17oct 10
On suit la consigne syndicale : on ne lâche rien
C e samedi on était nombreux. Encore. Et mardi on recommence. Il ne faut pas lâcher prise. Ca serait bien si on savait à quelle caisse commune envoyer des sous pour soutenir les petites payes amputées par la lutte. Je ne résume pas ma note parce que je me dis que vous allez la lire. Mais je signale que je parle de notre lutte et d’argent.
Si vous êtes intéressés à connaitre quelque chose du harcèlement dont je fais l’objet de la part de quelques manitous médiatiques, je vous propose en fin de note des liens instructifs.
14oct 10
On continue ! On ne lâche rien !
A u milieu du gué. De quel côté la situation va rebondir? J'en parle ici. Puis de la sortie de mon livre "qu'ils s'en aillent tous!" Et de l'affligeante "affaire Pujadas". Elle me vaut d'être assimilé à Le Pen par madame Ruth Elkrief qui déclare sur BFM-TV ne pas voir de différence entre lui et moi. Si bien que je décide de renoncer à l'entretien que je devais avoir avec elle vendredi soir à BFM. Il est évident, pour moi, que les conditions d'une discussion sereine ne sont plus réunies. Et je vous apprend, si vous ne le saviez que le ministre Woerth vient d'autoriser le licenciement de Xavier Mathieu, délégué syndical CGT des Conti et porte parole de leur lutte.
10oct 10
Larbin ? Salaud ? Pujadas ?
I l faut faire face de tous côtés. Je sors du plateau de RTL, LCI, LE FIGARO. Rude épreuve! Je crois que ça s'est entendu et vu. J'avais prévu quelque chose sur Sarkozy et ses bigoteries vaticanes. Ca attendra. J'avais écrit aussi à propos du dernier buzz. Je publie.
Il y a une extrême urgence : sauver ce pauvre Pujadas dont on vient de me rebattre les oreilles! Je préfère prendre cette pantalonnade journalistique avec humour. Je déclare que ce malheureux est victime d’un complot particulièrement vicieux à l’intérieur de la direction de la rédaction de France 2. Celle-ci vient d’annoncer qu’elle le défendait contre une de mes odieuses attaques. Elle qui n'avait jamais rien dit quand les confrères avaient écrit mille fois pire que mes interjections, se réveille soudain, tout excitée à l'idée de frapper un "politique". Mais de cette façon tout le monde est invité à aller voir de près la dite attaque. Rien n’est pire pour ce pauvre Pujadas ! Déjà, entre "Youtube" et "Dailymotion", 200 000 personnes sont allées le voir se faire traiter de salaud et de larbin. Mazette! Déjà mes amis se sont mobilisés sur leurs blogs. Ils ne sont pas les seuls, j'en suis certain. Dés lors l'affaire va tourner court et ridiculisera ceux qui l'ont lancée.
08oct 10
Dans l’odeur de la poudre
J e fais une note brève avant mon passage au grand jury RTL ce dimanche car je suis enfoui dans mes fiches. Et je prépare aussi un petit texte pour ce blog à propos de la situation financière du pays. En ce qui concerne l’actualité, j’avance à pas de loup, tant je sens que l’atmosphère se tend de tous côtés. Mais c’est certain que nous sommes dans un moment d’accélération de l’histoire. Et j’ai le sentiment avec mes amis du Parti de Gauche que nous sommes en phase avec le moment. J’ai assez roulé ma bosse pour savoir que ce n’est pas si souvent que c’est comme ça dans une vie politique. Au Sénat les camarades sont mobilisés à fond. L’équipe réalise elle-même un film tous les deux jours en plus des taches dans l’hémicycle. Le passage en force du gouvernement et de ses larbins sénatoriaux ne suffira pas à faire retomber la pression du 12, c’est certain. Je vous livre ici des réactions et des documents. On se retrouve lundi sur cet écran pour la note suivante.
03oct 10
De Tarbes à Brasilia
J e peux dire que la semaine a été rude, le dimanche inclus puisque j’ai fait encore un déplacement. Mon troisième meeting de la semaine. Cette fois-ci à Tarbes pour la Fête de l’Humanité. Ce département avait donné 11% des voix à la liste du Front de Gauche aux élections européennes. Avant ça, il y avait des moments qui m’ont fait réfléchir. Ecrire ces lignes aura été une gageure. Un temps intercalé entre tous les autres, volé à la tranquillité, matière première rare. A la fin, j'ai ajouté un message venu d'Amérique du sud.