Allez, camarade Mélenchon arrêtons de tourner au tour du pot, et disons les choses telles qu’elles sont. Sitôt les Européennes terminée, le FdG version Européenne est devenue une coquille vide.

La direction du PC choisit ses alliances en fonction des modes de scrutin et y adapte son discours.

Quand Mélenchon parle de l’élargir le FdG, c’est vers la « gauche de la gauche ».

Quand la direction du PC parle de l’élargir, c’est vers le PS et ses satellites, voire les Verts, mais heureusement pas jusqu’au Modem (ouf !)

C’est bien pour cela que le NPA (le vilain petit canard sectaire) exigeait une alliance durable. Il n’était pas nécessaire d’être grand devin, mais tout simplement de connaître la trajectoire du PC pour savoir qu’il en serait ainsi.
Le camarade Mélenchon qui n’est pas un perdreaux de l’année, le savait parfaitement. Dans le cas contraire cela remettrait en cause sa lucidité politique et les enseignements qu’il a pu engranger durant ses quelques décennies d’activité politique.

Donc un même terme : « FdG », mais deux conceptions différentes. PG et PC le savent bien mais continuent d’entretenir volontairement la confusion, tout en continuant d’exhorter le vilain petit canard sectaire à les rejoindre, juste histoire de montrer que plus unitaires qu’eux, tu meurs….

Le FdG en tant que tel n’existe plus mais PG et PC appellent à le rejoindre.

Le NPA a toujours été clair : un accord durable indépendant du PS.

Mélenchon propose aujourd’hui un accord « paquet » sur 3 élections autonome du PS.

La direction PC propose un « FdG ? » de toute la gauche uniquement pour les Régionales.

Trouvez l’intrus !

En clair, il nécessaire que le camarade Mélenchon qui se présente comme le Monsieur Unité de « la gauche de la gauche « et qui fait sienne la proposition initiale de durabilité du NPA, cesse de laisser croire qu’il n’a pas compris la volonté de la direction du PC, et reconnaisse qu’après tout la position du NPA n’était pas si absurde et aurait permis d’englober d’autres forces politiques dont le Pc ne voulait pas…
Cela aurait évité entre autre de perdre du temps et de l’énergie, à l’heure où la droite continue de cogner fort. Une perte de temps qu’il faut maintenant rattraper au plus vite et arrêter les non-dits, les déclarations évasives à double interprétations.
Le camarade Mélenchon malgré toutes ses précautions oratoires (surtout juste avant la fête de l’Huma)sait qu’il ne pourra suivre la démarche actuelle de la direction du PC, pour la bonne et unique raison qu’il se ridiculiserait et disparaitrait politiquement, vu son départ tonitruant et ses attaques envers le PS.
Il ne peut plus faire marche arrière et même s’il tente encore de faire croire que c’est encore et toujours le NPA l’obstacle à l’unité, il vient inéluctablement vers les propositions du NPA en laissant croire que ce sont les siennes. Ne le détrompons pas, l’important est que tout cela se concrétise et peu importe les droits d’auteur.
Son camarade Filoche (resté au PS) fait la même analyse en déclarant que Mélenchon franchit Rubicon et se rapproche du NPA...et qu’il se rend bien évidemment complice des futurs échecs de la "gauche" et lui demande de rejoindre au plus vite la "maison commune" (quelque peu délabrée).
D’ailleurs je remarque, que bien souvent on utilise le terme Mélenchon et rarement le terme PG. Et pourtant c’est bien avec ses militants que sur le terrain un accord durable va se dessiner ainsi qu’avec ceux du PC en désaccord avec leur direction. Ce qui permettra d’ouvrir la porte à tous ceux dont la direction du PC n’a pas voulu dans le "FdG pour changer d’Europe".
Le PG entretien soigneusement le lien entre PG et FdG, malgré que ce denier soit devenu une coquille vide.
A demi-mots Mélenchon commence à le formuler, ce n’est pas facile de reconnaître qu’il s’est trompé (en toute connaissance de cause) de partenaire pour construire une "gauche de la gauche" durable.
Et que l’on arrête d’utiliser le terme FdG, dont la signification à géométrie variable cantonne le débat aux seuls référents PG et PC. « Le Front de Gauche pour changer d’Europe » a vécu, ce n’était qu’une coalition électorale de circonstance lié au mode de scrutin.
Allez camarade Mélenchon, encore un petit effort....de clarification pour les autres orgas et surtout pour les militants du PG et tous ceux qui sans appartenance de parti ont sincèrement crus que le « FdG pour changer d’Europe » était l’illustration de la nécessaire unité de la « gauche de la gauche ».
Mais je distingue bien l’attitude (prévisible) de l’appareil du PC, et celle des militants PC enthousiasmés par la construction d’une force politique à la « gauche de la gauche » et lassés d'être les supplétifs caution de gauche du PS. L’appareil PC joue gros, s’il se coupe de sa base, et c’est l’existence même du PC qui peut se jouer sur cette affaire.

