04juil 11
Après Stalingrad, entre Argelès et Lézan
30juin 11
Discours de lancement de la campagne présidentielle du Front de Gauche
Mercredi 29 juin 2011 se tenait place des martyrs de la bataille de Stalingrad, au pied du métro Jaurés, le 1er meeting de la campagne présidentielle du Front de Gauche. Voici l'intervention prononcée lors de cette soirée devant plus de 6 500 personnes par le candidat commun Jean-Luc Mélenchon.
Cette vidéo a été consultée 37 fois
28juin 11
Jusqu’à Stalingrad et Jaurès
Dans cette note il est question de la lutte des Grecs, d'une victoire du syndicaliste Xavier Mathieu et des Conti, d’ambiance politique autour de moi, puis de coups bas et ensuite de François Hollande et d’Alain Madelin. Après quoi je musarde à dire des piques. Et enfin je produis un entretien de presse avec l’Est-Eclair qui me parait rendre compte de façon simple d’un ou deux messages utiles.
24juin 11
Les jours d’après
Ma présence au travail de rédacteur de ce blog a souffert de l’intensité des évènements que j’ai vécus. Pourtant j’aurais eu le goût d’en dire mon mot à mesure. Cela n’a pas été possible et on devine pourquoi. Après l’intense émotion de l’annonce du vote des communistes, les heures qui l’ont entourée ont été un maelström de sollicitations. Mais serais-je encore longtemps en mesure de combiner le point de vue de l’acteur et celui de l’observateur ? A présent que le temps disponible m’est compté comme jamais, je mesure, quel privilège ont été ces heures calmes et recueillies derrière mon clavier. Le lundi matin je me mis en route vers l’usine du Thé Eléphant, à coté de Marseille. Dans cette usine en lutte contre la délocalisation, ceux qui font tourner les machines veulent faire une coopérative ouvrière. C’est à eux que je dédiais mes premiers pas de candidat du Front de gauche. Et pour recevoir d’eux cette sorte d’investiture que je recherche auprès de tous ceux que nous voulons représenter.
21juin 11
« Il faut tourner la page ! »
Interview publiée dans "Direct Matin".
Le PCF n’avait pas soutenu un non-communiste à la présidentielle depuis Mitterrand en 1974…
C’est très émouvant. La décision franche des communistes place le Front de Gauche dans une posture inédite. Communistes, socialistes, écologistes, républicains… aujourd’hui, toutes les composantes de la gauche historique se rassemblent autour d’une candidature commune. L’image est forte. Nous sommes cinq partis autour d’un candidat alors qu’au PS, c’est un parti pour cinq candidats.
Vous n’êtes plus au PS, vous n’êtes pas communiste. Qu’est-ce que le «mélenchonisme» ?
Si cela existe, c’est une synthèse. Le républicanisme socialiste de Jaurès reste ma matrice. Je suis aussi lié aux idées fondatrices du communisme et je suis reconnaissant à l’écologie politique de nous avoir permis de rebrasser nos idées. Je suis autant que possible la synthèse de ces trois courants historiques auxquels je me suis ouvert successivement. Je suis en perpétuelle évolution à gauche.