesses. Cependant, a 100% de pensée unique, je serai, soyez en sur, a vos cotés dans la rue, avec dans la main ce qu'avaient nos ancêtres en 1789 (et ça ce n'est pas une plaisanterie).

Je rejoins la position énoncée plus haut qui dit qu'il faut lire la presse de quelque bord qu'elle soit, et subir les inepties énoncées à la télé. Cela pour contrecarrer celles-ci. Une pensée unique à la Mao, le petit doigt sur la couture du pantalon, très peu pour moi. Par contre lors de manifestations pour qu'enfin nos idées triomphent, entièrement d'accord pour participer. Mais il faut d'ores et déjà prévoir des fourches et des lanternes ! Ce n'est pas une plaisanterie non plus !
Marre des gens qui ne voient que par un bout de la lorgnette, marre des statiques qui attendent que le fruit tombe de l'arbre lorsqu'il est mur ! Marre en général !

"car les nord-américains et l'oligarchie vénézuélienne vont se battre"

Fin de l'interview accordée par Jean-Luc Mélenchon à l'Humanité à propos de l'après Chavez. En fait ils se battent depuis le début de la révolution bolivarienne comme ils s'étaient battus avant pour qu'elle n'advienne pas ! Comme quoi l'adversaire ou l'ennemi ne dors jamais. Ce qui n'est pas le cas, hélas, de bien des gens "de gauche" chez nous, je veux dire en Europe, en Italie, en France qui, une fois au pouvoir, pratiquent la politique du "chien crevé au fil de l'eau" quand ils ne capitulent pas tout bonnement devant le mur d'argent.

Pourquoi nous pouvons trouver de l'inspiration auprès de l'Amérique latine ?
Pour ceux qui n'ont pas encore écouté l'allocution de Raphaël Correa lors de sa récente réélection, je mets le lien ici. (sous-titres français à activer). C'est lumineux !
De mon côté, je réserve ma soirée pour La révolution ne sera pas télévisée, titre donné par Boris @160. De quoi se refaire le moral de toutes façons et pouvoir argumenter.
Salut et fraternité à tous !