La priorité n’est pas de perdre du temps à faire pression sur un appareil PC qui même si il cède face à base, perdra toute crédibilité.

La priorité, c’est partout la constitution de regroupements locaux des militants et forces politiques qui veulent construire ici et maintenant une vraie gauche de la gauche, sans attendre les tergiversations coupables de la direction du PC.

Par contre NPA et PG gardent le cap, ce qui permettra à d’autres forces d’y prendre toute leur place et de façon durable

De plus, si il était encore nécessaire de démontrer la nécessité de construire une "gauche de la gauche", le PS fidèle à lui-même depuis 2002, continues de faire l’actualité politique, non sur la situation sociale mais sur ses petits problèmes internes...cette fois-ci, ce sont les petits accords entre amis sur leurs propres votes internes …donc rien de nouveau, on n’est même plus surpris, c’est pitoyable.

Et quand c’est ce même parti qui propose de faire des primaires et donc d’élire THE candidat de la "gauche", on ne peut que sourire non seulement de cette proposition qui n’est qu’un écran de fumée pour masquer l’absence de programme, mais également sur le caractère régulier de ce type de scrutin. Ils trichent entre eux, alors avec les autres ce sera le bal des gogos.

Fraternellement et bonne fête de l'Huma

Voici le communiqué de Brice Hortefeux, qui donne sa propre version de l’affaire. La version de Brice Hortefeux est un mensonge caractérisé :

« Brice Hortefeux dénonce une vaine et ridicule tentative de polémique.

A l'occasion des universités d'été de l'UMP, alors qu'il prenait une photo à la demande d'un jeune militant, des commentaires du public ont porté sur les caractéristiques supposées des habitants de l'Auvergne, région d'origine de Brice Hortefeux.

Celui-ci a alors précisé « s'il y en a un, ça va ; c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes » par référence aux très nombreux clichés qu'il venait de prendre avec la délégation auvergnate et alors qu'il s'apprêtait à partir.

Pas un seul mot de Brice Hortefeux ne fait référence à une origine ethnique supposée d'un jeune militant. »

http://www.interieur.gouv.fr/misill/sections/a_la_une/toute_l_actualite/ministere/tentative-polemique/view

En réalité, tout le dialogue portait sur Amin, le jeune militant UMP.

1- Un participant a commencé à parler d’Amin.

2- Ensuite, Brice Hortefeux a parlé d’Amin.

3- Ensuite, un autre participant a parlé d’Amin.

4- Ensuite, Jean-François Copé s’est adressé directement à Amin.

5- Ensuite, une participante a parlé d’Amin.

6- Enfin, Brice Hortefeux a parlé d’Amin, et c’est là où il a dérapé dans les propos racistes.

