01mar 13
Guidée par sa haine de classe, Laurence Parisot se livre à un amalgame odieux depuis le vote de la proposition de loi Front de Gauche sur l’amnistie sociale mercredi au Sénat.
La présidente du MEDEF cherche à assimiler l’amnistie sociale à un encouragement au « cassage ». Elle veut faire passer les salariés et les militants en lutte pour de vulgaires casseurs.
Je dénonce son silence sur la violence patronale, les licenciements boursiers, la violence que les travailleurs retournent contre eux-mêmes par les suicides au travail.
La vérité est que la violence salariale est rarissime. Celle du grand patronat en temps de crise est constante.
La réalité est tout autre : c’est le MEDEF qui organise aujourd’hui le saccage du pays, la destruction de l’outil de travail et des droits des travailleurs.