Le 10 mars 2014, Jean-Luc Mélenchon était en meeting à Strasbourg pour soutenir la liste Front de Gauche "À Strasbourg, l'Humain d'abord" conduite par Jean-Claude Val (PG). Début de l'intervention de Jean-Luc Mélenchon à 55:40.

Le 10 mars 2014, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV. Il est revenu sur les écoutes de Nicolas Sarkozy et les enregistrements de Patrick Buisson et a dénoncé un climat "bizarre" qui règne à droite et qui alimente la montée de l'extrême droite. Le coprésident du Parti de Gauche a ensuite expliqué qu'il comprenait que puisse s'exprimer en ce moment la montée du "tous pourris" et qu'il fallait en trouver les causes dans la détérioration de la condition matérielles d'un grand nombre de citoyens. Jean-Luc Mélenchon s'est ensuite exprimé sur le nucléaire et a appelé à "fermer toutes les centrales du pays", ce qui pourrait être réalisé en une vingtaine d'année. Concernant le pacte de responsabilité, le coprésident du Parti de Gauche a dénoncé "un marché de dupes" dans lequel l'Etat donne de l'argent et le Medef des paroles. Enfin, Jean-Luc Mélenchon est revenu sur la crise ukrainienne et la situation en Crimée et a appelé à cesser les provocations contre la Russie pour maintenir la paix.

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Jeudi 6 mars Jean-Luc Mélenchon assistait à l'audience du procès dans lequel il est mis en cause par Marine Le Pen pour avoir utilisé le mot "fasciste" pour la qualifier.

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Le 6 mars 2014, Jean-Luc Mélenchon était l'invité de France Inter. Il y a détaillé sa position sur l'Ukraine et a plaidé pour des solutions politiques allant dans le sens de la recherche de la paix. Le coprésident du Parti de Gauche a ensuite été interrogé sur l'affaire Buisson, dans laquelle il voit un effet de l'esprit de Cour de la Ve République. Jean-Luc Mélenchon a ensuite évoqué le procès que lui fait Madame Le Pen pour l'utilisation du mot "fasciste", avant de parler de la politique économique de François Hollande. Le coprésident du Parti de Gauche a enfin été interrogé sur les élections municipales et a répété que le Front de Gauche n'étais pas une étiquette mais une stratégie politique.

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Le 5 mars 2014, Jean-Luc Mélenchon était en meeting à Montpellier pour soutenir la liste Front de Gauche "La Gauche, la Vraie !" conduite par Muriel Ressiguier (PG)