Voici la retranscription de la conversation polémique que tient Brice Hortefeux lors de l'université d'été de l’UMP :

Un participant : "Ah ça, Amin, c'est l'intégration."

Brice Hortefeux : "Il est beaucoup plus grand que nous en plus." (à propos du jeune homme)

Un autre participant : "Lui, il parle arabe".

(Rires de l'assemblée)

Jean-François Copé : "Ne vous laissez pas impressionner, ce sont des socialistes infiltrés."

Une participante : "Il est catholique, il mange du cochon et il boit de la bière."

Brice Hortefeux : "Il ne correspond pas du tout au prototype."

(Rires de l'assemblée dont Jean-François Copé)

Brice Hortefeux : "Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. Allez, bon courage…"

Affaire Hortefeux:
"casse toi, pove con !" ?

Robert Guédiguian :
" Un des chantiers est la forme parti, à penser de manière théorique et à résoudre dans la pratique. Ce qui est intéressant dans la création du Parti de gauche, c’est qu’il appelait à un rassemblement qu’est le Front de gauche. C’est une expérience intéressante et inédite. Ma philosophie fait que je pense qu’il faut une organisation. Il n’y a pas de spontanéité des masses. Organisation et militants, la question est posée depuis Rosa Luxemburg. Il faut réinventer quelque chose que je ne connais pas, qui s’apparenterait à une liberté relative dans une discipline. Après, on peut réfléchir à ce qui existe : syndicats confédérés, parti du travail brésilien… qui réunissent des gens qui ne sont pas d’accord sur tout entre eux. Le Front de gauche contient des gens très différents, mais pas tant que ça. Je continue à dire qu’il n’y a pas des sensibilités différentes mais des histoires différentes. Communistes, socialistes de Mélenchon, chevènementistes, trotskistes… Franchement, la question de la nature du socialisme en URSS, aujourd’hui… Je suis prêt à balayer cette histoire si cela permet de se mettre d’accord sur ce qu’il y a à faire. Il ne faut pas perdre la mémoire mais être capable d’oublier certaines choses. Bâcher, quoi. Il faut une clairvoyance très forte pour dire « je fais ce sacrifice-là et allons-y ». L’autre chose est que mon rêve absolu est que le PS explose - il fait tout pour, en même temps. Je pense que c’est une illusion de dire que le Parti socialiste est de gauche mais pas qu’il y a des socialistes qui le sont. C’est pourquoi j’ai rêvé que Jean-Luc Mélenchon s’en aille. C’est un premier geste. Mais peu suivi. Un éclatement serait intéressant pour l’afflux possible en quantité et qualité au Front de gauche, qui est affaire de nombre et de puissance aussi. Il faut être dans les luttes, d’accord, mais il faut plus que suivre les gens dans tous les combats, par-ci par-là. Il faut un programme, y compris dans la forme et le discours. Il faut présenter un nouveau monde. Et pour le présenter, il faut le connaître. Si l’on veut que des jeunes gens de quinze, seize, dix-huit ans viennent dans une forme parti, il faut les séduire, leur proposer de la lumière. Il faut faire rêver."

Robert Guédiguian : « Un appel à la révolte comme mode de vie »
http://www.humanite.fr/2009-09-09_Cultures_-Robert-Guediguian-Un-appel-a-la-revolte-comme-mode-de-vie

L’Armée du crime, le dernier film de Robert Guédiguian, sera en salles mercredi 16 septembre. Le cinéaste sera à la Fête de l’Humanité pour présenter cet hommage « d’aujourd’hui » au groupe Manouchian.

Le PS pourra-t-il s'en remettre?

Ségolène Royal a estimé sur France Inter qu'il fallait que "la loi soit appliquée et sanctionner les fraudes" lors de l'élection de Martine Aubry à la tête du PS, jugeant nécessaire de "saisir les tribunaux".

Le PS "ne peut pas échapper à la loi de tous et lorsqu'une poignée de dirigeants organisent cette fraude et que cela rejaillit sur les militants socialistes et sur le PS en tant que tel, c'est inadmissible et des décisions doivent être prises", a-t-elle expliqué sur France-Inter. "Je m'exprimerai plus longuement mardi prochain, je ferai une déclaration solennelle", a précisé Ségolène Royal, qui ne "sait pas encore" si elle va attaquer les résultats du congrès de Reims en justice. Mais "personne ne comprendrait que ceux qui se sont prêtés à ces fraudes soient impunis, sinon cela va recommencer".

"Il faut que la loi soit appliquée parce que les militants socialistes ont le droit de voir cette loi appliquée et ensuite il faut sortir par le haut de cette épreuve", a avancé la présidente de la région Poitou-Charentes. De plus, "il appartient aux dirigeants du PS de remettre de l'ordre juste dans la maison", a martelé Ségolène Royal. "La direction ne peut pas faire comme si de rien était".

Quant à un nouveau vote, l'ancienne candidate à la présidente a estimé qu'"il faut savoir ce que les militants souhaitent".

@ Post 2
Intervention remarquable par son incohérence.
Logorrhée, ou plus exactement graphorrhée.
Vous désirez vraiment que la gauche se dissolve dans des particularismes insensés ?
Ce n'est pas la volonté du peuple que désirent exprimer ces groupuscules, mais la mise en évidence de médiocres personnalités qui ne se différencient en aucune manière de celles qui jouent des coudes à droite.
Courage J-LM, le peuple a une sagesse qui lui permettra de voir clair et de comprendre que ton désir d'unifier la gauche est loin des discours et comportements de gens qui se disent à gauche, mais sont en réalité d'un égotisme (voir Stendhal) confinant à l'autisme : des gens de droite.
Excellente fête de l'Huma !
Rassemble, regroupe. C'est à la fois loin et proche, 2012.

http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/09/10/le-derapage-de-brice-hortefeux-a-l-universite-d-ete-de-l-ump_1238744_823448.html#ens_id=1238747

et moi je me souviens du comité paritaire pour la reconstruction de la IVème Internationale (Lambert-Moreno) qui annonçait très messianiquement la révolution politique antibureaucratique en Europe de l'Est et la révolution socialiste en France après l'élection de Mitterrand
le comité dura 2 ans (et je n'en connus en fait que les derniers mois) mais ses prophéties restent à réaliser

@ 14 Jennifer

Quand la police attaque les journalistes
Dimanche dernier, Melissa Theuriau interwievait « la premier flic dr France », Brice Hortefeux.
Alliance, syndicat des « gardiens de la paix », accuse la jeune présentatrice de s’être montrée
coupable de "dérapage verbal" et de "comportement agressif".
"Sans doute aveuglée par une haine non dissimulée de la police, son comportement extrêmement agressif l’a amenée à salir l’ensemble des policiers", écrit le secrétaire général, "en énonçant sans discontinuer des accusations mensongères" à l’encontre des force de l’ordre.

Voici l’URL de la vidéo prise lors de l’entretien. Elle ne dure qu’un petit quart d’heure.
Je vous convie à la regarder et à entrendre les questions posées par la journaliste.
http://www.dailymotion.com/video/xad6av_melissa-theuriau-vs-brice-hortefeux_news
Je donne mon avis, très humble comme toujours : Monsieur le secrétaire général du syndicat des policiers est d’une sensibilité pathologique qui l’entraîne dans de véritables divagations, telles que celle d’affirmer que « Melissa est aveuglée par une haine non dissimulée ».
Dangereux lorsqu’on dispose des moyens mis à la disposition de l’autorité, de porter des jugements à l’emporte-pièce de ce calibre !.
Prenez le temps d’écouter les propos échangés et jugez de la profondeur de la haine de la journaliste.

Les dirigeants du P.C. me désolent…
Je ne veux même pas en dire plus pour l’instant.

Changeons de sujet pour rire un peu.
Les radios ce matin :
« Berlusconi déclare se considérer comme le meilleur
premier ministre Italien depuis 150 ans. »

Meilleur que Mussolini ?

http://www.20minutes.fr/article/346635/France-Melenchon-met-le-PC-sous-pression.php

« Il faut avoir un haut niveau d'ambition : on ne veut pas d'une petite gauche mais d'un rassemblement à dimension majoritaire », explique Olivier Dartigolles, le porte-parole du PC. S'allier avec le PS ? Impensable pour Jean-Luc Mélenchon, pour qui les « socialistes n'ont pas leur place dans le Front de gauche ".

Tu m'étonnes ! On croit rêver ! Mais à quoi joue donc le PC ?
Nous en tirerons les conclusions bientôt je l'espère. Il y en a marre de cette comédie. LA RUPTURE ! LA RUPTURE !
Bienvenue à nos camarades du NPA ! PG et NPA cela sera correcte si certains nous la joue dans la valse à mille temps : http://www.frmusique.ru/texts/b/brel_jacques/valseamilletemps.htm

HU n'abuse qd même pas du Ricard à la fête de l'Huma!
Dans quelques heures les langoustines et le mojito offertes par les ambassades!

Polish cavalry versus German tanks: die-hard WWII myth

In 1939, Poland still had around 320,000 cavalry, but their horses primarily were a means of getting soldiers into battle. "The reality was that Polish cavalry were trained and used as mounted infantry. The cavalry was not supposed to fight on horseback, but dismount before joining the fight," said Jan Szkudlinski of Poland's World War II Museum.
by Staff Writers
Warsaw (AFP) Aug 30, 2009
September 1939. Polish cavalrymen saddle up, level their lances and sabres, and charge headlong into the advancing Nazi German tanks.
That has become a stock image: hapless, quixotic Poles facing the all-powerful invaders at the outbreak of World War II.
The problem is that it's a myth, experts say. Worse still, repeating it means keeping Nazi propaganda alive.
Like many legends, it was spun from a real event, explained historian Christoph Mick of Britain's University of Warwick.
On September 1, 1939, the day the Nazi offensive began, around 250 Polish cavalrymen charged a German infantry unit at Krojanty, a northern hamlet.
After dispersing the enemy, they were surprised by German armour which emerged from the woods and strafed them, killing several dozen riders and their horses.
"When German and Italian journalists arrived on the battlefield they were shown the dead horses and cavalrymen and two German tanks," said Mick.
"The story was made up by Nazi propaganda to show the backwardness of the Polish army and how much the Poles had underestimated the strength of the German Wehrmacht. Polish cavalry never attacked German tanks," he added.
Fascist Italy was already a Nazi ally, but remained neutral in the war until 1940, lending its correspondents'coverage an international credence that Nazi reports lacked.
The myth also served other Nazi purposes.
Germany's doctrine of "Blitzkrieg" -- lightning war -- was based on thrusts by its motorised Wehrmacht land forces and hammer blows from the air by the Luftwaffe.
But it was also psychological.
"Their propaganda films showed off all their tanks and planes. They put a very strong focus on that," said Polish expert Wojtek Lietz, who rides in the 8th Uhlan Regiment, a re-enactment group.
The Nazis had the edge because Germany -- forced by the victors to slash its military after losing World War I -- re-armed fast once Adolf Hitler came to power in 1933.
Other nations failed to wake up until he had stolen a march on them. Poland aimed to mechanise much of its military by 1942.
The wartime role of horses, however, was far from mythical.
In 1939, Poland still had around 320,000 cavalry, but their horses primarily were a means of getting soldiers into battle.
"The reality was that Polish cavalry were trained and used as mounted infantry. The cavalry was not supposed to fight on horseback, but dismount before joining the fight," said Jan Szkudlinski of Poland's World War II Museum.
When circumstances required, they reverted to traditional tactics, charging German troops on at least 16 occasions.
Despite their high-technology image, the Nazis had around 200,000 cavalry. Polish and German horsemen clashed at Krasnobrod in eastern Poland on September 23, two weeks before the Poles capitulated.
"If you compare the east and west, the east lacked good roads," noted Lietz. Horses were suited to the flat terrain -- proven by the cavalry battles of the 1919-1921 Polish-Bolshevik war -- and both the Wehrmacht and Red Army made extensive use of them after Germany invaded the Soviet Union in 1941.
Horsemen also fought on other fronts.
The first Germans across the River Seine during the conquest of France in 1940 were cavalrymen, and US and British cavalry battled the Japanese in the Philippines and Burma.
The Polish myth was bolstered after the war, when the country spent 45 years under communist rule.
"Their propaganda aimed to underline all the bad things about the previous government. That helped make the story stick," said Lietz.
For London-based historian Adam Zamoyski, there is an extra explanation: "People love simple stories, particularly ones that make other nations appear quaint and a little inferior."
"In 1939, the Polish high command took a far more realistic and pragmatic view of the situation than their British and French counterparts, who did not even bother to learn any of the lessons of the September campaign or make appropriate preparations, and were duly caught with their pants down the following year," he said.

Une belle image du socialisme Sud américain :

http://www.dailymotion.com/video/xagciv_chavez-et-la-liberte-dexpression-ss_news

Hold-up dit:
11 septembre 2009 à 18:03
"Et la Caisse de Secours pour les 7 de “Conti” ?
Quelqu’un pourrait -il en parler ?"

Oh! que oui que quelqu'un peut en parler !
Alors voilà faut ouvrir un compte sur lequel seront virés les chèques et autres virements en faveur des condamnés de Continental. Et après faut faire de la propagande pour que des chèques et des virements atterrissent sur ce compte.

Voilà. Quelqu'un en a parlé.

C'est beau la solidarité.

Avec les condamnés de Continental.

Et leur délégué Xavier Mathieu.

Auquel a été retiré une invitation à débattre à la fête dite de l'Humanité.

En crime de lèse Bernard Thibault, Xavier Mathieu.
Et ça, chez les staliniens,
on ne tolère pas.
Pensez-donc, dire la vérité sur la direction de la CGT !
Si on laisse faire, certains se permettraient de traiter la direction du PC de vendue au PS.
Par contre Martine Aubry, et Frédéric Mitterand sont invités, eux.
Des gens biens, Martine et Frédéric.
Qui savent se tenir.
Qui respectent la hiérarchie.

Pas comme Xavier Mathieu, délégué CGT de Continental, qui s'adresse à Frédéric Lefebvre* comme une racaille de Bernard Thibault n'osera jamais le faire.

Bonne fête !

*lien Hold-up™ :
http://www.marianne2.fr/Au-secours,-un-ouvrier-est-passe-a-la-tele!_a182048.html

à BA.

Mais non BA.
Elle est tout a fait crédible la défense à Hortefeux.

C'est comme écrire :

"Hortefeux le fils de pute !".

On pourrait penser à une insulte envers un ministre, non ?
Et bien non.
Ce sont les fautes de frappes de quelqu'un qui voulait écrire :

"Hors du feu les fils de jute".

Crédible, non ?

Pas un mot de la Fête de l'Huma sur les chaînes dites "d'info" regardées ce matin.

Bonjour,
Je fais partie « des gens qui sont venus pour la première fois à la fête de L'Huma en landau », ayant eu la chance d'avoir des parents communistes, et qui furent, chance supplémentaire, toujours un peu dans la dissidence.
Eh bien cette année, à la fête, je vais prendre ma carte au Parti de Gauche. Après un cheminement de plusieurs mois, je pense que c'est un des meilleurs moyens de concourir à la construction d'une véritable alternative de gauche, unitaire, anticapitaliste, sans concessions au social-libéralisme, et où l'écologie ne soit pas un supplément d'âme mais un fondamental. Le choix fait par Martine Billard au mois de juillet m'avait déjà incitée à regarder le PG de plus près, même si je croisais déjà des adhérents du PG à l'occasion de luttes locales, notamment pour la régularisation des sans-papiers ou la défense de l'hôpital public. Mais, un peu échaudée par d'autres expériences anciennes ou récentes, je me disais que la discipline de parti ça n'était vraiment pas pour moi.
Je suis allée, par curiosité et à la suite d'une invitation amicale, au remue-méninges de Clermont-Ferrand. Là il y eut, bien sûr, Jean-Luc Mélenchon et Jacques Généreux. L'un parla d'idéal, de traditions et de luttes, l'autre d'une nouvelle transcendance. Et si c'était la même chose avec des mots différents...
Et puis il y eut aussi, et ce fut une vraie découverte, (parce que les deux premiers passent plus que les autres dans les médias ;-)) la présentation du projet sur les régions par Pascale Le Neouannic et Elisa Martin, l'exposé d'écologie politique de Corinne Morel-Darleux, le travail en commission d'Elodie Vaxelaire... Très très fortes, les filles.
En écoutant Corinne je songeais à ces mots écrits par Auguste Blanqui vers 1880, au moment où le capitalisme européen systématisait l'exploitation du reste du monde:
«Depuis bientôt 4 siècles, notre détestable race détruit sans pitié tout ce qu'elle rencontre, hommes, animaux, végétaux, minéraux. On fait de la houille un odieux gaspillage, sous prétexte de gisements inconnus, réserve de l'avenir. La baleine va s'éteindre, anéantie par une poursuite aveugle. Les forêts de quinquina tombent l'une après l'autre. La hache abat, personne ne replante. On se soucie peu que l'avenir ait la fièvre. Ces ressources seront perdues pour nos descendants". ?
Extraordinaire modernité de Blanqui, et vivifiante reprise du meilleur des traditions du mouvement social dans le discours d'une jeune femme d'un jeune parti !
Ben voilà, le pari du PG c'est d'allier traditions du mouvement ouvrier et exigences nouvelles de l'époque, pour faire du neuf en agissant à la fois dans 4 espaces stratégiques complémentaires et non-concurrentiels : les luttes, les urnes, l'expérimentation à différentes échelles de solutions alternatives, et l'éducation populaire.
Le tout pour donner -enfin !- une traduction politique à ce mouvement social qui en cherche une nouvelle depuis la chute du mur de Berlin et, dans ce pays, depuis les coordinations de novembre-décembre 1995...
Y'a du boulot, on n'est jamais sûr de réussir mais il faut essayer.
Une dernière chose : en allant à Clermont je m'attendais un peu, il faut bien le dire, à trouver des mormons laïcards plus que laïcs, républicanistes plus que républicains, un peu coincés sur les questions de moeurs et de société. Eh bien non, ils sont drôles...J'ai pu constater une aménité générale dans les débats et dans les couloirs, (ainsi que dans les bistrots de Clermont ;-)) un respect du parcours de chacun(e), une attention à l'apport de toutes et de tous, choses que je n'avais pas vécues forcément au cours de mes expériences politiques passées, -que je ne regrette d'ailleurs absolument pas- aussi enrichissantes fussent-elles.
A bientôt !
CJ

Pourquoi demander le départ de Hortefeux? Il me semblait que ce gouvernement avait été élu avec un programme pris en partie à l'extrême droite pour avoir les électeurs qui allaient avec. Il est donc logique que ce gouvernement mène des actions inspirées par son programme. On l'a vu avec le traitement des clandestins ou aussi celui des Roms qui,bien que citoyens européens, subissent les foudres de la police française sur le quai d'une gare, comme il y a plus de 65 ans. En fait, Hortefeux est le ministre qui représente le mieux le Sarkozysme. Et vous voudriez qu'il démissionne?

Dans un autre registe, on ne vas pas le plaindre le Villepin, mais je trouve néanmoins ces procédés gravissimes.
S'il fallait encore des preuves pour démontrer que l'on ne vit plus dans un pays républicain mais dans une monarchie....la voilà.

http://www.latribune.fr/entreprises/industrie/energie-environnement/20090911trib000420938/exclusif-henri-proglio-vire-dominique-de-villepin.html

torquemada,
pour un hortefeux partant, resteraient bien au chaud, surtout à l'éducation nationale, placés par darcos en son temps, des dizaines de conseilleurs du GUD, du FN,de la Nouvelle Acropole et autre racaille de la CIA. Il est bien de se dire scandalisé par le comportement de cet auvergnat, mais n'oublions pas
que la nouvelle droite est au pouvoir !

Jean-Marie Le Pen soutient Hortefeux.

C'est une réaction dont Brice Hortefeux se serait sans doute passé.

Le président du Front national Jean-Marie Le Pen juge « scandaleux le tollé soulevé » par les propos de Brice Hortefeux (ministre de l’Intérieur) sur un jeune militant UMP d'origine algérienne.

« Ce serait comique si ce n'était pas scandaleux. Non pas la déclaration de M. Hortefeux qui n'a aucune importance, mais le tollé que cela soulève dans l'opinion », estime Le Pen.

Dans son journal de bord vidéo mis en ligne sur le site du Front National, Jean-Marie Le Pen se prête à un jeu de questions-réponses. Il évoque la taxe carbone, la suspicion de fraudes au Parti Socialiste l'année dernière, les deux évasions dans l'Yonne dont celle de Jean-Pierre Treiber, les ventes de Rafale au Brésil, les élections régionales.

Et pour finir, les propos du ministre de l'Intérieur à l'université d'été de l'UMP de Seignosse (Landes). « Il y a désormais en France une censure antiraciste qui s'exerce par l'intermédiaire des médias », poursuit-il, dénonçant les « dénonciations de professionnels de l'anti-racisme ».

Estimant que Brice Hortefeux avait « prêté la main » à la polémique en mettant à la retraite d'office le préfet Paul Girot de Langlade, Jean-Marie Le Pen souhaite « que les Français exigent la liberté de parole. C'est le temps de la gestapo, jamais plus ça » conclut-il.

http://www.leparisien.fr/politique/le-pen-soutient-hortefeux-11-09-2009-635465.php

Gaza : en marche pour la Liberté

Le projet conçu aux Etats-Unis, il y a près de 3 mois, est en train de
devenir une réalité : du monde entier, nombreux sont celles et ceux qui
veulent dire NON AU BLOCUS DE GAZA en fêtant la nouvelle année sur place.

La "Gaza Freedom March" est une coalition internationale, qui souhaite
réunir des milliers de volontaires, à la fois à la frontière égyptienne de
la bande de Gaza (Rafah), et à au check-point israélien de Erez.

@ Vergnes (commentaire n°2)

une question complémentaire :
vous écrivez « la position du NPA n’était pas si absurde et aurait permis d’englober d’autres forces politiques dont le Pc ne voulait pas…»
A qui faites vous allusion ?

Bien cordialement

Marc-Malesherbes

@ Gilbert

Ce n'est pas l'impression que j'ai eu hier soir en écoutant Jean-Luc Mélenchon à la Fête de l'Huma. Il a bien été question d'autonomie vis à vis du PS, et l'objectif est de passer devant eux pour imposer notre point de vue antilibéral au second tour.
Ne rêvons pas, nous n'obtiendrons pas 20 régions... mais une seule suffira pour y déployer notre programme politique, montrer l'exemple, et accélérer la dynamique du Front de Gauche. Une "région creuset" en quelques sortes !